Vous allez croire que je raconte des conneries, que j'invente totalement cette histoire. C'est pourtant arrivé, l'an dernier, et comme je vais vous le dire. Disons que j'ai eu beaucoup de bol, je l'admets. Beaucoup de gays sans doute aimeraient avoir vécu çà à ma place...
Donc, je venais de commencer la fac et devais prendre le car presque toutes les semaines pour aller de mon village jusqu'à T., où je faisais mes études. Dans le car, j'ai retrouvé un pote avec qui j'avais fait tout le collège, puis deux années de lycée. Il s'appelle Sébastien. Il prépare un BTS maintenant. Séb. est un beau mec qui a toujours fait plus vieux que son âge, surtout qu'il est très poilu et qu'il a dû commencer à se raser dès la seconde. C'est pour çà qu'on l'a surnommé "Bono", en fait c'était le diminutif de "bonobo". Et çà pour deux raisons, d'abord parce qu'il est poilu comme un singe, et aussi parce que les bonobos ont la réputation d'être très portés sur le sexe, et dans ce domaine Sébastien a toujours été plutôt du genre précoce.... Il nous a affirmé, dès la troisième, n'être plus puceau, qu'il baisait des filles plus âgées que lui et il nous racontait en détail comment il les embrassait, leur mettait un doigt dans la chatte pour les exciter, des tas de trucs comme çà, qui nous excitaient... On bandait tous comme des boucs rien qu'à l'écouter et quelques-uns même s'éclipsaient pendant le récit des exploits de "Bono" pour aller se branler dans les chiottes. Au lycée, il a continué à nous raconter ses aventures (réelles ou inventées ?), nous expliquant pourquoi il fallait préférer enculer les meufs, et non pas leur troncher la chatte, pour éviter de les foutre enceintes. Comme copains, on n'étaient pas vraiment très proches tous les deux, mais je le fréquentais volontiers, car bien sûr je le trouvais beau mec, et déjà un vrai adulte. Parfois, je jetais de rapides coups d'oeil sur son paquet, toujours bien fourni, surtout quand il se promenait en slip dans les vestiaires, après la gym. Les poils de son torse, de ses jambes, de ses bras... et surtout ceux qui, partant de son nombril, plongent sous le slip, étaient pour moi le signe d'une vraie virilité que les autres élèves n'avaient pas encore atteinte. Son corps était sec, bien foutu, avec des muscles bien dessinés, grâce au foot, dont il a été très tôt un excellent joueur. Il jouait dans l'équipe du lycée et aussi dans celle du village; il y avait été très vite intégré, notamment pour ses talents de buteur. Il est splendide, habillé en footeux, il a des cuisses puissantes et... un cul rebondi très ferme, qui attire sur lui tous les regards, et pas que ceux des filles !..
Donc, sans être véritablement amis, le fait maintenant de se rencontrer souvent dans le car, nous a encore plus rapprochés. Il s'asseoit volontiers près de moi, quand on rentre au village. Et avec le temps, je sens que ça devient une véritable amitié. Personnellement, je suis heureux (et sans doute, je l'avoue, un peu excité) d'avoir à mes côtés un aussi beau garçon, dont le corps, pendant le voyage, frôle le mien, fortuitement bien entendu... un mec qui me fait la bise en arrivant comme en me quittant, qui me fait des confidences sur les filles qu'il a baisées ou sur ses projets de nouvelles conquêtes. Il me parle à voix basse, me demande ce que j'en pense, ce que j'aurais fait à sa place. Manquant d'expériences en la matière... je me contente de le féliciter, de l'encourager, de lui dire que je rêverais d'être à sa place. Et pour mieux m'y croire à sa place, je demande comment il s'y prend pour leur rouler une pelle quand elles refusent, ou comment il arrive à se faire sucer par les plus réticentes ou les plus pudiques. Et Bono n'est ni avare de détails, même les plus obscènes, ni de conseils comme le fait un "grand" avec un "petit"... Et toujours il me chuchote tout à l'oreille, penché sur moi, pour qu'on n'entende pas. Tant et si bien qu'un jour un gars du village, qui faisait le même voyage que nous dans l'autocar, a osé se foutre de notre gueule en nous demandant quand on allait se fiancer officiellement tous les deux. Inutile de dire que le coup de poing dans la gueule que lui a donné Sébastien/Bono en guise de réponse l'a guéri définitivement de sa curiosité et a sûrement dissuadé d'autres de poser ce genre de questions. Surtout que Sébastien n'est pas du genre à éveiller des doutes sur ses préférences sexuelles. Et même moi, rien dans mon allure, ni mes gestes ou ma façon de m'habiller ne peuvent faire soupçonner que j'ai une très nette préférence pour les garçons, et cela depuis très jeune...
