Je ne suis là que depuis deux jours et je me plais bien dans ce petit hôtel de Santa Teresa, situé sur la côte atlantique, à une trentaine de kilomètres de la frontière brésilienne. Santa Teresa est un parc naturel d'une très grande superficie, et en raison de sa proximité du Brésil, il est placé sous la surveillance de l'armée. Du petit bungalow que j'ai loué, sur la plage, je vois souvent passer des soldats en uniforme, censés sécuriser les lieux, alors qu'il n'y a aucun danger, encore moins le risque d'une invasion brésilienne... Les militaires se contentent en fait de vérifier l'identité de campeurs sauvages ou de discuter avec les petits vendeurs de boissons et fruits divers qui font du commerce sur la plage. Il n'y a pas vraiment beaucoup de touristes, malgré la beauté du paysage et la tranquillité de l'endroit.
Mon petit hôtel se trouve sur la plage appelée La Moza, une belle bande de sable très populaire parmi les jeunes et les adolescents qui viennent camper dans le coin. Mon hôtel propose de petites cabanes en bois, au confort sommaire, mais très agréables parce que rafraîchies la nuit par la brise marine. En outre, les cabanes sont assez éloignées les unes des autres, garantissant un calme absolu. Les soldats viennent tous les jours sur la plage La Moza, et sous prétexte de faire leur travail de surveillance, discutent volontiers avec les jeunes garçons et filles, campant à quelques mètres du sable. Ils en profitent pour draguer ouvertement les filles en maillot, certaines, comme sur les plages du Brésil, n'ayant pour tout vêtement qu'un petit triangle de tissu devant et qu'un simple fil derrière, dans la raie des fesses. Les pauvres bidasses doivent baver d'envie devant un tel spectacle, et sûrement se branler dans leur lit en repensant aux globes charnus et bronzés apercus dans la journée.
Moi aussi j'ai eu droit hier à "un contrôle" militaire. Deux gars sont venus me voir, alors que je lisais à l'ombre devant ma cabane en bois. Ils ont paru enchantés d'apprendre que j'étais étranger, m'ont demandé comment j'avais trouvé ce coin, si j'étais seul, marié, ce que je lisais, si je ne m'ennuyais pas. Toutes ces questions, en cascade, m'ont incité à les interroger à mon tour... Ils m'ont dit d'où ils venaient, que, bien que jeunes, 21 et 22 ans, ils étaient tous les deux mariés, mais que malheureusement ils ne pouvaient pas aller voir leurs femmes. Ils habitaient trop loin.
Je crois me souvenir que l'un s'appelait Santiago et l'autre Paco. Deux beaux gars, solides, bien virils. Shorts kaki plutôt courts et chemises entrouvertes m'ont tout de suite permis de voir la belle couleur de leur peau, naturellement bronzée. Ils ont tous les deux des pectoraux développés, des bras musclés, des cuisses et des mollets de vrais sportifs. Je leur demande s'ils font du sport. "Bien sûr !", me répondent-ils en choeur : du foot, mais surtout de la muscu, le soir. Santiago a même remonté les manches courtes de sa chemise pour que je puisse mieux me rendre compte de la taille de ses biceps. J'ai bien sûr montré par un hochement de tête mon admiration, d'ailleurs sincère... et intéressée. Paco, pour ne pas être en reste, a déboutonné sa chemise et exhibé ses abdos, fermes et divinement dessinés, sur lesquels il frappe énergiquement avec le plat de sa main. Ce sont en effet deux superbes spécimens, ces gars, et je n'ai aucune difficulté à les féliciter, accompagnant mes compliments d'une remarque volontairement provocatrice : "Vos femmes... elles sont vernies !... chapeau, elles ne doivent pas s'ennuyer quand vous rentrez à la maison !!"... "Ah, ça c'est clair... Nous aussi on s'éclate ! Mais le problème, c'est qu'on rentre pas souvent... et, ici, on n'a pas tellement l'occasion de se vider les couilles... Tu vois ce que je veux dire ..." C'est Paco qui m'a fait cette confidence, avant d'éclater de rire... Sa façon à lui de faire à son tour de la provoc et de me tester... "Vous pouvez vous branler..." Ma remarque n'a pas d'autre but que de les chauffer un peu... Paco, le plus bavard des deux, me précise : "C'est qu'on préfère qu'on nous le fasse..." "Arrête, Paco, notre ami va croire que tu lui fais des avances !..." Je ne sais pas quoi répondre et me contente d'un sourire un peu forcé.
