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Inca

Je voyageais de Bolivie vers le Pérou. A la frontière, comme tout le monde, je fais la queue au poste de police de Copacavana, sur la route menant a Puno. En plus du passeport, il faut donner un imprimé sur lequel on doit inscrire les renseignements classiques : nom, prénom, date et lieu de naissance, nationalité, profession, motif du voyage. Je me trouve au milieu d'un petit groupe de jeunes Péruviens rentrant chez eux après une balade dans le pays voisin. Ils sont bruyants, comme on peut l'être à cet âge-là, 18 ou 19 ans. L'un d'entre eux, le plus dégourdi, explique aux autres qu'ils doivent remplir un imprimé avant d'entrer au Pérou, bien qu'étant tous Péruviens. Aucun n'a de quoi écrire. Le "meneur" (les autres l'appellent Chico) crie à l'intention des présents : "¡Alguien me presta una lapicera !" (= quelqu'un me prête un stylo à bille ?). Sans répondre, je tends au jeune Chico mon stylo. Il ne s'attendait pas à ce que je réponde à sa demande, étant étranger donc dans l'impossibilité de comprendre ce qu'il venait de crier. Il prend le stylo et avec un sourire éclatant me remercie : "Gracias !" Chico, le premier, remplit son imprimé, puis conseille tous ses copains avant de me rendre mon stylo, avec un nouveau sourire jusqu'aux oreilles. J'en profite pour regarder plus en détails son visage : de beaux traits de latino, pas vraiment indien, une peau dorée, des yeux bien noirs, comme ses cheveux. Un beau jeune mâle, pas très grand, mais au corps bien proportionné. Il porte un jeans délavé et artistiquement déchiré, pas trop serré hélas, ce qui ne met pas en évidence son entrejambe. Pendant qu'il va de copain en copain pour les guider dans la compilation de l'imprimé, je peux voir chacun d'entre eux. Tous me paraissent être de solides garçons, bien virils, a priori peu tentés par des expériences homosexuelles. De toute façon, la frontière passée, nos routes se sépareront et il y a peu de chances pour que je puisse approcher un jour l'un d'entre eux. Chico me plait bien, mais il y en a aussi un autre dans le groupe, aux traits plus féminins, avec qui j'aurais volontiers conversé... ou plus. Toujours dans la file d'attente, Chico me demande où je vais, au Pérou, "A Cuzco". "Nous aussi... me répond Chico...après on rentre chez nous à Lima." L'idée de voyager quelque temps avec eux me ravit... et je m'empresse de le lui dire. Les démarches finies, je me dirige vers les différents mini-bus qui attendent les voyageurs. Je me retrouve, comme prévu, avec le groupe de jeunes devant le petit car partant pour Cuzco. Il est déjà six heures du soir, le voyage durera toute la nuit. Je m'assure d'abord que mon sac a bien été chargé, puis je monte à bord du bus. Etant parmi les derniers, je cherche du regard une place. Chico me fait signe qu'il y en a une près de lui, au fond. Je vais m'asseoir, tout heureux d'être si près de ce beau et jeune mec. Le bus démarre. Nous parlons un peu, il me demande d'où je viens, où j'ai l'intention d'aller après Cuzco, si j'ai déjà un hôtel à Cuzco. J'apprends qu'il a 22 ans (je lui en donnais deux ou trois de moins), ils sont tous copains d'université. Si je veux, à Cuzco, je peux les accompagner à leur hôtel, il n'est pas cher, et il y a sûrement de la place. Peu à peu, la nuit tombe, les conversations cessent et la plupart des passagers, une quizaine, s'installent pour trouver le sommeil. Chico, lui aussi, prend ses aises. Sa jambe vient se coller contre la mienne : ce n'est pas pour me déplaire... et s'il veut déborder encore plus, ça ne me gêne pas... Je sens à travers le tissu de nos pantalons la chaleur de son jeune corps. Il ne faut pas trop que j'y pense, sinon je ne vais pas résister. J'ai beau regarder son entrejambe, l'obscurité m'empêche de deviner l'importance de sa bosse, encore plus la forme de son sexe... Il doit pourtant, comme tous les latinos, avoir un bel instrument ! Et, comme eux, savoir s'en servir...