Un soir, Sébastien et moi nous avons été invités à une fête, dans le village. Comme Sébastien habite assez loin en dehors du village, il m'a demandé s'il pouvait dormir chez moi, après, car il ne pouvait pas demander à son père de venir le chercher en pleine nuit. Il y avait des mecs et des nanas à cette fête, et on a beaucoup dansé. La fête, rien à dire, bonne ambiance, mais très vite Sébastien est venu me dire que les filles étaient trop jeunes, moches pour la plupart et qu'il s'emmerdait. Je lui ai répondu que c'était encore tôt pour partir, qu'il attende un peu; et puis je ne l'ai plus vu... En fait, pendant tout ce temps il a picolé un max., et quand j'ai voulu rentrer, j'ai eu beaucoup de mal à le ramener chez moi. Ma chambre heureusement est au rez-de-chaussée; je crois que sinon on aurait réveillé toute la maison ! J'ai un grand lit, et après lui avoir demandé de se désaper, on s'est retrouvés en boxer tous les deux, allongés côte à côte... Ça m'a fait tout drôle de me retrouver couché dans le même lit que lui, un mec pour qui j'ai une évidente attirance sexuelle. Je me suis demandé un instant si je ne pouvais pas profiter du fait qu'il était bituré pour caresser son corps... Surtout que sa cuite l'avait quasi immédiatement plongé dans un profond sommeil. J'ai hésité un bon moment, puis j'ai choisi la prudence. J'ai tourné le dos à mon beau voisin et me suis seulement blotti contre lui, les fesses contre son gros paquet. J'étais pas prêt à m'endormir... en sentant la chaleur de son corps dans mon dos, sa respiration dans mon cou, la protubérance avantageuse de son sexe... juste en face de mon trou. Cette position avait pour moi quelque chose de terriblement excitant, et en même temps de frustrant, car jamais, même dans mes rêves, je n'avais imaginé être aussi proche du corps d'un aussi beau mec de mon âge... et en plus ce mec c'était Bono ! Très lentement, j'ai commencé à frotter mon cul contre son sexe, afin de mieux sentir son volumineux paquet, plutôt mou pour l'instant... J'avais comme l'espoir que, malgré son sommeil, la testostérone secrétée par ses couilles allait prendre le dessus et provoquer, à l'insu du dormeur, une érection aussi belle que celles qui l'ont rendu si célébre et si recherché auprès des meufs qui ont croisé son chemin. Plus les minutes passent et plus j'essaye de sentir à travers le tissu de nos deux boxers l'éveil tant espéré de son organe... Mais je stoppe tout quand j'entends Sébastien me dire à l'oreille : "Arrête ton cinéma, ça fait longtemps que je sais que tu me kiffes, c'est l'occasion pour toi... allez lâche-toi... prends ton pied !" Et sans attendre, d'une main ferme, il me tourne la tête vers la sienne et me roule une pelle comme jamais j'ai pu le faire avec quelqu'un! Je suis comme paralysé, une sorte de peur, je ne sais pas quoi faire, comment interpréter son geste. Mais ravi, en fin de compte, je le laisse faire. Il m'embrasse de longues minutes, me caressant les cheveux avec une tendresse qui, elle aussi, me surprend. Quand enfin il sort sa langue de ma bouche, je descends plus bas, suce ses tétons, lèche sa poitrine velue, passe ma langue dans tous les recoins de son torse. Ma main caresse ses pectoraux, frotte le bout de ses tétons, descend le chemin poilu qui conduit de son nombril jusqu'à son sexe. J'adore plonger ma main dans ses poils ! Il a une touffe fournie, que je sens sous mes doigts et qui, en pleine lumière, doit être encore plus impressionnante. C'est finalement très agréable de toucher un garçon poilu ! Et moi qui, pour être plus séduisant, me rase partout, aisseles et bas-ventre, éliminant consciencieusement et régulièrement toute pilosité de mon corps, le