Le " genre " dans tous ses états, tel était le thème cette année du Festival d'Avignon. Et comme le théâtre est le lieu de l'inversion et de la confusion des rôles, je me suis précipité dans la "Cité des Papes", en espérant que, sur scène, bouleversant tous les tabous, cette édition 2018 serait l'occasion de l'affirmation triomphante des identités sexuelles. Je dois dire que côté spectacles, je suis resté un peu sur ma faim... Par contre, hors festival, j'ai passé une soirée, aussi inattendue qu'exceptionnellement chaude, qui restera longtemps dans mon souvenir, me faisant sans doute estimer, en fin de compte, que ce festival est l'un des meilleurs et des plus réussis auxquels j'ai assisté...
Je sors d'un spectacle à minuit passé. Plutôt que de rentrer à l'hôtel, je décide d'aller faire un tour dans un lieu de drague traditionnel d'Avignon, un endroit où, dans le passé, j'ai fait de bien belles rencontres... Je me dirige donc vers Champfleury, quartier situé derrière la Gare, c'est-à-dire hors des remparts et de la foule des festivaliers. Je ne reconnais pas bien les lieux, les barres de HLM surpeuplées ayant été détruites ces dernières années. De petits ensembles, plus coquets, les ont avantageusement remplacées. Il me faut tourner pendant un bon moment avant de repérer la rue où les mecs draguent. Peu de monde, beaucoup moins qu'avant. Mais tout de même quatre ou cinq bagnoles stationnent dans le coin, lieu que je reconnais bien enfin. Certains automobilistes ont quitté leur volant et fument seuls, debout, appuyés contre leur portière. Je passe et repasse, à vitesse réduite, histoire de mater les mecs. Ils ont la quarantaine ou légèrement plus, d'assez beaux mecs. Deux mecs me plaisent bien, la vingtaine, ils parlent et rigolent ensemble. Ils ne semblent pas très intéressés par mes passages répétés. Ils sont en shorts blancs et dotés de bons paquets... Est-ce un couple de garçons, ou deux copains qui se sont retrouvés ? Quelques autres voitures tournent comme moi. Je finis par m'arrêter et stationner un peu plus loin, à l'entrée de la rue, quand on vient de la gare. Je me souviens que je me mettais toujours à cet endroit : ça permet de voir les passants qui arrivent à pied du centre-ville, les jeunes mecs par exemple, rentrant chez eux dans les HLM. Mais ça c'était avant ! Y-a-t'il toujours de jeunes mâles en vadrouille qui habitent dans les nouveaux logements ? Je sors de la bagnole pour fumer une clope. Je trouve que c'est beaucoup plus calme que dans le temps; pratiquement plus de mecs à pied cherchant fortune. J'attends encore un peu. Je rentrerai si ça ne s'anime pas plus.
Et là, surprise : je vois arriver un groupe de jeunes parlant assez fort entre eux. Plus ils s'approchent et plus les silhouettes me paraissent intéressantes. Ils sont quatre. Il ne faudrait pas qu'ils viennent à Champfleury pour "casser du pédé". Je remonte dans ma bagnole. Dans mon rétroviseur je vois un jeune se détacher du groupe; les autres restent dans l'ombre. J'entends une voix qui crie à l'intention de celui qui s'avance dans ma direction : "Zid ! dis-leur que j'en ai une grosse, bien juteuse !"... Le jeune gars est arrivé à hauteur de ma bagnole. Il s'approche du côté conducteur. J'avais baissé la vitre. Il me demande ; "T'as pas une clope, s'te plaît ?" Il a une super belle gueule. Je prends mon paquet et lui tends une cigarette. Il la prend. "File-moi le paquet, sois sympa, comme ça j'en donne à mes potes..." J'hésite un peu : il me reste quand même une dizaine de tiges... Mais il est trop beau ce jeune mec, je ne peux pas lui refuser !... "Merci... t'es cool, mec..." Il sourit, il a de superbes dents blanches; j'aime bien aussi sa coiffure : rasé sur les côtés avec de belles boucles dorées sur le haut du crâne. Très originale et soignée. Avec sa gueule d'ange, sa coiffure et sa silhouette sportive, il doit emballer toutes les meufs qu'il veut... Avant de rejoindre ses trois copains, il me demande à voix basse : "Tu cherches ?... Attends-moi ici, je vais aller avec eux, je fais semblant moi aussi de rentrer chez moi, et quand ils seront tous montés chez eux, je reviens... Attends-moi, j'en ai pour dix minutes..." Il déguerpit aussitôt. Ses copains l'accueillent bruyamment, heureux qu'il ait pensé à leur rapporter des clopes. Le groupe disparaît dans l'obscurité. J'attends.
