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Le vigile

Depuis quelques mois, la boîte où je travaille a décidé de faire appel à une société de vigiles, destinés à contrôler les entrées et sorties de notre immeuble. C'est moi qui ai été chargé de passer notre contrat avec la société, et de fixer les modalités du travail des vigiles. Il y a toujours un gars de service pendant les heures de bureau; il doit demander une pièce d'identité à chaque entrant, document qu'il restitue au visiteur à sa sortie. Il y aussi un vigile la nuit; ou plutôt deux : l'un de 18 h à 2 heures du matin, remplacé par un autre entre 2 heures et 8 heures du matin. La société change ses vigiles à peu près chaque mois; certains reviennent travailler chez nous au bout d'un trimestre. Quand un vigile entre à notre service, pour la première fois, il doit obligatoirement se présenter à moi, ce qui me permet de bien lui préciser ce qu'on attend de lui. Ce qui me permet aussi de faire sa connaissance... Je saisis toujours l'occasion de cette première rencontre pour interroger le nouveau sur sa vie personnelle : est-ce qu'il est marié, ou célibataire, quelle est sa formation, où il habite, etc. etc. Il s'agit le plus souvent de garçons jeunes, célibataires, au physique sportif, souvent baraqués, le genre viril, dont le costume noir, qui sert d'uniforme de la société, laisse deviner de puissants moyens sexuels. Parfois certains sont si attirants, dès cette première entrevue, que je me plais à les garder dans mon bureau le plus longtemps possible, les harcelant de questions débordant même le cadre strict des tâches qui vont leur être confiées... La plupart des vigiles de cette société sont des Noirs, de véritables armoires à glace, dont j'aimerais bien aussi tester les performances au pieu... Par trois fois au moins, la société nous a envoyé des Beurs, eux-aussi de solides gaillards, même si l'un était de petite taille; mais ses biceps se trouvaient à l'étroit dans les manches de sa chemise, et ses cuisses remplissaient avantageusement ses pantalons... J'imaginais, pendant qu'il me parlait, son corps musclé et ferme, son ventre plat, son... Bref, j'étais assez troublé par son physique et je crois qu'il s'en est rendu compte.

Depuis un mois, c'est un grand Noir qui me fait tourner la tête, et, dès le premier instant, je me suis mis à rêver que j'étais, entre ses bras, son jouet consentant... qu'il me montrait même toute l'étendue de son expérience de vrai mâle. Pourtant, je ne devrais pas me faire trop d'illusions : à 23 ans, il est déjà marié, et, répondant à une question indiscrète que je lui ai posée à son entrée, je sais qu'il a aussi souvent d'autres aventures, avec des femmes mariées... Je lui ai même demandé s'il arrivait à assurer... tout en remplissant ses obligations conjugales... Il m'a répondu, avec un large sourire : "Toujours !... Dans ce domaine, j'assure toujours !" Cette question déplacée me permet, sans que personne ne se doute du sens caché de mes propos, d'interroger Fernand (c'est son prénom) le matin, quand j'arrive au boulot : "Alors, tu assures toujours, Fernand ?" "J'assure Monsieur ! J'assure..." Et, complices, on éclate de rire tous les deux. Physiquement, Fernand est un mec canon : grand (1,88 m sur sa fiche), élancé mais solide, avec de grandes mains, un visage fin, d'épaisses lèvres, une couleur de peau très foncée, mais d'un noir brillant qui, quand il est à poil, doit souligner la perfection des lignes de son corps. Il a le torse en V, avec une taille assez fine et un ventre plat. Ce qui met en relief son paquet : son organe d'ailleurs, même au repos, paraît avoir un volume peu commun. Je l'ai chargé à une ou deux reprises de porter au siège de sa société des courriers, alors que j'aurais bien pu les envoyer par la poste. Mais cela m'a permis de lui demander de passer à mon bureau, le soir, avant de partir... Avant de lui remettre l'enveloppe, mon "facteur" a dû à chaque fois répondre à mes questions, toujours plus indiscrètes, osées même, parfois salaces, au fur et à mesure que le temps a passé... Il m'a avoué que, comme le samedi il jouait dans un petit orchestre "des Caraïbes", cela lui permettait de ne rentrer que très tard chez lui, voire carrément le lendemain, s'ils avaient joué loin de chez eux, et ainsi de terminer la nuit en jouant de son instrument favori... J'ai ajouté : "Question instrument... apparemment, t'en as un super performant... Et si tu sais bien en jouer, il doit y avoir pas mal de mélomanes qui veulent l'écouter... pas vrai ?" Et Fernand saisissant la balle au bond a répliqué : "Y'en a pas mal qui non seulement veulent l'écouter, mais qui veulent en jouer !!!... des femmes, ...mais aussi des hommes !" Et il a même ajouté, ayant sans doute deviné depuis longtemps que son instrument m'intéressait au plus haut point : "Et un jour si vous voulez en jouer... Vous me le dites ! J'assure...." Sa conclusion m'a permis de m'en tirer par un bel éclat de rire, comme si je n'avais pas bien compris son allusion.

