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Chapitre-3
Personnage :
- Kaïs (18ans arabe/espagnol, brun, cheveux courts légèrement crépus, yeux noir, 1m75, musclé « fin », queue 20x5)
- Kacey (châtain, cheveu mi-long, yeux noisette, 1m70, corps très fin, fine musculature, queue ???)
- Charlie (Blond, cheveux jusqu’aux épaules, yeux bleus, 1m77, très maigre, sans muscle, queue ???)
Cet interlude où ils m’avaient fait jouir les avaient mis de bonne humeur. Nous étions en train de remonter tranquillement la plage vers ce que j’imaginais être leur village et les deux garçons n’arrêtaient pas de sautiller et chahuter.
— Par curiosité vous faisiez quoi sur cette partie de l’île ?
— Oh après chaque tempête on doit aller sur cette plage, c’est la seule qui ne donne pas sur le lagon, on y trouve des trucs dès fois, mais c’est bien la première fois qu’on trouve un beau mec avec une grosse bite entourées de poils.
Je commence à ne plus être gêné par leur discours, au contraire après la séance de tout à l’heure je prends de l’assurance.
— Et vous aimez ça vous les beaux mecs qui jouissent ?
— Oooooh on adooore ça, dit Charlie avec sa voix efféminée.
— Dans ce cas pourquoi me voir jouir ne vous a fait aucun effet ? Je n’arrête pas de fixer vos queues, pardon vos bites depuis tout à l’heure et pas la moindre trace d’excitation.
Les deux éclatent de rire.
— Ahahah, c’est juste qu’on venait de baiser juste avant de te trouver. J’ai giclé littéralement quelques minutes avant qu’on te voie, avoua Kacey.
— Oh je vois.
— Mais on note que tu fixes nos bites en tout cas.
Devant mon air gêné les deux continuent de se marrer. Puis Charlie finit par nous dire qu’il va aller nous trouver à boire et peut être à manger.
Je me posais donc à l’ombre d’un palmier alors que Kacey ne cessait de sautiller partout, ce qui occasionnait d’ample mouvement de la part de ses couilles pendantes.
— Il est loin votre village ? finis-je par demander.
— On y sera demain matin je pense, on t’a trouvé en milieu d’après-midi et on va éviter de marcher de nuit, me répondit-il.
— On n’aura pas froid sur la plage cette nuit ?
— Mais non on a tout ce qui faut dans nos affaires, affirma-t-il désigna le genre de sac de jute contenant leur gourde et un peu de nourriture.
Mon regard revient rapidement à sa queue qui ne cessait de se balancer dans tous les sens.
Il finit par se planter face à moi et me dit :
— Tu veux me toucher ?
J’avais littéralement son paquet en face des yeux. Face à mon absence de réponse il prit une de mes mains et la posa sur ses boules.
Elles étaient incroyablement douces et lisses mais aussi bien grosses et lourdes, ce qui expliquaient peut-être pourquoi elles pendaient autant. Je ne comprenais pas comment elles pouvaient être aussi satinées. Je rapprochais mon visage de plus près. J’observais avec minutie, les soulevant, les écartant, les tirant. Non pas le moindre début de poil. La zone en dessous, entre ses couilles et son cul était tout aussi glabre bien que plus ferme.
— Huum
Il poussa un gémissement, c’est à ce moment que je remarquais l’incroyable érection de sa queue. A force de le tripoter j’avais dû l’exciter. Il baissa son visage innocent vers moi, une mèche de cheveux était tombée devant ses yeux on aurait dit un ange, à cela près que l’expression qui barrait sa tête était la plus lubrique que j’ai jamais vue.
— Tu peux me masturber s’il te plait ?
Il me demanda ça comme on demande à quelqu’un de lui passer le sel, comme si c’était normal. Peut-être que c’était le cas ici.
J’empoignais donc sa queue, elle était longue, un bon 18cm mais sans bosses, sans veines, sans replis toute douce et pas très large. Son prépuce qui jusqu’à présent recouvrait entièrement son gland avait disparu face à la droiture de ce mat, dévoilant un bourgeon plus clair, gonflé et juteux.
Alors que je commençais le mouvement perpétuel je ne pouvais arrêter de fixer ses deux grosses boules se balançant en rythme en dessous.
— Tu peux les mettre dans ta bouche si tu veux, dit-il.
Son invitation lancée je ne me fis pas attendre et après les avoir léchés j’en gobais une tout en le branlant.
