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28 ET 29 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
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Plage nudiste

J'avais donc choisi de passer une semaine, seul, à Barcelone, en mai dernier. Il y faisait déjà chaud et le temps ensoleillé m'incita à fréquenter les plages du coin, chose que je ne fais habituellement pas, en cette saison. Oui, j'avais choisi la plage, histoire de bronzer un peu, plutôt que de "visiter" les saunas, ce que je pouvais faire plus tard, dans la soirée. D'ailleurs, ils sont davantage fréquentés en fin d'après-midi, même en cette période "hors vacances". Il faut dire que les "locaux", bien que travaillant toute la journée, y font volontiers un tour, avant de rentrer chez eux. On les voit passer, parfois rapidement, dans des établissements qu'ils affectionnent, et où ils supposent avoir de bones chances d'y croiser un garçon à leur goût...

J'ai commencé par la plage gay de Sant Miquel, tout près du quartier de la Barceloneta, quasiment au pied de l'hôtel W. On peut y faire du nudisme; mais en ce début mai, la plage était déjà bondée. Même chose à Mar Bella. C'est pourquoi, le troisième jour, j'ai pris ma voiture et ai quitté Barcelone vers le Nord, en direction de ce qu'on appelle le "Maresme". L'été les plages y sont envahies par les familles et les touristes; mais en cette saison il n'y a personne. Je longeai la côte, jusqu'à un village devenu aussi un grand centre industriel. La voie ferrée sépare la plage de la zone des usines. Seuls deux passages souterrains, sous la ligne de chemin de fer, permettent d'accéder à la plage. Après avoir garé ma voiture, je passe sous la voie et me retrouve sur la plage. Pas un seul baigneur ! Le sable, bien que pas très fin, est propre et doré. Super ! je vais pouvoir me faire bronzer à poil sans me gêner... Je marche vers quelques rochers, en fait un enrochement construit pour protéger la plage; il y a comme une petite anse, encore plus protégée d'éventuels regards. J'étends ma serviette, mets mon sac à l'ombre d'un rocher, pour que ma boisson reste au frais. Je me déshabille et me couche sur le ventre. Je sens le soleil me chauffer les fesses... Il faut dire que la journée est très ensoleillée, le ciel très bleu, avec quelques nuages blancs, de passage seulement. Je reste sans bouger une bonne dizaine de minutes, avant de me retourner pour "griller" l'autre côté. Pas un bruit, si ce n'est celui des trains, peu nombreux. Des voyageurs m'aperçoivent peut-être, fugitivement, étendu dans le plus simple appareil; mais si rapidement, qu'ils ne doivent pas voir grand chose, et de toute façon, dans le cas contraire, cela ne me gênerait pas...

Après une bonne demi-heure de "bronzette", je décide d'aller "tâter" la température de l'eau. À cette époque de l'année, elle ne dépasse guère les 15 ou 16°. Autant dire une température polaire pour moi !... Je vais tout de même "faire trempette". Je suis étonné de n'avoir pas à retirer instantanément le premier pied plongé dans l'eau. C'est beaucoup moins froid que je le craignais. Je me risque même à avancer dans l'eau, prudemment il faut le reconnaître, jusqu'à être totalement immergé. Je la trouve finalement "bonne", comme on dit, et fais même quelques brasses. Quand je sors de l'eau et me dirige, très très vite, vers ma serviette, je m'arrête brusquement en découvrant qu'un homme, debout, me regarde. D'où sort-il celui-là ? Est-ce qu'il me mate depuis longtemps ? J'avance comme si de rien n'était et prends ma serviette. Je m'essuie, sans manifester la moindre gêne, comme si ma nudité était naturelle. Le mec est assez grand, jeune, entre 25 