L'été de mes 18 ans, j'ai invité un copain chez moi, croyant mes parents partis en vacances. J'avais noué des liens d'amitié avec Hervé à la suite d'une rencontre sous la douche. In venait de disputer une rencontre de football et moi de hand.
Je sortais de la douche la serviette autour de la taille, lui était nu.
Sa bite était d'une belle taille, faite juste à la taille de ma main ou de ma bouche.
Son cul était tout bonnement fabuleux. Il ne bougea même pas quand il me vit. Il tenait son slip à la main et ne se pressait pas de l'enfiler. Nous avons échangé un simple :
- Salut !
Le lendemain, je me suis caché au coin d'un mur en attendant de le voir. Quand il apparut, je suis sorti de ma cachette, comme si je venais d'arriver.
- Tiens, salut ! Ca va depuis hier ?
- Pas de problème. Et toi ?
- Oh, ça va......A part les maths. Je patauge.
- Ben ça alors ! Tu ne vas pas le croire ! Les maths, c'est ma partie préférée. Tu veux que je t'aide ?
- Pourquoi pas. Mais j'ai un problème.
- Ah bon. Lequel ?
- Mes parents ! Ils me surveillent comme un évadé. Je ne peux recevoir personne et ils surveillent mes heures de départ et d'arrivée.
- T'a qu'à venir chez moi !
- Je veux bien, mais comment faire.
- T'inquiète, je m'en occupe.
Deux jours plus tard, mon père m'appelle et m'annonce que désormais le fils de son patron, à la demande de son père, passerait me prendre pour m'amener à l'université.
- Merde, me disais-je. Pour Hervé c'est râpé.
Le lendemain, sortant de la maison, quelle ne fut pas ma surprise de voir Hervé au volant de la voiture. Je montais à coté de lui et nous partîmes vers le campus. En chemin, il se pencha vers la boite à gants pour prendre un CD. Au passage, il posa les lèvres sur mon sexe qui faisait déjà une bosse dans mon pantalon.
- Comment tu sais ?
- Et toi, comment tu crois que je puisse venir te chercher ? Tu penses que tu m'as vu à poil par hasard ? J'ai su pourquoi on t'a viré de l'autre fac. On t'a trouvé dans la chambre d'un autre étudiant, sa bite dans ton cul et une autre dans la bouche.
- Et alors ?
- Ben je vais remplir le vide !
- Tu sais qu'on n'a pas de temps pour ça.
- Mon père est le patron du tien. En plus, c'est un des plus gros mécènes de l'université. Si tu n'assistes pas aux cours personnes ne le saura.
Et ça a duré jusqu'aux vacances. Quand mes parents sont partis, Hervé et venu s'installer à la maison. Jetais à sa disposition. Il m'enculait quand il le voulait. Un jour ou nous étions en train, Hervé avait mis de la musique et sa queue enfoncé dans mon cul, je n'entendis pas la porte s'ouvrir. Une corde passa sous mes hanches et je vis mon père nous ligoté tous les deux, très serré pour que nous ne puissions pas nous séparer.
Il nous retourna et Hervé se retrouva sur le dos et moi, empalé sur sa bite. Mon père prit le téléphone et je l'entendis qui appelait le père d'Hervé.
Devant l'incrédulité de celui-ci, mon père lui décrivit la scène par le menu.
Le père d'Hervé semblait donner des instructions au moins et il raccrocha.
Une demi heure plus tard, le père d'Hervé arriva, accompagné d'une dizaine de messieurs en coutumes cravates. Il regarda la scène et éclata de rire. Il sortit de sa mallette deux liasses de billet de 500 euros et les donna à mon père.
Il s'approcha de nous, nous détacher et nous fit mettre en position.
Nous nous agenouillâmes au bas du lit, les épaules courbées sur les genoux et les bras croisés sur le torse. Dans cette position, nos culs étaient proéminents. Les hommes en costumes s'approchèrent un par un, ouvrirent leurs braguettes, sortirent leurs sexes et nous enculérent à tour de rôle. Quand 3 heures après ce fut fini, le père d'Hervé s'adressa au mien :
- J'attends Vincent tous les samedis matin à mon bureau !
- Mais pourquoi ? dit mon père. La punition n'est pas terminée ?
- Qui parle de punition ? J'embauche votre fils.....
Enfin plutôt son cul ! Imaginez l'augmentation de votre salaire et l'économie sur les frais de scolarité.
Le samedi, je me rendais à l'usine et le rituel étais toujours le même.
Je me déshabillais lentement devant le père d'Hervé puis, j'allais m'asseoir sur sa queue, l'enfonçais entièrement dans mon cul et je devais monter et descendre le long de mon membre en accélérant jusqu'à l'éjaculation totale, ensuite me mettre a genoux et nettoie sa bite jusqu'à qu'elle soit propre, et il me pisse dans la bouche et je dois tous avalé.
Il versait son salaire à mon père et je sus beaucoup plus tard que ça ne lui coutait rien. En effet, mes exploits étaient retransmis sur les écrans des ordinateurs de ses collaborateurs moyennant finance.
Nico76500
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