Durant mon voyage en Colombie je suis resté quelques jours à Cali, ville superbe au climat doux et surtout aux magnifiques jeunes hommes à la peau cuivrée. Beaucoup sont de solides métis, et en dépit de leur allure très masculine, la plupart sont très ouverts et pratiquent une bisexualité assumée, ce qui les rend doublement attirants, tant aux yeux des filles qu'à ceux des garçons.
Le soir (je devrais dire "la nuit", car les habitants de Cali semblent n'avoir jamais sommeil...), les innombrables discothèques de la ville réunissent de splendides spécimens de ces jeunes mâles locaux. J'ai adoré les voir se trémousser au rythme d'irrésistibles salsas. Ce qui n'est en fait pour eux qu'une première étape avant de chaudes heures de sexe, tout partenaire étant le bienvenu, jusqu'aux premières heures du jour... Depuis mon arrivée à Cali, j'ai pu ainsi apprécier la vigueur de pas mal d'organes mâles que j'avais préalablement repérés, écrasés par la toile des jeans, ce tissu si propice à mouler les formes avantageuses des jeunes mecs de ce coin de paradis. Et je dois reconnaître que je n'ai jamais été déçu par les performances au lit de ces infatigables danseurs.
J'irai ce soir draguer un de ces étalons colombiens; mais que faire cette après-midi ? Hier, je suis allé faire un tour dans un ciné porno. Pas pour rien, il est vrai. Ils sont incroyablement chauds les cinochs de Cali ! Quel dommage que ce genre d'endroit n'existe plus dans nos contrées. Mais en Colombie, à Cali du moins, ce type de salles a toujours pignon sur rue, et est encore très fréquenté !.. Dedans, on peut assister (et bien sûr participer !) à des orgies inimaginables, très excitantes. Mais, hélas, dans des conditions affreusement inconfortables. Personnellement, je n'aime pas trop me faire sucer dans un fauteuil, ou enculer un mec dans des chiottes puantes. C'est pourquoi, plutôt que de retourner aujourd'hui au cinéma, je préfère aller découvrir comment sont leurs saunas. Celui que j'ai choisi est chaudement recommandé sur un site gay. Allons-y voir...
Après avoir laissé mes affaires dans un placard, chaussé mes sandales en plastique et entouré mes hanches avec la serviette que l'on m'a donnée à l'entrée, je passe dans une première salle, une sorte de couloir très large, dont les deux côtés ne sont qu'une suite de cabines de douches. D'un côté, de grandes cabines ouvertes, de l'autre de plus petites, fermées par une porte en verre. Dans une de celles ouvertes, un jeune mec, la vingtaine tout au plus, est en train de se savonner. Un grand mec, 1,80 m environ, beau corps sec, bronzé, fesses fermes, le crâne rasé, comme souvent les soldats ici, mais pas qu'eux. Quand il se retourne, je peux voir ses splendides yeux noirs, ses beaux traits fins, et une queue au repos de bonne longueur (12 ou 13 centimètres) laissant espérer un organe de gros calibre en érection. Il remarque que je le mate, mais continue tranquillement sa douche, se savonnant consciencieusement la bite, les couilles, qu'il fait remonter avec le dos de la main, comme s'il voulait mettre en évidence la taille peu commune de ses attributs masculins. Je ne perds pas une miette du spectacle, bien sûr... Mais pour ne pas apparaître trop voyeur, je passe à la salle suivante. Sur une paroi un immense écran où est projeté un film hétéro; devant l'écran un grand espace permettant d'aller plus loin; en face de l'écran, une salle en U, avec des banquettes sur lesquelles sont assis quelques types qui matent le film. Un se branle sous sa serviette; les autres font semblant d'être intéressés par la vidéo. Je passe dans la pièce suivante : un escalier monte à l'étage, un autre conduit au sous-sol.. Je choisis de monter d'abord. En haut, des portes fermant des cabines; une seule est ouverte, elle contient une banquette plutôt inconfortable pour baiser. Au fond, une très grande pièce, avec un lit circulaire king size. Là, on doit pouvoir baiser à plusieurs... Personne à l'intérieur. Mais je m'aperçois que 5 ou 6 des autres cabines donnent toutes sur cette chambre ronde. Je comprends : de l'intérieur des cabines on peut suivre ce qui se passe sur le lit circulaire... Pas mal... on s'excite en matant une orgie sans s'exposer... Je continue la visite. Encore un couloir donnant sur deux petites salles de projection. Dans l'une, un écran avec un film hétéro; deux spectateurs seulement s'y trouvent et s'y branlent mutuellement. Pas le genre de mecs qui me font