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Saison 1 : Thomas - Chapitre 4
Le père et la belle-mère de Thomas étaient sortis ce dimanche. Ils comptaient acheter un nouveau canapé quitte à faire tous les magasins de la région. Penny proposa donc à son copain et son frère une sortie shopping en ville, il lui fallait de nouvelles bottes pour l’automne. Thomas déclina poliment.
Une fois les deux amoureux dehors il se précipita au deuxième. Il trouva leurs valisent dans un coin, ils ne les avaient qu’à moitié vidées. Le jeune homme mis rapidement la main sur ce qu’il cherchait, une grande enveloppe format A4 Craft. Il l’ouvrit et tomba sur une grosse liasse de photos. Il fit rapidement défiler celle de Dolph habillé, ou tee shirt relevé avec abdo saillant pour mettre la main sur celles tant attendues. Y en avait une dizaine.
Sans prendre le temps de les regarder, il retourna dans sa chambre avec les précieuses images sous le bras. Il se déshabilla entièrement, sa verge en demi molle pendant sur ses couilles qui commençaient à pulser. Il se mis en tailleur adossé à la sa tête de lit et éparpilla les photos devant lui.
Dee ne montrait jamais son pénis sur les photos, Thomas fut déçu, mais ses fesses bombées y avaient une part prédominante. Une des images attira fortement son attention. Dee était assis sur une chaise, le torse contre le dossier et le cul cambré. La photo avait été prise de ¾ et la posture écartait un peu trop la raie du jeune homme dévoilant presque son intimité. Le cul de Dee était sublime aux yeux de Thomas, un léger duvet blond dessus, quelque grain de beauté et la forme la plus arrondi qu’il eut jamais vu. La bite se dressa doucement face cette vision de rêve.
Il s’attarda sur une autre, de face cette fois. Les muscles de Dee y étaient très bandés, il voyait ses pecs bien formés ornés d’une faible pilosité sur le dessus et surtout ses tétons y était dressés et plus foncés que dans le souvenir du jeune homme. Mais surtout il remarqua des abdos très saillant sous lesquel une fine toison se dirigeait vers son pubis et son entre jambe. D’une main Dolph cachait son paquet mais la base poilue de sa bite était visible. Cette image finie de faire bander Thomas. Il se dit qu’il était temps de se faire plaisir.
— Bah alors Thomas tu fous quoi ?
Le garçon venait d’être surpris bite à la main par l’homme dont il matait les photos. Thomas était pétrifié, sa vie était fichue. « Pourquoi Dee était là ? Il devait être avec Penny ! Était-elle là elle aussi ? » pensa-t-il.
— Elle est parti en course toute seule finalement, répondit Dolph comme s’il lisait les pensées de Thomas. Je préférai rester tranquille peinard, je vois que je n’étais pas le seul.
Thomas avait lâcher sa queue, elle avait débandé instantanément. Il tentait de se cacher avec ses bras et en remontant ses jambes. Il n’osait pas regarder le petit ami de sa sœur. Il ne se rendit pas compte tout de suite que ce dernier avait fermé la porte.
Dolph alla s’assoir dans le gros fauteuil confortable en face du lit, fauteuil qu’utilisait Thomas pour lire.
— Tu n’as rien à me raconter ? demanda Dee.
Thomas, au bord des larmes, ne tient plus et lui dit tout. Dolph lui demanda de lui envoyer les notes qu’avait pris le jeune homme à son sujet, afin de les lire. Thomas obtempéra, il ne pouvait plus rien lui refuser à ce stade. Dee commença à les lire alors que le garçon nu était recroquevillé dans son lit.
— Je vois, dit-il une fois sa lecture terminée. Bon et si tu finissais ce que tu avais commencé ?
Thomas était sous le choc, avait-il bien entendu ? Dee lui demandait de finir de se toucher ?
— Aller dépêche-toi, mate les photos si ça t’aide.
le jeune homme était pétrifié, Dee ne semblait pas avoir envie de bouger, il comptait le regarder ?
— Si tu ne le fais pas je vais devoir tout raconter tu sais ? Et montrer ce que tu m’as envoyé …
Dolph cherchait à le manipuler, il en avait conscience mais qu’elle autre solution avait-il ? Et puis au fond de lui il se demandait s’il n’en avait pas envie.
Thomas commença à écarter les jambes, il reporta son regard sur les photos, c’était plus facile que d’affronter celui de Dee. Sa bite commença à se redresser, lentement. Il se toucha là où il aimait ça, ses tétons, son pubis ses couilles. Il se retient de gémir, il ne voulait pas que Dolph entende un bruit aussi intime. Il ne voulait pas, malgré sa nudité et son plaisir, paraitre encore plus vulnérable.
Sa bite mole pendait sur ses couilles, Dee avait une belle vue dessus mais Thomas continuait de regarder les photos. Il agrippa sa verge et commença le mouvement de va et vient. Son érection fut maximale et son gland gonflé exposé. Thomas alla vite délaissant ses techniques habituelles pour maximiser son plaisir. Il voulait juste que ça se termine. Il accéléra, de plus en plus vite, sa main claquait sur son pubis et le haut de ses couilles en un bruit mat. Il tirait légèrement ses burnes de l’autre main vers le bas. Il commença à se cambrer ça allait venir.
— Regarde-moi, lui ordonna Dolph.
Thomas obéit et plongea ses yeux bleus dans les siens. Dee ne le jugeait pas au contraire, il comprit que l’Apollon lui offrait un cadeau. Il décida alors qu’il pouvait s’ouvrir à lui, être totalement vulnérable car il ne lui ferait jamais rien.
Thomas commença donc à gémir, fort, très fort car le plaisir venait. Il se mit même à lui parler.
— Dolph je sens que ça vient, c’est bon, c’est trop bon
— Continue laisse tout sortir, lui dit-il.
— C’est tellement bon
— Je sais, vas-y montre-moi comment tu jouis, répondit Dolph.
— Ouiii Dolph je vais jouir regarde-moi jouir, regarde ma queue.
— Je la regarde, elle est énorme Thomas, tu as vraiment une belle bite
— J’adore que tu me parles comme ça Dee, je vais jouir pour toi !!
— Donne-moi tout, je veux que ton sperme gicle pour moi laisse le sortir, laisse ton orgasme pour moi venir
— Je viens, ouiiiiiii, JE VIENS JE GICLE !!!
Le sperme sorti en quatre grosses rasades sur le torse de Thomas toujours assis en tailleurs. Il n’avait pas quitté des yeux Dee alors que ce dernier fixait sa queue. Quand ke jeune homme eu fini d’écraser son pubis du poignet Dolph lui dit :
— goute ton sperme, imagine que c’est le mien.
Thomas lui obéit, avec l’index et le majeur il ramasse le jus crémeux qui avait atteint son téton droit et le porta à sa bouche.
Dolph se leva, Thomas cru discerner une érection dans son jean. L’Appolon ramassa les photos et s’apprêtait à sortir de la chambre quand il dit :
— Ne t’inquiète pas ça restera toujours entre nous. Mais à partir de maintenant ne ferme plus ta porte les nuits où je suis là et surtout tu devras dormir à poil.
Sur ces paroles il quitta sa chambre.
Nei
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