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Coup de chaleur

Dehors c’est la fournaise. Depuis que les météorologues parlent de réchauffement climatique, ceux qui n’y croyaient pas, avec ce mois de juillet, devront se rendre enfin à l’évidence ! Moi, j’ai la chance d’avoir la clim. Mais je plains tous ces ouvriers qui bossent au ravalement de mon immeuble et qui n’ont pas un coin de fraîcheur pour souffler un peu. Sur ces échafaudages, en plein soleil, on doit littéralement cuire ! Je les regardais justement tous ces peintres travailler en ce début d’après-midi. Parmi eux, il y avait un grand Noir, sans doute africain. Égoïstement, je pensais : vu ses origines, lui sans doute il doit moins souffrir de la chaleur. Mais en réalité, je n’en savais rien ; et pourquoi les Africains seraient-ils insensibles à la chaleur ? Mon confort dans un appartement climatisé a fini par me faire honte et j’ai quitté le salon pour aller dans ma chambre.

À un moment, j’ai entendu un bruit répété que j’ai eu du mal à identifier. J’ai enfin compris : quelqu’un était en train de taper sur une vitre de mon salon. Je suis allé voir. C’était le grand Noir qui, à l’aide de clés, essayait d’attirer mon attention. Il avait dû voir plus tôt que j’étais dans mon appartement. Je me suis approché, j’ai ouvert la porte-fenêtre et lui ai demandé ce qu’il voulait.
- « Pardon de vous déranger… Vous n’auriez pas un peu d’eau fraîche ? Avec cette chaleur, on meurt de soif… »
- « Bien sûr… Vous voulez que je remplisse votre bouteille ?... Mais je sens que le plastique est chaud. Je vais plutôt vous donner une bouteille que j’ai au frigo. »

Quand je reviens, le peintre noir me gratifie d’un large sourire.
- « Vous devez drôlement souffrir de la chaleur en travaillant comme ça ! Quand vous terminerez tout à l’heure, tapez à la vitre et venez boire quelque chose de frais. De la bière, de l’eau, ce que vous voulez… »
- « Vous êtes gentil. Merci. À plus tard alors… »
À travers la vitre, je regardais le peintre noir se désaltérer. Il buvait lentement. À chaque mouvement qu’il faisait, je l’observais. Il avait l’air distrait. Je me demandais si sous son pantalon taché de peinture il portait un sous-vêtement : je voyais en effet quelque chose de lourd et de long qui se balançait sous la toile. Je restai là, pensif, pendant un long moment. Le Noir bougeait avec élégance : il en rajoutait ou bien était-ce moi qui surinterprétais ? Il était large d’épaules, avait sûrement un torse musclé, un corps taillé en V. Il remarqua que je l’observais. Son œil rieur et son sourire amusé me prouvèrent qu’il avait remarqué mon intérêt pour son anatomie. Mon cœur se serra et je détournai aussitôt le regard. Je ne voulais rien montrer de ce que j’éprouvais. Enfin… c’est ce que je croyais. Quand je me remis à l’observer, il passait sa main sous sa chemise et se caressait la poitrine. Le faisait-il exprès, ou ce geste n’était-il qu’un geste sans intention ? Je quittai le salon terriblement gêné, comme pris en flagrant délit de voyeurisme.

Pour le recevoir dignement, j’allai à la cuisine préparer des verres et de petits amuse-gueule, cacahuètes, olives, etc. Rien de très recherché, mais de quoi le retenir quelques instants. À cinq heures, il tapa à ma vitre. Je le fis entrer et le priai de s’asseoir.
- « J’ai peur de salir votre canapé… je suis en tenue de travail. »
- « Mais non… ça ne risque rien… Mettez-vous à l’aise… »