Je ne les ai pas vus le lendemain dans la journée. Comme c'est samedi, j'ai pensé qu'ils doivent être restés dans leur caserne, située à 3 ou 4 kilomètres de la plage. Le soir, après avoir dîné, et alors que je lis un roman policier sur mon fauteuil, face à la plage, je les aperçois passer, marchant pieds nus, en civil, le long de plage. Me voyant de loin, ils viennent droit vers ma cabane, me saluent et me demandent ce que je fais. Pour les retenir je leur propose de boire une bière. Je vais au frigo prendre trois canettes et les invite à s'asseoir. Les deux soldats me remercient et se placent face à moi. Du coin de l'oeil, je mate rapidement dans leur bermuda, le paquet de chacun d'eux. Pas mal ! Je leur demande où ils vont à cette heure.
- "On va aux feux. A quelques kilomètres d'ici, il y a une autre plage, et le samedi soir, il y a des feux sur la plage... Y'a plein de monde, que des jeunes, y'en a qui chantent en s'accompagnant à la guitarre, on boit des bières, ça fume... ça baise...".
Paco éclate de rire, Santiago se marre à son tour... Je commente :
- "C'est pour ça que vous aviez l'air si pressés, quand je vous ai vus en train de marcher... Je comprends maintenant !".
Santiago m'explique à son tour :
- "Elles sont super ces veillées. Les filles, quand elles ont bu et fumé un joint... tu les emballe comme tu veux... Elles se laissent toucher les nichons et le cul... et si tu les chauffes bien en leur montrant ton paquet, tu peux les emmener derrière, dans le sable, et les baiser..."
- "Il te dit ça, Santiago, mais on n'en a pas encore sauté une ! Ces salopes, elles t'excitent, à la rigueur tu peux leur rouler un patin, mais après elles ne veulent ni te sucer ni baiser. On y va quand même, tous les samedis, des fois qu'une nous fasse un pompier et se fasse prendre par devant et par derrière ! On est beaux gosses : tu nous l'a dit qu'on étaient bien foutus tous les deux ! Et puis , y'a pas photo, on est sûrement mieux montés que les petits branleurs de minets qui campent avec elles... Ils ont tous des gueules de pédés, ces mecs... D'ailleurs, il y a un feu, un peu plus loin, où autour il n'y a que des mecs. Ou presque. Inutile de te dire que ça se termine toujours par une orgie de "maricas".
Paco termine en me proposant de les accompagner : "Viens, l'ambiance est super bonne, on rigole..." Santiago insiste : "Tu verras, ça va te plaire... Il y a des mecs qui chantent super bien... Si nous on y va, c'est que c'est pas un truc minable !"
Je fais une moue dubitative. Je ne suis pas chaud. Je leur explique que j'ai dix ans de plus qu'eux, que les autres sont des ados... Ils vont se demander ce que je viens faire... Je finis par me laisser convaincre, et après avoir fermé mon bungalow, je les suis le long de la plage.
Comme ils me l'ont décrit, il y a trois feux, avec autour, pour chacun, une vingtaine de jeunes, garçons et filles assis en cercle. Il y a un peu une ambiance de colonie de vacances. On fait les trois feux à la suite. Paco, Santiago, et moi sommes chaque fois restés debout, écoutant longtemps un beau chevelu qui chantait en anglais. Puis Paco me tape sur l'épaule et me propose d'aller plus loin, après les rochers, voir un dernier feu. On y va. A quelques mètres du cercle des participants, je remarque qu'ils sont moins nombreux que dans les trois autres feux : à peine une douzaine, et seulement deux filles, tous les autres sont des garçons. Paco et Santiago vont saluer deux d'entre eux : des copains militaires. Ils bavardent quelques minutes, se marrent, puis Paco vient me chercher et me propose de m'asseoir près d'eux, dans le cercle. Les deux soldats en guise de salutations me sourient. Ce sont eux-aussi deux beaux mecs, surtout un que je ne peux m'empêcher de regarder un peu plus longtemps. Il remarque mon intérêt et, souriant de toutes ses dents, me fait un "V" de victoire avec deux doigts. Je suis gêné qu'il ait si vite compris mon attraction pour lui. Je tourne la tête et fais semblant d'écouter le chanteur. Tout le monde boit de la bière et des canettes vides sont plantées dans le sable devant les jeunes assis en tailleur. A un moment donné, pour