"Actif bien membré cherche plan gay bien chaud et rapide, sans baratin ni prise de tête".
J'ai répondu que ça me branchait, il m'a répondu : "OK, tu viens chez moi, tu me suces, je te baise, je jouis dans ton cul et tu te tires !" Au moins ça a l'avantage d'être clair ! En plus ça me convient tout à fait. J'ai décidé de me faire enfin prendre, j'en ai marre de me branler, un gode enfoncé dans le cul, en pensant à mes potes de la fac. En plus, la webcam montre un torse jeune, à la peau cuivrée, sans un poil, avec des pecs bien dessinés. Sans doute un Maghrébin, j'ai toujours fantasmé sur les Arabes; mon pote Sébastien s'est déjà fait baiser par un Marocain et il m'a avoué qu'il n'avait jamais auatnt joui ! D'après lui, ils sont tous membrés comme des ânes, seuls les Noirs ont d'aussi grosses bites qu'eux. Je lui demande son adresse, il habite du côté de La Vilette; en métro, je dois mettre 20 à 25 minutes pour y aller. "Pas de problème, me répond mon correspondant, ma bite t'attend..."
J'ai un peu de chance, car j'arrive même plus vite que prévu. L'immeuble est plutôt vieux. Pas d'ascenseur, je monte au 3ème, sonne à la porte. On vient m'ouvrir. C'est bien un Maghrébin, la trentaine, une belle gueule, il me sourit et me fait entrer. Il est en survet Adidas noir; il n'est plus trorse nu, mais je devine une silhouette sportive, celle d'un mec viril, comme je les aime. J'ai le coeur qui bat : c'est la première fois que je vais chez un homme qui veut faire l'amour avec moi. Toutes mes aventures sexuelles ont été avec des garçons de mon âge, un peu par hasard, dans des boîtes, ou dans les chiottes du bahut, des trucs rapides sans pénétration; ou bien avec mon pote Sébastien des branlettes à deux, en matant un film gay; une seule fois je l'ai enculé, mais pas longtemps car j'ai éjaculé très vite, et lui avait trop mal et voulait que j'arrête... Aujourd'hui, ce qui me fout un peu la trouille, c'est que j'ai accepté qu'il me prenne... je n'ai jamais été pénétré par une queue de mec... ça doit faire mal... même si je me suis entraîné plus d'une fois avec un gode !
Il m'emmène dans la pièce principale, et on s'assoit sur un divan. Je le regarde un peu mieux : c'est vrai, il a une gueule de vrai mâle, à la limite un peu racaille. C'est pas pour me déplaire... même si je me demande comment les choses vont se passer... Très vite il avance son paquet vers mon visage ; " Alors ? t'aimes çà... la bite ?... Vas-y... ouvre ton paquet cadeau !" Et appuyant derrière ma tête, il me colle la gueule contre la bosse qui déforme son jogging. Je sens aussitôt que ce qu'il y a sous le tissu est dur. J'ouvre la bouche et saisis dans ma mâchoire ce bâton de chair qui est mon "cadeau"... La forme de sa queue apparaît alors clairement : une belle queue longue et raide se dessine le long de sa cuisse. Parole, il n'a pas de slip ! Putain, la queue de Sébastien est un modèle réduit en comparaison. Elle me rappelle une grosse bite que j'ai branlée dans des toilettes publiques il y a quelques mois... Déjà la queue d'un Arabe... Sans attendre, il baisse son froc et sa bite se détend comme un ressort, bien droite, heurtant mon nez au passage. Je fais un mouvement en arrière, surpris par la vigueur de ce membre se libérant du froc. Tout de suite, un parfum de sexe et d'urine me chatouille les narines. Et comme s'il était pressé que je passe à l'action, il approche son gland de ma bouche. Je lèche cette belle boule violacée, fendue par un méat profond, que la circoncision détache bien de la verge. Tout en passant ma langue sur cette extrémité turgescente, j'évalue la taille de l'engin. Il doit bien faire 22 ou 23 centimètres... et très épais avec çà ! Jusqu'à présent, je n'ai utilisé que des godes de 20 cm au maximum ! J'ai beau faire un effort, à m'en décrocher la mâchoire, je n'arrive pas à la faire entrer tout entière dans ma bouche... Il pousse à chaque fois... mais ma gorge n'arrive pas à avaler toute sa verge et j'ai des hauts-le-coeur qui m'obligent à tout recracher. "Lèche-moi les couilles !" Il a dit ça gentiment, et j'obéis aussitôt. Il a deux grosses boules, allongées, un peu comme des questches: même la couleur foncée rappelle les prunes. Il se rase, et j'aime çà, pas de poils qu'on avale, et les différentes parties de son sexe sont mieux mises en évidence : ses testicules tout comme sa bite elle-même, dont la taille exceptionnelle apparaît clairement. J'aurais aimé le raser, comme je le fais à Sébastien. A coup sûr, comme mon pote, sa queue doit gonfler et s'allonger au fur et à mesure qu'avance le rasage et c'est un vrai bonheur de tenir à la fin une bite en pleine érection, une queue, qui n'attend plus qu'une chose : être branlée !