Il prit place et je lui demandai ce qu’il préférait boire. Il choisit une bière. Je décidai d’en boire une, moi aussi, et lui tendis l’assiette avec de petits biscuits apéritif. Il semblait embarrassé et pour détendre l’atmosphère j’engageai la conversation.
- « Vous habitez loin d’ici ? »
- « Pas tellement. En bus, il me faut moins de trois-quarts d’heure pour venir travailler sur ce chantier.»
- « Mais vous êtes originaire d’un pays africain, non ? »
- « Oui, je viens du Sénégal. J’ai étudié dans mon pays. Je voulais devenir médecin, mais ça coûte cher. La faculté de médecine est à Dakar, il faut se loger, et tout et tout… Ma famille ne pouvait pas m’aider comme ça. Je suis venu travailler ici pour économiser et, si Dieu le veut, reprendre mes études plus tard. »
- « De quelle région du Sénégal vous venez ? »
- « De Casamance. C’est une région plutôt riche, au Sud, on cultive le riz, des bois précieux. Je suis Diola. Au Sénégal, il y a beaucoup d’ethnies, des Peuls, des Sérères… et aussi des Diolas…hahaha ! Nous, les Diolas, on est très grands, très forts… »
- « Oui, je vois… vous êtes très athlétique… »
- « Vous trouvez, vous aussi… Et encore je ne fais plus de sport depuis que je suis en France. J’ai 24 ans… si vous aviez vu quand j’avais 18 ans ! J’ai remarqué tout à l’heure que vous me regardiez… C’est mon corps qui vous impressionnait ? »
- « Non… Enfin… oui, bien sûr… Vous êtes très impressionnant. Mais tout à l’heure je vous regardais plutôt parce que j’avais chaud pour vous ! »

Pendant que je parlais, le peintre noir, d’un geste rapide, remit en place sa queue, comme si de rien n’était. Mais je suis persuadé que son membre était en érection… Il ne portait pas de slip, certainement. Je fis semblant de ne rien voir, je ne voulais rien montrer de ce que j’éprouvais, mais je bandais déjà moi aussi ! Le Noir sans rien dire ouvrit sa chemise et se caressa le torse. Je pus voir ses pectoraux et quelques poils drus et frisés au centre de sa poitrine. Il était clair qu’il cherchait à me chauffer ! Je repris la parole :
- « Vous vous appelez comment ? Moi c’est Julien… ‘Juju’, pour les intimes… On peut peut-être se tutoyer… »
- « Enchanté Juju. Moi c’est Léo. Mon prénom, en fait, c’est Léopold. Ma famille est chrétienne. Au Sénégal, il y a beaucoup de Musulmans mais aussi des Catholiques. Tu me trouves comment Julien ? »
- « Tu es… très costaud… très beau…Tu as un corps magnifique ! tu dois avoir beaucoup de succès ? »
- « On me regarde beaucoup, ici, en France, c’est vrai… Les femmes comme les hommes... mais personne hélas n’ose me parler… Hahaha ! »
Tout en discutant, il passait sa main sur son paquet faisant apparaître sous la toile, dans toute sa longueur, son énorme phallus. Poussé par une envie irrésistible, je me levai et allai m’asseoir à côté de lui. Je tendis ma main et la passai timidement sur son paquet. Il me dit à l’oreille, comme s’il craignait qu’on l’entende :
- « Ça te plaît, Juju, ce que tu sens ?... »
- « Beaucoup, Léo… C’est magique ce truc là ! Il est vraiment énorme… Tu es à la hauteur de la réputation des Africains ! »
- « Attends, Juju… On dit beaucoup d’âneries à ce sujet ! Tous les Africains ne sont pas très bien membrés… Les Arabes d’Afrique du Nord, par exemple, n’ont pas des pénis très gros, par contre les Noirs du Congo, ou nous autres, les Diolas du Sénégal, on a de très beaux membres. Comme les Brésiliens… ou les Noirs de Colombie. Mais eux c’est parce qu’ils sont les descendants d’esclaves noirs venus d’Afrique… hahaha ! Mais, tu sais, c’est pas parce qu’on a une longue verge qu’on fait bien l’amour ! Nous les Diolas, de ce côté-là…on sait très bien faire !... hahaha. »

Tout en s’esclaffant, Léo se débarrassa de sa chemise, libérant une forte odeur de sueur et sans doute une bonne quantité de phéromones ; ce qui me le rendait encore plus attirant. J’ai toujours aimé la forte odeur du corps des mâles noirs, sans m’en expliquer la raison. Le peintre, comme je l’avais supposé, avait un torse musclé, avec des pectoraux bien marqués, séparés par une touffe de poils noirs et frisés. Son cou et ses bras étaient, eux-aussi, très puissants. On sentait que cette musculature n’était pas le résultat d’un entraînement en salle de gym, encore moins celui de l’absorption à haute dose de protéines de synthèse. Non, Léo était musclé… naturellement, même si la puissance exceptionnelle de son corps aurait pu laisser penser qu’il n’y avait rien de génétique dans son anatomie. Je me rappelai sa déclaration, en guise de présentation : « Les Diolas, nous, nous sommes forts !». Il n’y avait plus aucun doute chez moi maintenant, même si j’avais d’abord interprété cette formule comme de la forfanterie de la part du peintre africain.