bander. Je passe à l'autre salle : un film gay, montrant une orgie de jeunes blonds. Personne à l'intérieur. Je décide de jeter un oeil sur les exploits des minets tchèques ou allemands qui accompagnent leurs ébats de râles sonores, de bruits humides et de respirations haletantes. La bande son est très suggestive. Je suis totalement absorbé par le spectacle quand quelqu'un entre dans la pièce et va s'asseoir à l'autre bout de la banquette. Incroyable ! C'est le jeune mec qui se douchait à l'entrée. Il a sa serviette autour de la taille, et je ne peux donc voir qu'une petite bosse à la hauteur de son entrejambe. Mais n'importe, je sais qu'il est bien membré. A-t-il choisi d'entrer là pour le film, ou bien a-t-il décidé d'entrer là où se trouve celui qui l'avait si ostensiblement maté quand il se douchait ? De toute façon, moi je suis ravi, quelle que soit la raison de sa présence à mon côté !
Je commence à détailer les autres parties de son corps. Je n'ose pas regarder directement son visage... Je crains une réaction hostile, même si sa présence dans un sauna gay, à fortiori dans une salle où est projeté un film homo, ne laisse aucun doute sur ses orientations sexuelles... Je regarde vers le bas, ses jambes et découvre qu'il a de superbes pieds, aux orteils énormes. Ses mains aussi sont de beaux battoirs aux doigts épais et longs. Comme j'aimerais les sucer... avant autre chose... Et ces gros orteils me rappelllent cette inoubliable soirée où un mec m'avait planté son gros orteil dans le cul, pour me dilater le fion avant une baise sauvage ! Mon voisin remarque bien sûr que je suis en train de l'observer de la tête aux pieds, il se tourne vers moi, me sourit et me fait un clin d'oeil. Pas farouche, à priori, le jeune mec ! Sa réaction même me surprend : je ne sais pas comment réagir. Faute d'inspiration, je fais un commentaire sur le film. "Ils ont l'air chauds, hein...ces garçons ?... Ils sont mignons tous..." Puis j'ose : " Tu aimes faire çà ?" Quelques secondes passent, puis il me répond : "Avec des hommes, j'ai jamais fait... Tu sais, regarder des films gays, ça m'amuse... c'est tout... moi, je préfère les femmes... les chattes poilues, pas les bites..." Et il rigole. "Alors, pourquoi tu vas pas voir l'autre film, à côté ?" A peine prononcée, je regrette ma phrase. "Je t'ai déjà dit. C'est amusant de voir des mecs qui se sucent, se branlent, s'enculent... J'apprends !" J'insiste : "Mais ça ne t'excite pas un peu ?" Il me répond tout de go : "Non ! regarde... je bande même pas". Et en effet, il ouvre sa serviette et je peux constater que sa queue est toujours "endormie". Ce sexe bronzé, comme tout son corps, est d'une forme parfaite, un beau tube de chair, terminé par un gland rosé, à-demi couvert par son prépuce. Avec çà une belle paire de couilles oblongues, de bonne taille, sans poil. D'ailleurs, sans se raser, ses testicules, comme son bas-ventre, sont dépourvus de poils; seule une petite touffe très noire couronne la base de sa verge. Je ne peux m'empêcher de le complimenter : "Ouuuuah, quel outil tu as! gros gabarit !... Il doit être impressionnant quand il est raide !" Il sourit, satisfait de mon éloge. "Mais alors, si tu n'es pas attiré par les mecs... pourquoi t'es entré dans ce sauna ?" Il ne répond pas tout de suite. "T'es étranger, toi... j'ai remarqué... tu parles bien l'espagnol... mais t'as un accent... Tu connais pas bien la situation du pays... Les soldats, on n'a pas de blé... la solde qu'on nous donne est ridicule... Si on veut sortir avec des filles, leur payer le cinéma, un resto... pour avoir un peu de chance de les sauter... il faut faire des extras... C'est un pote de mon régiment qui m'a refilé le tuyau. La première fois que je suis venu ici, c'est avec lui... Comme aujourd'hui il n'a pas eu de permission, je suis venu seul... !" Tout devenait clair : son crâne rasé, c'était la coupe militaire, son âge, son physique... tout contribuait à son succès... En plus, il est hétéro ! J'en bande sous la serviette, mais je ne veux pas qu'il s'en rende compte.... On continue à parler, j'accepte de lui donner ce qu'il réclame pour une "après-midi de sexe "fuerte"". Je lui propose d'aller voir le sous-sol du sauna, que je ne connais pas encore. Il passe devant moi, ce qui m'arrange pour cacher mon érection. J'ai ses fesses sous mon nez; elles bougent à chaque pas et je dois me retenir pour ne pas les saisir à pleine main, pour ne pas les mordre.
