Premier épisode | Épisode précédent
Dimanche, fin d’après-midi. J’ai envoyé un message à Zach pour stopper notre relation. Ce n’est qu’un plan cul, mais je l’aimais bien. Oui, mais voilà, j’ai un prince charmant qui semble vouloir du sérieux, je ne veux pas risquer de le perdre. Il passe avant.
Mon téléphone sonne, c’est Zach.
« salut mon Cali.
Ça va ?
Bon t’inquiète pas, je comprends tout à fait. Après tout c’est moi qui refuse du sérieux.
Ça te dirait de venir chez moi, histoire de s’amuser une dernière fois ? »
J’hésite. J’ai envie, mais aller dans la cité après la réputation qu’à dû me faire son pote… Il semble deviner mon malaise.
« mon frangin me doit un service, il passe te prendre et te ramène ce soir. Avec lui tu risques rien. »
Je finis par accepter et je me prépare. 19 h, j’attends devant mon immeuble.
Une BMW noire se gare devant moi et une fenêtre teintée s’ouvre.
« Cali ? Vas-y grimpe ! »
Je monte, il redémarre aussi sec.
Effectivement, je ne risque rien. C’est un colosse black tout en muscle.
Sa tête au crâne rasé me dit vaguement quelque chose. C’est lui qui répond à mes doutes.
« c’est bien toi. Je pensais pas que tu aimais les jeunes. Ya un paquet de gars qui vont être déçus au taf ! »
Je rougis instantanément.
Il pose sa main sur ma cuisse et me rassure : « je plaisante, je dirais rien… Mon frère m’a dit que tu rompais ? »
Moi : « oui, j’ai rencontré un mec, il veut du sérieux comme moi, continuer ça serait tromper les 2"
Il sourit.
Moi : « tu as bien dit que des gars seraient déçus au travail ? Déçu pourquoi ? »
Lui : « je ne sais pas pour tes collègues, mais chez les agents de sécu, tu as la côte. On est beaucoup à mater ton cul quand tu passes et à vouloir l’essayer. »
Je suis partagé : heureux de savoir que je plais à des mecs, mais gêné que ça se passe littéralement dans mon dos au travail.
On arrive.
On se gare, on rentre dans la barre d’immeuble et on monte.
J’arrive enfin dans l’appartement.
Zach se lève de devant la télé, me prend par la main et le tire dans le couloir.
On arrive dans sa chambre et il ferme la porte.
« Zach ! Je vais faire une course, je reviens. »
C’est son frère.
Moi : « une course le dimanche ? »
Zach : « laisse tomber, il va chercher sa beuh. »
Il me saisit par la taille et m’embrasse un long moment.
Zach : « même si t’étais qu’un plan cul… Un sacré cul… je t’aime beaucoup. Alors je voulais te montrer un peu mon univers… Et te baiser aussi… »
On rigole tous les 2.
Il m’attire contre lui tout en pressant mes fesses. Je ne tarde pas à lui caresser l’entrejambe.
Il ne porte qu’un short, je sens qu’il est déjà chaud. Je me baisse et décide de lui tailler une pipe d’enfer.
Sa queue prend rapidement du volume.
Il ne tient plus. Il me relève, me pousse sur le lit et tire mon jean et mon boxer.
Il m’écarte les cuisses et se pose sur moi.
Il saisit le lubrifiant, s’en badigeonne abondamment le sexe et me glisse juste un doigt.
Ses mains reviennent au niveau de ma tête et je sens son gland se glisser entre mes fesses.
D’une main je guide sa verge.
Il la rentre en entier et m’emprisonne dans ses bras.
Je lâche un long gémissement en sentant sa queue faire son passage.
Il m’embrasse tendrement puis commence une folle ruade.
Mes mains s’accrochent aux draps, griffent sa peau, je crie, mais il continue, il me mordille la peau, me serre dans ses bras, et tape son bassin de toutes ses forces sur mon cul à un rythme frénétique.
Il ralentit enfin et s’arrête, essoufflé. Son nez, duquel s’écoulent des gouttes de sueur, frôle le mien.
Je dandine mon cul pour lui faire comprendre que je vais bien. Il sourit et m’embrasse.
La douleur s’estompe alors qu’on reste immobiles. À présent, ma fleur lui est grande ouverte.
Il recommence plus lentement. Je me colle à lui, présentant mon cou à sa bouche et caressant ses hanches.
Ce moment plus tendre me fait rentrer en transe et je commence à gémir.
Il continue un petit moment à ce rythme puis accélère de nouveau, retrouvant le rythme du début.
Je crie de nouveau, mais uniquement de plaisir cette fois.
Je le sers fort dans mes bras alors qu’il balance ses hanches une dernière fois et que sa queue convulse au fond de moi.
Il s’immobilise, toujours en moi, et reprend son souffle.
Zach : « ton cul me manquera… Quand tu aimes, on peut y aller franchement. »
Il m’embrasse, sur la bouche puis dans le cou.
On reste là, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, à se câliner.
Sa queue, redevenue molle, finit par sortir d’elle-même.
On finit le câlin sous une bonne douche puis on va discuter un peu devant la télé avec son frère qui est revenu.
Minuit arrive, et telle Cendrillon, mon carrosse est avancé.
La BMW se gare devant mon immeuble.
Je m’apprête à sortir quand le grand frère me dit : « attends, j’ai quelque chose pour toi. »
Il me tend une enveloppe rose.
Je la renifle, c’est bien le parfum de mon prince charmant.
Je le regarde étonné.
Lui : « ouvre là ! »
J’ouvre et je lis à la lumière de la loupiote
***
Cher Cali.
J’ai appris que tu mettais fin à une relation que tu apprécies juste pour moi.
Ça me touche, mais je ne veux que le meilleur pour toi.
Tu peux donc continuer à voir ton amant comme bon te semble.
J’en profite pour te dire que vendredi prochain, à 18 h, je satisferai 2 autres de tes sens.
PS : Pense à remercier mon coursier privé.
***
Moi : « tu le connais ? »
Lui : « peut-être… »
Moi : « il est écrit que je dois te remercier ? »
Il ne répond pas, mais sort de son futal une belle bête.
Je comprends le message et me baisse vers lui.
Je prends cette verge épaisse en main et goûte le gland.
Il lâche un soupir au contact des lèvres.
Je le suce pendant une bonne demi-heure. Il lâche des grognements, sa queue a atteint une taille considérable, mais he commence à avoir mal à la mâchoire.
Ses mains viennent saisir ma tête et son bassin se soulève du siège.
Il me baise la bouche de plus en plus vite et lâche la sauce dans un rugissement bestial. La quantité est impressionnante, je suis presque dans l’obligation d’avaler.
Le jet se tarit. Je nettoie le grand et je m’excuse pour le sperme sur le siège.
Lui : « ne t’excuse pas, tu suces vraiment bien et j’avais les couilles pleines. »
Je me relève, il me caresse le visage.
Lui : « mon frère et ton prince, ils ont bien de la chance ! »
Je lui fais un clin d’œil et je sors.
Je rentre dans l’immeuble en reniflant ma lettre, pensif.
Mais qui est-il ?
Cali
li.cali@yahoo.com
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