- « Vas-y Julien… tu peux toucher… c’est du muscle… touche mes biceps… N’aie pas peur, touche !... Et mes pectoraux ?... Ça, c’est pas de la « gonflette » comme chez certains ! »

Ma main se baladait sur chaque partie de ce corps d’athlète, s’arrêtant et palpant les muscles du bras, ceux du cou… Chaque centimètre de son corps devenait dur comme de la pierre quand, poings serrés et bras fléchis, le Noir tendait le haut de son corps pour m’en faire apprécier la fermeté.
- «J’adore, Léo… Hummm… Je sens sous mes doigts la force… la vigueur de tes muscles. Vraiment, tu n’as jamais fait de musculation ?... C’est impressionnant… »

Ne pouvant plus résister j’approchai ma bouche de ses pectoraux et saisis entre mes lèvres le téton de son côté gauche ; je me mis à le sucer comme un bébé. Le goût de la peau de Léo se répandit aussitôt dans toute ma bouche. Sans savoir ce qui me plaisait dans la saveur de ce corps, je me mis à lécher tout son torse à grands coups de langue, ce qui fit se marrer le grand Noir.
- « Mais tu vas me bouffer tout cru ! Tu ne serais pas un peu cannibale, toi ? … Il y a plein d’autres endroits de mon corps que tu vas adorer, Juju ! En attendant, tu ne veux pas me donner une autre bière, ça me donne soif tout çà !... hahaha .»

Quand je revins de la cuisine avec deux autres canettes, je trouvai Léo, allongé de tout son long sur le canapé. Il me sembla très fatigué. Sans doute le contrecoup d’une longue journée de boulot en pleine chaleur. La fraîcheur de mon appartement climatisé allait peut-être le plonger dans un sommeil réparateur. Quand il m’entendit, Léo se releva et, après m’avoir remercié, but d’un trait la bière qu’il avait réclamée. Puis il se rallongea, genoux pliés, pour me faire de la place en bout de canapé. Je m’assis mais n’osai pas lui parler, préférant le laisser s’endormir. Le grand Noir était là, torse nu, tout près de moi, s’offrant à moi sans me le dire. J’hésitai un bon moment avant de poursuivre l’exploration de ce corps d’exception que je n’aurais jamais imaginé chez moi, seulement quelques heures plus tôt.

Quand j’eus la conviction que Léo s’était réellement endormi, avec mille précautions, je déboutonnai son pantalon, baissai la fermeture éclair de sa braguette et écartai les deux pans de toile de son falzar. C’est bien ce que je supposais : il ne portait pas de slip. Dans une folle toison de poils noirs frisés, sa queue reposait sur d’énormes testicules. Je restai un instant à observer l’énorme virgule de chair noire de sa verge, et ses grosses couilles, sans oser rien toucher. Je mourais de peur de réveiller leur propriétaire. Constatant que l’ouverture de sa braguette n’avait provoqué aucune réaction de sa part, je m’autorisai enfin à saisir d’une main l’énorme boudin noir, très long et flasque, et même à retrousser de mes doigts tremblotants le prépuce, faisant apparaître un gros gland rosé. D’abord étonné que Léo ne soit pas circoncis, je me rappelai qu’il m’avait dit être né dans une famille catholique. Tenant dans une main la verge molle du Noir, je pris de l’autre main ses couilles, les soupesai, heureux de tenir entre mes doigts les organes génitaux d’un mâle d’exception. Est-ce une impression ou bien l’espoir de voir mon rêve se réaliser, mais je crus quelques secondes que son sexe réagissait à mes premières câlineries. Allait-il se mettre à bander ? Ce serait trop beau !