Un jour, à mon arrivée le matin, il me demanda s'il pouvait venir me parler après son travail. Ce que j'ai bien entendu accepté, avec un beau sourire; mais pendant des heures je me suis demandé de quoi bon sang il voulait bien me parler; en plus, en privé, dans mon bureau... Quand, enfin il est entré, il m'a paru plutôt gêné. Je l'étais aussi. En réalité, il était venu me demander un service : que je lui prête un peu d'argent. Depuis plusieurs semaines, son orchestre n'avait pas eu de boulot, et, dans son cas, "faire desextra", comme il disait, ça finissait par lui coûter cher... Je fis quelques plaisanteries, plus ou moins spirituelles, lui conseillant de ne pas faire "trop de musique", ce à quoi il me répondit que de ce côté-là "il assurait"... Et, il ajouta (deuxième invitation très claire) : "Quand ça vous dit... je vous le prête mon instrument..." Les Noirs me paraissent très séduisants, en général. Mais Fernand, en plus de son âge, avait quelque chose qui le rendait à mes yeux plus attirant encore : bien sûr son physique sportif, mais surtout son allure de petit voyou. Cela me faisait supposer qu'avec lui les ébats devaient être d'un érotisme débridé et d'une fougue jusqu'ici inconnue de moi... Il avait en même temps une certaine douceur : dans sa façon de parler, de se mouvoir... Ce qui laissait deviner cette capacité propre aux Noirs de faire l'amour...., comment dire ?... amoureusement. Il a empoché l'argent que je lui prêtais, et en guise de salutation, a saisi d'une main son énorme paquet et déclaré : "Merci beaucoup... J'oublierai pas... Lui, en tout cas, il n'oubliera pas..." Me retrouvant seul dans mon bureau, je suis resté silencieux plusieurs minutes, imaginant toutes sortes de suites à ce qui venait de se passer. Quand j'ai quitté l'immeuble, Fernand était parti, remplacé par un autre vigile, un Arabe, très beau lui aussi, un beau gars viril, avec qui j'aurais bien passé de longs moments "à son service"... "Bonsoir !" "Bonsoir, Monsieur."

