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Chapitre-3 | Retour vers nos femmes
Après cette partie de cul extraordinaire, Simon et moi reprîmes un peu conscience du monde réel. Le bunker dans lequel nous nous étions abrités de l’orage sentait le cul à plein nez. Il était très tard ( nous courions toujours le soir en été sur la plage pour fuir la chaleur écrasante du mois d’août) . Il faisait nuit. Un coup d’œil à mon portable m’indiqua qu’il était 22h30 , et que Gé et Sarah nous avaient appelé plusieurs fois.
Simon avait fait le même constat, et était déjà au téléphone avec sa femme
« Désolé chérie, un énorme orage. On s’est mis à l’abris en attendant que ça passe et on captait pas du tout. Oui, oui chérie. On retourne à la voiture et on rentre ne t’inquiète pas. Embrasse Gé pour moi. »
« Elles sont chez toi, ensembles. Elles s’inquiétaient un peu, mais pas trop, elles ont du chardonnay, du coup ça va mieux ».
Nous éclatâmes de rire connaissant la passion de nos épouses pour le chardonnay.
« Va falloir y aller » lui dis à regret. J’aurais voulu ne jamais partir d’ici. Rester pour toujours contre lui.
« On va quand même aller se rincer dans la mer. Tu pues le foutre mon beau »me dit il en étalant son sperme pris dans mes poils de torse et en m’embrassant rapidement. Il attrapa nos shorts sur le sol et me dit « on y va ? ». Nous traversâmes alors la plage heureusement déserte en pleine nuit jusqu’à l’eau où nous entrâmes. Elle était un peu fraîche après cet orage, heureusement, parce que la vue de son corps nu au clair de lune commençait déjà à me faire de l’effet. Dans l’eau, nous nous frottâmes l’un l’autre, nous roulâmes quelques galoches sensuelles, ce qui ne manqua pas de redonner de la vigueur à nos chibres, mais conclûmes à regret qu’il n’était pas raisonnable de remettre le couvert.
Dans la voiture, nous retrouvâmes nos débardeurs, et nous partîmes vers chez moi. Nous ne pûmes nous empêcher de nous tripoter la queue à travers nos shorts et nous dûmes donc attendre pour sortir de la voiture que nos bites redescendent encore une fois.
Les femmes avaient préparé à manger, les enfants étaient couchés dans la chambre du petit, et il était convenu que les S dormiraient dans la chambre d’amis, et que je prêterais des affaires à Simon. Je l’accompagnais donc dans ma chambre pour qu’il fasse son choix.
Il se mit nu avant d’aller à la douche attenante à notre chambre où je le suivi.
« Dépêche toi, j’ai trop envie » me dit il en me faisant signe de m’agenouiller devant sa bite déjà raide. « j’ai une éjac de retard, tu me dois une pipe »
Je mis donc la douche en marche pour couvrir l’éventuel bruit de ses gémissements. Il allait entrer dans la douche pour s’y faire sucer, mais je le retins.
« Non stp, laisse moi encore te sniffer avant la douche » le suppliais-je presque.
Il me sourit et pris ma tête pour placer mon nez sous ses couilles. Je léchais et sniffais son odeur de sueur, de sperme et d’eau de mer. Mon Poseidon. Il me faisait bander à mort. À peine l’eus je pris en bouche que déjà il crachait, se retenant de crier.
Nous nous lavâmes rapidement, et il me fallu du self-control pour ne pas l’enculer encore une fois sous la douche.
La soirée fut sympa, même si l’alcool nous désinhibait pas mal et que Simon me regardait très intensément.
À un moment il me suivit dans la cuisine et murmura à mon oreille « je pourrais te baiser là, avec nos femmes à côté ». Je failli gicler dans mon bermuda. Il s’était collé à mon cul et je le sentais bander contre moi. Ça devenait dangereux mais c’était délicieux.
Vers 2h du mat, tout le monde était crevé et passablement bourré, on alla tous se coucher après maintes embrassades.
J’essayais de trouver le sommeil, mais n’y arrivais pas, me repassant sans cesse le film de mes ébats homosexuels avec Simon dans la tête. J’entendis Sarah se mettre à gémir doucement dans la chambre à côté, et j’eus mal. Très mal. Je me sentais trahi par le fait que Simon puisse baiser sa femme à quelques mètres de moi, après la journée que nous venions de passer, après ce que nous avions partagé, ce que nous nous étions donné.
