L’espagnol

Chapitre 4

Le froid de la nuit nous réveilla. On se débarbouilla rapidement avant de nous refugier l’un contre l’autre sous le drap.

Je sombrais dans un rêve chaud, humide qui m’entourait de sa molle présence. C’était un rêve d’orgasme désincarné. Au fur et à mesure que le plaisir montait je me mis à émerger pour découvrir une touffe blonde entre mes cuisses affairées sur mon sexe.

Ses lèvres gonflées tournaient autour du col de ma bite, sa langue s’amusant de mon gland toujours à moitié couvert. Il me regarda dans les yeux et je jouis sur cette langue gigantesque. Après tous nos plaisirs de la veille il n’y eu pas beaucoup de jus. Il s’en contenta et nettoya correctement du bout de sa langue l’extrémité de mon gland.

Il remonta son visage vers moi et m’embrassa avec mon propre sperme.

— Bonjour toi !

— Bonjour toi, que me vaut ce plaisir,

— J’étais réveillé et cette belle queue pulsait toute seule dans son coin … il fallait faire quelque chose …

— Le genre de chose dont ta bite a besoin aussi ?

— Peut être. Dit-il d’un air sournois.

Son bassin atteint le niveau de mon visage dévoila sa belle queue lisse durcie par le plaisir à venir. La veine que j’avais cru voir la veille avait disparu.

Je saisi ses couilles d’une main les tirant vers le bas pour le décalotter. D’une autre main je vins caresser l’anneau de chair se trouvant au milieu de son cul. Enfin mes lèvres se refermèrent sur son gland. J’en savourais le gout et la chaleur. Ma langue frottant son frein.

Ses abdos commencèrent à se contracter et je sentais du jus qui pulsait hors de ses couilles. Je me dis que c’était l’occasion d’essayer, je glissais doucement un doigt dans son anus, pour lui appuyer la prostate. L’effet ne se fit pas atteindre, trois giclés de sperme atterrir au fond de ma gorge alors qu’il gémissait de plaisir les mains sur ma tête et les doigts de pieds recroquevillés de chaque côté de mon corps.

Il se laissa retomber en arrière, sa queue ramollissant sur mon torse y déposant quelques gouttes blanches.

— On a aimé ça alors ?!! Il faudra que j’y mette quelque chose de plus gros la prochaine fois.

— Quand tu veux !

Le reste de la journée fut composé de séance de bronzage, chahutage à poil dans l’eau et séances de cuisine à deux.

Chacun fini par prendre une bonne douche à la fin de la journée, il était plus que nécessaire de se laver.

Je remarquais que la douche de Leo pris plus de temps, était possible qu’il veuille de moi dès ce soir ?

Il finit par sortir de la salle de bain l’air de rien, sa belle queue se balançant sur ses couilles définitivement de nouveau bien pleines.

Il commença à s’affairer en cuisine, dandinant son beau cul bien rebondi en face de moi.

Le menu de ce soir était simple, une bonne salade de tomate et de la glace. C’est seulement à la fin que je remarquais une touche de violet, au milieu de ce cul si parfait.

Je me levais, alla me mettre derrière lui et commença à l’embrasser dans le cou. Il se laissa faire alors qu’il versait la vinaigrette dans la salade. Mes mains commencèrent à se balader sur son torse, caressant ses tétons encore plats, ses beaux abdos ou encore son pubis imberbe.

Je fini par glisser une main jusqu’à son cul, le palpant tout en écrasant mon pubis dessus. J’adorai son côté rebondis et mou. Enfin je m’égarais entre ces deux belles fesses pour y trouver … l’extrémité d’un plug violet.

— C’est quoi ça ? lui demandais-je curieux.

— ça ? ce n’est rien, c’est juste pour me faire un peu de bien.

Alors qu’il me disait ça je sentais son cul se contracter, se resserrer autour du plug pour en accentuer l’effet.

— Ce n’est pas mon travail ça normalement ? Te faire du bien ?

— Si, tout à fait, mais tu es si long que j’ai préféré prendre une assurance. Et puis, ne me dis pas que ça ne t’excite pas ?

Au même moment sa main se referma sur ma bite déjà bien raide. Il la masturba lentement.

— La salade est prête on remet ça à tout à l’heure ?

— Tu rêves mon beau, je vais te baiser maintenant sur le plan de travail.

A ce moment je retirais le plug de son cul, ce qui lui arracha un cri. Je le penchai en avant allongeant son torse sur le bois de la cuisine et découvris son trou légèrement ouvert lui aussi bruni par le soleil. C’était entièrement lubrifié, il avait dû en mettre la dose. Je me demandais si je pouvais directement rentrer dedans ? Mais voyant son cul, ainsi ouvert je n’eus qu’une envie essayer.

Mon gland élargi son orifice triplant le diamètre de son trou. Un son brut, étouffé sorti de sa gorge. Il voulut se relever mais je maintenant son cou sur le plan de travail avec ma main. C’était agréable et chaud. Je forçais alors pour lui en mettre plus. Je senti toute l’extrémité de ma queue frotter son intérieur brulant alors que ma peau partait en arrière. Il était très serré malgré le plug il allait me décalotter. Je reparti en arrière le faisant gémir. Il sera le cul il voulait me garder en lui, c’était exquis.

Le mouvement de va et vient commença sur la première moitié de ma bite, je la voyais disparaitre en lui et en ressortir. De son côté il bavait de plaisir sur le bois.

Chaque mouvement me faisait aller plus loin que le précédent me rapprochant du moment fatidique.

— Je vais me décalotter.

— Vas-yyy je veux sentir ton gros gland au fond de moi.

Arriver au bout, toute ma queue en lui jusqu’aux couilles je forçais pour aller plus loin et ce fut le déclic. La peau de ma bite se retroussa et mon frein frotta en entier en lui.

— AAAAH oui c’est bon.

— Vas-y bébé, baise-moi à fond.

Maintenant je pouvais y aller, je savais que je ne durai pas longtemps alors autant en profiter.

Je fis claquer son cul avec mon bassin pendant 5 minute entière. On entendait plus que les bruits humides de sueur des claquements ainsi que ses cris. C’était bestiale, c’était ce que je voulais.

Je vis son bras gauche s’agiter sous son corps, il se branlait énergiquement en même temps que je l’élargissais. Il ne tiendrait pas longtemps, moi j’allais bientôt jouir.

— Encore un peu Carlyyyy

— J’ai la bite en feu je vais gicler !

— Vas-y comme ça OUIIII

— CA VIENT

Il sera le cul encore plus fort ce qui me fit jouir. Un flot de sperme se déversa en lui. Je fis sortir ma bite et envoya les deux dernières giclées sur son dos.

Alors que j’admirai mon jus couler sur ses couilles bien fermes et son cul recouvert par mon sperme, je remarquais alors sa bite, raide et la flaque qui se trouvait en dessous. Il en avait rependu un gros paquet. Sa queue semblait encore prise de quelque spasme de plaisir. Je me mis en dessous et pris son gland en bouche.

— Hum ouiiii Carly

Il gémit tout le temps que je lui nettoyais consciencieusement la bite caressant ses belles couilles lisses, accueillant les dernières gouttes encore présentes dans ses boules.

Il me tomba dans les bras. On resta ainsi quelques minutes à s’embrasser avant de prendre notre repas et profiter une dernière fois avant de nous coucher de la piscine.

On ne pouvait s’endormir sans jouir de nouveau.

Ce fut très simple, on était côte à côte dans le lit chacun branlant l’autre. Il prit beaucoup de plaisir à saisir ma bite, il remarque que même à deux mains l’une au-dessus mon gland gonflé dépassait de mon côté je n’arrivais pas à en faire le tour avec une main.

A la fin on s’était légèrement tourné l’un vers l’autre. Nos spermes se répandirent en même temps. Le sien trois petites giclés directement sur mon torse. Le mien 2 grosses giclés jusque sur son cou. On s’était embrassé tout du long sauf à la fin où on laissa nos cris de jouissance s’exprimer.

On finit par s’endormir en cuillère, sa bite coincer entre mes fesses et la mienne dans sa main …