Déçu que son membre ne réagisse pas comme je l’avais un instant espéré, je le rangeai comme je pus dans son pantalon et refermai la braguette. Ni vu ni connu ! Léo se réveilla une bonne heure plus tard ; il faisait déjà nuit. Pendant son sommeil, je m’étais dit que j’allais lui préparer quelque chose à manger et qu’il rentrerait chez lui après. J’avais heureusement pas mal de plats surgelés dans mon frigo. J’en choisis plusieurs m’attendant à ce que le colosse noir ait besoin de plus d’un plat pour se remplir l’estomac. Il m’appela. Je le trouvai assis et souriant.
- « Tu t’es reposé Léo? Tu dois être crevé après une journée pareille ! J’ai pensé que tu devais aussi avoir faim ; j’ai préparé quelques petits trucs pour que tu te restaures, avant de rentrer chez toi. Je suppose que demain tu dois commencer très tôt ton boulot. »
- « Mais non, on est vendredi ! Demain je ne bosse pas ! Si tu acceptes, je prends une douche chez toi… et je peux même passer la nuit ici… Enfin, si tu m’acceptes dans ton lit ! Hahaha… »
- « Mais c’est génial !... Je vais faire chauffer au micro-ondes ce que j’ai prévu. Tu aimes les fruits de mer, Léo ? »
- « J’adore !... Mais avant… t’aurais pas un petit whisky, Juju ? »
- «En fait, j’y pense : on n’est plus vraiment pressés… Je vais boire l’apéro avec toi ! Mais que c’est génial Léo que tu puisses rester ! »

Je fonce à la cuisine, en reviens avec une bouteille de Chivas, des glaçons et des chips. Je m’assois à côté du Noir, lui tends la bouteille.
- « Vas-y, sers-toi… mais ne m’en mets qu’un doigt… pas plus ! Ça me saoule ce genre
de truc… »
- « Merci. À ta santé Léo. À… NOTRE santé !! »
- « À la tienne, Juju. Je suis content de te connaître. »

Léo rit de toutes ses dents blanches. Il a l’air heureux ; ce petit somme semble lui avoir redonné des forces. J’en suis ravi, pensant à tout ce qui peut-être suivra… C’est d’ailleurs lui qui revient « aux choses sérieuses ».
- « Au fait, Juju, tu n’es pas allé bien loin, tout à l’heure, dans ton exploration de mon corps… Tu n’as encore rien vu de ce qui est le plus admirable et surprenant chez moi… »
- « C’est quoi ce qui va me surprendre ?... »
- « Eh bien… tu ne t’en doutes pas ? C’est ce que j’ai dans le pantalon… bien sûr !»
- « Ça c’est vrai… je n’ai encore rien vu de ce que tu caches dans ce pantalon… »
- « Eh bien vas-y Juju… découvre !... Je crois que ça va te plaire… jéjéjé.. »

Je m’approche et ouvre à nouveau cette braguette où j’avais vu d’énormes et belles choses. En bel hypocrite, il va falloir que je m’extasie, comme si je découvrais ses bijoux de famille. En réalité mon enthousiasme ne sera en rien feint ! J’imagine que le seul fait de m’intéresser à ces si secrètes merveilles leur a donné, instantanément, un volume et une raideur qu’elles n’avaient pas durant le sommeil de Léo. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que sa verge puisse, en quelques secondes, atteindre de pareilles dimensions. Les Diolas, c’est certain, sont de sacrés spécimen de mâles ! Et le sexe de Léo très rapidement parut à l’étroit dans ce pantalon. L’étalon noir se débarrassa de son falzar pour que je puisse apprécier son sexe dans toute sa splendeur.
- « Léo… Oufff… Mais il est phénoménal !... Et ces testicules !... Jamais vu des boules pareilles ! »
- « Tu vois, Juju… je ne te conte pas des fariboles… Nous, les Diolas, on a de quoi satisfaire les gens les plus exigeants…hahaha.. Franchement, tu as déjà vu un membre comme le mien ? … Je ne suis pas un vantard ! Et quand tu verras ma semence, tu vas rester bouche bée ! Comme tu m’accueilles gentiment chez toi, tu vas être récompensé ! Je te le promets. »

Ne tenant plus, je me penchai sur cet énorme appareil génital pour l’apprécier dans ses moindres détails. Un parfum très fort titilla aussitôt mes narines. J’ouvris grand la bouche pour prendre l’énorme gland, en partie encore recouvert de son prépuce. Par des allers et retours entre mes lèvres, je libérai peu à peu l’énorme fruit rosé couronnant sa verge. La saveur du gland me remplit de bonheur. Je me mis à le pomper comme pour aspirer le foutre du mâle noir et accélérer l’éjaculation. Mais Léo était loin encore de cet orgasme que je voulais précipiter. Bien qu’ouvrant démesurément la bouche, je n’arrivais à avaler que la moitié de son membre. Plus que long, le pénis du Noir était surtout très gros et occupait toute ma cavité buccale, m’empêchant presque de pratiquer une fellation à un rythme régulier. Léo semblait néanmoins apprécier mon application.
- « J’adore Juju… Continue… Tu l’aimes, hein, mon pénis ?... Tu suces très bien… continue…mmmmm »

