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Agriculteur

Saison 2 | Chapitre 6 | Commercial

Je viens de faire le tour de toutes les clôtures et abreuvoirs et tout est en place, nous allons pouvoir faire la rotation des animaux dans les prés comme prévu. Quand j’arrive dans la cour, une 205 Peugeot xad blanche est stationnée et j’aperçois le patron en compagnie d’un mec de dos, plus petit, vêtu d’une veste et un carnet de commande à la main. Je m’approche. Le patron me désigne du bras « Julien, mon… » Tiens, il n’a pas dit « mon stagiaire » Le type se retourne, main tendue, décline ses prénoms, nom et entreprise – je l’appellerai Marc – relève les yeux vers moi, tout sourire. Joli sourire, yeux verts pétillants ! Que je remets immédiatement en place dans ma tête. Sa poignée de main est franche et tonique. J’y réponds d’un « enchanté » et je viens me placer un peu en retrait du patron, bien campé sur mes deux jambes, mains callées au fond des poches, avec l’air du mec prêt à répondre en cas de question mais surtout pour mater à loisir le petit commercial, là.

Il doit mesurer un mètre soixante-dix et ses épaules rondes remplissent bien sa veste, il a les cheveux châtain clair, le front haut, déjà un peu dégarni pour sa petite trentaine. Il regarde le patron avec qui il poursuit ses échanges sur un ton un peu sec, précis comme si cela ajoutait du sérieux à son propos de représentant. Ses petits changements de posture soulignent son allure sportive et dynamique. Quand il remet sa cravate étroite en place, je note qu’à sa main gauche, il porte une alliance que son poli fait paraitre neuve. Tiens ! De temps à autre, ses yeux décrochent et se posent un instant sur moi, sans qu’il se départisse de son sourire. M’a-t-il reconnu, lui aussi ? Je le regarde un peu fixement avec un demi-sourire en coin. Au fond de moi, je m’applique à retrouver trace de mes frissons de polisson. Pendant que le patron se penche sur le carnet pour signer la commande, ses yeux trouvent les miens par-dessus son dos courbé et j’y lis une vague interrogation à laquelle je réponds par un large sourire que je veux rassurant. Le patron se redresse et ils se serrent longuement la main, réglant oralement les derniers détails de la livraison, se saluent, puis le patron s’éloigne de quelques pas et Marc se tourne vers moi, le corps un peu incliné vers l’avant, déjà orienté vers sa voiture « eh bien, au revoir » dit-il avec son sourire trop aimable.

Croit-il qu’il peut m’échapper ainsi ? En deux pas, je l’ai rejoint et l’accompagne amicalement à sa voiture « tu ne m’as pas reconnu ? » silence embarrassé « il est vrai qu’on n’a pas échangé beaucoup de mots, tu avais la bouche pleine » Je le vois se raidir et déglutir avec difficulté. Je m’amuse. « Notre petit moment dans les fourrés de la place d’Espagne m’a laissé un bon souvenir, pas à toi ? » Il bafouille, écarquille les yeux et bredouille « Je ne vois pas… » D’un geste vif, j’entortille sa cravate autour de mon poignet « écoute Marc, y a pas d’embrouille. D’ailleurs tu connais mon nom, mon boulot, où je vis… » Il balaie la cour du regard, s’arrête sur le dos du patron qui sort là-bas. « Toi aussi, non ? » Ses yeux reviennent dans les miens, avec son sourire pourtant un peu vacillant. Inquiétude ? Début d’ouverture ? Je fais osciller mon poing, serré à l’extrémité de sa cravate, il percute doucement ses abdos puis il s’y pose, exerçant une légère pression. Il ne recule pas pour se soustraire au contact. Je pousse mon avantage « aujourd’hui, ton dernier rendez-vous se sera un peu éternisé, ce qui nous laisse un peu de temps, Mmm… » avec une moue suggestive et un plus net contact de ma main. Son sourire s’élargit imperceptiblement « Ah … » Il pose sa main sur mon poing pour que je libère ma prise et elle s’attarde une seconde de trop. Il m’écarte pour ouvrir sa portière, se penche dans l’habitacle pour consulter son agenda ouvert sur le siège passager. Les pans de sa veste s’écartent sur son joli cul rond moulé dans son pantalon. Putain, je dois retenir ma main qui frémit et s’envolerait bien. Je me déplace juste un soupçon pour l’amener à se contorsionner pour ne pas trop se frotter à moi quand il ressort « oui, les clients ont parfois des exigences extravagantes qui me retardent » j’aime cette connivence et ce qu’elle augure « je te fais visiter, on sera tranquilles » En entrant dans le vestiaire, je balance mes chaussures, aux lacets toujours détachés. Je repousse la porte sur ses talons, m’appliquant à bien l’enclencher, tout en rattrapant sa cravate pour aussitôt me jeter sur sa bouche. Il est un peu bousculé, presqu’en déséquilibre mais répond rapidement à mon baiser et je retrouve sa langue agile. Nos mains s’assurent instinctivement du relief dans nos braguettes respectives et la mienne migre rapidement vers son fessier musclé. On se détache, se regarde avec le sourire de ceux qui se sont reconnus. « Et ton patron, là ? » « Ne t’inquiète pas ! » Je lui indique l’escalier d’un signe de tête mais le retiens d’une main « quitte ton anneau s’il te plait, mieux vaut sans témoin » Il rougit imperceptiblement, fais disparaitre le bijou dans une poche et s’engage vivement dans la montée tandis que je mate les ciseaux vifs de ses cuisses.

