Georges
Georges c'est le costaud par excellence, celui qu'on remarque quand il rentre quelque part, celui pour qui même le plus convaincu des actifs peut devenir passif, celui dont on se dit : "des comme moi, il en croque cinq au petit déj". Enfin bref, celui qu'on croise dans le Marais en ce disant : "j'ai aucune chance." Et pourtant...
J'avais à peu près vingt-deux ou vingt-trois ans, je baisais beaucoup et je n'était pas très regardant sur mes partenaires. Ceci dit, j'ai toujours eu des goûts bizarres. C'était l'été et je me baladais à Paris rue Rambuteau sans but réel, je ne bossais pas le soir et je n'avais pas envie de me faire un sauna. La moiteur ambiante me suffisait. Je marchais et mes pas m'avaient amenés jusqu'au "Bear's Den". Je pense que ce bar vous le connaissez au moins de réputation. C'est LE bar bear parisien par excellence rue des Lombards. J'entrai et je m'installai au bar. Il était relativement tôt et les gars qui se retrouvaient là pour l'apéro s'agglutinaient sur la terrasse. Je les observai en me disant que je n'avais pas de vie sociale dans le milieu gay lorsque Georges est arrivé. En chemise à carreau, moulé dans un jean, un bandana dans l'une des poches arrières (et oui, ça se faisait encore !). Il commença à faire la bise à la plupart des consommateurs et vint s'installer près de moi. Il plaisanta avec le barman mais ne m'accorda pas le moindre regard. Puis, brusquement, il se dirigea vers l'escalier qui descendait à la backroom en me jetant un oeil et en m'adressant un large sourire.
Je n'en revenais pas. J'avalai une gorgée de bière et, pensant que c'était une invitation, je le suivi. Comme je vous l'ai dit, il était tôt et personne de devait encore attendre dans la cave voûtée. Je descendis l'escalier lentement. Je transpire peu mais mon tee shirt collait contre mon dos et ma poitrine. Je me fis la réflexion que ça faisait ressortir mes tétons. Je m'étais déjà tapé des mecs musclés (ce ne sont pas toujours les meilleurs coups d'ailleurs) mais celui-là me plaisait vraiment. Il était, vous savez, un peu le genre dont on dit "respire le sexe". Il avait enlevé sa chemise et fumait une clope adossé à un mur à peu près à mi-chemin du bar et de la cave. Je me suis approché timidement en vérifiant que j'avais des capotes dans ma poche. On ne sait jamais. Il tira sur sa cigarette. Je me souviens l'avoir trouvé très attirant et m'être dit que si j'avais mal interprété son sourire, mon ego allait en prendre un coup mais non. Quand je suis passé près de lui, il m'a attiré contre son torse nu en m'attrapant par l'un des passants de la ceinture de mon jean. J'étais complètement en sueur. Mon pantalon devenait un problème. Je bandais comme un malade quand il m'a embrassé sans dire un mot. Son haleine sentait le tabac et la bière. En principe, j'aurais trouvé ça dégueulasse mais ça m'a excité encore plus.
Il a passé ses mains sous mon tee shirt et a pincé mes tétons très durement. Ma queue s'est durcie encore. Il continuait d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Il me chuchota "Je suis sûr que t'es une vraie salope". Il sourit et m'embrassa à nouveau. Il me colla contre le mur et ôta mon tee shirt. Le plus bizarre c'est que ça m'a excité alors que je l'avais entendu craquer et qu'à l'époque j'étais très fauché. Ca aurait du me poser problème mais non. Il m'a mordu dans le cou. J'ai eu mal mais pas tant que ça. Il tenait mes poignets et sa langue descendait le long de mon torse. Je me suis dit que j'allais éjaculer dans mon calbut s'il continuait comme ça. Il a ouvert mon jean, l'a baissé et a commencé à me palper. "Hum, pas mal monté..." Sa chemise avait rejoint mon pauvre tee shirt sur le sol. Il enfonça ma queue en entier dans sa bouche et mordilla mon gland. J'ai du gémir. Il s'est relevé et a sorti sa bite. Il avait un tatouage sur la hanche. Je me souviens d'avoir trouvé ça très "cliché" mais je l'ai sucé à mon tour. Il me chuchotait des mots salaces "bouffe salope" ou des trucs comme ça. Je m'exécutais. Je m'appliquais le plus possible. Nous étions seuls dans la backroom et n'importe qui pouvait descendre et nous voir baiser dans le couloir mais ça ne me dérangeait pas. Je le suçais goulûment. Il m'a fait allonger à plat ventre par terre et s'est mis au dessus de moi, frottant son sexe contre mes fesses et me bloquant la nuque avec son avant-bras. J'ai essayé de me dégager mais en vain, il devait peser au moins vingt kg de plus que moi. "T'as une capote ?". "Dans mon jean". Il farfouilla dans ma poche et craqua l'emballage. "J'ai du gel." "T'en as besoin ?". Je ne répondis pas. Je ne me faisais pas prendre souvent et j'avais tendance à me contracter, j'aurais aimé qu'il mette du gel mais je n'osai pas insister. Il m'a mis à quatre pattes. J'avais les genoux en feu. Il a commencé à me bouffer le cul. "Hum un cul poilu, j'adore." J'ai du gémir à nouveau. Il m'a traité de pute et a craché sur sa bite. Il a commencé à entrer en moi. J'ai fait un effort pour ne pas résister mais j'appréhendais quand même. Il n'était pas spécialement bien monté mais j'ai eu un peu mal quand il est entré. Je me suis senti franchement soumis lorsqu'il a commencé à faire des va et viens. Je bandais comme un dingue alors que d'habitude ce n'est pas le cas quand je me fais baiser. "Jouis pas tout de suite." m'ordonna-t-il. Je penchai le buste. J'avais la tête contre la pierre. C'était bizarre. J'étais en sueur. Je me demande comment il arrivait à tenir mes hanches. J'ai entendu des mecs marcher autour de nous. Je me suis contracté à nouveau mais il a trouvé ça génial et a éjaculé dans la capote. J'ai joui presque sans me toucher aussi, répandant mon sperme sur le sol. Il s'est retiré et assis par terre. "Tu m'as crevé.". Nous avons ri et nous sommes rhabillés. Les mecs s'étaient séparés. Nous sommes remontés comme si de rien n'était et avons parlé de la pluie et du beau temps en sirotant nos bières au bar. J'étais crevé. Vers 20 h, je suis rentré et me suis effondré. J'ai du dormir au moins 8 heures.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
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