moindre duvet, y compris sur mes couilles et mon cul... Le corps de mon bonobo m'apparaît soudain si viril, si agréable à caresser... Sébastien, sans que je le lui demande, baisse son boxer, pour que j'accède plus facilement à son organe. Je plonge mon visage dessus : il n'a qu'un début d'érection, mais je peux vérifier au toucher la taille exceptionnelle de l'engin ! Belles boules aussi... Je me régale à sentir l'odeur qui se dégage de son entrejambe; ce parfum viril qui doit faire tourner la tête de ses conquêtes féminines. Sébastien se laisse faire, sans un mot. Je prends en bouche sa verge, l'enduit de salive de haut en bas et commence à la pomper. L'effet est immédiat : Bono se met à bander comme un vrai bonobo. Il bouge un peu son bassin, donne des coups de reins pour mieux enfoncer son chibre dans ma bouche. Belle taille de queue, vraiment ! Longue et épaisse comme il s'en est toujours vanté dans ses récits de baise avec des meufs, et comme je l'imaginais, à juger par le volume remarquable de son paquet, quelle que soit sa tenue vestimentaire. Dommage que je ne puisse pas l'admirer en pleine lumière ! Mais peut-être que ça le gênerait de se voir en train de se faire sucer par un autre garçon, lui le mâle insoupçonnable !... Sébastien se retourne et me demande : "Vas-y bouffe-moi le cul !" Je commence par lécher ses fesses poilues, et je finis, après une petite hésitation, par introduire ma langue dans sa raie. Mon nez est enfoncé entre ses belles fesses fermes de fouteux musclé. Je me régale, et j'ai l'impression que Sébastien aime aussi. "Vas-y! Mets ta langue sur ma rondelle et lèche-la... Voilà comme çà...Putain, t'es une vraie petite salope ! tu fais çà mieux que les meufs !... continue... c'est bon !..." Je sens que mon bonobo est de plus en plus chaud. Mes câlineries l'ont totalement dégrisé... "Putain, tu sais quoi ? J'ai envie de te prendre... Mets-toi à plat ventre !" Je prends une capote dans un tiroir, la lui donne, et commence à prendre place comme il me l'a demandé. "Super... c'est une bonne capote, elle est déjà lubrifiée..." Je tends mon cul en l'air, prêt à recevoir enfin ce chibre auquel j'ai si souvent rêvé. Sébastien s'approche, crache sur ma rondelle, étale bien sa salive, crache à nouveau et en fait rentrer un peu dans mon trou. "Putain, petite salope, tu te rases... on dirait un corps de meuf !" Je me trémousse de plaisir en sentant son doigt me pénétrer. Très vite son gland remplace son doigt et je sens sa verge s'enfoncer peu à peu en moi. Un coup de rein plus brusque déclenche un petit gémissement chez moi. "N'aie pas peur, ma petite salope... tu vas avoir un peu mal, mais tu vas aimer de plus en plus !" J'ai compris qu'il l'avait entièrement plantée quand ses couilles sont venues taper contre mes fesses. Il commence alors ses allées et venues qui me donnent une sensation de brûlure, plus douloureuse que prévue. Mais je supporte cette petite souffrance, trop heureux de me faire pénétrer par le mec le plus mâle de mon entourage... Il va m'enculer comme çà un bon quart d'heure, à un rythme régulier, avant d'accélerer ses coups de bite, certains me pénétrant au plus profond de mon cul. Puis, soudain sa respiration s'arrête, quelques secondes, un cri rauque, et il ne bouge plus. Je comprends qu'il est en train de jouir, de remplir la capote de son jus chaud. Il reste comme çà, sans bouger, sa queue encore plantée. J'adore, c'est bon d'être empalé sur son pieu, de se sentir possédé par lui, d'être l'objet de son désir... Deux ou trois minutes et il retire sa queue d'entre mes fesses, enlève la capote, fait un noeud pour éviter que le sperme coule, et s'allongeant à côté de moi, s'endort brusquement.