Les dernières images du film, dont le chauffeur a lancé la projection en partant, viennent de s'éteindre plongeant désormais le mini-bus dans le noir total. Seules les lumières de la route rayent parfois l'intérieur du bus. Je regarde le visage de Chico éclairé quelques brèves secondes : il dort, du moins ferme-t-il les yeux. Ses lèvres aussi sont fermées ; elles sont bien dessinées, assez pulpeuses, sûrement délicieuses à mordiller, à séparer avec la langue, pour explorer sa cavité buccale. Est-ce qu'il embrasse bien ? Sûrement. Un beau mec comme lui, déluré, n'en est sûrement pas à sa première expérience et il a dû rouler des pelles à bon nombre de filles de la fac... D'ailleurs, il doit baiser souvent... les Péruviens ont la réputation d'être de chauds lapins et il n'a pas dû se priver, en Bolivie, en profitant de cet avantage fameux dans toute l'Amérique latine, pour troncher quelques filles du pays voisin. Ses copains, à coup sûr en ont fait tout autant... S'il faut, tous les cinq, ils ont fait quelques orgies bien salaces, baisant et enculant des nuits entières les pucelles de La Paz. Dans mon rêve, j'imagine toutes sortes d'exploits sexuels accomplis par ce petit groupe mâle que je viens de rencontrer.

Chico bouge et me réveille. Dans son sommeil, il s'est encore plus "collé" contre moi. Son bas-ventre est carrément tourné de mon côté. Sa respiration, très régulière, est celle de quelqu'un de vraiment endormi. Je regarde, comme hypnotise, cette entrejambe si proche de moi, si attirante... Tendre la main... non... et s'il se réveille... il risque de s'énerver... de me filer un gnon en pleine gueule... Viril comme il l'est, il n'aime certainement pas les pédés... Et tu imagines... si ses potes s'en mêlent, non ça finirait mal...Putain... la tentation est trop forte. Je ferme les yeux, simule le sommeil et approche délicatement ma main de son paquet. Je caresse sa braguette, la parcours de haut en bas, appuie mes doigts dessus. Je sens son membre tout mou, inerte, dessous. J'essaye en caressant avec deux doigts, l'index et le pouce, de situer sa verge : j'ai l'impression qu'elle est bien droite, dressée vers le nombril. Mais tout reste désespérement mou. Il faudrait, pour donner de la raideur à son membre, ouvrir la braguette, le sortir, et, de ma main chaude, caresser sa tige, la décalotter, titiller son frein. Bien sûr, la prendre en bouche serait la meilleure façon de gonfler ce morceau de chair sans vie et lui donner tout son volume.

Est-ce une fausse impression ? Mais sa verge semble grossir... durcir même ! J'arrête mes caresses, regarde son visage : les paupières sont toujours baissées, sa bouche fermée, Chico semble respirer toujours aussi régulièrement. Rien ne laisse supposer qu'il s'est rendu compte de ce que je suis en train de faire, rien... Je me dis qu'il doit rêver qu'il est en train de baiser... ou qu'il se fait branler par une fille... Je reprends, ouvre doucement la fermeture éclair, écarte les deux pans de la braguette. Mais ma parole, il ne porte pas de slip ! Les poils frisés qui cachent sa verge sortent par la braguette. Je plonge ma main, saisis doucement son membre et lui fais prendre l'air. Maintenant, il n'y a plus de doute : il bande. Malgré l'obscurité je vois bien la forme et la taille de sa queue : un bel instrument de 16 ou 17 cm, assez épais, surtout à sa base. Il n'est pas circoncis. Je n'ose pas le décalotter pour faire apparaître son gland, ce geste pourrait le réveiller. Quoi faire ? Le branler ? Mes mouvements seraient trop brusques... Le sucer ? J'en meurs d'envie... d'autant plus que l'odeur de mâle qui s'échappe maintenant me titille les narines. Je me dis : dans le noir du bus, alors que tous roupillent, y compris ses potes, personne ne peut me voir... L'important c'est qu'il reste endormi... même s'il a envie d'éjaculer, j'avalerai tout pour ne pas laisser de traces. J'hésite toujours, me contentant pour l'instant de caresser sa verge afin d'empêcher qu'elle perde sa raideur. Et là, surprise ! Chico relève son bas-ventre, le tend vers moi et me chuchote : "Mamala... mamala bien !" (=suce-la...suce-la bien !) Le salaud, il m'a fait peur... ça fait sûrement un bon moment qu'il fait semblant de dormir... Et moi qui mourais de trouille !