Fernand a disparu quelque temps de notre immeuble, plusieurs semaines, remplacé, comme c'était la pratique dans sa société. Je n'ai pas osé réclamer pour qu'il soit très vite réaffecté chez nous. Mais, il m'avait laissé son numéro de portable et je l'ai appelé au bout de trois semaines. Il a cru tout d'abord que je voulais lui réclamer le fric que je lui avais prêté. "Non... c'est pas pour ça que je t'appelle... Tu me le rendras comme convenu plus tard... Non, c'est pour avoir de tes nouvelles..." " C'est super gentil. Si vous avez le temps, on peut se voir un soir... où vous voulez... Vous n'avez pas envie de faire un peu de musique ?" "Mais tu es sûr que tu peux assurer ?" "Fernand, il assure toujours !... Même plusieurs fois de suite !" On s'est donné alors rendez-vous, samedi soir, pour boire un verre. Quand il est entré dans le bar, avec sa démarche chaloupée, j'ai respiré fort, comme si déjà nous étions ensemble, nos bouches et nos corps collés... Il s'est assis, a commandé une bière comme moi, et m'a demandé ensuite : "Alors, c'est ce soir qu'on joue ensemble ? Mon instrument est déjà prêt... Je l'ai toujours sur moi... tout raide..." Personne ne se trouvant à proximité, j'ai osé répondre : "Il n'est pas trop gros... ton instrument ? Ça me fait un peu peur... Vous les Blacks vous êtres tellement gâtés par la Nature !" Il attendit que le serveur ait déposé sa bière et se soit éloigné, pour me dire tout doucement : "Mais nous les Blacks on sait bien en jouer de cet instrument... et on apprend plein de choses aux débutants qui veulent progresser." On a finalement décidé d'aller dans un hôtel, "pas cher", qu'il connaissait. À peine entrés dans la chambre, il me roule un patin d'enfer ! Sa grand bouche, ses lèvres épaisses me dévorent littéralement : bouche, menton, joues même. Je sens chez lui une fougue de mâle en rut. Pour un hétéro, aux aventures féminines innombrables, Fernand me semble savoir aussi goûter, sans tabous, les plaisirs du sexe homo. Ses bras et ses grandes mains me plaquent contre son corps... Il me malaxe les fesses, respirant bruyamment pour accompagner tous ses gestes. Parfois, il me soulève du sol, passant une main dans mon entrejambe : je deviens alors une espèce de poupée gonflable, manipulée par un garçon désireux de la posséder. Ses mains ne s'attardent pas sur la bosse déjà très dure de mon sexe; non, elles se glissent sous la ceinture de mon froc et empoignent fortement chacun des globes de mes fesses. Un doigt glisse et se perd dans ma raie : il s'arrête sur mon trou. Fernand fait alors pénétrer dans mon cul les deux premières phalanges de son majeur. Il les tourne doucement. Comme ses doigts sont longs, je sens bien qu'il fouille l'intérieur, comme s'il voulait masser ma prostate. Cette pénétration, par un "gode" naturel, au diamètre tout à fait supportable, m'excite comme un fou. Fernand s'aperçoit que ce qu'il me fait me plaît : "Tu aimes qu'on t'explore le cul, hein ..." " Ouiiii... c'est bon !" C'est la première fois qu'il me tutoie. Il n'a pas arrêté de m'embrasser, fouillant ma bouche avec sa longue et envahissante langue. Jamais personne ne m'a embrassé aussi fougueusement que lui. Je me laisse faire. Il défait ma ceinture, fait tomber mon froc sur mes chevilles. Depuis un bon moment je caresse sa bite à travers son pantalon de toile. Son membre, très long, est déjà très dur, dressé sur un coté, alors que ses couilles, plaquées de part et d'autres de la tige, me semblent elles aussi d'un format exceptionnel. je défais la grosse boucle de sa ceinture et baisse son froc. Sa queue, comme libérée, se dresse d'un coup, triomphante, dans son slip. Il porte un boxer noir, très moulant, en lycra. Le gland de sa bite dépasse l'élastique de la taille : il apparaît au niveau du nombril. Fernand n'est pas circoncis. Son organe, comme je m'y attendais, est une bête gigantesque, très dure, à la base duquel deux énormes réservoirs à foutre promettent de ne jamais le laisser tomber en panne sèche... Je caresse sa verge à travers le lycra, je m'attarde sur ses couilles, que je frôle à peine... du bout des doigts... Fernand, interrompt sa pelle pour me dire tout bas : "Tu es douce, ma poule... Tu aimes mon sexe ?... Alors, il va te donner beaucoup de plaisir..." Je n'ai rien répondu, déboutonnant sa chemise pour me plonger sur son torse. "Mets-toi à poil, ma poule... On sera mieux." Lui aussi se débarrasse de ses vêtements... en quelques secondes ! Mais quel spectacle magnifique ai-je devant moi ! Il me serre amoureusement contre lui, plaquant ses grandes mains contre mes fesses, puis il me pousse, me renversant sur le lit. Il se couche sur moi. Son corps très lourd m'écrase un peu... Quel bonheur d'être couvert par un tel mâle, quitte à en perdre le souffle ! "Suce-moi ma poule... Et après je te prends... J'ai trop envie" "Tu as l'air pressé ? On ne va pas passer pas la nuit ensemble ?" "Non... C'est que... C'est samedi... et comme ma femme sait que j'ai pas d'animation de bal ce soir, elle va m'attendre..." "J'ai une idée... Tu connais bien sûr le numéro du portable de ta femme... Compose-le sur mon mobile. Puis passe-la moi : c'est moi qui lui parle."