Je me suis vite endormi moi aussi, heureux, comblé même, de ce que je venais de vivre. À mon réveil, Sébastien est déjà levé; j'entends qu'il se douche. Quand il sort de la salle de bain, totalement à poil, il vient près de,moi, la queue bien propre et dans une semi-érection. J'ai un instant l'mpression qu'il veut recommencer... "J'espère que t'as aimé, petite salope...". Il m'a dit çà avec un léger sourire, plein de fierté et de sous-entendus... Je ne vais pas répondre que j'ai eu un peu mal, au début, ce n'est pas le moment de le décevoir : "Génial, mon bonobo ! Tu as été génial ! Tu niques comme un dieu... Je comprends pourquoi tu baises tant de femmes!..." "Tant mieux, si ça t'a plus, ma petite salope... Mais je dois me casser... je peux pas rester plus longtemps... J'ai un match de foot cet aprèm..." Tout en l'écoutant, j'ai tendu la main vers lui, saisi sa bite flasque et tirant dessus j'ai rapproché son propriétaire de moi, je me mets à la sucer comme un forcené. Le bel organe de Bono va se réveiller en quelques secondes seulement. Sans doute de se voir, en plein jour, se faire sucer par un mec, ça l'a excité plus vite. Il se laisse faire et très vite pointe sa queue raide vers moi et éjacule ! Son sperme gicle en trois ou quatre jets puissants qui arrosent ma gueule et mon torse. "Putain, t'es une vraie salope !... Tu m'as fait encore jouir ! J'ai rarement vu quelqu'un qui aime la bite comme toi !" Je prends ça pour un compliment et essuye son sperme avec une serviette. Il s'habille en vitesse et sur le point de partir, il revient vers moi et, me fixant droit dans les yeux, m'avertit : "Fais pas le con ! Cette nuit, ça été super, ok... mais ça s'arrête là... Ça reste entre nous ! Compris ? Va surtout pas te vanter avec des petites tantouzes comme toi... J'ai accepté de te niquer, c'est ok, parce que j'ai vu depuis longtemps que tu me matais comme un malade... Mais c'est tout ! T'as compris. Pas de connerie !". Message reçu cinq sur cinq.
On a bien sûr continué à se voir dans le car, comme çà, mais sans jamais évoquer cette soirée, pourtant inoubliable pour moi. Un jour, il m'a annoncé qu'il allait arrêter ses études; qu'il allait passer le permis et travailler avec son père. Pour continuer à le voir, j'allais au stade le dimanche, applaudissant et criant quand il réussissait une belle passe ou un tir cadré. Il me saluait toujours, me demandait des nouvelles de mes etudes. Mais je sentais comme une gêne entre nous. Pour faire allusion, sans en avoir l'air, à notre nuit de sexe, je l'interrogeais sur ses conquêtes féminines... Pour réponse, il se contentait d'un "Pas terrible ! Je bosse comme un con, plus le temps de draguer... Et puis les meufs du village, je les ai déjà toutes baisées, elles m'intéressent plus !" Par contre, il m'a semblé réellement heureux que je vienne régulièrement le voir jouer au foot. "Tu aimes le foot, maintenant ?", a-t-il rajouté avec un clin d'oeil...