Soulagé et sans attendre une seconde de plus, je plonge sur sa belle bite et la prends toute en bouche : c'est un des trucs que j'arrive à faire, avaler une bite entière, ça excite un max les mecs. Chico ne peut s'empêcher de gémir, puis se ravisant place un doigt sur ses lèvres pour me recommander le silence. A partir de ce moment-là, c'est un véritable festival : je bouffe sa queue, ses couilles, bien rondes et poilues, lèche sa tige, son gland, mets le bout de ma langue dans son méat, mordille sa verge, son gland... Chico se tord de plaisir, pousse son ventre pour que j'avale plus profondément encore sa queue... Il appuie sur ma tête : il est super excité ! J'ai peur que nos mouvements et le bruit qu'ils provoquent ne réveillent les passagers du bus. A un moment il tient ma tête pour que je garde bien sa bite dans ma gorge, s'immobilise quelques secondes et lâche plusieurs jets de foutre. Je sens son sperme couler dans ma gorge. Il jute bien... J'aurais préféré garder sa semence en bouche pour en savourer le goût, mais il était trop excité mon jeune Péruvien et il fallait qu'il se vide vite les couilles.

Maintenant apaisé, il se laisse lécher la queue, que je lui nettoie consciencieusement. Que c'était bon ! Chico a bien apprécié lui aussi : il se penche et me chuchote à l'oreille : "Fue divino !... lo haces mejor que una puta..." (= c'était divin... tu suces mieux qu'une pute ). Pas vraiment un compliment très élogieux, que de me comparer à une fille de joie... Mais il me confirme qu'un jeune Péruvien, même d'apparence très virile, peut apprécier mes talents. Pourvu qu'il en parle à ses copains... et qu'ils soient disposés à vérifier la véracité de ce qu'il raconte.

Je n'ai pas vu le temps passer; il est environ quatre heures du matin, le bus s'arrête devant une espèce de restaurant de campagne, le chauffeur annonce une demi-heure d'arrêt. Chico m'explique qu'on peut descendre pour aller aux WC, ou manger quelque chose. Les compagnons de Chico, à moitié réveillés préfèrent rester dans le bus et poursuivre leur somme. Je descends avec Chico, lui demande ce qu'il veut boire : du café au lait. Je prends la même chose, et lui offre le sien. Il me parle de l'excellent moment qu'il vient de passer... C'est la première fois... enfin, la première avec un homme... Je lui demande s'il serait prêt à recommencer... "Oui, avec toi... c'est sûr... Mais ce qui lui a déplu, c'est qu'on n'était pas à l'aise... comme dans un lit... Je lui dis que je suis tout à fait d'accord... que, coincé dans le bus, je n'ai pas pu lui donner tout le plaisir que je donne d'habitude à mes partenaires. De mon côté, j'ai quand même bien aimé, car il est un vrai garçon, bien viril, "bien cargado" (=bien chargé). Il rigole, il sait à quoi je fais allusion. Flatté, il me confie qu'il est capable de baiser une fille toute une nuit... Il peut éjaculer jusqu'à quatre fois de suite... mais vraiment... "con mucha leche" (= avec beaucoup de sperme)... Je lui dis que je suis impressionné et lui demande si tous les garçons péruviens sont capables de telles performances... Par exemple, ses quatre copains, est-ce qu'eux aussi arrivent à jouir plusieurs fois de suite ? "Todos ! Somos un grupo de verdaderos machos... Hacemos trios... penetramos chavas a dos juntos... sabes una doble penetracion... sabes lo que es ?.... a mi m'encanta meter por el culo, mientras un compañero se la coje por delante." (= Tous ! On est un bande de vrais mâles... On nique à trois.... Deux d'entre nous, ensemble, baisent la même nana... tu sais une double pénétration... tu sais...moi j'adore la prendre par le cul pendant qu'un pote lui baise la chatte.). Les coups de klaxon du chauffeur nous signalent qu'il faut remonter dans le bus. Nous reprenons nos places au fond. On a encore deux ou trois heures de route.