Les gémissements du Noir ne faisaient que renforcer mon désir de faire monter la sève du mâle africain, de déguster au plus vite son nectar, sûrement très épais. Je sortis sa queue de ma bouche, jetai un coup d’œil sur l’énorme gland dégoulinant de salive, puis m’attaquai à la verge que je léchai de bas en haut, de tous côtés, retrouvant le goût fort que j’avais tant aimé en prenant son gland en bouche. Mais je ne pus pas plus longtemps résister à sucer ses testicules. Les deux énormes couilles ne pendaient plus, comme quand je les avais découvertes pendant le sommeil de Léo ; elles étaient maintenant collées à la base de la bite et je les pris l’une après l’autre dans ma bouche. C’étaient vraiment d’énormes boules et j’imaginais et me réjouissais par avance de l’éjaculation majuscule à laquelle j’allais assister.

Impatient de faire jouir le Noir, tout en suçant ses couilles, je me mis à le branler. Ma main serrait l’énorme pénis et, coulissant le long de son tronc, imprimait, à la fine peau qui le recouvrait, un va et vient régulier destiné à obtenir au plus vite cet orgasme tant désiré. Léo se mit à gémir plus fort, ce qui m’encouragea à conserver ce rythme. Même si à la maison il devait se branler, l’absence depuis longtemps de rapports sexuels, ce dont le Noir s’était plaint, devrait normalement accélérer les choses. À un moment, je sentis, à sa façon de tendre son corps, que Léo était sur le point d’éjaculer. Et, en effet, un jet très fort se projeta hors du large méat et s’écrasa sur mon front. Je me précipitai alors sur son gland pour recevoir en bouche les jets suivants. Je sentis avec satisfaction s’écraser au fond de ma gorge, plusieurs autres giclées de sperme, que j’avalai au fur et à mesure. J’étais heureux d’avoir réussi à faire jouir le colosse noir. Ni Léo ni moi ne fîmes le moindre mouvement pendant deux ou trois minutes. Je gardais le bout de son pénis en bouche et le Noir laissait s’écouler en moi les derniers filets de son foutre.

Quand Léo retira son pénis, il me remercia et approcha ses lèvres des miennes. Avec sa langue il ouvrit et explora ma bouche, savourant pour la première fois peut-être, les restes de son propre sperme. Le Noir m’embrassait fougueusement, sans retenue, ce qui m’emportait dans une espèce d’élan identique qui faisait frémir tout mon corps. J’éprouvais un bonheur total, celui d’être l’objet du désir d’un mâle d’exception. Ses mains rugueuses parcouraient tout mon corps, s’arrêtant et palpant surtout mes fesses. Je sentis un doigt se glisser dans ma raie, sans essayer pourtant de pénétrer mon anus, comme je m’y préparais et l’aurais aimé.
- « Il va falloir que je l’explore en détail ce petit popotin… Il a sûrement besoin d’un petit ramonage… pas vrai Juju ? »
- « Avec ton instrument, ce sera plutôt un très gros ramonage… tu ne crois pas ? Mais Léo tu n’as pas faim ? Tu ne veux pas qu’on mange d’abord… on a toute la nuit devant nous mon beau Diola! »

À ma grande satisfaction, mon invité surprise se régala des plats surgelés qui, grâce au micro-ondes, furent prêts en un instant. Le Noir but encore plusieurs bières, ce qui eut l’effet, à ma grande satisfaction, de le chauffer davantage. Je n’avais pas de dessert à lui offrir, mais il apprécia les yaourts aux fruits que je lui proposai. Le colosse avait bon appétit et cela me ravissait. Une fois les assiettes mises au lave-vaisselle, je proposai à Léo d’aller prendre une douche ensemble, ce que le Noir accepta avec un plaisir évident. La taille de ma nouvelle douche « à l’italienne » nous permit d’entrer ensemble dans la cabine de verre. Je me mis à savonner le corps de mon invité avec un zèle minutieux. La mousse du shampoing et celle du gel douche glissaient sous mes doigts qui parcouraient son corps dans ses moindres détails. Léo se laissait faire comme un jeune enfant lavé par sa mère. Je savonnais son grand dos, son torse, faisais glisser entre mes doigts les grosses boules de ses testicules, pinçais au passage le bout des tétons de ses pectoraux, passais un index entre ses fesses, décalottais son gland pour laver jusqu’à la dernière trace de foutre.