Un samedi soir, alors que je traversais la place du village, une bagnole s'arrête à ma hauteur, Séb. en descend, vient me saluer en me faisant une bise et en me donnant de grandes tapes dans le dos. "Alors, comment ça va l'étudiant ? Et qu'est-ce que tu fous, dehors, à cette heure, avec ce froid ?" Je remarque qu'il sentait l'alcool. "Allez, viens avec moi... je dois passer chercher un truc chez un client et ça me fait chier d'y aller tout seul..." Je monte tout heureux dans la bagnole. "Elle est à toi, cette caisse ?" "Non, elle est à mon père, mais il me la prête depuis que j'ai le permis." Il passe chez le client en question, y prend un carton et revenant au volant me dit : "Viens, on va chez moi... on va se taper quelques bières... Tu sais, ça me fait vachement plaisir de te voir !..." J'étais moi aussi enchanté d'être avec mon bonobo, mais je me garde bien de faire allusion à notre dernière rencontre... me souvenant de sa recommandation ! En arrivant chez lui, une maison très éloignée du village, je constate qu'il n'y a pas de lumière... Il me dit : "T'inquiète, y'a personne chez moi... Mes vieux et mon frère sont allés à un mariage... je suis tout seul !" Il a prononcé cette dernière phrase sur un ton coquin qui ne me laisse pas indifférent... Il sort des bières et du rhum. "Du rhum ? T'es dingue... J'en ai jamais bu ! Tu veux me bourrer la gueule, ou quoi ?" "T'inquiète... tu bois ce que tu veux...". On reste comme ça, face à face, dans le salon, à se raconter ce qu'on a fait ces derniers temps. Puis Séb. se lève et me dit : "Viens, je vais te montrer ce que je viens de m'acheter..." On passe dans sa chambre, une grande pièce avec des posters au mur, une télé écran plat, plein d'équipements vidéo. Bien meublée, avec un grand lit. Il prend une boîte en carton, marque Adidas, et en sort une paire de chaussures de foot vert fluo. "Avec çà, je vais marquer à chaque match ! Si tu viens au stade, tu vas voir qui est la star de l'équipe !" J'éclate de rire et me renverse sur son lit. Je lui demande : "Et si ce lit parlait, qu'est-ce qu'il raconterait ?" Séb. laisse tomber ses godasses de foot, s'approche de moi, pose un baiser sur mes lèvres et répond : "Il ne dirait rien, parce que l'ai dressé pour qu'il ne raconte rien..." Mais ma question a déclenché quelque chose chez mon bonobo : aussitôt il s'allonge contre moi, commence à m'embrasser avec une fougue proche de la fureur. Sa bouche, sa langue sentent le rhum... Moi, je n'ai bu que de la bière, mais l'alcool nous a tous les deux désinhibés. Nos langues se mêlent, mes mains caressent son corps, son sexe, que je sens déjà dur et raide. "J'ai envie de t'enculer. Tu veux ?..." Moi aussi je meurs d'envie de sentir sa queue s'enfoncer en moi. On se déshabille tous les deux en quelques secondes, il enfile une capote, me place plié en deux contre son lit, les pieds par terre. Il me met du gel sur la rondelle, me lubrifie bien et sans attendre m'enfonce sa verge jusqu'au bout. "Aahhh !... putain tu me fais mal...." "Calme-toi, ma petite salope... tu aimes ma queue, pas vrai ?... elle va te donner du plaisir... tu la sens dans ton cul... elle est grosse...elle te plaît, hein ? Tu aimes bien ma grosse bite, salope ?" Il me baise comme un forcené, un mec vraiment en manque; il m'embrasse dans le cou, me mord le lobe des oreilles. Puis il a voulu changer de position, m'a pénétré les jambes en l'air, de face... Je suis mieux comme çà... sa bite coulisse plus facilement dans mon fion... en plus, je peux voir son corps velu, ses muscles tendus par l'effort, sa gueule embellie par le plaisir qu'il prend à me défoncer le cul. Tout en me baisant, il me parle : "Tu aimes, salope ? Dis-moi si je te baise bien... Pas vrai, personne t'a niqué comme moi ? Je suis ton mâle " alpha "..." Je suis super excité, d'abord par le pilonnage qu'il m'inflige, mais aussi par tout ce qu'il me dit... Je sens que je ne vais pas tarder à juter. "Séb... putain... ça y est... je vais venir..." Et je lâche mon jus sur mon bas-ventre... De me voir éjaculer l'excite lui aussi, il accélère ses coups de reins et lâche à son tour sa purée dans mon cul. Il se laisse aller sur moi, nos corps se collant sur mon sperme. Il reste un long moment sans bouger, sa bite toujours enfoncée. Quand il retire sa bite, il m'avoue : "Putain... ma petite salope... j'adore baiser avec toi !" On reste un bon moment allongés sur le lit, sans parler. Puis j'ose lui demander ; "Et pourquoi tu m'as proposé de venir chez toi ? Tu avais dit qu'il fallait pas que j'en parle ! Que c'était la première et dernière fois qu'on baisait ensemble..." Il commence par m'embrasser, puis il m'avoue : "Pour dire la vérité... j'avais une putain d'envie de faire l'amour, et quoi de mieux... que de le faire avec toi ?...". J'en chialerais presque !