Collés l'un à l'autre nous nous parlons à voix basse. Je lui dis combien j'aime sa bite... que je voudrais la sentir me pénétrer. Chico répète et insiste sur le fait qu'il n'a jamais fait ça avec un homme. Se faire sucer, c'est pas pareil, m'explique-t-il. Une bouche chaude, qu'elle soit de femme ou d'homme... ça fait le même effet. En plus, avec moi... je pompe tellement bien, qu'il a oublié qui avalait sa queue, il pensait seulement au plaisir que je lui donnais. Mais baiser un mec... ça doit pas être la même chose... le corps d'un mec c'est pas pareil... avec un mec, on n'est pas excité de la même façon. Tu vois, ajouta-t-il, quand on baise des filles, avec mes potes, même si j'ai une bite ou un cul de mec à côté de moi, j'ai pas envie de le caresser... Je sais pas si... Et pourtant mes copains ont des culs super beaux !... et un ou deux ont des bites énormes, plus grosses encore que la mienne... mais j'ai jamais essayé de faire l'amour avec eux.

Tout en parlant, je caresses sa bite à travers le pantalon. Il ne bande pas vraiment, mais une érection continue à donner du volume à son paquet. "Et si je te branlais maintenant... tu serais capable d'éjaculer ?" "Cierto ! pero ahora somos por llegar a Cuzco... y la luz del dia ya es demasiada" (=Bien sûr ! Mais on va bientôt arriver à Cuzco et la lumière du jour est déjà trop forte...)

Dans le bus, les passagers commencent à bouger. Quelques-uns des copains de Chico se sont réveillés et parlent entre eux. Mon voisin me rappelle que, si je suis d'accord, je peux aller dans le même hôtel qu'eux : il est propre et pas cher. L'idée d'être sous le même toit... voire de partager une chambre avec l'un ou plusieurs de ces jeunes mecs me remplit dejà de bonheur. Nos sacs sur le dos, nous nous dirigeons vers leur hôtel. Il est un peu à l'écart de la place centrale. Mais la ville ne paraît pas immense. Arrivés à l'hôtel, Chico parle au nom de tout le monde. Il m'explique qu'il ne reste plus que deux chambres de trois, et que si je suis d'accord, avec lui et un de ses copains, je peux partager une chambre. C'est lui qui choisit le copain, un gars prénommé Oscar. Il me plaît bien, cet Oscar... Bien que plus grand que les autres, il semble le plus jeune du groupe. Je confirme à Chico que je suis bien sûr d'accord sur tout... même, s'il le fallait, pour partager un lit. Je me vois déjà dans le même pieu... passant une nuit blanche avec n'importe lequel de ces jeunes étalons...

L'installation dans les chambres est rapide. Hélas, dans la nôtre, il y a bien trois lits, d'ailleurs plutôt étroits. Il fait assez froid. Cuzco est en altitude et l'hôtel apparemment n'est pas chauffé. Si j'ai froid, je demanderai à Chico... ou à Oscar de venir me réchauffer...

Nous sortons de l'hôtel. Je suis le groupe : ils ont décidé d'aller prendre un bon petit déjeuner, à la péruvienne. Je suis heureux de faire partie de la bande, de partager leur emploi du temps... Et je me surprends à imaginer ce que je pourrai peut-être faire, ce soir... cette nuit, avec chacun d'entre eux...

Rafael

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