Premier épisode
2 | Une bite au garde-à-vous!
Hello! Je m'appelle Valente. J'ai 20 ans, beau comme un ange (visage ovale, yeux bleus, petite fossette à la joue droite et cheveux mi-longs, blonds, coiffés en pétard). J'ai un corps svelte qui ne mange pas toujours à sa faim. J'ai été chassé du foyer familial à ma majorité par ma mère et ce qui me tenait lieu de beau-père, n'ayant jamais connu mon géniteur. Je vis de petits boulots, de prostitution et de rapines. Souvenez-vous, je vous ai conté une de mes aventures avec un routier bulgare.
Aujourd'hui, je vais vous narrer une autre de mes pérégrinations. Elle a également pour cadre une aire d'autoroute, mais pas la même. Mon rayon d'action couvre tout le Sud-Ouest. Je fais gaffe de pas traîner trop longtemps sur un même lieu, pour éviter de me faire pincer par les flics.
Nous sommes mercredi et j'ai décidé de passer la journée sur une aire à proximité d'un camp de tir militaire. On entend au loin crépiter les balles des fusils mitrailleurs. J'aime bien délester de beaux soldats en uniforme. Je les suce pour quelques dizaines d'euros. L'opération s'avère des plus périlleuses et il me faut redoubler de vigilance si je ne veux pas prendre la raclée du siècle. Mais dans le fond, c'est ce qui me motive. Braver l'interdit et sentir cette poussée d'adrénaline...
Justement, je repère un homme en treillis qui vient d'arrêter sa jeep de l'armée de terre à quelques mètres de moi. C'est un gradé, ça se voit. Au regard noir qu'il me lance, je suppose que ses hommes ne doivent pas rigoler tous les jours.
Il sort de son véhicule, me fixe tout en rajustant son paquet, puis disparaît dans le sentier qui sert de lieu de rencontres. J'hésite quelques minutes avant de me décider à le rejoindre.
Je le repère un peu à l'écart, adossé contre un arbre. Il a les mains enfoncées dans son pantalon de camouflage. Il se caresse la teub sans gêne. Elle me paraît de belle dimension. Je m'approche et joue les habitués. Il m'aborde direct.
- Tu veux que je te gave de jus avec ma grosse queue?
J'incline la tête positivement.
-Tu vas me vider mes couilles bien pleines, hein?
- Oui.
Il m'empoigne par le col du t-shirt.
- Parfait, parce que j'ai pas baisé ma femme depuis cinq jours.
Le mec a la quarantaine, un regard de fauve en chasse, encadré par un visage buriné par le soleil. Il est terriblement viril avec un physique de sportif accompli, habillé genre commando... Humm... Tout ce que j'aime!
Il n'attend pas, déjà collé contre moi, et me pelote le cul. Comme hypnotisé par son regard féroce, je me laisse faire. Face à lui, je ne fais pas le poids et attends la suite. Je suis chaud bouillant. Ce type m'excite, même si je n'oublie pas ce pour quoi je suis là. Je constate avec satisfaction qu'il a calé son portefeuille dans la poche arrière de son treillis.
Beaucoup plus entreprenant que je n'aurais imaginé, il me serre, me tâte le corps un peu partout, me masse les fesses de façon vicieuse, très intéressé par ma raie. Emballé par sa frénésie, je malaxe sa braguette et c'est dur là-dedans. Je suis impressionné par la longueur du manche que je caresse.
Complètement électrisé par le geste que je viens de faire, pris par son envie de baise, il me plaque contre le tronc de l'arbre et me roule une pelle d'enfer. Il m'impose sa langue râpeuse, dominateur, sûr de lui, n'acceptant aucune rébellion de ma part. Mon militaire crache toute sa salive dans ma bouche, comme pour me rincer les amygdales puis vient me fouiller le palais avec sa langue épaisse. Il s'impose en moi, me domine de sa force virile jusqu'à ce qu'il me sente lâcher prise et céder à sa volonté.
Dans ce corps à corps imposé, il répand sur moi des effluves de cuir, de sueur, de poudre de cartouches,... Toute son odeur de mâle m'envahit, me pénètre, m'enivre...
Ses mains pétrissent tout mon corps, passent sous mon t-shirt puis retournent à mes fesses. Je suis son terrain de jeu.