Après une douche rapide, il me ramène en bagnole près de chez moi. On se quitte, comme deux bons amis, sans plus. "Demain, je joue au foot, à deux heures. Je mettrai mes nouvelles godasses. Si tu veux me voir marquer mon premier but avec, viens... je compte sur toi..." Je promets d'être là. Une fois rentré chez moi, je me demande si je ne viens pas de rêver une nouvelle fois. En réfléchissant bien, je me dis que je ne dois surtout pas me faire d'illusions. Il m'a baisé pour se soulager, après des semaines d'abtinence sexuelle, pas plus... Et même s'il m'a semblé très tendre, il reste avant tout un mec attiré par les femmes, qui a maintenant sa vie, son métier, son foot... Un peu triste, j'ai fini par m'endormir. Le lendemain, je suis au stade, retrouve tous les anciens du lycée. On discute, déconne, rigole comme une bande de jeunes mecs heureux de se retrouver. On accepte même que j'aille aux vestaires saluer notre équipe. Séb. me reçoit chaleureusement et me donne de grandes tapes dans le dos, comme si on ne s'était plus vus depuis des mois... Je le félicite pour ses grolles : "Putain, tu as de super godasses, avec çà tu vas leur en marquer trois ou quatre. T'es un vrai champion !" Séb. éclate de rire, à l'évidence flatté que je le traite comme çà devant ses coéquipiers. Je me retourne pour repartir et me trouve nez à nez avec Julien, un autre ancien copain du lycée, qui me dit : "Et à moi, tu ne me dis rien ? Tu as en face de toi le plus grand buteur de l'équipe ! Le vrai champion, regarde : tu l'as devant toi ! C'est moi le crack de l'équipe !" Julien est torse nu, c'est un superbe mec lui aussi, pas poilu du tout, mais très viril quand même. Je ne l'ai plus vu d'aussi près depuis longtemps. Il a grandi, est devenu un vrai mec, de 1,80 m au moins, au look très viril. Je ne peux pas m'empêcher de le mater de la tête aux pieds, surpris par son physique... Il l'a sans doute remarqué, mais n edit rien... Interloqué, je ne sais pas quoi lui répondre : "Marque leur plein de buts... T'es un crack toi aussi... Allez bon match les mecs, écrasez-les, ces minables !" Et je regagne les tribunes, tout troublé par ce que je viens de voir. Après ce que j'ai vécu hier soir avec Séb. cette vision de Julien me fait douter de pouvoir chasser de mon esprit l'image de ces deux corps si différents, mais tout aussi sensuels. C'est Julien qui va marquer le seul but du match, et en guise de dédicace il fait un coeur avec ses mains, en direction des tribunes, sans doute à l'intention de sa nana. Après le match, j'ai filé chez moi, pour éviter d'affronter aussi bien Séb., qui n'a pas pu marquer, que Julien, le véritable "crack" de la journée.