Comme dans mon zèle je revins plusieurs fois sur ses parties génitales, le résultat ne se fit pas attendre. La verge de Léo se redressa et reprit son volume maximum. Le Noir saisissant à deux mains ma tête colla à nouveau sa bouche contre mes lèvres et, forçant le passage, avala ma langue, la mêlant à la sienne, dans un nouveau baiser fougueux, qui trahissait son extrême excitation. Sur un ton impérieux, le Noir m’ordonna :
- « Accroche-toi des deux mains à mon cou !... Voilà… maintenant suspends-toi à moi et mets tes jambes autour de ma taille… »

Je m’exécutai et me retrouvai pendu à son cou. Léo versa sur son pénis une grosse quantité de gel douche, dont il badigeonna toutes les faces. Puis me soulevant du sol, il fit glisser ses doigts dans ma raie. Pénétrant mon trou, il y fit entrer aussi une bonne dose de gel, enduisant avec minutie les parois internes de mon anus. Il guida ensuite son sexe entre mes fesses. Quand je sentis son gland, il me regarda dans les yeux, l’air de dire « Tu es prêt ? ». Impatient, et sans doute un peu inconscient aussi, je souris, lui donnant ainsi en quelque sorte le feu vert. Le Noir poussa lentement son membre. Je sentis ma rondelle s’entrouvrir sous la pression de son énorme sexe. Le pénis noir entra peu à peu en moi, sans provoquer la moindre douleur. Du moins dans un premier temps. Mais très vite le diamètre exceptionnel de sa verge me donna une forte impression de brûlure qui, à mon grand regret, m’obligea à demander à Léo de s’arrêter un instant.

Le Noir, en mâle expérimenté, me laissa quelques minutes de répit, le temps que mon rectum s’habituât à la taille de son pénis. Puis il reprit la lente pénétration; mais je dus l’interrompre à nouveau, la douleur devenant insupportable. Léo, de la main droite, chercha à évaluer la réalité de la pénétration :
- « Mais Léo… il est presque totalement dedans… Plus qu’un quart… et après j’arrête. »

Je pris sur moi de ne plus l’interrompre, de peur de le faire renoncer à son envie de me prendre. Je sentis enfin son gland heurter le « fond » de mon cul, se retirer et revenir à la charge. Peu à peu, ses coups de boutoir me parurent plus supportables. Je n’avais plus envie que le Noir cesse ses va et vient, encore moins qu’il se retire… il alternait mouvements lents et rapides. Je gémissais maintenant de plus en plus fort, indiquant à Léo que désormais je partageais son plaisir. Il respirait fort… et mes gémissements semblaient le rendre fou. Chez moi aussi l’excitation montait, comme si j’avais toujours entendu ses cuisses claquer contre mes fesses. Je me demandais comment il pouvait faire de tels efforts, alors qu’il devait en plus me soutenir au-dessus du sol. Je sentis soudain que j’allais éjaculer… Je gémis encore plus fort et sans prévenir lâchai mon foutre contre son ventre.

Léo, stimulé sans doute par mon orgasme, fit entendre à son tour un « Ahhhhh ! » de bonheur et inonda en même temps mon cul de son sperme. Je sentais la chaleur de sa semence se répandre dans mon rectum. J’étais heureux et fier que le colosse noir ait connu, grâce à moi, deux orgasmes dans une même soirée. Je restai accroché à son cou quelques instants encore, puis, descendant de mon perchoir paradisiaque, je sentis sa bite se retirer de mon cul, me laissant une impression de grand vide. Son sperme coulait entre mes jambes. Il avait raison, mon Diola…, les gens mâles de son ethnie sont des individus d’exception ! Comment mon colosse noir avait-il pu libérer de ses couilles autant de sperme pour une deuxième éjaculation de la soirée ?

Nous terminâmes notre douche et dans un échange complice séchâmes nos corps, m’appliquant tout particulièrement sur ses testicules et son périnée.
- « Je vois que tu aimes cette partie de mon corps, Juju ? Si tu veux, je reviendrai te voir, quand le chantier de ton immeuble sera terminé. »
- « Je t’adore Léo… Ce que tu me dis me fait un immense plaisir et peut-être qu’avec le temps… je m’habituerai à ton calibre… Mais au début… sérieux… tu m’as fait un mal incroyable ! »
- « Je suis désolé, mon petit Blanc chéri… Mais tu le sais maintenant, nous les Diolas, on est très forts ! »

Rafael

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