Je regarde ma montre : ça fait un quart d'heure que je poireaute. Je me demande s'il va revenir... Et, sortant de je ne sais où, le voilà qui frappe à la vitre, côté passager. Je sursaute. Il a l'air pressé, il ne veut probablement pas se faire remarquer. J'ouvre et il s'assoit à mon côté : "Démarre ! J'veux pas qu'on me voie... y'a peut-être des mecs qui me connaissent..." Je ne traîne pas et m'éloigne du quartier. Je suis tout émoustillé d'avoir ce jeune mâle assis à côté de moi : vraiment je ne croyais pas que j'allais faire une si bonne pêche ce soir, tant tout paraissait si calme. "Prends la route de Villeneuve... je connais un endroit tranquille..." On traverse le Rhône, l'île de la Bartelasse, le deuxième pont, on arrive bientôt aux Angles. J'ai profité de ce petit voyage pour en savoir plus sur ce compagnon tombé du ciel. Il m'a appris que son prénom est Yazid (son diminutif "Zid"), qu'il a dix-huit ans, qu'il est en apprentissage au C.F.A de l'automobile, il veut devenir mécanicien. Il est seul chez lui en ce moment avec sa soeur aînée, leurs parents étant en congé dans le village familial au Maroc. Ils sont partis avec les petits frères. Lui n'a pas voulu y aller cette année : on s'emmerde trop au bled. Il est bien plus libre seul ici avec sa grande soeur; il peut sortir et rentrer comme il veut. Je lui demande d'enlever son tee-shirt pour voir son corps. Il le fait sans problème, fier de me montrer son torse. Il se caresse les pectoraux dont les tétons, très foncés, me fascinent. Il a aussi de beaux biceps. "Dis, tu es super bien musclé pour ton âge..." "J'ai fait de la gymnastique quand j'étais étudiant, de la barre fixe et des barres parallèles... ça muscle bien... mais surtout la gym ça fait travailler tout le corps..." Je suis de son avis : " Tu as raison, c'est pas comme les mecs qui font de la muscu en salle... Les corps des gymnastes sont nettement plus beaux... Et maintenant, Zid, t'en fais encore de la gym ?" "Non, j'ai arrêté, ça me gonflait... surtout les entraînements, tout ça..." "Dommage... En tous cas, ça t'a déjà bien développé le corps..." Et lui...? il est bien développé ?..." En lui posant cette question, de ma main droite je palpe son paquet, trop serré dans un bermuda-jeans, turquoise clair, dont la couleur met bien en valeur le teint naturellement bronzé de sa peau. Sans gêne, il me répond : "Il dort encore... Mais tu vas voir, quand il va se réveiller, c'est un super beau jouet... Il aime qu'on le câline..." Et il ajoute : "C'est pas pour me vanter, parole, il est pas mal... Les meufs me disent qu'au point de vue dimensions, il est nettement au-dessus de la moyenne... Tu aimes faire quoi, toi ? Sucer ?..." Je réponds aussitôt : "J'aime tout !... mais sucer c'est un de mes trucs favoris...". On a dépassé largement le deuxième pont sur le Rhône. "Tourne à droite..." La route passe au milieu des vergers. "Dans ce coin, il n'y a que des cultures... des pêchers... on est super tranquilles... Tu vas pouvoir maintenant t'occuper de lui..." me dit Zid en se touchant le zeb.
