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Chapitre 3
Ce fut une bonne douche qui nous attendait. Alors que le soleil diminuait on se dirigea vers la maison.
Je découvris une cuisine spacieuse ouverte sur un séjour au canapé confortable. Leo me prit par la main et m’amena jusqu’à la grande douche à l’italienne dans la salle de bain. Il fit couler l’eau et se lova contre mon corps plaçant ma tête dans son cou. On resta ainsi de longues minutes, l’eau ruisselant le long de nos dos, entre nos fesses avant de se savonner. Ce fut l’occasion de se toucher davantage le corps de l’un l’autre. Ses mains caressèrent mes bras, testant la fermeté de mes muscles avant de venir sous mes aisselles et dans mon dos. Je lui administrais le même traitement avant de descendre vers son sexe au repos que j’admirai. Ses couilles étaient toujours aussi grosses et gonflés et sa queue qui reposait dessus restait bien large. Je la décalottais pour la nettoyer. Avant de descendre en dessous glissant ma main entre ses jambes pour remonter mes doigts entre ses fesses rebondies. Il gémit un peu mais me laissa le caresser ici avant de m’offrir la même chose. Ça faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas caressé l’anus de ses doigts humides, je pris le temps d’en profiter un maximum.
Une fois rincé et sorti de la salle de bain on choisit de ne plus mettre de vêtements pendant tout le reste de mon séjour, hormis en cas de sortie.
Il me montra sa chambre pour que j’y dépose mes affaires. Elle sentait bon, la même odeur que son parfum, un chanel je crois, et j’y trouvais beaucoup de plantes. Un grand lit au centre, un lit aux draps immaculés qui ne le resteraient pas très longtemps.
Je le retrouvais affairé dans la cuisine, il me tournait le dos me laissant voir son magnifique cul bouger en cadence avec ses mouvements pendant qu’il préparait le repas. Je proposais de l’aider mais il préférait finir seul.
Je m’allongeais dans le canapé continuant à le mater de loin. Quand il eut fini de nous préparer ses patatas bravas il me rejoint sur le canapé et posa le plat sur la table basse. Il remarqua alors mon érection.
— Mange ça va refroidir, me dit-il après m’avoir fait une bise sur le gland.
— A vos ordre Capitaine large queue !
Je ne sais pas ce qui m’avait pris de lui dire ça, mais ça le fit rire.
Le plat était délicieux, mais je remarquais vite à la vitesse à laquelle on l’engloutissait qu’on avait envie d’entre chose tous les deux ! Alors que nos assiettes étaient vides je m’attendais à le voir me sauter dessus mais il n’en fut rien. Il se dirigea vers la cuisine, la queue en demi-molle, et se mit à faire le dessert : une crème catalane.
Je saisi le moment en prétextant devoir passer un coup de fil à mes parents pour me faire une toilette plus intime que la précédente.
Quand je revins dans le salon il venait de poser les assiettes sur la table basse. Alors qu’il s’apprêtait à manger la sienne je pris sa coupelle, m’allongeais et posais la crème sur mon ventre.
Il sourit de toutes ses dents et d’un coup sa bouche se mis à aller et venir pour déguster la crème alors que d’une main il me caressait la poitrine et de l’autre il commençait à me toucher la bite. Une fois sa crème engloutie je pris la mienne et la dégustais alors qu’il commença à mettre ma bite dans sa bouche.
Je ne pris même pas le temps de finir mon assiette qu’il m’entraina dans sa chambre.
Je me retrouvais allonger sur le ventre, les jambes écartées. Je compris que Leo avait deviné ce que j’étais aller faire pendant qu’il préparait le dessert.
Je savais qu’il avait une vue imprenable sur mon intimité, cette situation m’excitait au plus haut point. Je voulais de nouveau me sentir dominé par un homme, par cet homme. Sa langue se posa sous mes couilles et remonta lentement jusqu’à mon anus. Je savourais chaque seconde. J’eu droit à un véritable baiser, toute mon entrée s’en retrouva mouillée et sa langue commença à se frayer un chemin. Je le sentais me distendre avec sa bouche et je gémissais comme lors de ma première fois. C’était si bon de redécouvrir le plaisir anal que me procurait cette langue qui ressemblait davantage à un tentacule de chair humide se frayant un chemin en moi.
J’en voulais plus, toujours sur le ventre je plaquais une main sur sa tête pour qu’il aille plus loin.
— Oui Leo vas-y, bouffe-moi le cul, j’en ai tellement besoin.
Il finit par atteindre ses limites avec cette langue et recula sa tête pour me pénétrer d’un doigt, puis de deux. C’était si libérateur de les sentir se frayer un chemin toujours plus loin dans mes boyaux jusqu’à ce qu’ils viennent appuyer sur …
— Oui là, c’est ça, c’est bon CONTINUE.
Il me retourna et m’embrassa. Sa langue tournant cette fois-ci dans ma bouche.
— Je voulais te voir en face.