ne pas croiser le regard du beau soldat, je croise par hasard celui d'un autre garçon, assis à 2 ou 3 mètres de moi, qui m'observe attentivement. C'est un beau petit mec, jeune, pas plus de 16 ou 18 ans, aux traits fins, les cheveux décolorés. Le jeune typique qui hésite encore sur ses préférences sexuelles et qui se lâcherait volontiers avec un adulte dans mon genre, même si j'ai deux fois son âge. Il me sourit, je souris aussi. Paco, qui décidément ne rate rien, me chuchote à l'oreille : "On dirait que t'as tapé dans l'oeil du jeune mec, là-bas... Vas-y... vas lui parler... Il n'attend que ça !" Santiago m'encourage aussi : " Lâche-toi !... Profites-en... Tu peux te le faire... Te gênes pas pour nous... si t'as envie de te faire pomper... ils sont presque tous gays... on te l'as dit"
J'ai vite compris que mes deux potes militaires avaient eux aussi intérêt à ce que les choses bougent et que les garçons du cercle se lâchent et déclarent ouvertement leurs envies. L'idée n'a rien pour me déplaire, mais plutôt que de goûter la chair fraîche de ce bel ado, je préférerais de loin m'éclater avec Paco ou Santiago... ou les deux ensemble, si ça leur dit. Le jeune homme a compris que les deux soldats me poussent à répondre à ses avances et fait sa mijaurée. Ses manières affectées me le font voir soudain sous son jour le plus efféminé. De quoi me couper toute envie de m'approcher de lui. Je me tourne vers Paco et lui explique que je n'ai guère envie de m'envoyer en l'air avec ce genre de minet asexué... D'ailleurs, après presque deux heures passées sur cette plage, j'annonce à mes deux soldats que je vais rentrer tout seul à ma cabane. Je les remercie de m'avoir invité et quitte ce feu, dépasse les rochers pour revenir vers les trois premiers groupes et me rapprocher de mon bungalow. Tout en marchant, je repense à ce qu'il vient de se passer : quel dommage que ni Paco, ni Santiago ne m'aient poposé de nous éloigner du cercle, pour nous donner du plaisir, sur le sable, dans la pénombre. Ils me chauffent vraiment ces deux mecs ! Pareil pour leurs deux copains militaires : deux beaux mâles eux aussi, qui le samedi doivent venir se vider les couilles dans les bouches et les culs des petits minets du dernier feu... Vers trois ou quatre heures du matin, ils doivent tous être tellement chauds et biturés, que l'orgie est inévitable, et là, même les plus hétéros, doivent sans gêne se soulager d'une semaine de privation.
Une fois arrivé à mon bungalow, je tire mon lit vers la porte, que je laisse ouverte pour sentir la brise de mer rafraîchir mon corps. Vêtu seulement de mon slip, je m'endors très vite. Je suis réveillé une ou deux heures plus tard par le bruit de voix masculines. J'ouvre les yeux. Surprise : Paco et Santiago sont là, près de mon lit : ils commentent le fait que je dorme presque à poil. Quand ils constatent qu'ils m'ont réveillé, Paco me commente : "T'as perdu l'occasion de ta vie !" - "Ah, bon ? Qu'est-ce que j'ai raté ?" - "Regarde dans quel état ils nous a mis, le jeune, qui te faisait de l'oeil..." Et il me montre, sous son bermuda, sa bite bien raide. "Ils nous a sucé comme une salope... et après on l'a tous les deux enculé...! Putain si t'avais entendu comme elle criait cette petite pute !..." Santiago sort alors sa bite : il bande comme une bête... Un membre énorme, qu'il agite en tous sens : "Putain... si t'avais vu comme je lui ai démonté le cul !... Il était bien serré, comme j'aime !" Le récit des exploits de mes deux militaires et la vue de leurs bites encore gonflées, ont sur moi un effet immédiat : je bande et ne peux m'empêcher de me toucher la verge et les couilles. Santiago me saute dessus et saisit ma queue à travers le slip :
- "T'as vu, Paco, notre ami... il est super chaud, lui aussi !"
D'un geste brusque je dégage la main de Santiago pour libérer ma queue :
- "Laisse-moi... ne me touche pas !"
- "Ne raconte pas de conneries.... On sait que tu aimes ça... Tu crois qu'on n'a pas vu comme tu nous mates, Paco et moi... Tu regardes nos paquets comme un affamé... Tu aimes la bite... c'est clair ! Tu vas pas nous faire croire que t'as pas envie de nous !"
