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Baise à Valence

Je ne connaissais pas encore Valence, en Espagne. On m'en avait dit le plus grand bien. Mes amis me reprochaient de toujours privilégier Barcelone, alors que j'y avais déjà séjourné très souvent, alors qu'une autre cité, très peu éloignée de la capitale catalane, réservait à ses visiteurs tout autant d'attraits, et sur tous les plans. Ayant une semaine de congé, je me suis donc décidé à y faire un tour... Et il est vrai que Valence est très belle, que sa population masculine est tout aussi séduisante que celles de Madrid ou de Barcelone, les autres villes espagnoles que je connais.

Sans doute la mode des visages mal rasés s'est-elle aussi répandue très tôt là-bas. Toujours est-il que tout mâle "valencien", dès la vingtaine, laisse pousser sa barbe, veillant tout de même à ce qu'elle ne dépasse pas un ou deux millimètres, juste de quoi donner à leur belle gueule un surcroît de masculinité. Ils en connaissent l'effet : celui de détourner le regard non seulement des femelles locales qu'ils croisent, mais aussi des autres mâles, envieux (?) ou tout simplement attirés par les traits irrésistiblement virils d'autres garçons, qu'ils considèrent moins comme de redoutables concurrents dans leur chasse de proies féminines, que comme d'éventuels partenaires de nuits torrides entre hommes. Je dois reconnaître que tous ces jeunes hommes au teint brun, aux joues recouvertes de poils noirs, aux yeux charbonneux, distingués et silencieux, à la démarche féline, que j'ai rencontrés dans la rue, ou observés furtivement à la terrasse des cafés, me troublent terriblement... A chaque fois, je m'imagine me frottant les joues et les lèvres contre cette fourrure noire qui recouvre leur visage, avant de parcourir d'autres régions de leur corps afin de mieux exciter leur appétit sexuel...

Je suis à Valence depuis trois jours et je n'ai encore pu dévorer aucun de ces splendides spécimens masculins aperçus au gré de mes balades. J'ai pourtant, en plus, visité chaque soir un bar gai différent de la ville et ai pu approcher quelques garçons, très bien de leur personne, avec lesquels j'aurais volontiers terminé la nuit... Hier soir, tout particulièrement, ou un jeune homme de 25 / 26 ans, Hernán, se déclarant "actif", aurait pu convenir tout à fait à mes projets. Au comptoir d'un bar très fréquenté, bière après bière, nous avons longuement échangé, nous racontant mutuellement nos vies professionnelles, nos voyages communs (à Cuba, aux USA, au Mexique, à Berlin...), évoquant les fêtes auxquelles nous avions l'un et l'autre participé, les qualités physiques des garçons locaux, notre préférence partagée pour les jeunes Cubains, de loin les mieux membrés et les plus fougueux... Bref, alors que je croyais qu'il ne nous restait plus qu'à choisir ensemble et comment nous allions terminer la soirée, l'une de ses connaissances, un garçon plus jeune, assez efféminé, est entré dans le bar; ils se sont embrassés, ont parlé à voix basse. Je suis resté discrètement à l'écart, et, à ma grande surprise, quelques minutes plus tard, Hernán m'a salué et ils sont sortis tous les deux... Quelle frustation ! Inutile de dire que je suis rentré direct à mon hôtel.

