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Trois bites bronzées

Ce samedi j'ai choisi de faire mes courses chez D., une moyenne "surface" aux prix imbattables, dont la clientèle est essentiellement étrangère : beaucoup de familles roumaines, gitanes, arabes; mais aussi des célibataires de ces mêmes communautés. J'adore me fondre dans la foule du samedi, où poussettes et mioches turbulents se bousculent, et où il n'est pas rare de voir aussi de beaux jeunes mecs, ouvriers du bâtiment pour la plupart, aux corps solides, venus faire leurs courses hebdomadaires. Je les imagine désireux de joindre l'utile à l'agréable : faire leurs provions, rencontrer des amis, bavarder, histoire de se changer les idées, de se défouler, après une semaine de boulot physiquement épuisante, mais si frustrante pour leurs besoins sexuels de jeunes mâles.

J'étais en train de choisir un article placé sur l'étagère la plus basse du rayon, quand quelqu'un, pour passer, a déplaçé mon chariot que j'avais laissé en pleine allée derrière moi. Je me retourne, m'excuse. Celui qui vient de se faire un passage est un beau mec, bronzé, plutôt grand, en survêtement noir. Son signe de la main me dit que ce n'est pas grave. Je devine même l'esquisse d'un sourire sur son beau visage brun, mal rasé. Je sens une odeur forte quand il me dépasse. Je suis comme hypnotisé par le parfum naturel de ce gars, un jeune arabe aux traits virils et à l'allure sportive. Je le suis du regard et remarque qu'il se dirige vers une caisse. Ma liste de courses n'est pas terminée, mais attiré par ce client que le hasard vient de me faire croiser, je pousse mon chariot vers la caisse et me mets dans la file d'attente. Seule une cliente et sa fillette me séparent de lui. Je peux bien l'observer. À un moment, il se retourne, me reconnaît sans doute car il me fixe quelques secondes. Je souris. Il tourne aussitôt la tête et range ses courses dans un grand sac en plastique. Il quitte ensuite la caisse sans me regarder. Je peste en silence contre cette cliente si lente, qui réprimande sa fille et perd un temps fou pour payer. C'est sûr, quand je sortirai le jeune Arabe se sera éloigné du supermarché !...

Surprise : quand je franchis la sortie du supermarché je le vois sur le trottoir, en train de parler avec un ami, un autre Arabe du même âge, beau mec lui aussi. Ils parlent à voix assez haute, et de façon plutôt animée, comme s'ils n'étaient pas d'accord. Je passe près d'eux: celui que j'ai vu à l'intérieur me voit, s'arrête de parler et fait un signe de tête à son copain, comme pour me désigner. Il lui a sans doute parlé de moi, car l'ami me regarde aussi, sans dire un mot. J'ai l'impression qu'il essaye de voir si je corresponds à ce que lui a raconté son copain. Je ne sais pas quoi faire. Je marche, m'arrête à une dizaine de mètres d'eux, sans me retourner. Je regarde de l'autre côté de la rue. Je ne bouge plus. Au bout d'une minute, j'entends quelqu'un qui s'approche derrière moi. "Tu viens ?" Je me demande si cette question m'est adressée. Je me retourne : ils sont là tous les deux arêtes : ils me regardent. Je trouve que son copain a un air hautain. Je le trouve très beau. Lui aussi a une belle gueule mal rasée. C'est lui qui avance le premier. Tous les deux marchent lentement, comme s'ils voulaient me montrer le chemin. Je les suis à distance. Ils parlent quelques fois entre eux et se retournent, pour s'assurer sans doute que je les suis toujours.