Il gémissait sans retenu comme si que ça ne gênait personne ici. Il n’avait aucune pudeur. Plaquant ma tête sous ses couilles d’une main.
Alors que ça faisait cinq minutes que je bavais partout sous sa bite en la branlant il se rapprochait de la libération.
— Vas-y branle moi fort je vais éjaculer. Toujours d’une voix innocente.
J’y allait donc plus fort et il plaqua encore plus mon visage sur sa peau. Ma langue allait sous ses couilles alors que j’en suçais une. Mon nez plaqué juste sous sa bite profitait du mélange d’odeur de sueur et de foutre.
Puis dans un cri rauque libérateur il se vida en l’air.
— OOOOH OUIIII COMME CAAAAA.
Son sperme me retomba en parti sur le visage en gros paquets blanchâtres.
Après les derniers mouvements saccadés il se baissa vers moi et lécha son propre jus sur mon visage avant de m’embrasser à pleine bouche.
— Merci de m’avoir aidé.
On croirait que je l’avais juste aidé à faire la vaisselle, ahurissant.
C’est à ce moment que Charlie revient avec des provisions.
Charlie compris tout de suite ce qu’il s’était passé entre nous. Il arriva donc avec un air faussement gêné et les mains devant la queue.
— Tu voulais la bite de Kacey c’est ça ? Tu n’avais pas envie de sucer ma petite bite ? Il écartât les mains dévoila sa petite bite dressée à l’horizontale. Elle ne devait pas dépasser les 13cm. Elle surplombait toujours ses couilles bien fermes et bien remontées. On aurait vraiment dit le sexe d’un jeune garçon.
Je me relevais avec une érection monstrueuse, faut dire ça m’avait bien excité de branler Kacey.
— Tu t’occupes de moi et je m’occupe de ta petite bite.
— D’accord !
A genoux devant lui je pris sa queue en main. Je n’avais pas beaucoup de place pour le branler, ni vraiment de prépuce pour exciter son gland tout rose. Je compris qu’il a besoin d’être sucé pour jouir. Je pris donc cette petite sucette au goût légèrement salé en bouche et commençais à tourner ma langue autour.
Son gémissement aigue ne tarda pas à se faire entendre. On crut presque une fille. Pendant que je le suce je vois qu’il commence à suer, faut dire que le soleil est haut, ses longs cheveux colle sur son visage sensuel et pervers à la fois. Il semble implorer l’orgasme. En même temps il se malaxe la poitrine mais sur son corps maigrichon c’est surtout sa peau et ses tétons qu’il malaxe.
Il finit par me faire allonger sur le sable. Il est maintenant à genoux face à moi, le cul reposant sur mes pectoraux.
— Rajoute moi un doigt au fond du cul s’il te plait, demande-t-il en se retournant, sur le même ton que Kacey tout à l’heure.
J’ai donc face à mon visage son cul bronzé et mou qu’il écarte à deux mains révélant un tout petit anus tout doux et tout rose. La sueur aidant mon index s’y enfonce d’un coup.
— hiiiiiiiiiiii, gémi-t-il tombant tête la première dans les poils qui surplombent ma bite. C’est alors que je sens deux langues qui commencent à s’afférer dessus. Il a été rejoint par Kacey. Je ne vois rien de ce qui s’y passe trop occuper à le doigter et le sucer en même temps. C’est alors que je sens une des bouches quitter ma verge.
— Vasy plus fort dans mon cul.
Je m’active donc alors que sa bite dans ma bouche est prise de spasmes violents.
— Ouiiiii encore, encore, encooore hiiiiiiiiiiii, C’EST BON, HIIIIIIIIIIIIIII
Une quantité abondante de sperme se déverse dans ma gorge, je n’arrive pas à croire que ces petites couilles et cette petite queue puissent déverser autant de foutre.
Son orgasme et son gémissement représente le point de bascule et avant que je puisse prévenir Kacey je gicle partout sur son visage dans un râle étouffé par la bite de Charlie.
Les deux garçons s’affairent pour recueillir la moindre goute. Je vois Charlie lécher avidement le visage souillé de Kacey. De mon côté j’ai tout avalé.
On reste là, allongé les uns sur les autres, à reprendre notre souffle.
Reprise avec ce nouveau chapitre très chaud. Encore un bon délire mais inspiré de vraies rencontres !
Venez en discuter.
A très vite, plein de bisous.
Nei
ienien95@outlook.com
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