Le lendemain après-midi, alors que je marchais dans le centre, pour continuer ma visite de la ville, je suis passé par hasard devant un cinéma porno, rue Alcoy. J'ai hésité un instant, puis me suis approché de la caisse et suis entré. Je me suis dit : je ne vais pas y rester longtemps, seulement y faire un tour, par curiosité, car ce genre de ciné a pratiquement disparu de nos villes. A peine entré, avant même de pénétrer dans la salle de projection, je découvre une première petite salle, avec des banquettes, où sont assis quelques vieux qui discutent avec une bonne dizaine de jeunes prostitués, tous d'une vingtaine d'années. A première vue, la majorité sont de jeunes Arabes, très beaux; il y a quelques Européens, sans doute des Espagnols, mais aussi des gars d'Europe de l'Est, Roumains ou Bulgares. Tous me regardent. Je poursuis ma route, entrant dans la grande salle. Mais, le rideau à peine ouvert, l'obscurité m'oblige à marquer un temps d'arrêt. L'un des jeunes m'a suivi, il me touche l'épaule, je me retourne et vois qu'il s'agit d'un beau blond, aux cheveux couchés obliquement, sûrement à grand renfort de gel coiffant. C'est rigolo. Il a de beaux traits et un superbe sourire. Il me salue en espagnol, avec un accent étranger. Toujours sur le seuil de la salle de projection, je lui demande "de quel pays il vient ?" Il me répond qu'il est Moldave, et me précise ; mon pays, c'est près de la Roumanie. Il me prend la main pour me conduire dans l'obscurité... Je me laisse faire, et me retrouve dans un fauteuil d'une rangée en fond de la salle. Le jeune Moldave s'est assis dans le fauteuil à côté du mien. Il ne m'a pas lâché la main, qu'il colle sur son paquet... Il ne bande pas, mais je sens que sa queue est en semi érection... Il frotte ma main sur son sexe. J'avoue que c'est excitant, d'autant que le Moldave a plongé son autre main sur mon entrejambe et me malaxe la bite. Je sens qu'à cette allure, je ne vais pas tarder à capituler ! Ce jeune, je le sais depuis la première seconde où j'ai mis les pieds dans ce cinéma, se prostitue et si je tarde à mettre les choses au point, il va me réclamer son dû... Je lui explique que je le trouve très beau, et sympathique !, mais que je n'ai pas l'intention d'aller plus loin... Du moins pour l'instant... "Laisse-moi d'abord visiter un peu ce lieu..." Déçu, le jeune mec se lève et repart vers la petite salle, où les clients, peuvent plus facilement aborder, à la lumière, le garçon de leur choix. Après quelques minutes, et grâce aussi au rayon lumineux de la projection, je distingue mieux les détails de la salle. Elle est assez grande, avec une allée centrale et une autre de chaque côté, plus sombres. Des mecs se promènent sur les côtés, s'arrêtent, parlent avec d'autres, peut-être avec des prostitués venus les relancer. L'écran n'est pas très lumineux. Le film me paraît assez ancien. On y voit deux lesbiennes se bouffer la chatte devant un vieux qui se masturbe. Pas vraiment de quoi m'exciter. Dans la salle, des hommes assis semblent quand même intéressés par le film; ils doivent se toucher la queue. Beaucoup sont assis en bout de rangée, près des allées latérales, sans doute pour que les "promeneurs" voient au passage leur matériel, et s'assoient à coté d'eux. J'en aperçois d'ailleurs deux qui se roulent une pelle, à quelques mètres devant moi. A force de détailer ce qui se passe dans la salle, je me rends compte que, derrière moi, beaucoup de spectacteurs entrent et sortent par une porte située au fond de la salle. On devine une source de lumière. Y aurait-il une autre salle ?