Je le guide d’une main, le poussant dans le dos vers la chambre restée dans la pénombre, volets tirés. La porte refermée, je crochète le col de sa veste dont il se déleste et que je suspends à la patère. Puis je me retourne, appuie mes épaules au mur, saisis la glissière de ma cotte, la descends aussi bas que permis et je l’attends. Il est secoué d’un rire, s’approche, sourcils froncés « quand je t’ai vu, tu étais déjà occupé, non ? » mais je ne réponds pas et, d’une main sur sa nuque, j’approche son visage du mien pour l’embrasser, juste avec les lèvres et un petit bruit sec. Puis je l’écarte à peine et reviens, ajoutant le bord de ma langue comme la lisière d’une nappe entre ses lèvres qui s’écartent pour laisser poindre la sienne. Sa main gauche s’est introduite dans l’ouverture de ma cotte, balaie mon torse par-dessus le maillot puis descend pour saisir ma trique encore enfermée dans mon slip. Ma main, elle, a glissé dans son dos pour empoigner sa fesse ronde et la pétrir largement. Je lui souffle « dégrafe toi » et il fait tinter sa ceinture sans quitter le savant dialogue de nos bouches joueuses. Son pantalon s’effondre et je bataille avec sa chemise et son maillot pour accéder à l’élastique de son slip que je fais claquer d’un crochet de l’index. De ses deux mains aux hanches, il fait alors coulisser le tissu qui rejoint son pantalon et ma main peut englober sa pleine lune à la peau douce dans des caresses légères. Lui a repris son exploration, soulevant mon maillot pour faire courir ses doigts dans ma toison, puis dégringolant jusqu’à s’introduire dans mon slip où il va cueillir mes boules, faisant jaillir par contrecoup ma tige qu’il parcourt d’une caresse peu appuyée, comme pour envisager d’abord comment il va en jouer. Il détache alors ses lèvres et nos yeux restent accrochés dans la lumière filtrée. Je pivote la tête vers la gauche et, ostensiblement, je charge abondamment mes doigts de salive tandis que ma main droite se pose sur sa tête pour le courber. Il me prend la queue en bouche de velours tandis que je mouille sa rondelle pour y ficher une phalange et la masser souplement. Je me délecte de ses premières succions avec de petits soupirs. Voilà, nous en étions là !

Je lui retire ma queue de la bouche et le redresse pour le galocher, et il semble adorer ça, ce qui me ravit. Mes deux mains s’affairent à faire coulisser sa cravate, déboutonner sa chemise, soulever son maillot. Je parcours son joli torse lisse puis j’écarte mes bras à l’horizontale pour lui laisser le loisir de me retirer ma cotte et mon maillot. Il perd ses doigts dans ma légère toison, y frotte son visage puis se laisse glisser, avec ses deux mains disposées latéralement pour descendre mon slip et me libérer les deux jambes, chaussettes comprises. Je maintiens sa tête à deux mains et, avec de légères rotations du bassin, je le bifle, lui laissant des traces brillantes de liquide séminal sur le visage. Puis je le relève et le lance sur mon lit, j’attrape une jambe, achevant le déshabillage en caressant son mollet charnu couvert d’un léger duvet clair et arrachant sa chaussette pour mordiller son pied. Puis c’est le tour de la seconde jambe.

Il semble assez chatouilleux et veut se dégager mais je le fais rouler sur le dos, relevant son cul pour le disposer en appui sur ses épaules, rabattant ses genoux sur son torse. Je plonge alors sur sa raie largement épanouie pour lui dévorer voracement le fion, léchant, pressant, crachant, agaçant jusqu’à le sentir céder et ahaner. Je lui bouffe alors son petit scrotum serré en évaluant la détente de son anneau du gras du pouce. Je le maintiens le cul en l’air et le fais pivoter sur ses épaules pour amener sa tête entre mes cuisses et le laisse alors lentement basculer sur le dos, ce qui amenant sa tête hors du lit, lui offre ma tige à pomper. Dès qu’il l’a embouchée, j’aspire la sienne, moins que demi-molle, et lui perce le cul de mon pouce. Mes bras lui écartent les cuisses pour me permettre de lui lécher une rosette déjà bien assouplie puis de revenir alternativement lécher sa hampe qui retrouve sensiblement de sa vigueur, tout en lui offrant de la mienne autant qu’il peut en avaler en glouton.

Je le sens de plus en plus vibrant et mes doigts le creusent désormais souplement, profondément, lui faisant parfois délaisser sa tâche pour laisser échapper quelques gémissements. Je m’empare alors d’un étui cartonné dans le chevet et l’ouvre devant lui, lui proposant de me coiffer de la capote et perçant la dose de gel dont je lui enduis l’anus en y plongeant successivement chacun de mes doigts qui le massent. Il s’écrase alors sur le ventre et je me glisse entre ses cuisses, guidant mon dard capoté jusqu’à l’entrée de sa grotte. Allongé sur lui, j’exerce une pression légère et je le sens secoué de petites contractions successives qui me font progresser en lui par saccades. Enfin, il pousse un long soupir et s’immobilise. Je caresse lentement sa peau étonnamment douce qui se hérisse sous mes doigts. Sa respiration redevient régulière et je le sens onduler faiblement comme s’il cherchait à trouver son plaisir. Je me retire alors lentement jusqu’au bourrelet puis me plante fermement, lui arrachant un « oui » de fin d’expiration. Après plusieurs poinçons, je lui souffle à l’oreille « choisis comment tu veux te donner, maintenant » déculant et m’écartant de lui qui doit décider comment j’allais pouvoir fourrer son magnifique postérieur rebondi que j’envisage déjà avec grand appétit.

Amical72

amical072@gmail.com

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