En bas, nous entrons d'abord au hammam, une salle carrée, totalement obscure; seule la lumière, passant à travers la porte vitrée, donne un peu de claret et nous permet de deviner la présence de quelques corps. En fait, deux groupes occupent les lieux : au centre, sur une espèce de table carrelée, un mec se fait sodomiser pendant que d'autres caressent tous les bouts de chair des deux protagonistes. Les souffles sonores des deux baiseurs, et ceux des branleurs autour, contribuent à l'excitation générale. L'autre groupe, dans un coin, est constitué de trois mecs qui font "le petit train", s'enculant à la chaîne, sans bruit, mais apparemment profondément. Des gouttes d'eau tombent du plafond, humidifiant les corps des baiseurs, mais aussi les nôtres. Mon compagnon est resté près de la porte. Il semble cependant intéressé par le spectacle. Après avoir fait le tour, je reviens vers la porte, touche le bras du beau soldat pour lui suggérer de sortir. Surprise, hors du hammam, je constate que ce qu'il vient de voir ne l'a pas laissé indifférent : sa serviette est clairement soulevée par la verge qu'elle cache. Moi aussi, je bande. Je lui montre mon érection, et sans gêne, il me fait voir la sienne. Mes suppositions s'avèrent fondées : il a une queue énorme, le bougre, et il ne bande pas vraiment encore ! Notre étape suivante est le jacuzzi. Deux couples y sont déjà, l'un dans l'eau, au-dessus des gros bouillons pleins d'écume, l'autre est assis sur le bord et se roule une pelle d'enfer. Le soldat et moi quittons nos serviettes et entrons nus dans le bassin. Nous nous sourions, je tends la main sous l'eau et saisis sa bite. Il ne réagit pas. Elle a un peu perdu de son volume, mais reste une belle saucisse, que je meurs de dévorer. Très vite je sens que mon militaire est troublé ; sa queue gonfle et s'allonge dans ma main. Comme moi, il semble se moquer de la présence d'autres mecs si près de nous. Je touche ses boules, les prends dans le creux de ma main, comme si je voulais les soupeser. Ça lui plaît apparemment, car sa verge continue de se raidir. Elle a atteint sans doute sa taille maximum. Je suis ravi de toucher un aussi bel organe mâle, et pressens avec satisfaction tout le plaisir qui m'attend...