"Allo, vous êtes bien l'épouse de M. Fernand M. ? Ah bon, il n'est là ? Ici, c'est l'entreprise où il travaille... On a besoin de lui ce soir, il faudrait qu'il remplace un autre vigile qui est malade... Vous ne savez pas où il est. Ça ne fait rien... je vais essayer de le joindre par un autre moyen... Bonsoir Madame...." Je raccroche. "Dans quelques minutes, tu l'appelles avec ton portable, et tu lui expliques qu'on vient de t'appeler, que tu dois faire un remplacement..." "Toi, tu es un vrai diable !" Et il me roule un autre pelle d'enfer ! Pendant qu'il téléphone à sa femme, je lui suce la queue, sans bruit, mouillant bien avec ma salive son bâton de chair noire : sa bite se met à briller, ce qui la rend encore plus attirante. Fernand se laisse faire. Puis, à quatre-pattes au-dessus de ma tête, il m'offre ses couilles et sa tige pour que je les lèche en tous sens. Il aime que je me démène sur ses attributs de mâle : il bande bien et me laisse prendre tout mon temps pour gober chacun de ses gros testicules, et les laisser "fondre" sur ma langue. Puis il les passe doucement sur mon visage, ainsi que sa verge, caressant mes joues, mon nez, ma bouche, mon front... mon menton. L'odeur forte, de mâle, imprègne chaque centimètre carré de ma face. J'adore ce parfum, qui m'excite comme un fou et me fait souhaiter que très vite son organe prenne possession de moi. Je meurs d'envie qu'il y entre le plus profondément possible. Fernand, lui aussi semble très excité par ce qu'on fait. Il me déclare : "Tu sais, ma poule, on ne m'a jamais fait des câlineries pareilles... aucune femme, ni aucun mec !" " Ah bon ? Tu as déjà fait l'amour avec des mecs ?" Il se met à rigoler... "Je te l'ai dit, ma poule : j'assure ! Tu sais, t'es pas le premier mec qui m'a dragué. Je comprends très vite quand un homme a envie de moi... Y'a plein de types qui veulent que je les baise... Quelques-uns sont même des clients réguliers... Et ils me payent bien ! Pour toi, rassure-toi, c'est gratis !... hahaha... En plus, tu suces tellement bien, que c'est moi qui devrais te payer ! hahaha..." Je suis curieux : "Et, avec les hommes tu fais ça souvent ?..." "La première fois, j'avais 18 ans... Je faisais pas mon âge, je faisais plus... Le mec était fou de moi... je l'ai enculé toutes les semaines pendant un an... Ça me faisait mon argent de poche... Il voulait même me présenter à des potes à lui, à qui il avait parlé de la taille de ma queue... de la quantité de sperme que je jutais... Ça le rendait dingue. Il voulait faire des photos de ma bite. J'ai pas voulu... Si j'avais accepté, j'aurais pu me faire les couilles en or ! Mais tu comprends... je ne suis pas une pute."

On a continué à se rouler des pelles, à se caresser, à se toucher le cul... Il m'a doigté, en m'expliquant qu'il fallait que je me décontracte un peu... qu'il me trouvait " très serré", et que pour que je jouisse bien... pour que son membre entre bien, je devais me préparer... Je lui ai palpé les fesses, moi aussi, mais je n'ai jamais osé glisser un doigt dans sa raie, encore moins de faire pénétrer ne serait-ce que le bout d'une première phalange dans son oeillet noir. La seule chose que Fernand a toléré, c'est que j'observe de très près son trou, en écartant les deux globes de ses fesses. Des deux mains, j'ai ouvert son cul. Il a même joué le jeu, en relâchant volontairement ses sphincters, pour que je puisse voir un ou deux centimètres de son trou, cette belle cavité rose, qui tranchait avec le noir de la peau de ses fesses. J'ai osé rouvrir son cul, et il s'est laissé faire. Alors, du bout de ma langue j'ai titillé cette rosette si excitante, que chez un autre partenaire j'aurais peut-être tenté de pénétrer. Mais Fernand, je l'ai compris, s'est seulement et exceptionnellement laissé faire. Je ne devais pas rêver : il est 100 % actif; jamais aucun doigt, aucun membre viril ne s'est introduit dans cette partie intime de son corps. Ma langue, aujourd'hui, à la rigueur... parce que c'est doux une langue... et d'ailleurs j'ai senti à ma surprise que ce contact l'avait fait frémir... Il ne s'est pas retourné, ni n'a protesté... J'ai pu, plusieurs fois faire entrer la pointe de ma langue de quelques centimètres, puis lécher son trou, amoureusement, comme une mère chatte en train de laver son chaton.