Je m'applique dans ma fellation, enduisant bien son membre de salive, titillant son méat avec le bout de ma langue, gobant ses couilles une par une, ce qui provoque chez lui un mouvement de recul, comme si je lui faisais mal. Tout son corps dégage ce délicieux parfum viril des vrais males; et cette odeur devient céritablement enivrante quand je plonge mon nez sous ses couilles et que je lèche son scrotum. Il adore apparemment que je lui fasse çà et lâche un "Ah !" de juissance chaque fois que ma langue s'aventure dans ce coin intime de son anatomie. Sans doute mes câlineries commencent à le chuaffer, car il retire le haut de son survêt. Je revois son beau torse, aperçu grace à sa webcam, quand on s'est contactés. Superbe corps d'homme. Ses tétons sont bien dressés, ses pecs et ses abdominaux tendus. C'est pas le genre de mec super musclé, mais sous un épiderme très lisse et sans poils, on devine des muscles à fleur de peau, qui donnent à son corps une fermeté et une virilité sans équivoque. Je ne peux m'empêcher de caresser ce beau garçon, le premier vrai garçon bien foutu, qui me fait bander comme un dingue. A côté, Sébastien est déjà à son âge tout mou, il n'a pas cette silhouette de vrai mec, et je crois qu'avec quelques années de plus, il sera encore plus enrobé ! Je me régale à caresser ce corps sec et chaud, et j'ai l'impression que lui aussi aime que mes mains effleurent sa peau dans les moindres recoins.
- Tu es Marocain ?
- Oui... Pourquoi ?
- T'as un super corps ! J'adore... Et il sourit.
Et subitement, il se penche vers moi et m'embrasse !
Un baiser extraordinaire, très mouillé. Sa salive déborde des coins de ma bouche, sa langue fouille la mienne, empêche toute initiative de ma part. C'est la première fois que j'embrasse un Arabe, la première fois qu'une bouche me dévore de la sorte... Jamais avec mes copains on s'est roulé une pelle avec une telle fougue ! Et aussi brutalement qu'il a commencé, il s'arrête, prend ma tête entre ses mains et l'accompagne jusqu'à sa bite pour que je reprenne ma fellation. Pendant que je le suce, il m'enlève mon polo et fait glisser son jogging vers le bas, puis s'en débarrasse. Il glisse une main le long de mes reins, sous mon jeans, puis sous mon slip et passe un doigt dans ma raie. Je me cambre... le contact de sa main entre mes fesses m'excite... Ce mouvement, que je n'ai pas pu réprimer, lui laisse deviner que je ne suis pas trop reticent à ce qu'il s'occupe de cette partie intime de mon anatomie. Il me redresse, baisse mon jeans et mon slip. Il peut maintenant voir que je bande à mort... autant que lui... Il m'entraîne dans la pièce à côté, où il me jette brutalement sur le lit. Je me retrouve couché sur le ventre, le cul en l'air, face à lui. Il saisit à pleines mains mes fesses et commencent à les malaxer. Et, se couchant sur moi, tend sa bouche vers la mienne pour me rouler une nouvelle pelle. Très vite, il glisse le long de mon corps et commence à me mordiller les fesses. Il me les lèche... Je trémousse de plaisir... Je n'en peux plus quand je sens sa langue s'insinuer dans ma raie et s'arrêter sur ma rondelle. Comme quand il m'a roulé une pelle, il emploie une quantité incroyable de salive, que je sens couler sur mes couilles et me pénétrer en même temps que sa langue... On ne m'a jaamis fait çà ! J'en gémis de plaisir, ce qui l'encourage à en faire encore davantage. Il a l'air déchaîné... Un doigt vient forcer mon sphincter; je le sens qui entre doucement, mais de plus en plus profondément... J'adore ! c'est bien plus jouissif que les godes que je m'enfile tout seul. Deux doigts. Il écarte bien les parois... il met en même temps la pointe de sa langue. Que c'est bon ! Je bande comme jamais. Je n'attends plus qu'une chose : qu'il me prenne ! Et tant pis si ça me fait mal, si sa queue est trop grosse, si j'ai mal au cul pendant une semaine !! J'ai trop envie de sentir sa chair chaude me pénétrer, sa longue et grosse bite me fourrager le fion, ses couilles frapper contre mes fesses. Et mon souhait va se réaliser. Tout en douceur... comme un pro qu'il est. Je m'étonne que la douleur ne soit pas plus forte... Ça me brûle... c'est vrai. Mais rien d'insupportable. Et si je ne sentais pas sa verge entrer et sortir, je pourrais croire qu'il n'a pas encore commencé à m'enculer... "Tu aimes ? Tu la sens ?" Je réponds ausssitôt que c'est la première fois que je me fais baiser, et que bien sûr j'adore.... Il rigole. Content de dépuceler un jeune mec et que mon cul soit capable de recevoir son bel outil !