Loin du village, la semaine est passée d'autant plus vite que j'avais des partiels à la fac, ce qui m'a permis de ne pas trop penser aux garçons... Le jeudi, je reçois un SMS de Séb. Il me dit que samedi un ami commun organisait une fête et que j'étais invité. Je réponds que bien entendu j'y serai. Comme la piole du gars est assez loin du village, j'y suis allé avec un autre invité. La fête : sympa, beaucoup de monde, de la bonne musique, plein de filles pour danser et s'amuser. Je me suis éclaté, chauffé par l'alcool, parlant avec beaucoup de monde, dansant jusqu'à dégouliner de sueur. Au cours de la soirée, je me suis retrouvé un court moment seul avec Julien. Je l'ai chambré en lui disant que même s'il avait marqué, c'est Séb. qui avait le mieux joué... "C'est lui, le vrai "crack" de l'équipe !" Et puis, j'ai continué à le titiller en me foutant de sa coupe de cheveux, cette crète blonde démodée, de ses séances de muscu., de son jeans moulant... En réalité, j'ai fait la liste de toutes ces choses qui m'excitent chez lui et le rendent particulièrement sexy. Au lieu de m'en vouloir, il se tord de rire, me pose des questions sur ma vie d'étudiant. "T'as une meuf là-bas ? C'est facile de draguer à la fac. ? Tu t'éclates en ville, en vivant seul..." Et plein d'autres questions. J'en viens à me demander pourquoi il s'intéresse tant à moi. On dirait qu'il est en train de me draguer... La fête a continue. Vers deux heures du matin, j'ai commencé à chercher qui pourrait me raccompagner en bagnole chez moi. Le copain qui m'avait emmené à l'aller était déjà rentré chez lui, sans me le dire, le con. Julien me dit : "Je te ramène moi, si tu veux... D'ailleurs, je suis crevé, je crois que je vais partir." On dit au revoir à quelques copains, à l'organisateur de la fête ; comme je ne trouve pas Séb., on sort sans le saluer. Julien est venu avec la voiture de son père. On démarre, on parle des filles vues à la soirée. Sans donner de raison, Julien prend subitement un chemin de traverse, il fait quelques mètres, arrête le moteur et les phares. On se retrouve en pleine obscurité. Je l'entends me dire : "Tu sais... je vais te dire quelque chose d'important... mais d'abord donne-moi ta main". Il me la prend et la colle sur son paquet. Il bande, c'est clair. Je retire ma main. "Arrête de faire ta pucelle !... Je sais que t'aime la bite... Ne va pas me dire que t'aime pas sucer... Je le sais depuis longtemps." Comment réagir ? Je suis super nerveux. "Qu'est-ce tu veux ?... Pourquoi tu t'es arrêté ici ?" Sans me répondre, il se penche sur moi et m'embrasse. Il m'annonce aussitôt : "J'ai envie de te faire l'amour!" Et il reprend sa pelle, bien baveuse, me bouffant les lèvres, me couvrant la gueule de salive. Il embrasse moins bien que Séb. mais il le fait avec tout autant de passion. Moi j'en profite pour toucher son corps, sa bite, qui est maintenant extra dure. Je la sors de sa braguette : putain, lui aussi est super bien membré ! Je le lui dis : "Çà c'est de la bite !... mon salaud !". Et comme gêné, il me dit tout doucement : "Tu te souviens du but que j'ai marqué dimanche dernier... tu as vu j'ai fait un coeur avec mes mains pour les tribunes... ce coeur, c'était pour toi !... Sérieux ! Dès que je t'ai revu, quand tu es venu dans les vestiaires, j'ai eu envie de te faire l'amour..." Il m'a demandé de baisser mon siège vers l' arrière, et on a commencé à s'éclater tous les deux. Il est excité comme un bouc. Je lui suce les tétons, lèche sa poitrine imberbe, caresse ses muscles, ses abdos, ses pectoraux. Quel beau mec ! Je saisis sa queue à deux mains, la suce énergiquement, mordille son gland rose, gobe ses couilles. Il gémit de bonheur : "Vas-y ! bouffe-moi la bite, espèce de petit pédé... T'en n'as pas sucé souvent des aussi belles !... elle te plaît ma queue... c'est de la queue de vrai "crack"! Et t'as encore rien vu, quand tu vas la sentir dans ton cul, elle va te faire délirer !..." Et il ajoute, mort d'impatience : "Mets-toi sur le ventre, j'ai envie de t'enculer !" Il sort de sa poche une capote, l'enfile sur sa bite. Avant de tourner mes fesses vers lui, je lui demande : "Vas-y doucement, mon Juju... elle est super grosse la tienne, et en plus j'ai pas mis de gel... Et stp, ça doit rester entre nous... un secret entre copains. Moi, tu peux avoir confiance, j'en parlerai à personne". "A qui tu veux que j'en