Il s'arrête quelques secondes, déboutonne sa chemise kaki puis colle ma bouche contre ses pectoraux durs et puissants. Il m'offre ses magnifiques tétons, perdus dans une broussaille de poils. Je m'applique à bien les sucer. Je les mordille légèrement, ce qui a l'air de lui plaire. Il s'amuse à me faire passer de l'un à l'autre. Je bave sur sa toison odorante.
Mon gradé est couvert de tatouages. C'est un dur, pas le genre à reculer. Je sens qu'avec celui-là, je vais passer un quart d'heure viril et que j'ai intérêt à le satisfaire. Si jamais j'échoue dans ma mission
"portefeuille", je suis mort.
Il soupire de plaisir, se pince l'autre téton, se malaxe le paquet puis déboucle son ceinturon et baisse sa braguette. D'autorité, il m'appuie sur la nuque, me faisant comprendre d'aller lui sucer son membre.
Une queue superbe, légèrement arquée, bien raide et fièrement dressée vers son nombril. Il arbore un gland exceptionnellement gros qui attend mes faveurs buccales. Le prépuce se déploie et glisse sous mes doigts. Son dard libéré suinte une sève translucide. Putain qu'est-ce qu'il est bien monté. C'est sa femme qui doit être contente...
J'ai sa bite à quelques centimètres de ma bouche. Il en a vraiment une magnifique, longue et veinée, relevée, triomphante... Le symbole absolu du mâle dominant. Son gland, tel un gros abricot gorgé de vitamines, sent la transpiration, l'effort physique. L'urine, aussi... et je le gobe pour le laver de toutes les souillures de la journée. Sa mouille a un goût exquis. Je salive sur ce bijou et enroule ma langue sur toute sa longueur. Quand je l'ai bien en bouche, mon militaire force encore. Il m'impose sa volonté et n'y va pas par quatre chemins.
Il donne des coups de queue volontaires et s'enfonce bien profond dans ma bouche en même temps qu'il me tient la tête.
- Ouai!!! C'est ça, prends-la en entier...
Il en a une super grosse. J'ai des haut-le-cœur, il me bloque, je suffoque... Il insiste et je finis par m'habituer à son nœud qui vient frapper le fond de ma gorge et farfouiller mes amygdales.
- Lèche-moi les couilles!
Je m'exécute, tout en agrippant le portefeuille rangé dans la poche arrière. C'est le moment de passer à l'action. Je sors ma langue. Ma bave coule sur ses couilles. Malgré ça, je lui lèche les bourses. Je lui gobe ses œufs de mâle bien fermes puis je repasse à sa queue qui m'intéresse davantage. Je sais que lorsque je l'entendrai gémir, je pourrai exercer mes dons de kleptomane.
La forme arquée de sa bite pointe vers le ciel. Je mets en œuvre tout mon savoir faire pour l'envoyer au septième ciel. C'est vital si je veux réussir mon coup. Il commence à râler de plaisir. Je salive sur son nœud proéminent et tente d'engloutir son manche jusqu'aux couilles. Il m'attrape la nuque. Sa jouissance est imminente. J'en profite pour lui subtiliser le portefeuille que j'ouvre sans pouvoir regarder ce qu'il y a à l'intérieur. Je crois sentir des billets de banque, mais une mauvaise manipulation envoie valser l'étui dans l'herbe.
- Nom de Dieu!!!! Mais qu'est-ce que tu fais?!
Me relevant sans ménagement...
- Ma parole, mais tu étais en train de me voler!!!
Je panique. Putain, je sens que je vais passer un mauvais quart d'heure.
- Non, non, je vous assure... Il est tombé de votre poche.
- C'est ça, prends-moi pour un con. Allez, ouste, contre l'arbre, je vais t'apprendre à truander les honnêtes gens.
Il me retourne violemment et me plaque contre le pin parasol. Sa colère est telle que je n'ose résister. Il me baisse le pantalon et m'introduit un doigt dans le cul. La brutalité du geste m'arrache un cri de douleur.
- Et t'as intérêt à être docile où je te viole.
Ce mec me fait peur, soudain. Je sais que j'ai merdé et que je dois en subir les conséquences. Je décide de jouer le jeu. Faire croire que je suis consentant.