J'arrête le moteur. De la route, en contrebas, on ne doit pas voir ma bagnole. J'incline vers l'arrière le dossier de mon siège. Zid en fait autant. Il s'asseoit un peu plus haut sur son dossier, pour que son paquet soit à la hauteur de mon visage. Mes mains se précipitent, caressent, palpent l'engin. "Putain, Zid il est déjà super dur... tu bandes bien mon cochon !" Je commence à ouvrir sa braguette. "Attends, je baisse mon froc... On sera plus à l'aise..." Il fait glisser vers le bas à la fois son bermuda et son slip. Sa queue saute comme un diable de sa boîte !... Il a une belle queue de 17 ou 18 centimètres, épaisse, circoncise, plus foncée que le reste de son corps, de la même belle couleur brune de ses tétons... "Que c'est beau !... Zid... j'adore ta queue, tes couilles.... ton petit ventrounet... " Yazid se débarrasse totalement de ses vêtements, ne gardant que ses baskets fluo. Il m'offre ouvertement son beau corps bronzé, entièrement nu. "Tu es un véritable chef-d'oeuvre, Zid !...." Il veut savoir : "Ça veut dire quoi, chef-d'oeuvre ?" "Ça veut dire que t'as un corps parfait... comme les statues. Tu as déjà vu des statues anciennes ? Les sculpteurs leur ont fait des corps parfaits... Toi, t'es comme une statue grecque, même ta gueule, tes lèvres, tous tes muscles... tes cheveux aussi, bouclés, tu ressembles à une statue gracque !" Il rectifie : "Sauf la bite !... T'as pas remarqué ? les mecs des statues ils ont toujours une petite queue..." Et il éclate de rire ! "C'est pas faux... mais c'est parce que les sculpteurs, ils ne les sculptent pas en train de bander..." Je le caresse :" Là, toi, par contre tu l'as déjà bien raide... C'est pour ça qu'elle paraît plus grosse... Même si, c'est sûr, la tienne est grosse... Il est magnifique ton zeb, t'as raison Zid !... Le beau zeb de Zid ! J'aime aussi tes boules... la forme qu'elles ont, bien rondes. Tu te rases les poils ? " "Les meufs, elles préfèrent... T'as pas vu dans les films pornos, les mecs ils sont presque tous rasés!" Je donne mon avis : "Personnellement, c'est vrai Zid, je dis pas ça pour toi, je préfère les mecs sans poils... les mecs imberbes, à la peau glabre, ça met bien en valeur leurs muscles, la bite, les testicules... Allez, fais-moi un peu goûter ces petites merveilles que tu as là...." J'approche ma langue et lèche ses couilles, sa verge, son périnée. Zid réagit comme je le souhaitais : il gémit, commentant et guidant mes gâteries : "Vas-y, lèche-moi bien partout... comme ça... voila, sous les couilles... putain, c'est super bon !..." J'écarte ses cuisses pour aller plus loin ; son entrejambe sent très fort le sexe. Zid se tortille de plaisir et moi je m'enivre de ce parfum de jeune mâle beur. Ma langue arrive presque à sa rondelle; mais même si j'en meurs d'envie je ne vais pas plus loin. Je reviens à sa bite, dont je prends en bouche le gland. Zid m'arrête : " Tu aimes mon zeb, hein ?...Attends... Reste plutôt couché sur le dos". Sans sortir sa queue de ma bouche, il se place au-dessus de moi, tête-bêche. Sa queue, à l'envers, s'enfonce lentement dans ma gorge. Cette position "gorge