Je suis surpris que ce soit Santiago, le plus "timide" des deux, c'est du moins ce que je croyais, qui me dise ça. Et ajoutant le geste à la parole, il me tend sa bite bien bandée pour que je la suce. Son chibre est beau, très foncé, avec un beau prépuce. Une tige épaisse de 18 ou 19 centimètres, avec deux couilles rondes, pas très grosses, pendantes. J'ouvre la bouche et essaye d'avaler le plus possible de ce beau morceau de chair. Sa bite sent fort : l'odeur de sperme et ce parfum de mâle des vrais garçons. Il a dû déjà éjaculer dans la bouche et le cul du petit minet, mais il continue de bander comme s'il ne s'était pas soulagé depuis des jours. Paco a aussi sorti sa bite et me la tend pour que je le suce. J'alterne, prenant chaque bite avec la même envie. Paco est bien membré aussi ; mais sa queue, plus longue est plus fine que celle de son pote. Elle a bon goût et sent, comme celle de Santiago le cul et le foutre. Ils ont dû le défoncer comme des malades le petit pédé.
Subitement, je pense que si mes voisins, couchés dans les bungalows voisins, ont été réveillés par nos conversations, ils vont vite sortir se rincer l'oeil. J'explique à mes partenaires que je ne veux pas me donner en spectacle, qu'il vaut mieux que nous tirions le lit pour le rentrer dans la cabane et continuer nos ébats dedans. On le fait sans trop faire de bruit et reprenons très vite nos petites affaires. Je me mets à genoux devant la grosse queue de Santiago et tends mon cul à Paco. Celui-ci écarte mes fesses et passe le bout de son doigt sur ma rondelle :
- " Viens voir Santiago... c'est tout neuf... ou presque ! Ça n'a pas beaucoup servi... ça a l'air bien serré, en plus, comme celui du petit pédé... On va se régaler !"
Paco s'emploie alors à me dilater l'anneau, avec ses doigts mouillés de salive, pendant que Santiago me redonne sa queue à sucer. Paco faisait ça avec une douceur extrême, déclenchant des sensations irrésistibles, rarement éprouvées avec d'autres partenaires. Je gémis de bonheur, comblé par le goût fort de la queue de Santiago et les câlineries de Paco dans mon cul.
- "Avoue-le..., me dit Santiago, ça fait longtemps que tu en rêves... d'avoir deux jeunes mâles, bien membrés, rien que pour toi... Deux mecs, des vrais ! comme nous, qui allons te prendre et te remplir le cul de jus !..."
Et, le "timide" Santiago, s'adressant autoritairement à son copain :
- "Attends, Paco, viens plutôt te faire sucer... Tu me l'as bien préparé, jet e remercie... je vais me l'enculer cette pute ! Elle va comprendre comment on baise, nous, les militaires d'Uruguay."
Changement de côtés. Je bouffe maintenant la queue de Paco, pendant que Santiago se place derrière moi, pour me prendre en levrette. Avant de me planter sa queue, il se malaxe quelques secondes la bite pour lui redonner dureté et raideur. Il crache plusieurs fois dans mon trou et sur sa verge, puis, sans attendre enfonce son pieu d'acier entre mes fesses. Je sens sa belle tige, énorme, dure, raide, progresser dans mon rectum. Ça me brûle terriblement, au point que je dois interrompre ma fellation. Je demande à Santiago d'aller plus doucement, que ça me fait mal... Mon enculeur semble ne rien entendre et continue à enfoncer son chibre jusqu'à ce que ses couilles viennent taper contre mes fesses. Il s'arrête alors, tourne sa queue dans mon cul, comme pour qu'elle prenne toute sa place, puis s'arrête quelques secondes. Santiago me demande ;
- Alors, tu la sens ?....Elle est bien au fond... ça te plaît petite pute... Tu aimes, hein ?... Tu aimes sentir une grosse bite dans ton cul ? T'es heureux, tu suces la belle queue de mon copain et t'en as une autre dans le cul ! Maintenant, prépare-toi... parole, je vais te le casser ton cul... Putain je suis chaud bouillant !... J'adore les culs serrés des petites putes...."
Et tout en disant ça, il a commencé à me ramoner le cul comme une brute... Sa tige entre et sort en me déchirant la rondelle à chaque passage. Je me mords les lèvres, je voudrais crier, mais il y a les voisins.... Ce ramonage de cul particulièrement brutal m'empêche de continuer ma pipe. Paco, un peu frustré, demande à son copain de se dépêcher :
- "Putain... magne-toi, Santiago !... lâche lui ton jus... Je meurs d'envie de le niquer moi aussi. Il me chauffe comme une femme."