Leur immeuble est plutôt vieillot. Nous montons au dernier étage, par une escalier mal éclairé. Ils attendent que je sois moi aussi arrivé au dernier palier, pour ouvrir la porte. À l'intérieur, une odeur d'humidité et de linge sale me saisit dès l'entrée. L'appartement est dans une semi obscurité. On entre par la cuisine, puis on passe dans une grande pièce, qui sert à la fois de salon et de chambre. Il y a trois lits. Ils doivent avoir un autre copain comme co-locataire. Il y a partout des vêtements empilés sur des chaises. Celui que j'ai rencontré dans le supermarché, passe dans une petite pièce, il allume l'électricté : c'est une petite salle de bain. Il y a sûrement un cuvette WC, car je l'entends pisser. Quand il sort, la bite posée par dessus l'élastique de son jogging, il s'avance directement vers moi et me dit : "Allez, suce !" Sa queue, toujours molle, est un très gros boudin presque noir, circoncis, avec un gland bien détaché de la verge. Je me mets à genoux et prends en bouche ce gland si tentateur. J'entends le copain en train de pisser à son tour. La bite que je suce gonfle à vue d'oeil, et en moins d'une minute prend un volume impressionnant. Elle a un goût et un parfum très forts. Il a baissé son froc jusqu'à mi-cuisses pour que je puisse être à mon aise. "Suce-moi les couilles aussi !" Comme sa bite, ses couilles sont très foncées et poilues. Je préfère quand les mecs se rasent : on n'avale pas de poils. Mais cette bite et ces couilles énormes me font baver d'envie... Le copain est sorti de la salle de bain. Il est en slip, baissé; il se touche la queue... Lui aussi est membré comme un âne. Pour l'instant, il se contente de se palucher pour bander, tout en regardant le spectacle. Il ne me tend pas sa queue pour que je le suce aussi. Son copain, d'ailleurs, ne l'invite pas à se rapprocher. Pas très partageur le mec ! Comprenant sans doute que ma bouche était réservée, le copain passe alors derrière moi. D'un coup brusque, à deux mains, il baisse mon froc. J'ai le cul à l'air : il commence à me donner des claques sonores sur les fesses. Il dit quelque chose en arabe, puis il se met à rigoler. Celui que je suce, rigole aussi, il lui répond quelque chose, je ne comprends rien évidemment mais je suppose que c'est comme s'il lui avait donné le feu vert. Dèjà je sens un doigt qui me pénètre... Il me crache sur le trou, et fait entrer la salive en glissant son doigt au delà du sphincter. Je m'attends à être empalé d'un instant ç l'autre par l'énorme chibre du copain. Je ne suis pas contre... au contraire ! Ça m'excite même encore plus : je me déchaîne sur la queue que j'ai en bouche. Je l'avale au maximum, ce qui semble plaire à son propriétaire. Il parle en arabe à son pote... Sans doute il lui explique que je suis une bonne pute, excellente suceuse... et qu'il ne va pas tarder à juter. D'ailleurs, juste au moment où je sens la bite du copain forcer le passage, dans mon cul, une première giclée de foutre jaillit au fond de ma gorge... Un jus abondant et chaud que j'avale avec plaisir. À dire vrai, e ne m'attendais pas à ce qu'il éjacule si vite. Sans doute, ça fait longtemps qu'il ne s'est pas vidé les couilles; sans doute aussi que de voir son copain m'enculer devant lui l'a super excité... Surtout s'ils ont l'habitude de faire l'amour ensemble ! Quand j'ai senti que plus rien ne coulait de sa queue, j'ai sorti sa bite de ma bouche. Elle était gluante de sperme, mais toujours bien raide. Tout en sentant l'autre bite me ramoner le fion de plus en plus fort, cette pause me permet de savourer le goût du foutre qui a inondé ma bouche, ainsi que l'odeur forte de mâle qui se dégage des attributs sexuels hors normes que j'ai devant le nez. J'ai cru un instant, qu'ayant joui, le premier Arabe se reposerait un peu, tout en matant son copain m'enculer. Mais pas du tout ! Comme si chacun voulait démontrer à l'autre la supériorité de ses performances de mâle, le premier enfourne de nouveau sa queue dans ma bouche et commence à me "baiser" la gueule. J'aime pas trop ça, car se faire pilonner de la sorte, ça fait horriblement mal. En plus, on ne prend plus guère le goût de la bite... Ce salopard le fait avec brutalité : je n'arrive pas pas respirer au même rythme que ses coups de bite; je m'étouffe et je sens des larmes couler sur mes joues. Derrière, le copain se déchaîne aussi, sa queue entre et sort de plus en plus vite; ses couilles claquent contre mes fesses. La douleur, dans mon cul comme dans ma gorge, paradoxalement, me fait bander à mort. Celui qui m'encule s'en aperçoit, il saisit ma bite, la serre dans sa main... Il l'écrase... Il me fait mal, le salaud. J'aurais préféré qu'il me branle, ce con. Si on n'était que tous les deux, il l'aurait peut-être fait, mais pas devant son copain... Il lui montre seulement que je bande. Ils discutent en arabe : ils doivent dire que je suis une bonne chienne qui aime la bite et se faire mettre par les Arabes... Si c'est vraiment ce qu'ils se disent, ce n'est pas faux... Mais j'aimerais seulement qu'ils me prennent avec plus de douceur. Soudain, ils changent de place. Ils ne mettent guère de temps, l'un à me planter sa queue dans le cul, l'autre à se faire pomper. Ce changement me plaît : j'aime le goût de la nouvelle bite que je suce, et mon enculeur semble moins brutal... La bite que j'ai en bouche ne va pas tarder à me gicler sa semence : une nouvelle bonne dose de jute chaude et gluante. J'avale avec gourmandise cette nouvelle ration de foutre. À l'évidence, lui aussi avait les couilles bien pleines. Sans que je me rende compte, le copain derrière a dû éjaculer lui aussi, car il s'est retiré et s'est allongé sur le dos... Épuisé... Il faut dire qu'il a déjà joui deux fois. Il a sans doute besoin de se reposer un peu... Cette pause me permet de reprendre mon "souffle", moi aussi.

