Premier épisode | Épisode précédent
Paolo
Lors de la fête patronale de mon village, j’ai retrouvé Fernando venu avec le groupe folklorique portugais invité. Il m’a présenté son compatriote Paolo, « un sacré coquin » et ils me proposent de rentrer au lycée dans leur voiture. Bien sûr mes parents sont surpris de me voir quitter la fête si tôt et, si l’économie du ticket de car est un prétexte vraisemblable, il n’a pas semblé les convaincre tout à fait, mais ils n’ont rien trouvé à ajouter, les apparences sont sauves.
Et me voilà à l’arrière de la Ford. Si mes deux amants, ou qui le seront bientôt, sont attachés, la ceinture de sécurité n’est pas obligatoire à l’arrière et j’en profite. Installé au bord de la banquette pile entre les deux sièges avant, je croise les bras et pose mes mains sur leurs épaules puis pars en exploration, pour comparer. Paolo à les cheveux plus drus, la barbe plus fournie encore que Fernando. Est-il possible qu’il soit encore plus velu ? Alors je passe mon bras et déboutonne la chemise de l’un, puis de l’autre, caressant alternativement la toison brune puis la châtain, découvrant un téton que je sais sensible et glissant ma main à la découverte de l’autre … mais Paolo bloque ma main en riant « je conduis » puis il l’approche de sa bouche et suçote mes doigts comme un gourmand une sucrerie. Un frisson glacé me parcourt le dos. Puis il éclate de son grand rire : « Fernando a déjà pris ta belle queue dans le cul alors c’est mon tour » Je sens Fernando se contracter un peu, il est plus réservé mais moi, cette liberté de parler ouvertement de choses si intimes m’éblouit : dans ma famille, le corps n’est pas montré, sauf brièvement en plein effort, ou au médecin quand il est malade et jamais je n’ai vu mes parents nus. Alors quand Paolo réclame devant témoin et à voix haute que je l’encule, je suis d’abord estomaqué par son audace. Mais il poursuit « Il t’a bien baisé, pas vrai, Fernando ? Tu me l’as dit, hummm …. » Il lui tapote la cuisse. « Il a une grosse bite, ça, c’est vrai ! Il a dû bien te dilater ! Wha » Il rit « mais tu aimes ça Fernando ? » L’intéressé se recroqueville dans son siège et, moi-même bousculé par ce discours cru, je ne peux m’empêcher de venir à son secours. Je parviens à glisser ma tête pour l’embrasser rapidement avant de me tourner vers Paolo « moi j’ai passé un très bon moment avec lui » Il rit « c’est que tu aimes baiser les portugais, alors. Tu vas me fourrer longtemps » et il pousse un long gémissement à tue-tête, mimant le plaisir puis éclate de rire et frétille sur son siège.
La voiture garée, on rejoint discrètement la petite garçonnière que je connais déjà. Derrière moi dans l’escalier, Paolo me passe la main entre les cuisses pour saisir mon paquet par en dessous et me dévore le cou pendant que Fernando tourne la clé. Sitôt la porte ouverte, il me pousse vers le lit et se rue sur ma braguette. Fernando s’approche, m’embrasse goulument et me fourre d’autorité une capote dans la main. Paolo a déjà saisi mon manche dressé et le lèche et l’engloutit alternativement. Je me débats pour ôter sa chemise et découvrir sa fourrure. Elle est bien plus fournie que celle de Fernando, plus dure aussi. Je suis fasciné par tout ce poil, surtout qu’il a défait sa ceinture et que je le découvre nu et hirsute de la tête aux pieds. Je n’en finis pas de passer mes doigts dans ce taillis, pinçant ses tétons qui se dressent. Ils semblent être très sensibles car il interrompt sa pipe et gémit. Mais il veut que je m’occupe de son cul et guide ma main vers sa raie. Je m’empare du gel et, après avoir caressé sa ligne foisonnante, je lui envoie une large giclée froide que j’applique avec mon pouce. Aussitôt, il est englouti et Paolo se cambre sous la pression « oui ! » puis il reprend sa ondulations en jubilant. Mon pouce le masse profondément et je sens des ondes de contraction parcourir ce cul souple, somptueux. Paolo se bifle avec ma queue et me dit « tu vas me la mettre » mais moi, je veux jouer encore.
D’une pression de la main sur sa tête, je l’encourage à poursuivre ses gâteries buccales et poursuis mon travail sur son fion en mode assouplissement. Chaque fois que je touche juste, il laisse échapper ma queue et ferme les yeux en gémissant et je progresse à grand pas, faisant rapidement raccourcir l’intervalle entre deux soupirs jusqu’à ce qu’il se mette en position de prière, écartant à deux mains ses fesses pour permettre un plus libre accès à mes doigts de plus en plus efficaces. Je n’en peux plus moi-même. Je me capote précipitamment et lubrifie d’un abondant jet réfrigérant cet œillet palpitant puis je me plante, debout derrière lui, appuie sur ma queue pour la diriger vers le bas, contre sa naturelle orientation et l’enfoncer hardiment dans ce cul béant. Paolo pousse un gémissement sonore et prolongé et le rideau s’écarte brusquement sur un Fernando inquiet que je domine d’un air conquérant. Je l’attrape prestement et l’attire à moi pour embrasser sa bouche tandis que Paolo travaille ma bite de son cul avec de courtes respirations. La langue de Fernando se mêle à la mienne, sa main vient caresser ma touffe et cherche si j’ai bien mis une capote puis il m’échappe lestement et, refusant de se joindre à nous, il retourne de l’autre côté du rideau, à ma grande déception.
Il me semble que Paolo a joui mais il poursuit son savant péristaltisme anal comme s’il voulait définitivement avaler ma queue. Putain ce cul ! Je le cingle de deux ou trois claques sonores et il se contracte sèchement, immobilisant mon mandrin. Lorsqu’il se desserre, je m’extrais lentement jusqu’au bourrelet, je prends mon manche en main et le secoue dans l’œillet qui baille et d’un coup, je l’enfonce à l’os. Paolo accuse le coup de boutoir, se cambre et je saisis ses deux tétons entre mes doigts. Je retire mon manche en lui étirant les mamelons et il couine. Et je le sabre à nouveau. Une frénésie s’empare de moi et je le lime sauvagement tandis qu’il s’accroche pour me garder bien en ligne et ne rien perdre. Il gémit de plaisir, m’encourage de ses murmures, frémit. Enfin, dans un râle rauque, je m’encastre aussi loin que possible et décharge dans de violents spasmes. Aussitôt, Paolo se dégage et, arrachant ma capote me pompe la sève, me lèche la queue, aspirant mes dernières gouttes. Il se redresse, dévoile enfin sa petite bite recroquevillée, ses poils collés de foutre et éclate de son grand rire « toi, tou as une bonne bite » et il me galoche avant d’aller faire une toilette rapide, de se rhabiller puis de quitter la pièce avec un salut sonore.
Amical72
amical072@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :