Premier épisode | Épisode précédent
Tout dans cette histoire est réel. A l'écrire je suis encore tout excité.
Après plusieurs mois d'attente, enfin tu as pu te libérer et venir me voir chez moi. Depuis que j'ai eu la nouvelle, les fantasmes se sont enchainés, entre l'envie de te caresser, de te sucer, te branler, mais aussi de te baiser la bouche, te prendre, entendre tes gémissements quand je t'encules, sentir ta queue dans mon cul, doucement puis vivement, être dominant ou salope, les envies vont et viennent sans arrêt. Tout ce que nous avons déjà vécu ensemble, toutes nos baises en tant qu'actif ou passif m'excitent !! La seule chose sure, c'est que je veux te sucer et gouter à nouveau ton foutre.
Sucer une queue est devenu un besoin, depuis mes 14 ans, et la première fois que j'ai eu le plaisir de gouter un sexe, cette sensation est ce que je connais de meilleur niveau sexuel, même si le plaisir avec une femme est très grand. Sentir une queue bien dure dans ma bouche, entendre le souffle du sucé et ses gémissements, fermer les yeux et savoir que c'est moi qui dicte le plaisir de l'autre, c'est incomparable !!! Je sais qu'aujourd'hui je vais avoir 18cm de chair à disposition pour assouvir ce besoin, mais comme le stress est toujours là quand je te reçois chez moi, on ne pourra pas aller dans mon lit, mais seulement dans mon bureau, sur mon canapé. Pourtant, j'ai envie de m'allonger nu dans ce grand lit, toi nu à mes côtés et de recréer ces scènes de mon adolescence quand, allongés nus dans mon lit avec mon ami d'enfance, nous nous branlions mutuellement avant que je ne succombe à l'envie pressante de descendre vers ce gland. J'y allais doucement, comme si j'hésitais, sachant que mon ami n'assumait pas ces pratiques homosexuelles. C'est donc avec une fausse hésitation mais une vraie envie de devenir sa chose, que je posais ma tête sur son ventre et commençais à lécher doucement son gland, en tournant ma langue autour, le branlant lentement en même temps. Puis quand son souffle devenait assez fort, je descendais et embouchais cette belle queue. Je suçais alors avec plus de vigueur ce vit dur, le prenant entièrement en bouche, le gardant ainsi quelques secondes, puis le libérais en écoutant le gémissement retenu de mon pote, nous sachant à chaque fois entouré d'amis dans les chambres environnantes mais assez en confiance pour savoir que personne ne se relèverait et ne nous surprendrait. Je léchais alors à nouveau le gland, puis replongeais pour reprendre son sexe dans ma bouche. J'adorais le sucer et voir ses pieds qui bougeaient de plus en plus à mesure que la jouissance approchait. Quand vraiment l'excitation était forte pour lui, il me caressait le dos puis les fesses tandis que je le pompais. De rares fois, ses doigts se sont aventurés dans ma raie, sur mon trou, mais ses caresses, sa main allant et venant sur mon corps, renforçaient mon plaisir. Les premières fois, je remontais avant sa jouissance pour le branler mais l'expérience nous appris à tous les 2 que, même s'il ne l'a jamais avoué, il adorait jouir dans ma bouche autant que je kiffais recevoir son foutre. Même si sa première réaction était de faire le mec un peu dégouté. Nous étions puceaux à l'époque, et pour lui il était anormal de faire avec un homme ce qu'il n'avait jamais pu faire avec une femme. Moi je m'en foutais. Le plus bandant a été la fois ou je l'ai longuement sucé nu dans le lit, ses doigts allant et venant dans ma raie et que j'ai réussi à le garder en bouche après l'éjaculation, tétant doucement ce gland devenu sensible et malgré ses "plaintes" il n'a pas essayé de se retirer. Je l'ai alors senti débander tandis que je continuais ma tétée. Ses mains qui avaient quitté mon corps sont revenues caresser mes fesses tandis que son sexe retrouvait peu à peu de la vigueur. Encore mou, je pus le prendre entier dans la bouche et faire aller et venir ma langue dessus. Pour une des premières fois, je l'entendis murmurer que c'était bon. Ses doigts se sont activés sur mon trou tandis que je suçais tendrement son sexe à nouveau dur. Je rêvais de lui demander de me doigter, de me baiser, mais je savais d’expérience que tout cela pouvait couper ses envies, et je ne pouvait pas prendre ce risque maintenant !! Pourtant son doigt s'arrêta plusieurs fois sur mon trou, appliquant un petite pression. Je sortais sa queue de ma bouche pour lui murmurer :
- mmm, c'est bon
- tu aimes ?
- oui
Je reprenais ma succion mais sa main avait quitté mes fesses, puis son doigt se posa à nouveau sur mon trou, mais cette fois bien humide. Plusieurs fois, il lécha ses doigts pour les passer dans ma raie et s'attardait à faire des cercles autour de mon trou. Je perdais la tête et le suppliais presque de m'en mettre un. Mais il semblait hésiter, surement tiraillé entre son envie et sa retenue devant une pratique homo. Pour la première fois il posa son autre main sur ma tête, non pas pour me caresser les autres fois, mais pour la maintenir tandis qu'il entreprit de me baiser la bouche. Il donnait de grands coups de rein, et pour la première et unique fois, j'ai senti qu'il avait lâché un peu pour laisser aller ses envies. Il me baisait donc la bouche, mais sans violence et a rapidement compris que je ne me retirerais pas. Il tendit ses bras pour écarter mes fesses tout en continuant à me besogner la bouche, les pétrissant, passant ses doigts sur mon trou. Je bougeais et me mettais à 4 pattes, toujours son sexe dans la bouche mais tendant mon cul vers lui. Enfin son doigt entra avec une facilité déconcertante, j'étais ouvert comme rarement. Il cessa ses coups de rein et je pris le relais pour le sucer avec vigueur tandis que son doigt allait et venait de plus en plus rapidement. Un deuxième entra ensuite dans mon cul. Je lui demandais de me baiser mais il me dit que non. Ses doigts s'arrêtèrent et je crus que tout était terminé. Mais tandis que je repris sa queue en bouche, il repris son doigtage, son autre main attrapant mon sexe pour le branler, puis caressant mes couilles, écartant à nouveau mes fesses. Déjà qu'il était endurant, mais la jouissance précédente permit de prolonger temps jet je pus le sucer avidement pendant que ses doigts me baisaient. Quand il me branla à nouveau, je l'avertis que je n'allais pas tenir longtemps, il se décala, fit passer ma jambe par dessus lui pour nous mettre en 69. Je lâchais sa queue et regardais entre mes jambes devinant dans la pénombre son regard hypnotisé par ses doigts dans mon cul, sa main accélérant le rythme. Je replongeais sur sa queue, ma succion rapide aidée par ma main et je buvais une seconde fois son foutre tandis que lui me faisait éjaculer sur son torse. Ma jouissance avait été énorme et j'avais eu du mal à ne pas hurler, bien aidé il est vrai par le fait d'avoir la bouche bien pleine. Je me redressais un peu mais je sentis que ses doigts n'avaient pas cessé de bouger en moi et en tournant le visage vers lui je le vis regarder mon cul travaillé par ses doigts, et à ma grande surprise, un troisième doigt vint se frayer un chemin et le rythme de doigtage s'accentua encore. Je n'avais pas débandé malgré mon éjaculation et j'avais du mal à contenir mes gémissements. Nos regards se croisèrent et je vis dans ses yeux que son excitation n'était pas retombée, et ce soupçon de violence qu'ont certains mecs quand ils dominent ou qu'ils savent que c'est eux qui dictent le plaisir de l'autre. Je soutenais son regard, mordant ma lèvre inférieure, lui ayant un petit rictus de satisfaction. Il pouvait faire ce qu'il voulait de moi et le savait. Je profitais de longues minutes de ses doigts, bandant à nouveau. Il reprit ma queue et me branla, tout en murmurant :
- t'es un peu salope hein ? tu aimes ça
- j'adore, si tu veux remplacer tes doigts par ta queue, c'est quand tu veux
- non, suce moi !
- toi aussi, suce moi
Je me penchais à nouveau et repris sa queue à demie molle en bouche, je la voulais dans mon cul, je voulais qu'il me baise. Soudain je sentis la langue sur mes couilles, puis le long de ma queue jusqu'à mon gland. Il la lécha plusieurs fois ainsi sa langue remontant jusqu'à mon anus. Sa queue était à nouveau opérationnelle, me remplissant bien la bouche, j'imaginais que ses doigts étaient sa bite et je perdais la tête devant tant de plaisir. Je n'en pouvais plus et l'avertis que j'allais venir une seconde fois, il accéléra le rythme et mon jus gicla à nouveau sur son torse. Il retira ses doigts, et me dit qu'il ne jouirait pas une troisième fois et tout s'arrêta brutalement. Nous n'avons jamais été plus loin même si je l'ai sucé et avalé lors de nombreuses soirées après.
Tous ces souvenirs m'excitent encore aujourd'hui, mais c'est avec toi que je vais passer du bon temps. Tu arrives chez moi, tu sonnes et je t'emmène dans mon bureau. Je te demande de t'assoir sur le canapé et directement je m'agenouille entre tes jambes. Je passe mes mains sous ta chemise et pince doucement tes tétons. Je me penche et commence à embrasser ton entrejambe à travers ton jean. Je sens ta queue qui palpite. Tu veux ouvrir ta braguette mais je t'en empêche, je veux tout gérer. Je continue mes baisers et ton gourdin se dessine, je mordille maintenant ton sexe au travers du tissu qui se tend de plus en plus. J'ouvre les boutons de ta chemise, et remonte vers tes tétons en embrassant ton ventre, puis je lèche un à un tes tétons, je les aspire. Ma main est posée sur ton sexe que je caresse toujours à travers ton jean. Je repars vers ton bas-ventre en embrassant ton torse et en te regardant dans les yeux. Je m'attaque à ta ceinture, j'ouvre ta braguette et fais descendre ton pantalon à tes chevilles. Ton boxer est déformé par ta queue en érection. Je l'embrasse à nouveau, le tissu toujours entre elle et ma bouche. Ca te rend dingue, je le sais, mais j'ai envie de te faire languir. J'embrasse tes couilles, ma main monte et descend le long de ta queue, je remonte mes baisers jusqu'à ton gland. J'écarte l'élastique de ton boxer et ton sexe apparaît, je gobe ton gland, ma langue titillant ton frein. Puis je replace le boxer enfermant à nouveau ta queue sous le tissu. Je me recule, je caresse l'intérieur de tes cuisses, du genou jusqu'à ton entre jambes. J'enlève totalement ton pantalon qui était encore sur tes chevilles, ta chemise tombe aussi, et tu n'es plus qu'en boxer devant moi, bandé comme un âne, le regard suppliant. Mes mains caressent ton torse, titillent tes tétons, j'embrasse ton ventre et descend vers ton pubis, je passe à tes cuisses tout en effleurant ton paquet. Ton gland mouille le boxer, qui est une vraie tente maintenant !! Mes 2 mains te caressent à travers le boxer, je te regarde dans les yeux, tu te laisses faire mais tu n'en peux plus. La libération arrive quand je descends enfin la dernière barrière de tissu. Je prends ton sexe dans la main et le branle doucement, dévoilant ton gland luisant. Je lèche ta hampe sur tout la longueur, doucement sans jamais te lâcher des yeux. Je fais mine de prendre ta queue en bouche mais je repars finalement lécher à nouveau sur tout la longueur ta bite. Je te branle maintenant à 2 mains, doucement, tout doucement. Tu respires de plus en plus fort. Je me lève, enlève mes vêtements et c'est nu que je m'agenouille à nouveau entre tes jambes. De ma main droite je te masturbe, de la gauche, c'est mon sexe que je branle. Je me retourne et me penche en avant pour t'offrir une vue sur mes fesses. Je me recule jusqu'à ce que mon cul entre en contact avec ton corps. Tu avances ton bassin, je passe ma main derrière, attrape ta queue et bouge mon cul pour branler ta queue entre mes fesses. Je m'avance un peu et pose ton gland contre mon trou et ondule.Tu pourrais me prendre comme ça tellement je suis excité et ouvert, mais je te veux d'abord en bouche. Tes mains se posent sur mes hanches et tu accompagnes mes ondulations en m'attirant doucement vers toi. Je résiste à l'envie de m'empaler sur ton sexe, me retourne et finalement embouche ta queue. Je prends ta bite presque entièrement dès la première descente. Je ferme les yeux, je suis plus qu'excité, je veux cette queue dans ma bouche le plus longtemps possible et je veux absolument ton foutre sur ma langue. Tes mains se posent sur ma tête et tu me forces à accélérer, je t'ai trop fait attendre, tu vas me baiser la bouche pour me punir ! Ton bassin se soulève tandis que tu abaisses ma tête sur ta queue, je suis presque en gorge profonde à chaque fois, tu accélères, ma bouche n'est plus qu'un trou pour toi. J'adore sentir que je t'ai rendu fou, que tu m'utilises pour ton plaisir. Après un petit moment, tu relâches la pression et c'est moi qui reprend la main, ma succion devient plus calme mais toujours aussi profonde. Je suces cette tige avec application, les yeux fermés, entièrement dévoué à faire monter le jus de tes couilles. Ton souffle fort, tes gémissements sans fin me rendent dingue !! Mes mains viennent à nouveau sur tes tétons que je pince, je te suce donc sans les mains.
- J'adore comme ça, ça m'excite trop !!!
Je ne réponds pas, garde les yeux fermés et tu continues à me parler, presque murmurer.
- Ta bouche est trop bonne. Tu suces trop bien. Tu vas me faire venir petite cochonne !!
Tu remets tes mains sur ma tête mais juste pour accompagner le mouvement cette fois, ton souffle devient saccadé, tes gémissements s'accentuent ! Tes mains lâchent ma tête et tu t'agrippes au canapé tandis que dans un râle tu inondes ma bouche de ton sperme chaud. Je continue de te pomper en pinçant tes tétons et j'avale tout ce que tu me donnes. Ton corps a comme des spasmes, tu gémis et finalement, plus rien ne coule de ton gland mais je continue de te sucer, je ne veux pas laisser sortir cette queue de ma bouche.
- Putain j'avais rarement joui aussi fort
- Et encore, j'en ai pas fini avec toi
- Tu peux la laisser, j'ai fini de jouir tu sais
- Non, je veux encore la sucer, la pomper, la faire bander encore
Je continue de te sucer, doucement d'abord car tu me dis qu'elle est sensible, puis plus rapidement quand enfin tu te relaxes et que les sensations redeviennent normales. Ta queue reprend des forces, rebande à nouveau. Je veux encore sentir ton foutre dans ma bouche, mais mon cul demande aussi sa part. Je suis en train de devenir une chienne en chaleur !! Je me relève, me tourne dos à toi, et m'assieds sur ton sexe qui écarte mon anus. J'ondule à nouveau et petit à petit, ton gland entre, je me relève, puis reprends ma descente. Ta queue entre centimètre par centimètre dans mon cul puis en prend complètement possession. Je profite quelques secondes de ce moment que j'adore où enfin j'ai ta queue entière en moi. Je me baise en montant et descendant sur ce pieu qui me donne tellement de plaisir, tu attrapes par derrière mes tétons que tu pinces doucement. Tu m'attires vers toi
- Laisses toi faire, je vais bien te prendre
Je plaque mon dos sur ton torse et c'est toi qui prend le lead. Tes coups de reins sont doux au départ pour devenir de plus en plus rapides. Tu me baises profondément, ta bouche est collée à mon oreille et tu me murmures:
- tu sens comme tu m'excites ? Je te baises bien là hein ? Je te baises ton cul comme une salope, tu aimes ça te faire baiser ?
- Oui, continue
- Je vais pas m'arrêter avant de te remplir
Tu ne parles plus, je n'entends que tes gémissements et les miens. Le plaisir monte tandis que tu enfonces à fond ta queue en moi. Tu attrapes ma queue et tu me branles au même rythme que tu me baises, c'est incroyablement bon !!! Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme et je retire ta main. Tu continues ton pilonnage puis alterne le rythme rapide et lent, tu me mets des grands coups, je ne gémis plus mais crie maintenant mon plaisir, je sens que la jouissance arrive petit à petit, tu me baises bien, tu me défonces, ça vient et tout d'un coup je suis foudroyé, je jouis en gémissant mais rien ne coule de mon sexe.
- Tu m'as fait jouir du cul ! C'est la première fois !
Sans attendre, tu me retournes, tu me fais mettre à 4 pattes sur le canapé et tu reviens en moi. Je sais que tu adores me prendre en levrette, voir ta bite disparaître entre mes fesses. Tes mains sur mes hanches tu me prends sans retenue, tu ressors parfois ta queue pour la replonger et me baiser de plus belle. J'ai l'impression que la jouissance ressentie tout à l'heure continue et je gémis sans arrêt. Heureusement que je suis en maison, sinon tout l'immeuble saurait quelle salope je suis avec toi. Ton ventre claque sur mes fesses, mon visage écrasé sur le canapé, je profites de ton sexe qui me défonce le cul et qui bientôt expulse son jus au fond de mes entrailles. Tu cries en même temps que tu te figes enfoncé entièrement en moi. Je sens ton jus inonder mon cul après avoir inondé ma bouche tout à l'heure. Je suis ton vide couilles ce matin et je ne ressens que plaisir et excitation d'être à toi, de te vider.
- Restes dans cette position, me dis-tu
Tu t'allonges sous moi, prend mon sexe dans ta bouche et 2 doigts viennent coulisser dans mon cul aidés de ton jus et il ne me faut pas longtemps pour te donner mon sperme et t'abreuver à mon tour. La jouissance est énorme et je reste en position tandis qu'après avoir tout avalé, tu te relèves. Tes doigts sont toujours en moi, tu continues à me doigter doucement. Je sens ton jus couler le long de mes cuisses, j'ai les yeux fermés, incapable de bouger, tes doigts prolongeant encore mon plaisir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi, le silence est total dans la pièce, tes doigts vont et viennent doucement en moi, ton autre main caressant mes fesses, mon dos allant même s'aventurer ses mes couilles. Finalement tu retires tes doigts et c'est les jambes flageolantes que je monte à la douche. L'eau chaude me permet de reprendre mes esprits. Tu me caresses puis t'agenouille et prends mon sexe en bouche jusqu'à avaler mon foutre. Je suis encore dans le gaz quand tu pars et il me faut encore de longues minutes pour redescendre de cette matinée extraordinaire.
Franck
francky442001@yahoo.fr
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