Je quitte mon fauteuil et me dirige vers cette porte, jusque là inaperçue. J'entre : ce sont les toilettes. Une sorte de vestibule à l'entrée, donnant d'un côté vers les toilettes pour hommes, et de l'autre côté vers les toilettes dames. Dans le vestibule, quelques jeunes prostitués, qui, quand j'entre, se touchent le paquet. Je continue vers les toilettes hommes. Il y a un urinoir, sans séparations, avec deux "pisseurs" : un Arabe d'une quarantaine d'année, faisant semblant d'uriner, mais qui se masturbe, en vérité. Il a un énorme zeb circoncis, très foncé, avec une paire de couilles tout aussi impressionnantes. A côté de lui un petit vieux qui de temps en temps lui saisit la verge et l'astique. L'Arabe ne semble pas trop intéressé par son voisin, par contre quand il me voit, il se tourne me montrant bien son chibre et ses burnes. Il se lèche les lèvres pour m'exciter un peu plus. La porte d'une des cabines s'ouvre et en sortent un client, qui file dans la salle, et un jeune Arabe qui s'approche du lavabo. Sans la moindre gêne, il sort sa bite et la passe sous le robinet. Il la lave bien, puis avec un mouchoir en papier, l'essuie consciencieusement. Même s'il ne bande plus, sa bite a gardé un bon volume... Il la range dans son slip, et au moment de fermer sa braguette me jette un coup d'oeil et me sourit. C'est un beau gosse, mince, au corps sec et à l'allure sportive. J'adore sa coupe de cheveux : crâne rasé sur les côtés, une petite "forét" de cheveux noirs frisés sur le dessus. J'ai déjà goûté ce genre de jeunes mâles arabes, au sexe bien raide et bien dur, aux couilles odorantes, Ah, ce parfum enivrant des jeunes Arabes !... Ils baisent souvent sans ménagement, parfois brutalement, cherchant avant tout à montrer qu'ils sont actifs, et donc "pas pédés" ! Quand ils éjaculent, ils aiment bien qu'on avale tout leur jus, un sperme savoureux, il est vrai, épais et abondant. Je jalouse son client, qui est sorti comme un voleur, et qui a dû se faire niquer. Quel pot ! par un aussi beau mec, qui sûrement l'a en plus régalé d'une bonne dose de foutre. Je reviens dans le petit vestibule et constate que clients et jeunes prostitués entrent et sortent à intervalles réguliers des toilettes "dames". Ça baise dans tous les coins ! Je sens que je ne vais pas rester là à compter le nombre de passes... L'Arabe, qui se branlait devant l'urinoir, vient de sortir et se dirige direct vers moi. Il m'a l'air d'avoir une bonne biture. Il s'approche de plus en plus, il sent la bière, il sort sa bite de sa braguette et la frotte contre ma jambe. Réflexe idiot : je saisis sa queue ; elle est molle, mais reste très grosse. J'en ai déjà sucé et pris dans le cul pas mal, de ce calibre. S'il n'était pas ivre et était plus jeune, je n'aurais pas hésité et me serais enfermé avec lui dans un chiotte. Mais avec tous ces jeunes mecs qui dans ce ciné offrent leurs services,... Je lâche donc son zeb et sors des toilettes. Au fond de la salle, des mecs sont appuyés contre le mur. Mettant à profit l'obscurité, ils se font sucer par d'autres, penchés sur eux, ou carrément à genoux devant eux. Je fais un tour dans les allées latérales. Je distingue mal la tête des mecs que je croise. Seule la silhouette, plus mince et plus "sportive" m'indique quand j'ai affaire à un jeune prostitué. L'un d'eux m'arrête et me parle : au bout de quelques secondes je reconnais le jeune Moldave. Il me dit qu'il a très envie, qu'il n'a rien fait aujourd'hui et n'a pas joui depuis trois jours. Il ouvre sa braguette, sort sa bite qui est bien raide. Il me la fait toucher. Je la prends dans la main : elle est chaude, assez longue et fine. "Suce-moi !" Je meurs d'envie de la goûter, mais si je commence il va me réclamer du fric. C'est un beau petit mec blond, j'ai vu sa gueule tout à l'heure, à l'entrée. Le genre de minet que j'aimais caresser, branler, sucer et même enculer, quand j'étais plus jeune. A cette époque, j'adorais les minets blonds dans son genre. Et lui, avec sa coiffure "couchée par le vent" a quelque chose de vraiment séduisant et sexy. Mais, aujourd'hui, je suis moins attiré par les petits culs blancs et serrés. Je préfère de plus en plus bouffer de la grosse bite, gober des couilles qui sentent le mâle et le sperme, et me faire prendre par un mec expérimenté qui me démonte le cul ! Je souhaite "bonne chance !" au jeune Moldave et ressors de la grande salle.

Dans la petite salle, il y a toujours autant de monde sur les banquettes : les jeunes et les petits vieux qui papotent bruyamment, commentant les allées et venues des jeunes prostitués. Un en particulier, qui parle très fort, expliquant aux autres, que, dimanche dernier, il s'est payé un jeune Arabe, un Egyptien; plus précisément, d'une trentaine d'années. Il n'avait jamais vu un outil pareil, 24 ou 25 centimètres, sans exagérer. Et quel talent ! Le vieux s'est fait baiser tout l'après-midi, dans toutes les positions, et remplir le cul de jus. "Jamais joui comme ça !..." qu'il disait. Il s'est fait charrier bien sûr par les autres vieux, qui ne semblent pas trop croire à son histoire...

