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Chapitre-8
R : Je t’ai dit de revenir près de moi !
En prononçant ces paroles, Raymond avait porté sa main à son paquet comme pour remettre son sexe en place. En avançant vers lui, j’y jette un regard… Raymond devait au moins avoir une mi-molle car le tissu de son caleçon s’était tendu.
Je suis maintenant devant Raymond, complètement nu, mon zizi pris au piège dans la cage à bite installée par mon magnifique africain. Il me prit par les hanches et me fit pivoter à 180 degrés. Je lui présent alors mes fesses. Raymond commença à les caresser avec ses grandes mains.
R : Aucun poils n’a pousser… c’est vraiment pas normal… A ton âge, au village, tous les hommes ont les fesses recouvertes de poils…
Moi je regardais devant moi la porte de la chambre de Raymond qui était restée grande ouverte.
R : Penche-toi maintenant dit-il en mettant sa main sur mes lombaires pour accompagner mon mouvement.
Ainsi plié, debout en angle droit, j’étais en équilibre précaire.
Raymond écarta délicatement alors mes fesses pour exposer mon trou.
R : Voyons ton trou maintenant… rose, imberbe, … on dirait celui d’une fille…
Dans cette position, je ne pouvais que regarder le sol ou regarder entre mes jambes vers Raymond. J’avais une vue imprenable sur ma cage à bite et derrière sur le colosse. Je voyais ses pieds, ses jambes velues, son caleçon déformé par son sexe et son ventre poilu. Je vis qu’il porta son indexe à dans sa bouche et le posa sur ma rondelle.
R : On va voir si les effets de la gelée magique sont permanents sur ton cul.
Raymond appuya son doigt mouillé de salive sur les muscles de mon trou. Mon anus ne pu rester rigide que quelques secondes avant que son doigt soit comme « gobé » par ma rondelle.
R : C’est pas bon ça… c’est pas bon…
Sans réellement savoir combien de cm de doigt Raymond avait fait entrer dans mon cul, j’avais bien compris que les effets de la gelée étaient encore en action.
A : Il faut peut être encore attendre… ça partira un jour quand même…
Raymond ressorti son indexe. Je ne bougeais pas de ma position.
Après un moment de réflexion, Raymond repris la parole.
R : Petit Alex, je pense que nous n’avons plus trop choix. Aux grands maux, les grands remèdes….
Je ne comprenais pas ce que Raymond voulait dire par là.
Soudain Raymond plaqua sa bouche sur mon trou. J’en eu le souffle coupé par la surprise.
A : Raymond qu’est ce que…
Je ne pu finir ma phrase car la sensation de la bouche de Raymond sur mon anus était merveilleuse. Je poussais de petits gémissements à chaque coup de langue de Raymond. Au fil des secondes, Il y mettait de plus en plus d’énergie. Son nez venait s’écraser sur mon coccyx. Raymond repris sa respiration.
R : Ton cul s’ouvre Alex, je le sens sous ma bouche…
Il remit son visage entre mes fesses et là je senti sa langue pénétrer mon intimité. Raymond ne se contentait plus de lécher mon entrée mais il poussait avec sa langue musclée à l’intérieur de mon trou. Mon anus, lui, avait arrêter toute résistance. Il se laissait envahir par la langue saliveuse de Raymond. Mes gémissements se faisaient de plus en plus fort et réguliers. Le sang me montait aux joues.
Soudain, Raymond se retira et se mis debout.
Je n’avais toujours qu’une vision de ma cage à bite, les pieds et jambes de Raymond.
R : Sais-tu de quel remède je veux parler Alex ?
A : euh non… non…
R : Il existe un remède plus puissant que la gelée royale tu sais. Nous n’en parlons pas beaucoup car il est peu utilisé. Les africains, nous, nous sommes naturellement plus virils que la plupart des batbouts. Tu as pu rapidement le remarquer : grande taille, plus musclé, plus de poils et évidemment un sexe plus imposant.
A : …
R : Notre niveau de testostérone est plus élevé c’est pour ça. Nous en avons tellement que nous en avons naturellement dans notre transpiration, notre salive… Il faudrait que ton niveau de testostérone soit plus élevé Alex.
A : Comment je peux faire ?
R : Tout simplement en t’en faisant absorber par ton corps. Mais la testostérone artificielle coute chère…
A : Je n’ai pas beaucoup d’argent …
R : Je peux t’aider Alex… sais-tu où se trouve le niveau de testostérone le plus élevé chez les africains ?
A : Non…
R : Dans leur semence petit Alex !
A ce moment là, je vis le caleçon de Raymond tomber à ses pieds. Il l’envoya valser de l’autre coté de la chambre d’un shoot vigoureux.