et 30 ans; de type nord-africain. Il me regarde sans rien dire; je me demande si je dois le saluer. J'ai un peu la trouille ; sur cette plage déserte, si ce gars a de mauvaises intentions, je risque de passer un mauvais quart d'heure. Je n'ai pratiquement pas de fric dans mon sac, mais ça m'embêterait qu'il me fauche mes papiers. Ce qui m'impressionne, c'est ce regard fixe sur moi. Il est mal rasé, porte un pull vert délavé et un bermuda beige, qui lui arrive sous les genoux. Plus je le regarde, plus je trouve qu'il a de beaux traits, un visage masculin, une belle bouche, une belle couleur de peau. Tout en continuant à me frotter le corps avec la serviette, je l'observe du coin de l'oeil. C'est là que je le vois se toucher l'entrejambe, serrant plusieurs fois sa main sur ce qui doit êre la place de sa queue. Ce geste me rassure aussitôt... Il doit avoir envie de se faire sucer. Un mec à poil sur une plage déserte, dans sa tête ça ne peut être qu'un pédé... Si c'est ce qu'il pense, il est plutôt perspicace, le gars... Je me décide à le saluer. Oubliant que je me trouve en Espagne, je lui dis : "Bonjour ! ça va ?..." Il me répond : "Bonjour !" C'est sa réponse, en français, qui me fait comprendre que sa présence m'a quelque peu troublé. "Ah... vous parlez français ?... Vous êtes d'où ?" "Je suis Marocain... je parle un petit peu..." Je m'approche, lui tends la main : "Je m'appelle Rafael... Enchanté !" Il me serre la main, ne me dit rien, comme gêné... Je le tutoie aussitôt : "Et tu t'appelles comment ? Ton prénom c'est comment ?" "Farid." On est debout tous les deux, face à face, moi à poil, lui habillé. "Tu habites près d'ici ?" "Non... pas habiter ici... je cherche du travail... Je dors là-bas..." Il me montre, en tendant le doigt, une espace de cabane en carton, collée au talus de la voie ferrée. "Tu es seul ?" Il me répond oui, en hochant la tête. Je le trouve beau, et plutôt doux, dans ses manières, sa façon de répondre. Je lui propose de partager mon casse-croûte. Je prends mon sac, caché dans les rochers, lui tends la bouteille de jus de pomme, restée fraîche. Il la regarde, sans doute pour s'assurer que ce n'est pas de l'alcool, avant de la prendre et de boire au goulot. J'en profite pour détailler son visage, sa silhouette, ses mollets, seule partie du corps dévêtue. Pas un poil sur cette partie de ses jambes, à la peau très lisse et ambrée. Si le reste de son corps est aussi glabre, ce doit être merveilleux de le caresser, encore plus de le lécher... Ça y est... des pensées lubriques me traversent déjà l'esprit... Il est vrai qu'en se touchant le sexe, il m'a, le premier, suggéré que nous pourrions prendre du plaisir ensemble... Et sa proximité me laisse imaginer que son corps viril pourrait me faire vivre des moments d'intense bonheur. J'ouvre l'aluminium de mon sandwich, partage en deux celui-ci et en tends une moitié à Farid. En agitant sa main, il me fait comprendre qu'il n'en veut pas. Je comprends qu'il craint qu'il y ait du porc; je lui précise aussitôt : "Tu peux en manger : c'est du poulet !" Il sourit et prend la moitié que je lui tends. Nous mangeons tous les deux sans parler; échangeant un regard de temps en temps, en souriant. Il me demande s'il peut boire. Mon menu lui convient bien, finalement, et il mange de bon coeur. Heuresemnt j'avais apporté deux pommes, et je peux même partager sans difficulté l'espèce de tarte aux pommes, quatre parts, que j'ai achetée en guise de dessert. Il est toujours silencieux. Moi aussi, toujours à poil, en face de lui. Mais plus je le regarde, plus je le trouve viril et attirant. Je ne peux empêcher une légère érection, qui trahit mon intérêt pour ce