Miracle, alcool, soirée de fête, peu importe, Géraldine vint placer sa main sur ma bite. « Gé ? Qu’est-ce que tu fais ? »
« Je sais pas, j’ai envie. Je crois qu’ils baisent à côté, ça m’excite, je suis un peu bourrée, et ça fait tellement longtemps…. »
Oui ça faisait longtemps. Plus de 6 ans qu’on ne s’était pas touchés.
Peur de la blesser ? Envie de me venger de Simon ? Je descendis vers la chatte de Géraldine et la fis jouir avec ma langue, rapidement. Quand elle voulu me rendre la pareille, je prétextais être trop fatigué et avoir trop bu. Elle s’endormit rapidement, heureuse me semblait il . Les gémissements avaient cessé dans la pièce d’à côté. Ce qui me fît penser qu’eux aussi avaient du s’endormir.
Moi je n’y arrivais pas . J’avais une boule au ventre, tout un tas d’émotions contradictoires et coupables qui me torturaient. Je décidais d’aller tenter ma chance sur la terrasse, dans mon hamac, à la fraîche, mais rien n’y fît. Mes pensées reprirent le dessus.
Soudain, j’aperçus une silhouette dans la véranda. C’était Simon. Il avait enfilé son short de boxe comme un pyjama. Sans sous vêtements, et je devinais la forme de sa bite sur laquelle s’écrasait le tissu soyeux.
Non! Hors de question de me laisser avoir. Il avait baisé, à côté de moi….
« Tu dors pas non plus ? » ma voix était étrangement détachée.
« Trop chaud, et Sarah ronfle me dit il avec un clin d’œil.
« Oui elle fait un peu de bruit » lui répondis je un peu sèchement. « Tu l’as sautée… » murmurais je presque pour moi même.
« Comment ? » me demanda t il.
« Tu l’as sautée » clairement cette fois ci « dans la chambre à côté, après ce soir, après que tu…. » ma voix se brisa, à la limite du sanglot. Je détestais ça.
« Je l’ai pas sautée » nia t il.
« Je l’ai entendue jouir ! » le ton montait dangereusement.
« Oui tu l’as entendue jouir mais je l’ai pas sautée » me repondit il calmement.
« Mais qu’est ce que tu racontes ? Elle a joui ou pas ? »
« Oui elle a joui. Sarah et Gé ont passé la soirée à picoler et à se raconter des trucs. Gé s’est beaucoup confiée sur vos aventures d’avant et Sarah était hyper excitée ce soir. Je lui ai bouffé la chatte, puis je lui ai dit que j’étais crevé du sport . Et toi aussi je t’ai entendu, ou plutôt j’ai entendu Gé. Pour une nana frigide, elle est assez bruyante ! ».
J’avais le souffle coupé, on avait vécu la même soirée, jusqu’au bout, dans les moindres détails.
Je m’approchai de lui, et le regardai dans la pénombre. Qu’est-ce qu’il était beau, avec sa mine boudeuse. Lui aussi avait été blessé en entendant Gé, lui aussi avait feint le détachement pour cacher son angoisse.
« C’était pareil pour moi, exactement pareil » lui dis-je « Gé s’est chauffée, et je n’ai pas voulu la blesser, alors…. Je lui ai bouffé la chatte » il se mit à rire.
« Alors tu veux dire qu’on était à côté et qu’on a tous les deux fait minette pour pas se faire violer par nos femmes ? On fait de beaux pédés tiens ! »
On se mit à rire tous les deux, puis je le pris dans mes bras, soulagé de le retrouver. Je l’embrassai. Sa bouche, sa barbe sentait la chatte de Sarah, comme la mienne devait sentir Géraldine.
C’était dangereux, mais terriblement excitant. Je l’entraînais sur le canapé, descendis son short, crachai sur son trou et le pénétrai, sans ménagement, ma main sur sa bouche pour étouffer ses gémissements. Il respirait fort et se donnait, mordait et léchait mes doigts comme un chien en rut. Moi j’engonçais ma bouche dans son dos pour ne pas grogner ni crier. Je devais me retenir de le mordre comme j’en avais soudain terriblement envie, parce que ça aurait laissé des traces suspectes.
Il m’appartenait, et je lui susurrai à l’oreille. « T’es à moi bébé. Dis moi que t’es à moi. Dis moi le…. »
« Je suis à toi… t’es mon mec maintenant. Joui moi dans le cul, marque ton territoire »
À ces mots, je lui larguais toute la sauce qu’il me restait au fond de ses entrailles. En empoignant sa bite pour le faire jouir, je me rendis compte qu’elle était poisseuse de foutre. Il avait déjà joui, pendant que je le pinais.
« Je t’aime Simon »
« Moi aussi je t’aime Jef »
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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