Comme pour me remercier, il me tend sa bouche pour qu'un nouveau baiser baveux consacre notre union. Puis il me met sur le côté, lève une de mes jambes et me prend dans cette nouvelle position. Sa queue entre encore plus profondément en moi. Je n'ai pas du tout mal et mon amant peut voir ma bite bien droite. Je suis super excité par ce qu'il me fait. Il faut dire qu'il baise come un chef. A se demander s'il ne fait pas çà professionnellement : n'est-il pas gigolo, ou acteur porno ? Il va me baiser dans cette position une bonne dizaine de minutes. Il transpire et la sueur colle nos deux corps. Il est bien chaud le mec et de temps en temps donne des coups de reins qui enfoncent encore plus sa queue en moi. Je ponctue ses coups de bite plus violents d'un "ha !" plaintif, qui ne le dissuade pas de recommencer. Je sens qu'il est heureux, qu'il apprécie de me posséder, de baiser un mec à la peau claire... encore puceau ! Il me demande : "T'as quel âge ?" "Dix-neuf." "Dix-neuf ??" Il arrête de m'enculer et m'embrasse. Mais cette fois plus posément, comme un amoureux, tendrement. Il retire sa queue de mon cul et me demande de me mettre à quatre pattes. Tout en introduisant de nouveau sa queue entre mes fesses, il répète : "19 !???... et t'avais jamais fait l'amour ?" "Si... avec un copain, mais pas comme çà..." " Comment pas comme çà ? Tu aimes comme je te baise ?" "C'est clair... on voit que t'as de l'expérience..." Il s'arrête, sort sa queue, se couche sur le dos : "Allez, à toi ! Amuse-toi avec ma queue ! Assis-toi dessus et fais-la bien rentrer !" En me disant çà, ses yeux brillent d'envie; il est heureux que je sois son jouet. Mais moi aussi je suis comblé : en une seule fois, je goûte à tous les plaisirs qui s'offrent à un passif. Sans me faire prier, je m'empale sur son dard toujours aussi raide et dur. Mais très vite, je sens que la brûlure est intolérable : sa bite n'est entrée qu'à moitié et j'ai l'impression qu'elle me transperce de haut en bas. J'interromps la pénétration, mais mon amant pousse sa queue vers le haut pour, croit-il, m'aider. Pour la première fois, je gémis de douleur et le supplie d'arrêter. On se couche tous les deux sur le côté. "Tu veux pas que je te la mette bien au fond... j'ai envie de te donner mon jus..." "Non, pas comme çà...ça fait trop mal..." Il paraît ne pas comprendre ce qui m'arrive : que se passé-t-il j'étais si content de ce qu'il me faisait... Puis, résigné, il se met à se masturber, lentement, faisant tourner sa main autour de sa queue. Sa bite circoncise ne coulisse pas bien, mais elle est de plus en plus gonflée, les veines de plus en plus apparentes; C'est beau de voir un beau mec bien membré se branler. J'approche ma bouche de son gland et lèche ce beau sexe violacé. Il est à genoux devant moi et semble prêt à décharger son arme. J'observe avec intérêt ce beau zeb d'Arabe sur le point d'éjaculer. Mais, je me trompe, mon bel amant va encore s'astiquer le chibre pendant cinq longues minutes avant de lâcher son premier jet de foutre. Une giclée qui va tout droit sur ma gueule, suivie de trois ou quatre autres tout aussi puissantes. Et mon amant me tend sa queue, d'où coule un filet de sperme : "Vas-y ! nettoie-la bien... laisse rien perdre, c'est des vitamines !" "Tu aimes ?", me demande-t-il. "J'adore... c'est super bon... en plus ton sperme est super épais !" "T'es un vicieux, toi !"
On s'arrête, pourtant je n'ai pas joui... Mais je pourrai toujours me branler ce soir dans mon lit en pensant à ce que je viens de vivre. Je me rhabille en vitesse. Lui reste à poil et me regarde. Puis il s'approche et me roule une dernière pelle. Je lui demande : "Tu t'appelles comment ? " "Karim... et toi ?" "Julien... On pourra se revoir et faire l'amour une autre fois ?" "Imposible, ça fait deux ans que je vis en Espagne... et je rentre chez mo demain. Ici, c'est la maison d'un cousin... Mais je n'oublierai pas ton beau cul et notre baise de cet après-midi." Et il m'embrasse une dernière fois.
Rafael
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