jeune mâle maghrébin. Il s'en aperçoit, sourit, et ouvre la braguette de son bermuda. Il en sort une bite très foncée, déjà grosse, bien que pas encore raide. Il la tend dans ma direction, pour m'invier à m'en saisir. Je la prends dans une main : elle est molle, très longue, chaude. Je la caresse. Son gland et la circoncision sont beaucoup plus clairs que le reste de son membre. Je malaxe cet énorme morceau de chair, qui semble, dans ma main, grossir à vue d'oeil et durcir. Farid ouvre mieux sa braguette et fait sortir ses couilles. Deux énormes testicules, Presque sans poils. D'ailleurs son pubis est peu poilu ; ce qui fait bien ressortir son membre en pleine érection maintenant. Je me penche, prend le bout de sa bite dans la bouche. Je lèche le gland de tous côtés pour bien l'enduire de salive, ce qui m'aidera à enfourner l'énorme dard brun. Au moins une partie, car vu la longueur, je n'arriverai sûrement pas à tout avaler. Farid s'est mis à genoux pour que je puisse mieux le sucer. Même si quelqu'un passait sur la plage, il ne verrait que le haut du corps de Farid et ne m'apercevrait pas. Je le pompe goulûment, m'arrêtant seulement pour reprendre mon souffle, et lécher ses grosses boules. Il se penche sur moi et m'embrasse dans le cou. Je sens ses lèvres humides parcourir ma nuque... Ce geste me surprend : je pensais qu'il se contenterait d'une bonne fellation, puis ensuite d'une tentative de me pénétrer. Mais je n'imaginais pas qu'il puisse me manifester sa tendresse de la sorte. Farid prend ma tête dans ses mains, et éloignant mon visage de sa queue, plaque ses lèvres sur les miennes. Il m'embrasse alors avec une ardeur insoupçonnable. Nos langues se mêlent. Je mordille ses lèvres. Il répond en me mordillant le lobe des oreilles. Il me caresse le corps, pince mes tétons, malaxe mes fesses, plaque son sexe contre le mien, se frotte. Je bande autant que lui. Tout en touchant son corps partout, j'essaye de lui retirer son pull et son bermuda. Farid m'aide. Il ne porte aucun sous-vêtement et se retrouve à poil en quelques secondes. Son corps est splendide. Comme je le supposais, il est totalement imberbe, à part une touffe de poils frisés au-dessus de son sexe. Il est assez longiligne, mais finement musclé : le dessin de ses bras, de ses pectoraux, de ses abdominaux, de ses cuisses, tous à la peau très lisse, est parfait. Pas les muscles d'un culturiste, déformés par l'exercice, mais ceux d'un garçon à la virilité évidente, sans excès. Sa bite, toujours aussi gonflée, continue d'attirer ma bouche, irrésistiblement. Chaque fois que, dans nos ébats, mes lèvres s'approchent de son gland, elles le saisisent "au vol" et l'avale avidement, le baignant de salive, dont le goût persiste longtemps dans ma bouche. Farid est aussi excité que moi. Il me fait comprendre qu'il veut m'enculer. J'ai un peu peur de la taille de son organe. Je gagne du temps en lui disant : "Après... après Farid... Tu n'es pas pressé ? Bon alors... Moi non plus, j'ai tout mon temps." Et on recommence à s'embrasser, à se caresser... Je le laisse me passer le bout de sa bite entre les fesses... Ça me fait envie : je voudrais bien qu'il me prenne... une bite pareille, on doit bien la sentir entrer, s'installer peu à peu au fond, remplir tout le rectum... La sensation de possession totale doit être divine... Mais encore faut-il qu'il arrive à me pénétrer ! Je crois que je n'ai jamais été baisé par une queue aussi grosse... J'ai franchement peur d'avoir mal. Donc, autant continuer pour le moment nos petits jeux sexuels, si excitants et sans douleur ! Pour le faire patienter, je devrais lui faire un beau pompier jusqu'à le faire juter. Ça le calmera, et