Je lui offris le spectacle de sa vie. Alors qu’il me pénétra d’un troisième doigt mon corps se cambra et de la sueur commençait à apparaitre. Mes muscles étaient bandés, mes tétons droits et durs et ma bite pointée honteusement vers le plafond le gland encore recouvert.
Je remarquais alors sa bite, elle me semblait encore plus grosse qu’avant. Mon dieu ce qu’elle était large, en avais-je vraiment envie ? Oui bien sûr, j’en avais même besoin.
— Leo, baise-moi.
Trois petits mots. Il n’en fallait pas plus.
Il attrapa le tube de lubrifiant dans sa table de nuit et en tartina son membre. Juste quelques gouttes pour ne pas gâcher le plaisir. Il me retourna de nouveau et releva mon cul le plus haut possible.
— Ton cul est sublime Carly, j’en ai envie depuis des heures. Même ici tu es musclé.
— Prends-moi Leo, ne me fait pas attendre.
— Je vais commencer par derrière, ne m’en veux pas je sais que tu veux me voir en face mais c’est le mieux pour aller tout au fond, je veux y être en entier.
— Tout ce que tu veux vas-y.
Je ne m’étais pas du tout attendu à être aussi chienne, mais savoir ce garçon dans mon dos, au-dessus de moi à observer mon cul, lieu de mon plaisir à venir, j’avais envie qu’on se serve de moi.
Il frotta son gland gonflé sur mon anneau, c’était humide, dur et chaud. Je reculais un peu pour lui montrer qu’il pouvait y aller. Il força en gémissant, j’aimais l’entendre prendre du plaisir, j’étais persuadé que le voir me baiser me ferai jouir à coup sûr. Son extrémité rentra, ce qui m’arracha un cri de douleur, d’exquise douleur. Il le retira et recommença, je devinai qu’il aimait la sensation que je procurai à son frein avec mon cul. La troisième fois, ne tenant plus et voulant qu’il me stimule la prostate, je reculais avec conviction vers sa bite. La moitié s’en retrouva en moi, il gémissait de plaisir et je criai de bonheur. On y était son gland gonflé et lubrique appuyait là où il fallait.
Il me cambra le corps, relevant mon cul en l’air. Il se tient accroupis au-dessus de moi et fit rentrer la seconde moitié de sa bite. Jamais une queue aussi grosse n’avait pénétré mes entrailles. Il avait agrippé mes hanches et cherchai encore à pousser comme pour atteindre un endroit inaccessible. Se faisant il appuyait encore et encore avec sa verge prit de petits mouvements saccadés sur ma prostate. Le plaisir était immense, je hurlais alors que la base de sa queue, plus large m’écartait l’anus. Il appuyait de plus en plus fort son bassin contre mon cul. Je devinais qu’il se faisait du bien avec son pubis. Ses couilles étaient alors posées au-dessous des miennes.
Toujours sur moi alors que je bavais sur le matelas de plaisir, il se retira lentement pour me permettre de sentir toute sa longueur s’extirper de mon intimité, frottant sur cette zone gonflée qui se trouve en moi. Un très long gémissement de plaisir se fit entendre de notre part à tous les deux. Une fois dehors il remit sa grosse queue en moi. Cette fois il ne prit pas de gants et me pénétra avec force et vitesse. Je n’eus pas le temps de crier qu’il était déjà au fond et s’apprêtait à ressortir.
Le mouvement immémorial commença, il me baisait proprement allant au fond des choses pour écraser son pubis. Il me releva un peu, me matant à quatre pattes en face de sa virilité de minet blond et me baisa en levrette. Il agrippa mon bassin alors qu’il écrasait le sien contre mon cul musclé. Le bruit que ça faisait me rendait fou, mais pas autant que de sentir ce long sexe m’écarté d’avantage l’anus à chaque voyage, faisant chauffer mon organe interne du plaisir.
En levrette ma bite s’en retrouva libérée, mais elle ne pendait pas, le plaisir que je ressentais la bandait tellement qu’elle était totalement relevée et plaquée contre mon ventre. Je n’avais aucune envie de la toucher, il me faisait suffisamment jouir du cul pour que je puisse délaisser ma queue.
Au bout d’un moment il m’attrapa l’épaule et remontant mon torse contre le sien. Etant plus grand sa bouche m’arrivait au niveau de l’oreille. Il commença par me pincer violemment un téton. Je me mis à crier.
— Tu ne criais plus assez, tu t’habitues trop à ma bite, je devais trouver un autre moyen.
L’enfoiré. Mais j’adorai ça.
— Vas-y fais-moi crier.
Fini les caresses, il profita de nouveau de mon torse non plus avec douceur mais avec hargne. Il m’agrippa les pectoraux, me griffa les hanches, me serra le coup et me gifla le cul. Tout était bon pour me faire mal, me faire crier. Sa bite elle, toujours gonflée, continuait ses vas et vient, plus courts dans cette position.