Santiago, indifférent à la demande de son pote, continue de me pilonner sauvagement le fion. Je suis super excité de me faire baiser de la sorte, mais c'est sûr, j'aurai du mal à oublier, les jours prochains, la douleur que mes deux militaires m'auront fait endurer. Car Paco, à son tour, va vouloir me prouver sa virilité, et me torturer encore un bon quart d'heure au minimum.
Enfin épuisé, Santiago se laisse tomber sur moi. Il ne sort pas sa bite. A-t-il joui ? Il n'a même pas poussé un cri, ni gémi de bonheur. Je me demande s'il a vraiment éjaculé. Paco de plus en plus impatient ;
Il retire lentement sa bite de mon cul. En sentant le sperme de mon amant couler le long de mon scrotum et de mes cuisses, je comprends qu'il a juté, le salaud, une bonne dose de sperme même, c'est certain. Il a joui sans bruit, c'est tout.
Paco me demande de me mettre sur le dos, et de placer mes chevilles sur ses épaules. Il va me prendre par devant. J'adore : dans cette position, je peux voir la gueule de celui qui m'encule... Santiago s'est assis sur une chaise et nous regarde baiser. Sa queue, molle, mais toujours aussi grosse, pend, gluante, entre ses cuisses. Beau spectacle : un soldat qui me baise sous le regard de son copain, maintenant soulagé. Pendant que Paco, moins brutal, me nique en respirant de façon très sonore, je prends mon pied à sentir sa queue entrer et sortir dans un rectum bien dilaté par l'énorme verge de Santiago. Je me remets à bander, la douleur infligée par mon précédent partenaire m'avait coupé tout mon plaisir de passif.
Voyant que ma queue reprend vie, Santiago quitte son fauteuil, se penche sur moi et prend ma bite dans sa bouche. Je ne m'attendais pas à ça ! Me faire sucer par lui... Ma queue me fait mal tellement je bande. Niqué et sucé en même temps, par deux militaires, supposés hétéros puisque mariés ! Vraiment, je ne suis pas prêt d'oublier cette nuit latine... Paco explique à son pote que sa fellation le gêne pour bien m'enculer... Alors Santiago arrête sa pipe et se met à me branler... Je suis aux anges. Et je ne tarde pas à exploser : de longs jets de sperme jaillissent de ma queue : ils atterrissent sur le ventre de Paco, puis mon sperme coule sur la main de Santiago. Il s'est arrêté de me masturber et reste comme ça, ma bite raide dans sa main, couverte de foutre. Il hésite, puis porte sa main à sa bouche, se lèche : "Il a quel goût ton sperme ?... Pas mauvais... Tiens, goûte Paco", dit-il, en tendant sa main vers la bouche de Paco. Ce dernier refuse en reculant son visage, puis pousse un râle rauque, qui me signale qu'il est en train de jouir dans mon cul... Le plaisir de me prendre par le cul, la vue de ma queue en train d'éjaculer, le spectacle de son copain me masturbant... puis goûtant mon jus, tout cela a provoqué chez Paco l'orgasme. Mais contrairement à son pote, il n'a pas pu se retenir de pousser un cri de victoire, un cri de mâle donnant sa semence. Pourvu que mes voisins ne soient pas encore réveillés !!
Mes deux amants semblent satisfaits ; entre le jeune mec et moi, ils ont eu la possibilité cette semaine de vraiment se vider les burnes... Heureux de leur nuit, ils sont allés se doucher rapidement, puis se sont rhabillés. Avant de quitter mon bungalow, Paco m'a interrogé : "Tu restes encore combien de jours ici ?" -"Je pars mardi." - "Alors on peut venir te baiser la nuit de dimanche à lundi... Nous, on va dormir toute la journée... pour recharger les batteries... Toi, repose-toi et passe-toi de la crème dans le cul... Il est trop bon ton cul ! Pas vrai, Santiago ?" - "Ouais, j'ai super aimé... On va te le démonter encore une fois avant que tu partes ! On n'est pas des pros, nous les militaires uruguayens ?"
Pour toute réponse, j'ai fait une bise sur leurs lèvres. "Douche-toi, toi aussi, m'a dit Paco, tes lèvres sentent la bite !". Ils sortirent en riant sous cape, de peur d'être entendus par les voisins. Ils avaient raison : une douche allait me faire du bien. Et puis, après repos !
Rafael
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