profonde" plaît bien aux mecs homos, mais l'inconvémient, chez moi, c'est que je m'étouffe... Je tape sur une cuisse de Yazid pour qu'il se retire. Il ressort sa bite, je retrouve ma respiration : "Non pas comme ça, Yazid, pas si profond, ça fait mal et je m'étrangle !..." Il s'excuse :"D'accord, j'arrête!... J'ai vu ça dans les films porno... je croyais que ça vous plaisait à vous, les gays..." Je ne réponds pas car ce chibre brun est tellement délicieux que je ne veux pas perdre un instant ! Pendant quelques longues minutes, Yazid me baise la gueule en faisant gaffe de ne pas trop enfoncer sa queue. Son rythme est régulier, je salive un maximum. En le suçant, je regarde ses abdos aller et venir au-dessus de moi, se contracter dans l'effort, se relâcher. Que c'est beau un corps masculin en train de faire l'amour ! Il me baise avec un réel plaisir, j'entends qu'il accompagne les mouvements de son bassin d'une respiration de plus en plus sonore. Puis, brutalement, Zid s'arrête, se renverse sur son siège, appuyant fortement avec ses doigts à la base de sa verge. "Tu as mal, Yazid ?... Qu'est-ce t'as ?" "Non, c'est rien... J'allais jouir... Je ne veux pas éjaculer tout de suite... Je veux que ça dure plus longtemps..." Je suis rassuré : "Oui... t'as raison, beau mec... On n'est pas pressés... T''inquiète... je peux te faire jouir plusieurs fois..." Je reprends la fellation, j'évite tout de même de pomper sa queue avec trop de passion, ce qui risquerait de précipiter les choses. J'arrête la pipe et préfère caresser ses cuisses, ses mollets. Que c'est doux, toutes ces parties de son corps, cette peau soyeuse sous mes mains ! Je m'occupe ensuite de ses pectoraux, de ses biceps... "Tu es magnifique... Toi, Zid, tu pourrais facilement tourner dans des films pornos. Rien que de voir ton corps, les gays se branleraient des nuits entières !... Au fait, toi te branles quand tu es seul ? " "Ouais, de temps en temps... Surtout quand j'étais plus jeune, je me pignolais tous les jours ?" "Ça veut dire quoi se pignoler ?" " Ah, tu sais pas ? Une pignole c'est une branlette, on dit comme ça ici... Tu sais un jour un mec voulait me faire des photos, à poil, des gros-plans de ma bite, de mon cul, quand je jute, mn sperme... tout quoi... Il disait qu'il allait me payer un max. Mes potes, ils m'ont dit de surtout ne pas le faire... il paraît que tu retrouves après tes photos sur internet..."
Yazid me paraît maintenant un peu moins excité. Je peux reprendre mes câlineries, en commençant par une fellation majuscule. J'aspire son gland à fond, ce qui fait reprendre à son zeb la raideur et la dureté de tout à l'heure. Zid a l'air d'apprécier : "Putain, tu pompes super bien !... Les gays vous êtes tous des champions de la pipe, mais à toi on devrait te donner la médaille d'or !..." J'arrête une seconde ma succion pour le remercier et lui expliquer : "C'est à cause de toi ! Tu es tellement beau, Zid, et ton zeb est si goûteux que ca me rend dingue...! Quel dommage que je n'habite pas à Avignon, je te viderais les couilles tous les jours..." Il en profite pour glisser : "Au fait, pour me