Raymond me prit par les hanches pour me tirer vers lui. Directement je sentis le gland de son énorme bite se poser sur mon trou. Son gland, que j’imaginais perlé de mouille, pressait sur mon trou.
A : Raymond non pas ça ! Ta bite est trop grande ! Je n’y arriverai pas !
R : Tu peux le faire Alex !
Raymond pressa encore un peu plus sa bite contre mon trou et soudain… le peu de résistance qu’il y avait encore dans mon trou céda. Le gland de Raymond entra… entra… entra…pour être avalé par mon anus. Celui-ci se referma mécaniquement sur le début de l’énorme tige de Raymond.
R : Voilà …. Le gland est passé… c’est bien
J’avais le souffle coupé. Je ne trouvais pas les mots. La douleur n’était pas très grande, j’étais étonné des capacités de mon cul.
R : Je vais continuer à avancer… je vais aller plus loin.
Raymond s’enfonça lentement, centimètres par centimètre. Tout d’un coup, le pieux de chaire toucha quelque chose au fond de mon fondement. Le même plaisir « chaud » renaquit dans le bas de mon ventre. C’était un plaisir électrique qui passait en vague jusque dans mes pieds.
A : Raymond, ça revient. Comme avec Youcef…
R : C’est rien Alex, c’est ton corps qui accepte ma bite.
Raymond s’immobilisa.
R : Voilà je suis au fond Alex. Mes couilles sont à l’entrée de ton cul.
Je n’en revenais pas. J’avais les 26 cm de bite de Raymond dans mon cul. Mon cœur battait la chamade.
R : Je vais commencer Alex
A : Commencer ? pensais-je
Raymond s’agrippa fermement à mes hanches et commença un vigoureux mouvement de va et vien avec sa bite. Je sentais son pénis s’activer dans ma chair. Son pieu voyageait sans résistance. A chaque fois que Raymond tapait au fond de mon cul, j’en avais le souffle coupé. Je ne pouvais résister à laisser sortir un petit cri de plaisir.
Ce traitement infligé à mon cul fut soudainement arrêté par la voix d’une personne qui venait de faire irruption à notre étage.
? : Mec ?! t’es où ?
Raymond s’immobilisa, sans pour autant sortir sa bite de mon trou, pour répondre.
R : Dans ma chambre !
J’entendis les pas se rapprocher… et Youcef apparaitre dans l’encadrement de la porte.
Y : Espèce de salaud ! Tu as commencé sans moi ! dit-il en entrant dans la chambre en rigolant.
R : Il fallait arriver à l’heure mec ! répondit-il à moitié hilare.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Raymond avait-il donné rdv à Youcef ?! J’était là, nu, la queue enfermée dans sa cage, en train de me faire enculer par Raymond devant Youcef. Ils se tapèrent dans la main comme deux vieux amis.
Raymond repris de légers va et vien
Youcef avait gardé les mêmes vêtements de travail que la 1ère fois où je l’avais rencontré. De sa salopette et son débardeur émanaient une odeur de transpiration musquée.
Youcef face à moi, ma tête au niveau de son entre-jambe, me pris le menton pour me redresser la tête et s’adresser à moi. Il planta son regard sombre dans le mien.
Y : ça fait combien de temps que Raymond te bourre ?
A : 5..6… minutes dis-je entre deux coup de rein de Raymond
Y : Il a eu mal ?
R : Moins que ce que je pensais… apparemment la gelée a des effets sur plusieurs jours ahahah
Y : Il a été difficile à convaincre ?
R : Craintif au début mais il s’est laissé faire assez vite. D’ailleurs je lui ai fait une petite surprise… regarde sa queue !
Youcef se pencha pour regarder mon entre jambe.
Y : C’est pas vrai ! T’as réussi à lui mettre une cage ?! Raymond t’es un boss ! Jamais ne j’aurais cru qu’il accepterait !
J’étais dans un état second. Un mélange de plaisir anal et de honte. La bite de Raymond toujours bien plantée en moi.
Youcef s’approcha de mon oreille.
Y : petite salope…
Il se remit debout face à moi. Je ne le quittais pas du regard.
Y : Tu sais Alex, l’Algérie fait aussi partie de l’Afrique… Nous aussi nous avons un surplus de testostérone.
Youcef déboutonna sa salopette. Elle tomba au sol. Youcef ne portait pas de sous-vêtement ! Son sexe circoncis, déjà en érection, pointait à quelques cm de mon visage. D’une bonne vingtaine de cm, sa bite était très poilue. Ses couilles, énormes, pendant légèrement plus bas que celles de Raymond. Il garda son débardeur.