Le soldat paraît tout à coup pressé de passer à autre chose. Il sort de l'eau, la bite raide et à l'horizontale. Les quatre autres suivent du regard l'exceptionnel appareil génital du jeune militaire. Sûr qu'ils doivent envier mon sort et qu'ils seraient partants si on leur proposait de venir faire des galipettes tous ensemble dans la salle ronde... Je suis mon étalon, qui remonte au rez-de-chaussée. Il passe de salle en salle jusqu'au vestiaire. Je me demande quelle est son intention : il ne va pas s'en aller tout de même ! Non. Je le vois plonger sa main dans les deux grands pots placés sur une table; il en sort des capotes et des berlingots de gel. Ouf ! Je crois qu'il ne peut plus attendre, et faute de chatte poilue, il accepte de se soulager dans un fion velu... On m'a dit que les mecs de Cali sont des amants exceptionnels, à l'endurance inégalable, et particulièrement inventifs dans les positions les plus jouissives... J'espère que je vais pouvoir le vérifier... Tous les deux on se met en quête d'une cabine qui ferme bien (je n'ai pas envie de partager ce corps de rêve avec un intrus qui se glisserait dans notre nid d'amour au moment où l'on s'y attend le moins...). J'en choisis donc une, avec verrou, assez bien éclairée (je veux voir mon partenaire dans toute sa splendeur), propre (sans traces de sperme), avec un grand miroir au plafond, ce qui me permettra de mieux apprécier les mouvements de celui qui va me pénétrer par tous les orifices...A peine allongé contre mon beau soldat, je tente de lui rouler une pelle. Mais, alors que je venais seulement de frôler ses lèvres, il recule sa tête, pour m'empêcher d'aller plus loin. Dommage ! J'aurais bien mêlé ma langue à la sienne et exploré sa cavité buccale dans ses moindres recoins. Logique : un hétéro n'embrasse pas un homo ! Je commence alors à lécher son corps de haut en bas, suçant ses tétons, plongeant ma langue dans son nombril, frottant mon menton sur sa petite touffe frisée et noire. La lumière est suffisante pour que je voie que sa queue a atteint sa taille maximum. Un parfum de savon se dégage de son entrejambe. Une belle verge brune, longue, large, même un peu plus épaisse sous le gland. Je tire avec mes lèvres sur son prépuce pour découvrir cette splendide fraise rose, fendue au milieu. J'adore lécher ce fruit lisse et gonflé de sang. Je glisse le bout de ma langue dans son méat, c'est par là que tout à l'heure s'écoulera le divin nectar blanc, dont je suis tant accroc... Je mouille bien la tige, la fais coulisser un peu, de haut en bas, c'est bon, elle marche bien, important pour quand il me l'enfoncera dans le cul. Son engin, il pourra bien le faire entrer et sortir, d'abord pour lui, pour bien prendre son pied et ensuite pour moi... pour bien me caresser la prostate. De temps en temps je jette un oeil au plafond pour voir la scène dans le miroir du plafond. J'adore ! Je suis maintenant en train de couvrir de salive ses couilles. Quelle bonne odeur de mâle parvient à mes narines ! J'adore ce parfum viril qui prend le dessus sur celui du gel douche. Un mâle doit sentir le mâle ! Tout ce que je lui fais lui plaît, c'est clair, car il me prend la tête entre ses mains et me guide vers les endroits où il prend le plus de plaisir. Et il ponctue tous mes câlins d'un "Rico... sigue asì !.... que rico! " (=c'est bon !... Continue ... que c'est bon!). Ses mains me ramènent vers le haut de sa tige, qu'il enfourne dans ma bouche. Il pousse sa queue au fond de ma gorge, m'obligeant à rester quelques secondes ainsi, sans bouger. N'en pouvant plus, je me débats et recrache son énorme membre avec lequel j'ai failli m'étouffer. Il rigole, content de me dominer, de me faire comprendre que c'est lui le mec, et qu'il fait ce qu'il veut d'une petite salope comme moi. Je vais le sucer un bon quart d'heure, avec un appétit que je ne me connaissais pas, sans doute redoublé du fait que mon partenaire est hétéro !
