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Chapitre-7
La nuit de lundi à mardi avait été difficile. J’ai peu dormi et beaucoup réfléchi à ce qui venait de passer.
J’avais été humilié par un ouvrir maghrébin, Youcef, en présence de Raymond. Cela dans ma propre chambre. J’avais été obligé de me mettre nu devant Youcef pour faire plaisir à Raymond. Quand j’ai dû dévoiler mon petit trou aux regards des deux colosses, ils avaient halluciné sur l’état de mon anus. Je m’étais doigté le trou avec la gelée « magique » fournie par Raymond. Ce qui avait eu pour conséquence de me le laissé dilaté tout le reste la journée.
Youcef avait pris cela comme un cadeau qui lui était offert. Après m’avoir introduit un doigt, il avait incité Raymond à aussi en profiter. Raymond m’avait alors pénétré avec deux de ses doigts épais. Il avait vite trouvé ma prostate et avait déclenché par deux fois une vague de plaisir qui m’était inconnue alors. Youcef se délectait du spectacle quand son téléphone avait sonné mettant fin au spectacle. Il était parti précipitamment. Quant à Raymond, il était retourné dans sa chambre voisine à la mien.
J’avais vu comme de la déception dans le regard de Raymond, ce qui pour moi, était bien pire que l’humiliation par ma nudité offerte à Youcef. Etions-nous toujours amis Raymond et moi ? L’idée qu’il ne veuille plus me parler me faisait monter les larmes aux yeux. Je voulais me racheter de mon erreur… mais comment ?
Le reste de la semaine fut assez morose. Je ne vis aucune fois Raymond dans notre résidence. Je quittais le bâtiment plus tôt que lui le matin et Raymond revenait souvent assez tard. Je dormais déjà. Néanmoins, je continuais à appliqué la gelée magique sur mon pénis et mes couilles. Je ne voyais aucun changement de taille et je désespérais. J’évitais soigneusement d’en laisser glisser sur mon trou même si le souvenir du plaisir me revenait en tête à chaque fois.
Vendredi changea tout pour moi car je n’étais pas prêt à ce qui allait arriver.
16h, je suis encore aux cours quand je reçois un message de Raymond. Mon cœur se sert quand je vois la notification. Je mets quelques secondes à ouvrir le message :
R : Quand reviens-tu à la résidence ?
A : J’ai fini les cours vers 17h30. Pourquoi ?
R : Sort maintenant, je dois te parler.
Je réfléchis… Voilà une occasion de peut-être me racheter et en plus ça à l’air important.
Je quitte discrètement l’amphithéâtre et marche d’un bon pas vers la résidence.
A notre étage, j’entre dans le couloir donnant accès à nos chambres. La porte de Raymond est grande ouverte. Je m’approche de la porte tout penaud. Je toc à la porte pour m’annoncer. Raymond était allongé sur son lit. Des écouteurs dans les oreilles, il ne m’avait pas entendu arriver. Il tourne la tête vers moi. Allongé de la sorte, le colosse rayonne de masculinité : 1 m 90 de musculature « naturelle », les bras derrière sa nuque mettent en évidence ses aisselles velues, ses biceps sont contractés, le débardeur blanc assez fin laisse nettement voir ses tétons plus sombre ainsi que quelques poils bouclés au niveau du col. Ses épaules carrées et son torse musclé me rappelle que c’est une force tranquille. Il porte un nouveau caleçon bleu ciel (avait-il fait un achat ?) qui s’arrête au-dessus de la mi-cuisse. Son caleçon ne cache rien de son énorme membre qui imprime son volume sous le tissus.
Moi, je fais pâle figure devant lui. Je laisse tomber mon sac à dos au sol et fais quelques pas à l’intérieur de la chambre.
A : Tu as demandé que je vienne vite ?
Raymond retire ses écouteurs et se met assis sur mon lit. Son regard est sombre et soutenu.
R : Viens petit Alex, je dois te parler…
Je me rapproche de lui.
R : J’ai passé beaucoup de coup de téléphone au bled pour essayer de trouver une solution à tes problèmes.
A : Mes problèmes ? Je…
R : Tais-toi Alex ! Laisse-moi parler !
A : ….
R : Lundi, la gelée n’avait pas fait effet sur la taille de ta bite. As-tu vu des changement ces derniers jours ?
A : Non… non… désolé Raymond.
Raymond me lance alors un regard réprobateur.
R : On va vérifier ça. Mes-toi à poil !
Sans réfléchir je m’exécute. Nu devant Raymond, je fais un tas de mes vêtements à terre. Raymond les saisit et, sans prévenir, les jette par sa fenêtre. J’imagine mes vêtements tomber dans la boue au bas du bâtiment.
A : Pourquoi tu fais ça ?!
Raymond me coupe la parole.
R : Tu iras les chercher quand on aura fini !
« Fini » mais « fini » quoi ? Me dis-je dans ma tête.
Raymond me saisit par les hanches et m’approche de lui. Mon petit sexe est à 50 cm de lui. Assis sur son lit, de la main gauche il prend mes couilles et les sous-pèse. De la main droite il attrape mon petit zizi et le malaxe quelques secondes.
R : Rien n’a changé… Bon, Alex, je ne veux pas rester sur un échec avec toi. Je fais ça par amitié mais il va falloir totalement m’obéir à partir de maintenant. Je t’ai peut-être trop fait confiance et j’aurais dû te contrôler chaque jour.