Tout en écoutant ce que raconte le vieux, je passe en revue les jeunes mecs assis sur les banquettes, dans l'attente du client. Beaucoup ont les yeux rivés sur leur smartphone et ne se rendent même pas compte que je les oberve. Je reconnais le jeune Arabe qui s'est lavé la bite au lavabo des toilettes hommes. Il est vraiment beau. S'il n'avait pas déà tiré un coup, je me le serais volontiers fait. Mais, il ne doit plus avoir grand chose dans ses couilles, et moi j'ai envie qu'on me jouisse dans la gueule. J'adore avaler le sperme des jeunes mecs ! Alors que je suis en train de choisir le mâle qui m'excite le plus, surprise !, entre de l'extérieur un autre Arabe, un peu plus vieux, 27/28 ans, au visage très viril et à la carrure impressionnante. Il serre la main à quelques-uns des vieux habitués, et fait la bise à deux ou trois jeunes Arabes. Tout de suite, je comprends que je n'ai plus à réfléchir, que le partenaire idéal vient d'entrer. Par calcul, je fais semblant de ne pas l'avoir remarqué. Enfin, de ne pas être au bord de l'évanouissement. Il porte un jeans noir, très moulant, mais bizarrement, son paquet ne paraît pas mis en valeur. Mais vu la carrure du mec, sa taille, je ne doute pas un instant qu'il est sûrement mieux membré que la moyenne. Et puis les Arabes, s'ils ne l'ont pas longue, ils l'ont épaisse, et une fois excités ont souvent un gland énorme, comme un champignon, qui coiffe leur verge. J'adore ! Le gars très brun est plutôt du genre poilu. Je me vois déjà ouvrant sa braguette, découvrant la grosse bosse de son slip, ses cuisses poilues. J'imagine ses belles couilles velues, son zeb parfumé... qui grossit entre mes lèvres. Je rêve debout, les yeux fermés. Je les ouvre à temps pour voir qu'il a soulevé le rideau pour entrer dans la salle. Je le suis. Pas question que je me le fasse voler par quelqu'un d'autre! Le rideau passé, il reste debout sans bouger, attendant de s'habituer à l'obscurité. Je le dépasse et continue de l'observer, craignant de le perdre. Il se dirige vers les toilettes. Je le suis toujours. Il entre, dans le vestibule il embrasse un autre jeune Arabe en attente du client. Il file vers l'urinoir. Je le suis. Il a sorti sa bite, très foncée, et se met à pisser. Un jet puissant d'urine sort de son gland. Il pisse un bon moment. Je ne perds pas une miette du spectacle. Il s'en aperçoit. Quand il a fini, il se tourne légèrement vers moi, secoue sa bite, puis la rentre dans sa braguette. Il me regarde et me fait un clin d'oeil. J'opine de la tête pour mieux lui signifier que ce que je viens de voir est tout à fait à mon goût. Il sourit et se met face au lavabo pour se rinçer les doigts. Sans doute aussi pour rester plus longtemps près d'un potentiel client. Je vois qu'il me regarde dans la glace. J'en profite pour me lécher les lèvres. Le message est clair. Il se retourne et me demande si je veux entrer avec lui dans un chiotte. Je lui demande combien il prend. Avant de me préciser son tarif, il veut savoir ce que je veux faire. Je suis soudain pressé de passer aux choses sérieuses. Je n'ai pas encore vu sa bite en érection, mais je me risque : "Te sucer et me faire niquer..." "Tu veux que j'éjacule ?" " Oui, dans la bouche..." J'accepte ce qu'il me demande. Il sort un préservatif de sa poche, puis ouvre les cabines libres. Il trouve qu'elles sont sales et me dit de le suivre chez les femmes. La seule cabine qui reste a bien des traces de sperme sur le sol, mais elle n'est pas trop dégueulasse. En plus elle a des patères fixées au mur pour suspendre les vêtements. On s'enferme, et, à ma surprise, l'Arabe enlève pull et chemise, défait sa ceinture et baisse son pantalon sur ses mollets. J'ai devant moi, presque totalement à poil, un superbe étalon au bas ventre et aux cuisses poilus, mais au torse presque glabre. Il me demande de faire pareil. Je m'exécute et enlève ma chemise et baisse mon froc. Le mec est finement musclé, en particulier ses pectoraux, bien dessinés. Il a aussi de beaux abdominaux et des bras puissants. Tout de suite, il me caresse les seins et me triture les tétons, puis il me touche le cul. J'approche mes mains de son slip et caresse son zeb à travers le tissu. Je sens que ça vit là-dessous... Je baisse son slip et dégage un énorme chibre qui se sentait sans doute de plus en plus à l'étroit dans son sous-vêtement. Une odeur forte de bite arabe monte jusqu'à mes narines. Je me baisse, frotte mon nez et mes lèvres contre sa queue et ses couilles. J'adore ce parfum. Son zeb se raidit et se dresse tout droit. Quand ce gars est entré dans le cinéma, aucune bosse de son jeans ne trahissait les dimensions exceptionnelles de son appareil génital. Mais là, je peux constater, que comme certains Blacks et beaucoup d'Arabes, ce garçon possède vraiment entre les jambes un "jouet