C'est tout ce que Fernand, mâle black, à la virilité inéquivoque, a accepté que je lui fasse, avec passivité. Très vite, il a repris son rôle de partenaire actif. "Tourne-toi, ma poule... montre-moi ton cul que je te le câline... et que je te mette cette bite que tu aimes tant". Je me mets alors à quatre-pattes et lui tends mes fesses. Il les écarte, passe sa langue dans ma raie. Cette caresse inattendue me fait trembler de plaisir : "Ahhhhhhh...." Je me cabre, fesses en l'air, m'offrant à l'étalon pour une saillie, que je pressens déchaînée. Il va d'abord prendre une capote, dans la poche de son pantalon; il l'enfile consciencieusement sur sa queue. La capote, il fallait s'y attendre, ne couvre que les trois-quarts de son membre. Puis, il s'approche du lit, me place pour que je sois bien au bord, et à la hauteur de sa verge Il crache plusieurs fois dans mon trou, étale d'un doigt sa salive, la faisant pénétrer dans mon fion. Il regarde ses doigts : "T'es bien propre, ma poule... C'est bien... Je vais te la mettre, bien au fond..." Tout de suite, j'appréhende la douleur : "Vas-y doucement, Fernand... T'as dit toi-même que j'étais serré... Ne me fais pas mal... Enfonce-la doucement". Fernand ne répond rien, se contentant de faire entendre un long "chuuuuutttttt !", très long, sans doute pour me rassurer... Je sens son gland forcer le passage. Le Black pousse, mais sans brutalité, jusqu'à ce que l'anneau de mon trou cède enfin et que son membre raide puisse progresser peu à peu en moi. "Tu la sens, ma poule... Tu vois, elle entre doucement... comme tu aimes... Tu vas voir : elle sera déjà au fond sans que tu t'en sois même rendu compte."

En réalité, je sens très bien son membre raide glisser, s'enfoncer et dilater peu à peu mon rectum. Ce n'est pas que j'aie mal... mais ce morceau de chair, qui s'introduit dans mes entrailles, accélère subitement ma respiration. J'ai l'impression d'avoir couru un 100 mètres. Mon souffle est de plus en plus rapide. Fernand tente de me calmer : "Bouge pas, ma poule... tu la sens ? Tu sens qu'elle est presque au fond... relâche-toi... tu vas voir comme c'est bon... Dis, t'aimes pas avoir une grosse queue de black dans le cul ?... C'est bon non ? ... Calme-toi, ma poule... Ma queue, elle va juste te donner du plaisir comme jamais... C'est la première fois que tu te fais enculer par un Noir ? Dis-moi que tu aimes... Pas vrai, ma poule ?... Tu vas jouir comme ça t'est jamais arrivé... Ça y est, je peux pas aller plus loin... Tu vois, elle est au fond... Tu sens pas mes couilles contre tes fesses ? Je peux pas l'enfoncer plus... J'adore... Tu vois : même les grosses queues peuvent défoncer ton joli petit cul serré..."