Il se saisit d'une capote, d'un coup de dent déchire l'emballage. Il fait de même avec un berlingot de gel. Il me demande de tourner mon cul vers lui et commence à me lubrifier le trou d'abord superficiellement, puis en enfonçant un doigt très profondément. Je couine de plaisir et remue mes fesses pour lui montrer mon désir d'être pénétré. Ce mouvement du cul lui donne l'idée de m'enfoncer un deuxième puis un troisième doigt dans le fion. Il écarte bien, dilatant un trou qui a déjà reçu pas mal de visites, mais rarement une verge aussi longue et épaisse... Je ne vais même pas m'apercevoir qu'il a remplacé ses doigts par sa bite et je sens subitement ses couilles battre contre mes fesses. Il m'a pris en levrette. Le salaud m'a enfoncé toute sa queue et entreprend tout de suite un va et vient très souple, que seuls les Latinos (tout particulièrement les Colombiens, grands danseurs de salsa) savent pratiquer, sans effort apparent, tout en donnant un plaisir immense à leur partenaire passif. J'ai rarement été enculé aussi parfaitement, la bite glissant dans mon rectum avec facilité, tout en déclenchant en moi, à chaque passage, une sensation de pénétration pleine et entière. Quel sublime baiseur ce soldat colombien ! Quelle chance ont ses femmes de se faire troncher par lui d'aussi belle manière ! Je ne voudrais pas qu'il s'arrête, surtout qu'il se mette à jouir... J'aimerais qu'il me pilonne avec force, comme il le fait, mais aussi avec douceur, comme çà pendant des heures ! Il me propose de changer de position. Il s'assoit, queue en l'air, et veut que je m'empale sur sa verge. J'obéis avec plaisir et me mets face à lui. Sa bite s'enfonce peu à peu en moi et quand elle est entièrement engloutie, mon amant commence à me donner des coups de bite. Etant assis sur lui, je sens que sa verge n'entre et ne sort pas aussi bien que dans l'autre position. Je cherche à l'aider. M'appuyant sur mes mains, je soulève et abaisse mon cul autour de son dard, toujours dur comme la pierre. Il apprécie mes efforts, car il me fait un clin d'oeil. Encouragé, j'approche mes lèvres des siennes. Cette fois-ci, aucun mouvement de recul, au contraire, il me bouffe littéralement. Sa langue est chaude et lutte contre la mienne. Il est super excité, me mord les lèvres, me fait un suçon dans le cou. Cette subite montée de fièvre me fait bander comme un bouc et très vite je ne peux empêcher de jouir. Une éjac très abondante, de plusieurs jets qui vont consteller son torse de gouttes de foutre. Il semble surpris, presque vexé d'être coiffé sur le poteau... Il me renverse vers l'arrière, prend mes jambes par les chevilles et m'encule comme un sauvage. J'ai mal au cul, car sa bite n'est pas dans l'axe de mon rectum. Il n'en a rien à foutre; ce qu'il veut c'est me défoncer le cul, me faire comprendre que c'est lui qui baise et que moi je suis baisé, il veut jouir, se vider les couilles... Il sort subitement sa bite de mon cul, arrache la capote, se branle un peu et m'asperge de son jus blanc et épais. J'ai reçu une grosse giclée sur la gueule, en diagonale en travers de mon nez, mais le reste m'inonde la poitrine et le bas-ventre. Putain, quel feu d'artifice ! Çà, c'est ce qu'on appelle 'juter" ! J'ai rarement vu une aussi grande quantité de foutre... une belle semence épaisse et gluante, qu'il conservait pour moi dans ses couilles depuis quelques jours. Il essuie son gland, tout gluant de sperme, sur mes couilles. J'étale son beau liquide de mâle sur mon corps : ça le fait rire, il doit être fier d'avoir juté autant.
Pour aller se doucher, il va falloir qu'on sorte de notre cabine, qu'on affronte les regards envieux des autres clients du sauna. Des regards admiratifs aussi... devant la beauté du corps de mon amant et la quantité de semence dont il m'a gratifié, et dont il reste les traces sur mon corps. On prend notre courage à deux mains et quittons la cabine. Nous ne croiserons en fait qu'un mec, près de la douche. Il a dû regretter de ne pas avoir été à ma place...
Décidément, cette idée de passer l'après-midi dans un sauna aura été une bien bonne idée ! Et ça ne m'empêchera pas d'aller ce soir faire un tour en boîte, ne serait-ce que pour mater de jeunes mâles colombiens draguer d'autres mecs en se déhanchant au son d'une salsa !
Rafael
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