A : J’ai fait tout ce que tu m’as dit Raymond ! Qu’est ce qui se passe avec moi …
R : Mon contact m’a informé que dans de rare cas la gelée de fonctionnait pas entièrement… mais il y aurait dû y avoir quand même une modification de la taille de ta bite Alex… Lui et moi pensons que tu n’as pas respecté la règle la primordiale … Tu t’es masturbé Alex ! Et plus d’une fois !
A : Non Raymond ! je te jure que non !
R : Tu mens !
A : Non ! D’ailleurs, depuis la 1ère application je n’ai plus eu d’érection !
R : Quoi !? Ce n’est pas possible ! Tu devrais en avoir justement eu de plus longue et de plus dur ! Es-tu certain de ne pas en avoir eu la nuit ?
A : Non… rien du tout…
R : Je ne te crois pas… tu t’es branlé j’en suis certain !
J’allais une nouvelle fois tenter de me défendre mais Raymond enchaina directement.
R : Je suis décidé à t’aider mais tu promets de m’obéir ?
A : Oui Raymond… ne me laisse pas tomber stp…
R : Va chercher ta gelée.
Ni une ni deux, j’ai vite été récupérer le pot de gelée dans ma chambre et suis revenu en face de Raymond. L’envie de me faire pardonner m’habitait. Je ne me rendais plus compte que j’étais totalement nu et que mes vêtements trainaient probablement dans la boue en bas de la résidence.
R : Montre-moi comment tu l’appliques.
Je pris de la gelée dans ma main et l’appliqua méthodiquement sur mon pénis, mon gland puis les couilles et ma base de mes couilles en les soulevant.
R : Mets-en plus !
Je repris une plus grosse quantité de gelée et refis les mêmes mouvement. Mon pubis dégoulinais de la mixture. Je regardais Raymond qui, lui, analysait mon entre jambe. J’attendais un minimum de compliment de sa part mais, au lieu de ça, il ouvrit le tiroir de sa commode et en sortit un objet étrange. Je n’avais jamais vu ça. Il me le présenta tout en le gardant à hauteur de ma bite. C’était de couleur rose et en plastique brillant de toute évidence.
R : Ça, c’est une cage à bite Alex et tu vas devoir la mettre.
A : Une cage à … ? Mais pourquoi ?
R : Je ne te crois pas quand tu dis que tu ne t’es pas masturbé. Une fois mise tu ne pourras plus te branler.
Raymond parlait sans vraiment me regarder. Il plaçait la cage a coté de mon zizi, s’imaginant déjà mon sexe dedans.
R : En plus de t’empêcher de te branler, elle va empêcher le tissus de tes vêtements de venir essuyer la gelée.
A : Je pourrais la retirer quand ? Pour dormir je peux la retirer ? Et pour faire pipi ? Et…
R : Tu poses trop de questions Alex ! Fais-moi confiance.
A : …
R : Tu devras porter la cage 24h/24 et 7j/7, d’ailleurs une fois verrouillée je serai le seul à avoir la clé pour te la retirer.
C’est à ce moment-là que je remarqua du verrou.
R : Pour pisser, il y a un petit trou au-dessus de la cage donc tu n’auras aucun problème de côté-là.
Je restais sans voix. Mon cœur battait la chamade. Raymond allait devenir le « chef » de ma queue. J’allais perdre la propriété de mon sexe ! Pourtant, aucun sentiment de révolte n’émergeait de moi. Je voulais que Raymond et moi restions amis. Je devais obéir pour me faire pardonner.
R : Je vais la placer, ne bouge pas…
Raymond pris d’abord mes couilles suintantes de gelée et les passa dans un élastique qui se calla derrière. Ensuite, de ses doigts, il pris mon petit sexe poisseux et l’entra dans l’espace grillagé légèrement courbé vers le bas.
R : J’ai pris la taille XS et pourtant ta bite entre toute seule… la gelée aide sûrement…
Ainsi placée mollement, ma bite tapais au fond de la cage, l’urètre en raccord avec le trou pour uriner. La cage en elle-même n’était pas lourde. L’élastique derrière mes couilles faisait légèrement pression entre mes couilles et mon anus. Ce n’était pas désagréable.
Soudain, Raymond sorti une toute petite clé du même tiroir, la glissa dans le verrou et fit un quart de tour puis la retira. Il mis cette clé à quelque cm de mon visage.
R : Tu vois cette clé Alex ? Tant que je l’ai en ma possession je suis le maitre de la situation ok ? Tant que ta bite n’aura pas grossis tu porteras ta cage.
A : Mais il faudra la mesurer alors ? Comment je vais faire si tu gardes la clé ? Et la gelée ?
R : Je te laisserai la clé pour que tu puisses ouvrir ta cage quand je le déciderai. Tu auras intérêt à mettre une grosse dose car tu resteras avec la cages plusieurs jours de suite. Une fois par semaine, je mesurerai ta bite moi-même compris ?
A : Oui Raymond…
R : C’est bien petit Alex. Tu commences à comprendre… Fais quelques mètres en marchand pour voir ce que ça donne.
Je me mis alors à faire quelques aller-retour depuis la chambre de Raymond jusque dans le couloir. La cage n’entravait aucunement mes mouvement. J’étais plutôt surpris. Raymond me regardait comme satisfait du spectacle.
R : Bien… maintenant le 2ème problème, ton trou…
A : Mon trou ? Je pense qu’il n’y a plus de problème Raymond… il a dû se refermer non ?
R : Je vais vérifier ça. Reviens Ici !
Alexandre
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