Je ferme les yeux, sans trop savoir ce qui m'attend. Je m'imagine déjà comme les mecs dans les films pornos, qui hurlent leur douleur d'être entubés.
Il vient de retirer mon boxer et me demande de tendre mon cul vers lui, bien en appui sur le tronc de l'arbre. Il mouille deux doigts puis me les fourre direct entre les fesses. Je couine de douleur mais après quelques aller-retour, mes plaintes se transforment en gémissements. Bordel, il sait vraiment y faire. C'est trop bon, et ses phalanges coulissent bien. Ce n'est pas la première fois qu'on malmène ma rondelle mais là, c'est super agréable. Il présente trois, puis quatre doigts. Je suis surpris que mon trou se détende à ce point et qu'il arrive à me doigter si facilement. Cette sensation qu'il me procure en me massant les boyaux me fait grimper aux rideaux.
- Ouai... Fais bien ta pute. Regarde comme je traite les voleurs de ton espèce!
Humm, il me traite comme une reine. Je pousse mon cul en arrière. Je ne pense à rien d'autre qu'à m'offrir. Il retire ses doigts, je pousse un soupir de déception.
- Attends, petite traînée, il va pas rester longtemps orphelin ton boule.
Il se positionne, présente son gland à l'entrée de mon œillet puis m'appuie sur les reins pour ajuster la hauteur...
Comme une brûlure d'eau bouillante, une grosse sensation de chaleur et de feu m'envahit. Je gémis, la bouche ouverte, sous le coup de la surprise. Son gros dard a perforé ma rondelle sans prévenir, son manche m'a pénétré. Je soulève mes fesses par réflexe, afin d'échapper à l'agression.
D'office, il m'appuie sur le dos pour me remettre en place au bon endroit. Je sens cette monstrueuse bite en moi qui m'a ouvert le fion. Mon militaire gradé m'a emboîté direct, sachant qu'il avait affaire à une bonne salope passive.
- T'es serré. Mon zob se sent bien dans ton petit cul de pédé. Mais j'ai pas encore tout rentré.
Et pour cause, il inaugure le passage avec son char d'assaut en mode commando. Mon anus me brûle, pénétré à l'extrême. Mais je ne vais pas protester, il en aurait rien à foutre. Et puis, j'ai trop peur qu'il me balance une beigne dans la tronche. Pourtant, avec son ramonage en règle, j'ai très mal. Des larmes me sont venues, je souffre le martyr. Ce con, ça le fait rigoler. Il est complètement indifférent à ma douleur. Ça lui fait trop plaisir de me donner une bonne leçon.
- J'adore défoncer des petits culs comme le tien. T'as quel âge?
- Aahhh!!! Vingt aaannns...
- Huummm! C'est les meilleurs, bien fermes, bien dodus... Ma queue adore leur dilater le trou.
Je n'entends pas ses autres commentaires, trop pris dans ma tourmente et dans mon effort pour me reprendre en espérant que cette tension passe.
Il manœuvre son manche avec de puissants va et vient, ce qui me fait gémir de plus en plus fort. Il recommence plusieurs fois, se régalant de mes cris aiguës. Il apprécie ma façon de me cabrer pour échapper à cette sodomie virile. Vainqueur et fier de sa domination, il me maintient fermement avec ses mains plaquées sur ma croupe. Il m'impose sa volonté sans limite. Je finis par trouver la force d'implorer sa clémence.
- S'il vous plaît, ça fait trop maaaal !!!!
- Ferme ta gueule! Tu vas ameuter du monde.
Il reprend sa baise hard. J'imagine que sa queue rigide est entrée entièrement dans mon cul. Je passe rapidement une main derrière mes fesses et je constate l'incroyable. Sa grosse pine, tendue à l'extrême, n'est logée qu'à moitié dans mon fondement. Je tâte ses couilles gluantes de ma salive et gorgées du foutre qu'il va bientôt m'envoyer.
- C'est ça, chauffe-moi bien les burnes. Tu sens comme ça bouillonne à l'intérieur?!
