Moi c’est Estéban, 20 ans. Je suis plutôt petit, poilu et assez bien constitué. L’histoire que je vais vous conter est fictive et scénarisé avec l’aide d’un ami. J’espère qu’elle sera à la hauteur de vos espérance :D
J’étais chez moi, seul et je m’ennuyais. Je passais mon temps à regarder un série et en même temps je parlais avec mon ami Matthieu. Ce dernier était plutôt chaud par message, il me parlait de ses quelques plans, branlettes ou histoires qu’il avait lu.
Etant absorbé par ma série, au début ça ne m’excitait pas trop, mais très vite j’ai commencé à entrer dans son p’tit jeu. Je lui envoyais des messages tendancieux et il me répondait sur le même ton. L’atmosphère était électrique par message et cela ne faisait que s’amplifier.
Matt : Tu bandes toi aussi ?
Moi : Non, pas encore, mais ça commence, je suis encore habillé.
Matt : Malheureux, enlève-moi donc tous ces habits.
En voyant ce message je souris, j’avais envie de jouer avec le feu, alors je répondis « Fais le toi-même ». Je me sentis bander instantanément et il n’en fallut pas plus pour qu’il me rejoigne chez moi. Il habitait à quelques minutes de mon domicile.
A son arrivée je lui souris et lui avait un regard de braise. Il ferma rapidement la porte et je n’eus le temps de rien faire qu’il vint m’embrasser avec fougue. Il me fit reculer contre un mur et sa bouche descendit dans mon cou. Ses mains étaient passées sous mon t-shirt et je lâchais des gémissement lorsqu’il me pinça les tétons.
Il commença alors à me déshabiller et je fus nu tandis que lui non. Il me regarda en se mordant la lèvre, il avait envie de moi, ça se voyait. Son entre-jambe était gonflé. Moi, j’étais dans le même état. Je n’attendais qu’à me faire dévorer.
S’étant reculé pour m’observer, il se rapprocha de moi et m’embrassa délicatement. Il voulait faire durer le plaisir et ses mains caressèrent mes flancs, mon ventre, mon dos, puis mes fesses. Il les agrippa délicatement avant de les malaxer. Sa bouche descendit dans mon cou et mes mains se logèrent dans ses cheveux.
Ses doigts se faufilèrent dans ma raie et caressèrent légèrement ma rondelle. Je lâchais un gémissement et je le sentis sourire contre ma peau. Il se mit alors à genoux devant moi et commença à me sucer. Il prit d’abord mon gland gorgé de sang en bouche et fit parcourir sa langue partout dessus. Puis il saisit mes hanches et me fit une gorge profonde m’arrachant un gémissement.
Il resta 30 secondes comme ça et joua avec sa langue le long de ma tige. Il frotta son gland avec l’arrière de sa langue et je n’étais plus qu’une glace chantante pour lui. Finalement je saisis sa tête pour qu’il ne se libère pas, puis je le relâchai et y retournai direct. Je le répétai plusieurs fois de suite ce mouvement en tapant le fond de sa gorge.
Il saisit en même temps sa queue dans son caleçon et la branla au rythme de mes vas-et-viens dans sa gorge. Il avait toujours une main sur une de mes fesses et vint la passer dans ma raie. Il appuya son pouce contre ma rondelle et le rentra délicatement, m’arrachant un gémissement. Je sortis brusquement ma queue de sa bouche et lui donnai mes boules à lécher. Il les lécha et les goba en tirant dessus, me faisant encore plus gémir.
J’étais chaud comme la braise, j’avais terriblement envie qu’il me prenne et je lui fis comprendre en m’écartant de lui pour lui tendre mes deux fesses. Il vint se coller à moi, passant ses mains sur mon buste, mes tétons, mon ventre et en m’embrassant dans le cou me faisant frissonner d’excitation.
Je cambrai mes fesses vers sa queue aussi dure que du béton qu’il faisait glisser dans ma raie. J’écartai légèrement mes jambes et sa queue vint percuter mes boules comme une queue de billard. J’avançai légèrement et son gland vint devant mon trou. Je reculai d’un coup et la moitié de sa queue entra en moi. Je lâchai un gémissement mêlant douleur et plaisir, celui d’être comblé.
Il finit par entrer entièrement en moi et je lâchai un « Oh ptn c’est bon ! » Il me tint par les épaules et commença ses vas-et-viens, me limant à grand coup de hanches. A chaque butée je lâchai un cri, tellement qu’il dut me bailloner avec sa main, puis sa bouche. Ses couilles cognaient contre les miennes tellement ses coups étaient rapides et puissants. Il finit par cogner ma prostate et je lâchai au moins 10 jets sur le canapé.
Mon cul s’est tellement resserré que ça l’a excité et je n’ai pas senti immédiatement que mon cul venait lui aussi d’être rempli. Il sortit de mes fesses et je sentis son bon jus couler le long de mes jambes. On se couche au sol tous les deux en 69 pour nettoyer la queue de l’un et de l’autre.
En nettoyant je me remis à bander et lui aussi, il me fit m’avancer un peu et me lècha la rondelle dégoulinante de jus. Je lui titillai la ronde avec un doigt et il écarta les jambes pour que j’y ai plus accès. J’entrai un doigt, puis deux et je commençai des mouvements amples dans son cul avec mes doigts. Je l’entendis gémir contre mon cul, toujours en train de me le lécher ce qui me faisait gémir aussi.
Il me fit me mettre sur le dos et vint s’empaler sur ma queue. Ses hanches glissèrent de haut en bas sur mon chibre et je le saisis par les fesses. Je relevai mes jambes et il s’en servit comme rampe pour s’enfoncer sur ma queue. Mes poils chatouillèrent ses boules et il balada sa main sur mon torse jusqu’à saisir mes tétons me faisant gémir.
Il posa ses genoux au sol et je pus me lâcher dans son cul. J’y allai avec des mouvements rapides. Il lâcha des gémissements en continu et il s’appuya sur moi pour absorber mes coups buttoirs. Je finis par lâcher ma deuxième salve en lui, tandis qu’il éjacula sur mon torse et sa dernière giclée sur ma joue.
Il se retira de sur ma queue et vint se coucher contre moi. On reprenait tous les deux notre souffle.
- Hmm tu m’en as mis partout, dis-je en riant.
- Oui… j’adore arroser les jolies plantes, plaisanta-t-il.
On s’embrassa tendrement en se caressant de la même façon, heureux de s’être vidé.
L'agent Wolfy Écrivain
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