Y : Deux doses de testostérone c’est toujours mieux qu’une… ça pourrait accélérer ta guérison. Tu en penses quoi Raymond ? demanda-t-il en faisant un clin d’oeil
R : Mais c’est vrai ça ! Heureusement que tu es là Youcef ! dit-il en rigolant
Y : Ouvre la bouche Alex et tends la langue.
J’obéis.
Youcef plaça son gland sur ma langue.
Y : Maintenant referme ses lèvres.
J’obéis toujours et une fois ma bouche fermée Youcef pris de ses mains ma tête pour enfoncer vigoureusement sa bite le plus loin possible dans ma bouche. J’eu un mouvement de recule qui me fit m’empaler de plus belle sur la bite Raymond.
Y : Tu es coincé Alex. Si tu recule Raymond t’encule plus loin dans le cul et si tu avances t’as ma bite plus profond dans ta gorge ahahaha
A partir de cet instant, je perdis toute notion de honte, de révolte et de temps. Raymond recommençait à me baiser le cul avec sauvagerie. Youcef me transformait en pompe à bite. J’avais ses couilles au menton. Mon nez dans ta toison pubienne. Les couilles de Raymond claquaient contre mes fesses.
Y : C’est bien ça ! C’est bien !
Raymond se contentait de souffler, rugir, grogner…
Mon trou était démoli, ma bouche exploitée.
Y : Tu suces mieux que ma connasse de femme ! Son trou est comment Raymond ?
R : Un délice… ça rentre comme dans du beurre…
Combien de temps suis-je resté ainsi à me faire baiser la bouche et le cul ? Je ne saurais le dire.
Raymond devait beaucoup transpirer car des goutes tombaient de son front et s’écrasaient sur ma croupe. Quant à Youcef, c’est son débardeur noir qui se couvrait de transpiration entre ses pectoraux. Parfois il mettait une main derrière ta tête. Contractant ainsi ses biceps et dévoilant des aisselles sombres de poils.
Soudain, je senti la bite de Youcef devenir encore plus dur.
Y : Je vais gicler je crois… Raymond, on lance la sauce en même temps ?
R : Je suis prêt aussi mec
Leurs coups de reins devinrent encore plus violents pendant quelques secondes quand soudain Raymond et Youcef rugirent à l’unisson. Raymond se planta le plus profond possible dans mon trou. Sa bite se contracta et laissa sortir son sperme. Au moins 5 grosses giclées de sperme. Presque au même moment, Youcef déversa une quantité incroyable de sperme dans ma bouche.
Y : Avale ! Avale ! Garde tout !
Je n’eu le choix que d’avaler.
Raymond resta planté dans mon cul quelques secondes pour reprendre son souffle. C’est Youcef qui sorti de ma bouche en premier.
Y : T’as tout avalé? Tire la langue !
J’obéis
Y : C’est bien… petit Alex.
Youcef entrepris de se rhabiller. Il remit sa salopette sur sa queue maintenant en semi-érection et poisseuse de sperme et salive.
Raymond se retira lentement de mon trou. Au moment de déculer, un bruit de succion se fit entendre.
Y : Tu lui as mis une bonne dose on dirait !
R : Oui je crois… essaie de serrer ton cul maintenant Alex, sinon le sperme va sortir ! Il faut qu’il reste le plus longtemps dans ton cul pour que la testostérone soit assimilée par ton corps !
J’essayais de contracter mon cul mais j’avais perdu tout contrôle de mon orifice. Je me redressais en mis ma main contre mon trou pour essayer que rien ne sorte.
Y : Bon, je me casse
R : Attend mec, Alex doit te dire quelque chose… Alex ?
Je reprenais seulement mes esprits. Je ne savais pas quoi dire.
A : Quoi ?
R : Tu ne dis pas merci à Youcef pour l’aide qu’il te donne ?
A : Ah si si, merci Youcef pour la… la testostérone.
Y : ahahaha, mais de rien Alex !
Youcef parti dans le couloir. Ses rires résonnèrent.
J’étais toujours assis sur le lit de Raymond.
R : Comment te sens-tu ?
A : ça va… mais j’ai l’impression de ne plus avoir le contrôle de mon cul…
R : Mets-toi sur le dos, les jambes en l’air, je vais regarder.
J’obéis. Raymond jeta un rapide coup d’œil à mon anus.
R : Tu reste bien ouvert… normal avec ce que je t’ai mis…
A : …
R : Vas te reposer dans ta chambre et sert les fesses pendant quelques minutes. Je vais te rejoindre.
Je me releva et pris le chemin de ma chambre. Je m’écroula de fatigue sur mon lit et m’endormis très vite.
Alexandre
recitspourcyrillo@gmail.com