Et alors que je suis en train de nettoyer le sperme qui reste au-dessus de mes lèvres, je m'aperçois, que quelqu'un est entré dans l'appart., sans que je ne m'en rende compte. Le troisième co-locataire, sans doute. C'est un Arabe aussi, mais beaucoup plus jeune... Dix-sept ans environ. Il est superbe, visage imberbe, cheveux bouclés avec des reflets blonds. Il porte un jeans délavé, bleu très clair. Un jeans moulant qui met bien en relief la bosse de son paquet. Est-ce qu'il est entré depuis longtemps et a assisté à une partie du spectacle ? C'est possible. Le volume de sa bosse serait alors seulement la preuve que ce qu'il a vu l'a excité et qu'il bande. Mais peut-être que non, qu'il vient à peine d'entrer, et que c'est la taille habituelle de son "paquet"... Cela me fait supposer un membre au moins aussi gros que celui des deux autres. Je voudrais, sur le champ, vérifier la gabarit de ce jeune instrument... L'Arabe du supermarché m'explique : "C'est mon frère... Il habite avec nous... Il parle pas bien le français, il vient d'arriver... Il a jamais niqué... mais si tu veux, tu peux le sucer..." Je ne réponds pas, me contente de sourire... Il explique en arabe à son frère ce qu'il vient de me proposer... Le garçon va s'allonger sur son lit, ouvre son jeans et sort sa bite. Ell est très foncée, plutôt longue; il ne bande pas encore. Il a deux belles couilles, allongées, brillantes, même pas velues. Il n'a d'ailleurs que peu de poils : juste une touffe noire plus fournie au-dessus de la bite. Les deux autres sont entrés dans la salle de bain. Ils vont sans doute prendre une douche. Je me suis approché du lit du jeunot, me suis allongé entre ses jambes et ai approché mon visage de son sexe. Vu sous cet angle, son membre m'a paru encore plus gros : est-ce une impression ? ou a-t-il un début d'érection ? Je plaque ma face contre son membre, mon nez à hauteur de sa verge, ma bouche sur ses couilles. Je frotte mon nez contre sa touffe. Le jeunot sent plus la savonnette que le mâle. Mais je m'enivre tout de même de cette odeur. C'est bon de sentir le parfum de cette jeune bite ; c'est le poppers le plus stimulant ! Un elixir mâle. Le jeune Arabe, les bras croisés sous sa nuque me regarde faire. Vu sa beauté, il a dû draguer déjà pas mal de gonzesses et se faire sucer plus d'une fois... Pas impossible non plus que des garçons aient aussi goûté à ce beau membre cuivré! Mes deux mains saisissent sa verge, mes pouces la caressent : je la sens durcir sous mes doigts. maintenant le chapeau de son gland se détache bien du reste de la hampe. C'est beau ce bout de queue plus clair que le reste de la bite. La circoncision a été bien faite : aucune aspérité n'apparaît, aucune déformation. C'est une queue parfaite, bien droite, épaisse. Je peux maintenant me rendre compte de la taille réelle de son membre, quand il bande. J'en suis sôr, le jeunot a un sexe aussi gros et long que son grand frère ! Quant aux couilles, allongées comme des prunes quetsches, elles sont même plus volumineuses que celles du frangin. Et elles doivent, elles aussi, être bien pleines... Je les caresse avec douceur aidant à ce que leur parfum se dégage plus facilement sous mon nez. L'odeur de mâle a pris le dessus sur le parfum de savonnette... J'adore ! Je sais que ce garçon aime ce que je lui fais : sa bite est dure et raide, dressée vers le plafond. Mes yeux, au ras de son pubis, peuvent en mesurer toute la beauté et la taille. Quel splendide spectacle !. J'appuie sur son périnée, juste sous ses couilles : l'ensemble me semble alors encore plus grand, plus excitant, parfait en un mot ! Le garçon se laisse faire. Il doit aimer qu'on s'occupe aussi tendrement, aussi amoureusement, de son appareil génital. C'est peut-être la première fois que quelqu'un apprécie de la sorte son anatomie intime. Je commence par lécher ses boules avant de passer à sa verge, et, en remontant lentement atteindre son gland. Je le saisis d'une main. Avec l'index de l'autre main, j'ouvre la fente de son beau gland : le méat est large et doit laisser passer de gros flots d'urine, mais ausssi de beaux jets de sperme. Il faut que je le suce bien, que je l'excite au maximum, jusqu'à ce qu'il jouisse. Je veux voir son foutre jaillir de cette fente... et, comme un geyser, gicler contre ma gueule. Quel feu d'artifice ce doit être ! Mais il faut que je fasse vite. Son frère et l'autre, douchés, vont bientôt sortir de la salle de bain. Le jeunot risque d'être gêné, surtout devant son frère. Là, il est parfaitement détendu : je sens bien qu'il aime se faire sucer. Je dévore littéralement sa queue. Bien qu'aussi épaisse que les deux autres, j'arrive pourtant à l'avaler entièrement. C'est sûrement l'envie qui m'aide à la prendre jusqu'au fond de la gorge. Ça le rend fou, le jeune. Il gémit de bonheur, ses gémissements me boostent. Je me démène comme un malade sur sa bite : je veux qu'il prenne son pied, qu'il jouisse comme jamais, qu'il me donne son jus, tout son jus, jusqu'à la dernière goutte !