remercier, tu me feras un cadeau, hein ? après ?... Avoue que t'as pas souvent sucé un mec qui te plaise autant !... ça mérite récompense !" Je ne le contredis pas, me disant qu'il faut que je me fende au moins d'un petit pourboire... surtout que lui aussi va bientôt m'offrir à boire !... Ma pensée précède de quelques secondes seulement son orgasme. Le corps de Yazid se raidit, ses muscles deviennent plus saillants, le jeune Beur arrête sa respiration, puis accompagne d'une main sa queue pourqu'elle ne rate pas ma bouche, Son bel instrument lâche toute une série de jets au fond de ma gorge. Je triomphe : il est en train de jouir mon beau gymnaste ! Je savoure ce que je peux du jus resté sur ma langue, le reste je l'ai très vite avalé, comme par réflexe. Je l'ai senti couler dans ma gorge. Yazid laisse sa queue plantée dans ma bouche pour que tout son foutre s'écoule jusqu'à la dernière goutte. Son orgasme n'aura duré qu'une dizaine de secondes. Puis le jeune Beur s'est relâché, laissant tomber son corps sur le dossier du siège passager. Je retire sa verge de ma bouche. Je la regarde : elle brille tant elle est enduite de foutre. Certes, elle s'est un peu ramollie mais a conservé toute sa longueur. Je la lèche de tous côtés. Je prends mieux le goût du sperme dont l'essentiel s'est écoulé directement dans ma gorge m'empêchant d'en ressentir la saveur. "T'as bien joui, Zid ?" Yazid attend quelques secondes avant de me répondre. "Putain j'ai super kiffé !... Tu suces hyper bien, mec ! Parole !..." Son compliment, à l'évidence sincère, me flatte. Ce qu'il ne sait pas, c'est que moi aussi "j'ai super kiffé !" Le petit chef-d'oeuvre, non seulement a une plus grosse queue que les statues grecques, mais en plus il en a une super juteuse !
"Toi, Yazid, t'as bien joui... mais moi pas !... J'ai des capotes dans la boîte à gants... et du gel... Tu veux pas m'enculer ?..." Zid me regarde, ne sachant pas quoi répondre... "Ici... tu veux qu'on fasse ça ici ? Dans la bagnole ? Y'a pas beaucoup de place..." Afin de contrecarrer son argument je repasse tout de suite à la charge : "J'ai un plaid dans le coffre... Si t'es d'accord, on sort... on fait ça sur l'herbe..." "Ok...si tu veux... mais on attend un petit moment, je suis encore un peu crevé..." Pour patienter, Zid me laisse lui caresser le corps. Pas un pouce de sa peau ne va échapper à mes doigts, même ses joues, ses oreilles, son nez, ses lèvres, dont mon index suit les contours. J'aimerais tellement lui rouler une pelle, explorer avec ma langue les recoins de sa bouche, mordiller le lobe de ses oreilles, lecher tout son corps... Je touche ses cheveux : ses mèches bouclées se relèvent après le passage de mes mains, comme le gazon épais d'une pelouse qu'on vient de fouler. Vraiment, ce garçon a su trouver une coiffure qui le rend encore plus sexy. C'est un sacré séducteur ! Au bout d'une dizaine de minutes de caresses, dans le plus total silence, Zid: "Alors, on sort maintenant, si tu veux ?" Lui, qui tout à l'heure m'avait paru si peu enthousiaste à l'idée de me niquer, semble maintenant avoir retrouvé toutes ses envies de mâle...