Il ressort complètement, me soulageant du feu qui me brûle, tartine mon œillet de salive et me ré-encule à la hussarde. Cette fois, il entre avec une facilité déconcertante tant mon trou est resté ouvert. Je proteste à peine, ne maîtrisant plus rien. Je suis anéanti par la bouffée de chaleur que me procure soudain ce pilonnage en règle. Des sensations nouvelles se répandent en moi. J'avais débandé sous la surprise et parce que j'avais trop mal, mais je sens la sève revenir comme une grosse vague tellement le plaisir que je ressens est fort. Je bande à nouveau et je sais que je pourrais jouir à tout instant.
Mon militaire m'a vu me branler et d'un coup rageur s'est planté au fond de moi. Ce coup-ci, j'ai vraiment senti l'enculage. À ma grande surprise, ma rondelle est restée déployée pour le recevoir et son gros mandrin a pu glisser en moi, distendre mes boyaux et me remplir comme une femelle en chaleur.
- Bouge pas! J'ai presque fini.
Le feu s'est estompé, laissant place au bonheur d'être possédé. D'instinct, comme la pute que je suis devenue, je me cambre pour offrir mon cul à ce mâle dominant qui comprend le message. Un dernier coup de rein et il finit par rentrer tout le reste de sa queue. Ses boules viennent buter contre mes fesses, m'arrachant au passage un couinement d'enculé.
- Salope, t'aimes ça, hein?! C'est rentré tout seul.
Ses coups de boutoir deviennent plus erratiques. Il n'est pas loin de jouir. Il manque me faire tomber mais je m'agrippe à l'arbre. J'ai trop peur qu'il se déboîte même si je suis fermement arrimé à son manche. Je l'entends haleter. Il se régale de m'enculer. Je me cramponne par confort et pour l'avoir complètement en moi.
Nos corps s'ajustent. Son piston entre en action. Le festival peut se poursuivre.
Mes dernières plaintes de petit enculé se mêlent à ses insultes. J'ai droit aux "salope", "vide-couilles", "garage à bites"... et autres formules du même ordre. Il ne cesse de me dire de fermer ma gueule, ravi d'emmancher un jeune de vingt ans et de lui faire goûter sa grosse pine.
Pour lui, je ne suis qu'un cul. Il me machine comme une bête sans savoir que son viol s'est transformé en baise du siècle. Il accélère ses va-et-vient, s'accroche à mes hanches. Je finis par gicler et j'éjacule tout le sperme de mes couilles, tant mon excitation est violente. Les mauvaises herbes devant moi, mon pantalon baissé, mes chaussures noires, sont aspergés de foutre dans tous les sens tellement il me secoue.
Il me défonce comme un animal en rut. Je suis sa femelle soumise. Après un dernier coup de reins, il s'immobilise. Il reste bloqué sur mon dos, les couilles collées contre mes fesses. Je le sens jouir en moi. Sa queue crache des jets de foutre ininterrompus. Une bonne semence chaude, bien épaisse... Celle d'un mâle reproducteur.
Il n'en finit pas de jouir. Je sens les soubresauts de son énorme queue pulser dans mon ventre. Il me remplit, me féconde de sa précieuse semence. Son gros gland crache, gicle, décharge toute sa sauce dans mes entrailles. Le plaisir est si intense que deux nouvelles giclées s'échappent de ma queue. Je les récupère sur mon doigt que je porte à la bouche.
- T'es jamais rassasié, à ce que je vois. T'es un bon aspirateur de foutre, toi!
Il finit par se retirer. Je me retourne et vois son gland dégorger une dernière goutte blanchâtre. Je sens un filet de liquide chaud descendre le long de mes jambes. Sa saillie était tellement puissante que mes intestins n'ont pu tout retenir.
Il me contemple avec fierté. Je n'ose soutenir son regard. Il vient de m'engrosser comme le font les animaux, par instinct de reproduction. Je ne sais comment réagir face à ce mâle si conquérant.
Il se penche pour récupérer son portefeuille, fouille dans ses papiers puis en ressort un billet de cinq euros qu'il finit par me tendre.
- Tiens, c'est pour toi. Après tout, tu l'as bien mérité.
Je le remercie, puis il se casse. Putain, le radin! Cinq euros!!! Il m'a démonté le cul pour cinq euros!!! Machinalement, je porte une main derrière moi et tâte ma pastille un peu endolorie. Je prends un mouchoir en papier et m'essuie les fesses.
Finalement, je m'en tire pas trop mal...
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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