Je sens soudain les premières giclées dans la bouche : je sors immédiatement sa bite. Je regarde son méat : je vois, comme j'en rêvais, de nouveaux jets jaillir de cctte fente magique. Sa semence est très blanche, bien épaisse, ce qui est rare chez les garçons de cet âge. Je reprends son gland en bouche pour ne pas gaspiller les dernières giclées. Son sperme est doux : j'adore ce goût. Le jeune Arabe a fermé les yeux : il doit vivre des instants de jouissance intense. Même si ce n'est pas la première fois, je suis sûr qu'il n'a pas vécu souvent des moments aussi forts. Pendant qu'il vit cet indescriptible moment d'extase, je nettoie son membre, en léchant jusqu'à la dernière goutte le sperme qui a coulé sur ses couilles ou constellé son bas ventre. Il n'aura pas besoin de prendre une douche...

Les deux autres sont alors sortis de la salle de bain. Ils sont rhabillés. Celui du supermarché se plante devant moi. " Maintenant, la pute, tu dégages. Tu oublies notre adresse ! Si on se voit dehors, tu nous connais pas ! T'as compris ? Et surtout n'emmerde pas mon frère ! Si tu le croises tu le connais pas ! Tu lui parles pas. Compris? " L'autre a ajouté ; "Et si un jour on se voit au supermarché, tu nous parles pas. Tu nous suis seulement si on te le dit... Compris ? T'es une bonne suceuse et t'aime avoir une grosse bite dans le cul... Alors peut-être... un samedi soir... on te fera venir ici et on te niquera comme une chienne... toute la nuit... Mais comprens-le : t'es qu'une pute ! Tu es NOTRE pute ! T'as compris ? Maintenant dégage ! "

J'ai pris le sac avec mes courses du supermarché et j'ai filé direct chez moi. J'avais mal au cul et je sentais la bite et le sperme.

Rafael

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