je pourrai continuer ensuite à me régaler de son corps un bon moment encore... Je suis hyper excité, et compte bien faire l'amour avec Farid le plus longtemps possible, jusqu'à la nuit... s'il est d'accord ! Je mets à exécution mon plan et commence à le sucer comme un affamé, tout en le branlant avec deux doigts. Sa bite circoncise ne coulisse pas très bien entre mes doigts, c'est le "défaut" des bites circoncises... Mais je sens qu'il apprécie mes gâteries, à la raideur de son sexe, à la grosseur de son gland aussi... et aux petits gémissements qu'émet Farid, ils sont pour moi un véritable encouragement. Pendant que je le suce, il me caresse les cheveux, les épaules, le dos, le cul... Il enfonce un doigt dans mon trou, mais juste la première phalange, qu'il tourne plusieurs fois, puis retire pour la planter à nouveau. J'aime ce qu'il me fait, et pour le lui faire comprendre, je gémis de bonheur, tout en remuant les fesses. Il me claque bruyamment le cul pour que je sache que mon message est passé ! Il y a une parfaite entente entre nous deux : ce jeune mâle me rend fou de bonheur, et lui meurt d'envie de me posséder... À un moment il prend ma tête enre ses mains et lui imprime un rythme régulier : sa bite entre et sort de ma bouche, s'enfonce profondément dans ma gorge, m'étouffe un peu... Je suis totalement soumis à son bon plaisir : il me baise la bouche, comme il veut, sans se soucier de la douleur que cet énorme sexe provoque en moi. Même si j'aime cette verge pour sa taille exceptionnelle, l'avaler dans ces conditions me donne plus la nausée que du plaisir. Farid, par contre, semble apprécier au plus haut point cet exercice de domination virile. La meilleure preuve est que je sens subitement un premier jet, puis un second aussitôt après, me remplir la gorge. Il est en train de jouir, le coquin ! Il tient fermement ma tête, pour m'empêcher de recracher sa bite. Il jute une telle quantité... que j'avale de travers et commence à tousser. Farid lâche ma tête, sort sa queue de ma bouche. Du sperme coule encore de son méat : une belle semence épaisse et blanche. Je sors ma langue pour recueillir ce jus qui risque de m'échapper. Farid tient sa bite d'une main et essuie les dernières gouttes sur mes lèvres. Je me lèche : j'adore le foutre des Maghrébins. Je ne sais pas si c'est une impresssion, mais je le trouve plus parfumé...

Farid se renverse en arrière et reste allongé sur le dos, sans rien dire. Je le regarde : son beau corps est là devant moi, à portée de main... En venant à cette plage, pas un instant j'ai pensé que je ferais pareille rencontre. Mes mains, comme attirées par un aimant, commencent à caresser à nouveau son splendide corps masculin. Farid se laisse faire, un peu las. C'est vrai qu'il vient d'atteindre ce moment divin de l'orgasme et a besoin de quelques instants de repos. Moi, je n'ai pas joui, et fou d'impatience, me penche sur sa poitrine et cherche en le léchant de dévorer peu à peu son corps. J'en savoure le parfum mâle. Je me couche sur lui, l'incite à me serrer, à m'écraser contre sa poitrine, son ventre, son sexe, ses cuisses... Farid me laisse faire : il reste immobile, sans doute heureux de ce incroyable désir qu'il fait naître en moi, de cette irrésistible passion que son être déclenche chez moi. Il sait aussi que ce sont les signes de ma soumission, et qu'il pourra, plus tard, me posséder comme il l'entend, me prendre dans toutes les positions et inonder mes entrailles de son foutre. Ce n'est qu'une affaire de temps : celui de "reprendre son souffle" en quelque sorte, pour qu'il me défonce sans pitié et me remplisse de toute cette semence que ses couilles contiennent encore.