extraordinaire" ! Je me suis alors penché et j'ai avalé tout ce que j'ai pu : son gland, une bonne moitié de sa verge, ses couilles, l'une après l'autre... Il gémit de plaisir, doucement et me caresse les cheveux comme pour m'encourager. Je salive un maximum, enduisant sa verge jusqu'à la faire briller. Je le pompe goulûment pendant cinq bonnes minutes. Je sens que ça l'excite. Il se penche au-dessus de moi et me caresse les fesses. Il glisse un doigt dans mon trou. Je frémis de bonheur... Il me met alors deux doigts qu'il enfonce au maximum Tous les deux on est de plus en plus excités... Il me dit qu'il a envie de me prendre. Je me redresse. Il déchire avec ses dents l'emballage d'un préservatif. Je le regarde enfiler la capote sur son gros chibre. Sa bite est si longue et si épaisse que le préservatif n'arrive qu'à la moitié de son engin. Même si je n'aime pas le goût du plastique, je me penche et enduis de salive la capote. Il comprend que j'ai peur que ça n'entre pas facilement : il me demande de me retourner et en se penchant sur moi écarte mes fesses. Il crache plusieurs fois sur ma rondelle. Puis, avec un doigt, il fait entrer le plus de salive possible dans mon trou, histoire de le lubrifer au maximum. J'aime bien sa façon de faire, rare chez les Arabes qui aiment bien déchirer les culs, sans gel ni crème, et à grands coups de reins, plutôt que d'être doux avec leur partenaire. Il approche alors sa queue et commence à l'enfoncer entre mes fesses. Il pousse lentement, faisant glisser peu à peu son zeb dans mon cul. J'ai un peu mal, une sensation de brûlure, mais je sens la progression de la bite sans me tordre de douleur. Je me réjouis d'avoir choisi un mâle aussi expérimenté, si soucieux du confort de son passif. Ses couilles sont maintenant collées à mes fesses : ça y est, il a réussi à la faire entièrement entrer. Je sens son énorme morceau de chair en moi, je sens qu'il me possède ! L'Arabe attend quelques secondes sans bouger, pour que je m'habitue bien à la présence de cette torpille chaude qui s'est emparée de mon cul. Puis il commence des va et vient, d'abord de faible amplitude, puis de façon à arriver à sortir presque entièrement sa queue puis l'enfoncer à nouveau au plus profond de mon cul. J'adore cette façon qu'il a de m'enculer. Pour qu'il le comprenne, je gémis de plus en plus fort... Dehors, les autres doivent peut-être m'entendre. J'en ai rien à foutre : je veux que mon Arabe sache qu'il baise comme un dieu. Mes gémissements semblent malheureusement déclencher en lui l'envie subite de me démonter le cul. Il se met alors à me donner des coups violents de bite. Chaque coup provoque une douleur très forte. Cette fois mes gémissements ne sont plus de plaisir mais de douleur. L'Arabe, à mon désespoir, se déchaîne de plus en plus : il me pilonne le cul avec une force incroyable. Je ne bande plus, tellement j'ai mal ! Je lui demande d'être plus doux, mais rien n'y fait, il semble comme furieux, décidé à me casser le cul. Heureusement, au bout de quelques minutes insupportables, il s'arrête brutalement et pousse un râle de plaisir. Il doit être en train de jouir. Tant mieux ! Il a encore quelques petits soubresauts, qui se traduisent par de petits coups de bite. J'ai mal, bien sûr, mais rien d'aussi terrible que quelques minutes avant. En plus, j'ai failli perdre l'équilibre et tomber dans ce chiotte, tant il m'a pilonné le cul avec force. Il garde sa bite enfoncée dans mon cul, puis la sort lentement. Je sens le plastique de la capote frotter mon rectum. Je me tourne : il me montre sa bite enveloppée dans le présevatif dont le reservoir, au bout, contient une belle quantité de foutre. L'Arabe retire la capote en faisant attention de ne pas renverser le sperme. Je commence par lécher son gland luisant de semence, puis mettant la capote dans ma bouche j'avale tout le superbe sperme blanc qu'elle contient. De me voir faire l'Arabe sourit. Il semble heureux que sa semence me plaise autant. Il sort d'une poche de son pantalon des mouchoirs en papier, m'en donne un. Il sèche sa queue que je viens de lécher. Je m'essuie la raie mouillée de sueur.

On se rhabille. Il me demande que je le paye. Le compte est bon. Il me demande un petit quelque chose en plus : "tu as vu j'ai beaucoup joui, je peux pas faire d'autres clients aujourd'hui". J'ai accepté de lui donner un peu plus, car il m'a bien baisé. "Si tu veux, je te donne mon téléphone, et on se voit quand tu veux, même chez toi..." Je lui ai expliqué que je n'étais pas de Valence, mais que je garderai un excellent souvenir de cette ville, grâce à lui !... Il a ajouté qu'il était Marocain et que s'il baise aussi bien, c'est parce qu'il a baisé au Maroc des tas de touristes, avant de venir en Espagne.

Rafael

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