Igor

En 2005, je partouzais de temps en temps avec un groupe de mecs. C'était plus où moins réussi. En fait, la baise à plusieurs ne fonctionne que lorsque tous les mecs acceptent de le faire les uns avec  les autres sans restrictions. Quand on commence à se demander si on plait à celui-ci où à celui-là, l'ambiance est plombée. C'était le cas le soir où j'ai rencontré Igor. Son prénom m'a interpellé tout de suite. Tout comme moi, il avait des origines russes (les miennes sont lointaines. Mes arrières grands-parents étaient des émigrés russes), il était à peu près de mon âge et très sympa. Très vite, lors de la soirée, nous nous étions amusés tous les deux laissant les autres se tourner autour. Une fois que tout le monde eut éjaculé... il me proposa de me raccompagner. A l'époque je n'avais pas de voiture et nous étions à Fontaine sur Saône. Il faisait froid et l'idée de reprendre le bus me gonflait. Nous avons donc pris congé de Philippe qui organisait ce genre de petites soirées et nous sommes montés en voiture.

Je regardais Igor un peu mieux, il me plaisait beaucoup. Il était un peu plus petit que moi, brun, un torse puissant et poilu, des yeux rieurs et un sourire qui devait lui assurer de nombreux succès masculins. Il me demanda où j'habitais. Je lui indiquais ma rue et l'invitais à boire un verre chez moi. Il était encore tôt et je me disais que je pouvais faire un truc à bouffer même si mon frigo était relativement vide. J'allais bien trouver un plat surgelé à partager (à l'époque je vivais seul et je cuisinais peu). Nous sommes arrivés chez moi vers 19 h 30. Nous avons un peu critiqué les mecs qui étaient avec nous l'après-midi. J'ai du faire une réflexion du genre "vraiment, il  y en a qui se  prennent pour des stars !". Il a rigolé. Vraiment, je le trouvais à mon goût et j'avais encore envie de lui. J'imaginais le slip qu'il avait remis quand il s'était rhabillé et je bandais en faisant décongeler des lasagnes au saumon dans le micro ondes. Je lui servis un verre de wisky et moi une bière. Il se leva et remarqua que je bandais. Je portais un 501 pourri mais assez moulant et pas de calbut. Il me sourit. "Et bien, t'as la forme !". Il m'embrassa. Je lui rendis son baiser très fort en enfonçant ma langue très profondément dans sa bouche. Il bandait aussi. "T'as envie ?" "Ouais". Je le renversai sur le canapé et lui enlevai son pull tout en le caressant très énergiquement. Il défaisait sa braguette maladroitement. Je l'aidais. Il était dans mes bras, le jean baissé, torse nu et je l'embrassai.

Je lui ôtais ses pompes. J'en ai bavé un peu. Il portait des Caterpillar d'hiver montantes. J'ai enlevé son jean et son slip (blanc très classique). Il était à poil et je le léchais de partout. Moi, j'étais encore tout habillé et je bandais comme un malade dans mon jean. Je me débarrassais donc de mes vêtements et je le conduisit jusqu'à ma chambre en l'embrassant dans le cou. Je sortis une capote du tiroir de la table de chevet et je commençais à le faire sucer ma bite. J'étais super excité pourtant nous avions baisé presque tout l'après-midi. J'avais peur de lui éjaculer dans la bouche. Je le retournai et commençais à lui bouffer le cul. Il était face à moi, les jambes relevées. Je le trouvais à tomber. J'entrais ma langue dans son cul assez profondément pour le voir s'ouvrir. Je me saisis de la capote et je commençais à m'enfoncer en lui en l'embrassant. Il était très dilaté (et pour cause) et je n'eut aucun mal à la lui mettre jusqu'au couilles. Je le branlais et le pilonnais en même temps. Il ne lui fallut pas longtemps pour s'éjaculer sur le torse. Je me retirai et le fis sucer à nouveau. Mon sperme se répandit sur son visage.

Nous sommes restés quelques minutes l'un contre l'autre collés par nos spermes et j'ai proposé une douche.  Dans mon appart du 3ème, impossible de la prendre à deux... dommage. Il est revenu, une de mes serviettes autour des hanches et j'ai sauté dans la salle de bain. Nous avons mangé distraitement. Discuté beaucoup et je lui ai proposé de dormir chez moi. Le lendemain  matin, nous avons remis ça. Il est parti bosser (j'étais en congés). Je ne l'ai jamais revu. Nous nous sommes appelés plusieurs fois mais nous n'arrivions pas à trouver un moment et je pense que nous nous sommes lassés. J'ai pensé à lui ce matin car, en vous cherchant des photos, je suis tombé sur celle d'un mec qui lui ressemble beaucoup.

Stanlyon

stanloeb@yahoo.fr

Autres histoires de l'auteur : Maxime
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