Une de ses mains finit par descendre vers ma queue. Il la coinça d’abord entre mon pubis et la base de ma bite avant de l’empoignée.
— On dirai du bois, je n’ai jamais toucher une bite aussi dure … et chaude.
Il tira par la base mon prépuce vers le bas. Dévoilant un gland immense, gonflé et palpitant.
Je jouis.
Pas une véritable jouissance, non une jouissance molle, mécanique d’être sollicité non-stop depuis bientôt 15 min, toujours au bord de l’orgasme. Je ne pus avoir de véritable jouissance par ma bite, vu son absence dans mon esprit, seul mon cul comptait. Malgré ça, sans éprouver plus de plaisir que je n’en avais déjà avec sa verge en moi, du sperme sortit de ma bite, un réflexe. Ce ne fut pas une grosse giclée, non, le sperme coula lentement hors de mon gland sur sa main qu’il porta à nos lèvres.
Ce fut l’élément déclencheur. Il me retourna en s’enlevant de moi. Je ressenti un grand vide, un vide qu’il fallait combler, maintenant.
— Dépêche-toi, viiiite.
J’étais devenu accro à sa queue, j’en avais besoin.
Juste avant qu’il me la remette je la vis pour la première fois depuis qu’on avait commencé. Elle semblait encore plus grosse mais surtout je remarquais qu’une veine était apparue sur toute la longueur.
Il remonta mes jambes. Je les maintins en serrant mes chevilles avec mes mains. J’étais totalement à sa merci, mon cul écartelé.
— Baise moi.
— Pas besoin de me le demander.
Il rentra en moi avec violence et n’arrêta pas son mouvement qui se faisait maintenant d’un rythme très soutenu. Je détaillais son corps. Là où jadis on ne distinguait que ses abdos, ces derniers s’étaient creusés davantage. Les muscles de ses bras ressortaient et ses tétons foncés étaient dressés. Mais ce fut son visage qui me retourna. Sa bouche entrouverte, des rides de front, des grosses gouttes de sueur sur les tempes, ses beaux cheveux bond entièrement détrempés et enfin ses yeux implorant un orgasme à venir. Yeux fixés dans les miens.
— Carly je vais jouir, je vais jouir bientôt.
— T’arrête pas Leo, rempli moi !!!
Son souffle s’accéléra et ses abdos ne cessaient de pulser en rythme avec son corps tout entier. Il remonta légèrement son bassin, à la fois pour écraser son pubis contre mon cul mais aussi accentuer la pression sur ma prostate.
Ce fut littéralement orgasmique. Je me mis à hurler de plaisir.
— OUI TU ME FAIS JOUIR ! ENCOOOOORE !
Ça dura une bonne minute, je jouis pendant une minute de mon cul. J’avais le cul trempé, j’en voulais encore et je fus servi. C’est à ce moment que le sperme se mis à couler de ma bite, avec une minute de retard, mais toujours lentement. Ça m’avait fait resserrer mon sphincter, pour son plus grand plaisir.
Il accéléra le rythme c’était son tour.
— Ca va venir Carly, c’est bon, je viens.
— Sert-toi de moi.
Il s’enfonça plus loin, il devait aller plus loin pour jouir et accentuer son orgasme.
Ses couilles remontèrent et devinrent fermes au moment où il cria.
— PUTAIN OUI JE VAIS GICLER, AAAAAH PUTAIN C’EST BON.
Son visage était un masque de plaisir, mais il ne me lâchait pas des yeux.
Je sentis son sperme chaud inonder mon cul. Au même moment le mien arrêta de couler, mon gland nageait déjà dans une petite flaque visqueuse.
Leo se cala bien au fond alors que sa bite continuait de se déverser.
— OUIII ENCORE
Quand la dernière goutte fut sortie, il se retira lentement, ce qui me procura un soubresaut. Il s’en rendit compte et commença à branler ma bite alors que la sienne venait de sortir.
— Qu’est-ce que tu fais, j’ai déjà joui ?!!! lui demandai-je apeuré.
— Tu as jouis du cul, maintenant que ce côté est assouvi il fait s’occuper de celui-là.
En trois aller-retour j’eu droit à mon orgasme. Cette fois le sperme gicla trois fois en plein dans son visage.
Je me cambrai et m’abandonna à ce dernier plaisir. Il me lécha tendrement le gland pour me le nettoyer et faire durer la dernière vague avant de s’écrouler sur moi.
On était à bout de souffle. Sa bite reposait juste sous mon cul alors que son sperme en sortait doucement. Il avait dû m’en mettre au moins six bonnes giclées. Il mit une de ses jambes flageolantes entre les deux siennes. Sa tête reposant sur mon torse.
On s’endormi comme ça, totalement souillé, en sueur, recouvert de foutre, mais heureux et comblés.
Nei
ienien95@outlook.com
Hey j’espère que ce troisième chapitre de cette histoire très personnelles vous a excitée !
N’hésitez pas à me faire un retour !
Des bisousss partout,
Nei
Twitter @NeiKacey
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