Nous nous retrouvons tous les deux, à poil, allongés sur le plaid. Zid, après m'avoir caressé les fesses, m'a lubrifié le fion, à l'aide d'un, puis de deux, même de trois doigts. Le fait de s'occuper ainsi de mon cul lui a redonné de la pêche. Il se confie : "Je vais t'avouer quelque chose : en vérité, je préfère presque niquer un mec que de baiser une nana... Une chatte, c'est moins serré qu'un fion, ça donne moins de sensations, alors qu'un cul, même si le mec n'est plus puceau, c'est toujours plus serré... Tu sens ton zeb s'enfoncer dedans... c'est chaud... c'est bon... En plus les mecs ils font tout pour que tu prennes ton pied. Toi, tu aimes te faire prendre comment ? Moi, je vais te dire, ce que j'aime bien, c'est quand que le mec met ses jambes sur mes épaules. Comme ça, quand je le nique je vois sa gueule, je vois si ça lui plaît... J'aime bien aussi quand je le vois gueuler de douleur !..." "D'accord, Zid... C'est ok ! C'est une position que j'aime beaucoup, moi aussi..." Je me couche sur le dos, pose mes chevilles sur ses épaules. Yazid approche sa queue raide de mon cul. J'attends le moment divin où il va coller la pointe de son zeb contre ma rondelle. Il a bien visé : il est juste en face. Il ne lui reste plus qu'à pousser. Deux ou trois coups de reins vont suffire. Le gel aidant, sa bite s'enfonce peu à peu en moi. J'adore ce moment de possession par le mâle. Je sens que son zeb glisse, puis s'arrête ne pouvant aller plus loin au fond ... Ses couilles sont maintenant plaquées contre mes fesses. Yazid attend un peu, histoire que mon rectum s'habitue au format de sa pine. Puis il commence à me limer le cul. Plus d'un quart d'heure de bonheur ! A aucun moment je ne ressens la moindre douleur. C'est une pénétration parfaite, sans violence, qui donne le frisson à chacun de nous. Yazid semble heureux de me prendre, et moi béat d'être pris. Cette position est aussi très avantageuse pour le passif ! Je peux voir mon jeune mâle s'appliquer dans sa baise, pour que le rythme de ses coups de reins soit le plus régulier possible et pour que sa queue coulisse bien, sans risquer de déculer quand elle ressort. Il remue bien son bassin d'avant en arrière. Le corps du Beur vibre d'excitation. Je frémis moi aussi, tant le dard de mon partenaire déclenche en moi une foultitude de petits bonheurs physiques, notamment sur ma prostate, délicieusement caressée à chaque passage de son pénis. J'ai rarement pris autant de plaisir à me faire ramoner le cul ! Nombre de mes amants, trop soucieux de leur seule jouissance, m'ont souvent brutalisé, me faisant regretter parfois de leur avoir si ingénûment tendu mes fesses. Avec Zid, rien de tout ça, rien qui me torture le boyau, agréablement parcouru dans les deux sens. Son magnifique pénis, raide et dur, tôt ou tard, l'inondera de sa liqueur mâle, fruit de ses deux belles boules rondes, que j'ai chauffées avec ma langue à plusieurs reprises ce soir.
Zid arrête d'un coup ses va et vient, contracte tous les muscles de son corps, poussant sa queue en core plus au fond. J'ai compris : son jus va gicler, mon actif va délirer de jouissance ! Cette idée d'orgasme imminent déclenche chez moi la même réaction. C'est ma première éjaculation de la soirée ! Je sens mon sperme s'échapper de ma queue... quel pied ! je le vois s'étaler sur mon ventre... C'est divin ! Je sens parallèlement la chaleur du foutre de Yazid envahir mon cul. Lui aussi est en train de jouir !!! Une double éjaculation, simultanée, le signe d'une parfaite entente entre nous. Zid, satisfait m'a vu juter : "Toi aussi t'as joui, cette fois, en même temps que moi !!. Tu as eu droit, ce soir, à deux doses de Yop, petit veinard ! T'as du bol, parce que je ne m'étais pas branlé depuis trois ou quatre jours... Ce soir, j'avais trop besoin de changer l'eau des olives... C'est mon pote Kacem qui dit ça..." Je ris puis rectifie : "En ce qui te concerne, l'eau des olives ressemble plutôt à de la mayonnaise !". Zid se marre fièrement.
Après nous être nettoyés avec des lingettes pour bébé, nous nous rhabillons. Je donne alors à Yazid la récompense promise ... et si méritée ! Nous rentrons à Avignon. Pendant le trajet, je caresse sa cuisse, heureux de garder ce contact physique jusqu'au dernier moment. Quand je le dépose à une cinquantaine de mètres de son petit immeuble, j'ai le coeur gros. Je sens que je bande à nouveau. J'ai rarement passé une soirée aussi jouissive. Comme je voudrais le revoir mon beau Zid, mon jeune gymnaste beur !
Rafael
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