Il se lève et me propose d'aller nous baigner. Je le suis. Nous entrons lentement dans l'eau. Je la trouve plus froide que la première fois. Farid rit et me prend dans ses bras. Son corps est chaud. Il me serre très fort et m'embrasse. Il est un peu plus grand que moi. Je m'accroche à son cou et, entourant sa taille avec mes jambes, je me pends à lui. Il me soulève en me tenant par les cuisses. Je bande d'excitation; il s'en rend compte et se met à bander lui aussi, instantanément. Je sens sa queue glisser de haut en bas dans ma raie. Il pourrait m'enculer dans cette position, c'est en fait ce qu'il veut me faire comprendre... Si sa bite n'était pas ausssi grosse, je serais d'accord... elle entrerait sûrement avec facilité. Mais là, sans gel ni crème... Il me porte comme ça, assis contre son ventre, mon cul sur sa queue, il avance dans la mer. L'eau nous arrive à mi-poitrine. Il donne plusieurs coups de rein pour essayer de me pénétrer. Je suis excité comme un fou : me faire baiser dans la mer, dans cette position, c'est une expérience incroyable, un truc auquel je n'avais jamais pensé, même jamais rêvé ! En plus, avec Farid, qui meurt d'envie de me prendre, je comprends vite que c'est sûrement une occasion qui ne se représentera pas de si tôt. Tant pis pour le gel, je supporterai la douleur... Je lui dis : "Vas-y, Farid, baise-moi... Prends-moi... " Je sens sa bite forcer ma rondelle. Plusieurs petits coups finissent par ouvrir totalement le passage... J'écarte au maximum mes fesses... Son gros gland se glisse peu à peu en moi. Je suis étonné de sentir son sexe entrer en moi, sans véritable difficulté... Est-ce la position qui permet à sa tige de pénétrer mon rectum et de le remplir parfaitement ? Sans doute. Sa queue est maintenant totalement entrée : Farid me possède totalement. Je gémis de bonheur. Je n'ai pas vraiment mal. Les premières douleurs ne vont commencer qu'avec les premiers va et vient de sa bite. Farid pousse sa verge le plus loin possible, pour bien me prendre, me faire sentir que je suis à lui... qu'il est mon mâle !. Son sexe devient maintenant un instrument de torture : je voudrais qu'il s'arrête, qu'il retire son énorme membre et me ramène sur la plage. Mais, il n'en est pas question : il veut me baiser, jusqu'à ce qu'il soit en mesure de se vider complètement les couilles. Ce qui est étonnant, c'est que malgré la douleur, c'est moi qui vais juter le premier ! Je vais jouir, sans m'être touché la bite, encore moins branlé. Seuls les mouvements du sexe de Farid sur ma prostate sont sans doute à l'origine de mon premier orgasme "marin". Mon sperme flotte dans l'eau au-dessus de mon ventre, entre nos deux poitrines. Je n'ai pas pu m'empêcher de pousser un râle de jouissance. Mon cri a "boosté" Farid, qui a accéléré le rythme de ses coups de bite, et lui aussi a joui. J'ai juste senti un liquide chaud en moi. Farid a immédiatement sorti sa bite de mon cul. Il a dû me déchirer un peu le rectum, car j'ai senti comme une brûlure : sans doute c'est le sel qui me pique...

On est alors sorti de l'eau, en se tenant tous les deux par la taille et on s'est allongés sur la serviette. On va rester comme ça, silencieux, plusieurs minutes, puis Farid s'approche de moi et dépose un baiser sur mon nez. C'est pas croyable ce gars : il est capable de brutalité, comme quand il m'a enculé dans l'eau, mais aussi d'une tendresse inattendue. Nous sommes restés sur le sable jusqu'à la nuit. Il m'a demandé s'il pouvait venir dormir chez moi. Je lui ai expliqué que j'étais à l'hôtel et que ce n'était pas possible. "Alors, tu reviens ici demain ?" "Non, demain, je pars, je rentre en France. J'habite à Marseille. Si tu viens dans la région, téléphone-moi. Je peux t'héberger quelques jours... Tu me baiseras..." Il m'a embrassé sur le nez, puis on s'est roulé une pelle de plusieurs minutes. Je lui ai donné tout le fric que j'avais dans mon sac : 30 euros. Et on s'est quittés !
Pourvu qu'il vienne en France !

Rafael

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