Et après quelques va et vient très lents, destinés à bien placer sa verge dans mon rectum, Fernand accélère le rythme, faisant, à chaque coup, claquer ses couilles contre mes fesses. Je gémis... de douleur, je dois l'avouer. Pourtant, Fernand me baise sans brutalité. Pour me calmer, il me mordille le lobe d'une oreille, puis l'autre; il me donne de petits bisous dans le cou, relève mon menton avec sa main, ce qui cabre mon corps, et aide sa verge à pénétrer encore plus profondément dans mon rectum. Je sens que le Black connaît tous les moyens de me posséder pleinement, de prendre son plaisir de mâle actif. Et, je dois reconnaître, que malgré la taille de son organe, je ne souffre pas terriblement. Bien sûr, je ressens une forte sentation de brûlure, mais rien d'insupportable, seulement la preuve vivante que sa bite est tout entière en moi, qu'elle y a trouvé sa place, donnant à tous deux ce plaisir indescriptible de la fornication. Fernand va me limer ainsi un bon quart d'heure. Il me donne des coups de boutoir, mais il sait aussi me chuchoter des mots doux à l'oreille. C'est terriblement excitant d'être traité à la fois avec une vigueur mâle et consolé par des phrases amoureuses. Au bout de quelques minutes, nos corps collent : nous transpirons tous les deux. Une forte odeur de sexe s'est répandue dans la pièce; je suis comme enivré par les parfums, le contact de nos peaux, la pénétration de nos chairs. Sans même que j'aie le besoin de me masturber, je me mets à juter ! Mon sperme se répand abondamment sur le lit et, involontairement, sur l'une des mains de Fernand. "Ah, t'as joui, ma poule ?... Super ! Toi tu aimes bien te faire baiser, hein ?.... Je sens que je vais venir moi aussi... Tu veux que j'éjacule dans la capote, ou bien sur toi ?" "S'il te plait... sur moi... sur la poitrine..." Fernand retire d'un coup sa queue de mon cul... J'ai, un instant, l'impression que quelque chose m'appartenant vient de sortir de mon corps. La queue de Fernand a laissé comme un vide... Le black me retourne. Maintenant sur le dos, je le vois retirer la capote de son sexe toujours aussi gros et raide. Il se branle rapidement, faisant bien coulisser la peau de son prépuce, découvrant son gland entièrement, à chaque mouvement. Puis, soudain il s'immobilise, les muscles de tout son corps tendus, sa bite droite vers moi. Je vois alors sortir de la large fente de son gland plusieurs jets de sperme. Son foutre, comme je l'ai demandé, atterrit sur ma poitrine. Une belle semence blanche et épaisse. Une éjaculation majuscule, comme je pouvais m'y attendre, vu la taille de ses testicules. Puis Fernand, du bout de sa queue, étale son foutre sur toute ma poitrine. "Tu as aimé, ma poule ?... Moi, je me suis régalé... J'ai bien joui... J'aime bien les culs étroits comme le tien..."

On va se reposer, en silence, une bonne demi-heure, couchés l'un contre l'autre. Je me suis presque endormi; c'est la main de Fernand caressant une de mes joues qui m'a réveillé. Il m'a donné un baiser sur les lèvres, puis m'a demandé : "Tu veux pas que je te baise une autre fois, j'ai super envie... Il est une heure du matin, à deux heures il faut que je rentre chez moi, pour que ma femme croie que j'ai fait mon remplacement. Alors si tu veux que je te baise une autre fois.. Mais ce coup-ci on change de positions plusieurs fois, pour que je te montre tout ce que je sais faire..." Chose promise, chose due. Le black va me pilonner le cul de toutes les manières, n'hésitant plus à enfoncer sa queue d'un coup sec, dans mon petit cul désormais dilaté et fait à la taille de son énorme dard d'ébène. Il va encore juter des quantités incroyables de sperme, l'étalant tantôt sur mes fesses, tantôt sur ma gueule. J'en ai profité, en tendant ma langue, pour goûter sa semence; sa consistance visqueuse était délicieuse. Il s'est arrêté de me défoncer le cul, non pas par fatigue, ou parce que j'étais lassé de me faire prendre par un Noir insatiable. Mais tout bonnement parce qu'il devait rentrer chez lui. Il m'a avoué qu'il avait bien aimé... que rarement il avait joui autant, en niquant un mec... que ça lui avait rappelé ses premières baises, à 18 ans, à l'âge où il avait besoin de se vider les couilles plusieurs fois par jour, à cette époque divine où il avait découvert que son sexe pouvait aussi donner du plaisir à un cul de mec.

Rafael

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