parle ? A partir d'aujourd'hui tu seras ma petite pute, mais je serai le seul à le savoir..." et il me donne un baiser. Il m'enfonce sa queue avec douceur, et malgré l'inconfort d'une bagnole pour ce genre de sport, il m'astique le cul avec beaucoup de professionalisme... Je sens qu'il fait çà avec envie et plaisir. C'est pourquoi j'attends un peu avant de lui proposer de me prendre dans une autre position : moi, jambes en l'air, coincées contre le plafond de la caisse, lui à genoux sur le siège. Il trouve aussi que sa queue coulisse mieux. Il s'arrête parfois quelques secondes pour me rouler une pelle et me dire des obscénités du genre: "Ça te plaît, petite pute..." Tiens, c'est drôle, Séb. m'appelle sa "petite salope" et lui "sa petite pute". Toujours le besoin de jouer le rôle du vrai mâle, de celui qui baise un pédé seulement pour lui faire plaisir, pour lui rendre un service, en quelque sorte... Eux, les "vrais" mâles n'aiment pas enculer des mecs, ils ne s'éclatent que dans les chattes des meufs ! Ce qui est vrai c'est que Séb. comme Juju, sont de vrais hommes, pas de doute. Ils n'ont pas un physique de folles, et ont des tas d'expériences hétéro à raconter. Julien s'arrête de me limer le cul et me propose de sortir de la bagnole. "On sera mieux !" "Tu rigoles, Juju... on va pas faire çà dehors, ça craint... si quelqu'un passe..." "Quelqu'un, à cette heure ? y'a pas de risque..." On sort à poil tous les deux. Il me fait placer couché le ventre sur le capot de la caisse et il recommence à m'enculer. "Voilà, tu vois... c'est bon... c'est comme çà que j'aime niquer... Tu la sens ? comme elle rentre bien au fond !" Et en effet sa queue me transperce, ses couilles battent contre mes fesses, il semble se donner avec encore plus de vigueur et de plaisir. "Putain... j'adore t'enculer... t'as le cul serré, ma bite se régale..." Il me défonce le cul un bon quart d'heure ; moi aussi je suis aux anges, je n'arrive pas à croire que ce beau mec a préféré me niquer dans un bois, moi un mec... plutôt que de s'envoyer une meuf draguée dans la fête. Et dire qu'il a prétexté avoir sommeil pour pouvoir me raccompagner à la maison. "Branle-toi, vas-y.... pour qu'on jute tous les deux en même temps..." Et J'obéis bien sûr, tout heureux. Quand je lâche mon premier jet de foutre, je l'entends pousser un cri de jouissance derrière moi. On a réussi ce qu'il voulait : jouir tous les deux en même temps. Il retire sa bite, me montre la capote avec, au bout, une bonne dose de sperme blanc. "Super éjac ! Bravo !" Je suis sincère en le félicitant : il crache bien le salaud ! J'entends alors mon portable qui sonne, je me précipite : c'est Séb. ??? Il me demande pourquoi je suis parti sans rien lui dire; il veut savoir si je suis déjà chez moi. Je lui réponds que oui, que j'étais déjà endormi et qu'il m'a réveillé. Il s'excuse et je ferme mon portable. "C'est qui ?" m'interroge Julien, tout en essuyant avec un Kleenex mon foutre sur la carrosserie. Je lui explique que c'est Séb., qu'il voulait savoir si j'étais déjà rentré chez moi. Réaction immédiate ; "Qu'avec moi, tu entends ! fais gaffe ! Rien qu'avec moi ! Je t'interdis de baiser avec un autre mec !" Je fais un signe de soumission avec la tête. Se rendant compte qu'il m'a parlé très violemment, pour se faire pardoner, il m'embrasse tendrement et me demande : "Alors, ça t'a plu ? Je t'ai bien niqué ?... Réponds-moi, je baise bien ?" Sans vouloir le flatter je lui confirme qu'il m'a transporté au paradis, qu'il baise comme un dieu, dans toutes les positions, et qu'en plus son corps me rend dingue. J'ai droit à un autre baiser, posé sur mes lèvres : "Allez, on y va, il est tard et demain je joue !" Il me ramène chez moi, me fait promettre deux choses : que tout ça reste un secret entre nous, et que je ne fasse l'amour qu'avec lui ! Mais il est amoureux, parole ! En rentrant dans ma chambre, je regarde mon portable : cinq appels et un message, tous de Séb. Il me dit qu'il est venu m'attendre devant chez moi et que je n'étais pas rentré... Merde ! Les choses se compliquent... J'ai vraiment du mal à m'endormir. Et le lendemain matin je n'arriverai pas à me lever avant midi... Lâchement, je décide de ne pas aller voir le match de foot. Finalement, je suis plutôt soulagé de quitter le village pour toute une semaine de fac.
Rafael
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