J'ai choisi cet été de passer mes congés annuels, tout seul, et en Espagne. En Espagne, ce n'est pas la première fois, j'y ai séjourné plusieurs fois, notamment à Barcelone, où j'ai eu des expériences inoubliables, dans quelques-uns des saunas, sans doute parmi les plus extraordinaires de la planète gay... Mais, chaque fois, j'étais avec un ami très cher, avec qui, malheureusement, je ne suis plus, depuis peu, en excellents termes... C'est pourquoi, revenant pour une semaine en Espagne, j'ai préféré ne pas séjourner à Barcelone, où je risquais de rencontrer mon "ex", ou certaines de nos relations, ni à Sitgès, trop fréquenté par les Français, mais d'aller un tout petit peu plus au Sud, à Tarragona. La ville ne manque pas de charmes : ses amphithéâtres romains, ses marchés de rue, ses plages de sable fin; ce sont de superbes buts de promenade ou de spectacles naturels... Les plages sont fréquentées par de séduisants garçons, de toutes les couleurs (beaucoup de blonds du Nord, de bruns d'Espagne ou d'ailleurs, de Maghrébins, le dimanche en particulier...) Mais pas de naturisme, ni de cruising, à mon grand regret, mis à part du côté du Cap de Salou, une petite ville des environs. Mais sans succès, en ce qui me concerne. Même sur la "Playa Els Capellans", à Tarragona même, fort fréquentée la nuit, où les mecs baisent dans un petit bois, entourés de groupes de voyeurs qui se masturbent. Je n'y ai rien fait de palpitant, n'étant pas trop "fan" de ce genre de rencontres. Je dois reconnaître toutefois que certains "visiteurs du soir" de cet endroit m'ont paru fort bandants, et qu'il s'en est fallu de peu que je fasse des cochonneries nocturnes en leur compagnie...
La semaine passant à Tarragona, j'avais presque renoncé à toute aventure espagnole, pour ces vacances en "célibataire", quand, sans le vouloir, j'ai trouvé "chaussure à mon pied". Rentré de la plage à la tombée du jour, douché et changé, je suis allé faire un tour en ville. Je décide de m'asseoir à la terrasse d'un bar, déjà pas mal fréquentée. Les Espagnols ont un rythme de vie très "en retard" sur nos horaires hexagonaux; aussi sur la terrasse, il y a peu de locaux mais une majorité d'étrangers. Je remarque trois jeunes Français, très beaux, entre 25 et 30 ans; mais hélas du genre hétéros incorruptibles (dommage !); des couples de toutes provenances, une paire de garçons, italiens je crois, mais n'ayant d'yeux que l'un pour l'autre... Le serveur, qui est venu prendre ma commande, est un magnifique gars, la trentaine, très viril, beau gosse. Il porte le tee-shirt du bar et un jeans blanc, très serré, qui laisse deviner un paquet bien rempli... Je fantasme sur lui quelques instants, mais je me dis que, vu son look, il doit plutôt s'intéresser aux gonzesses... Il me parle très aimablement; et, chose étonnante, quand il m'apporte la "caña" (demi de bière) que j'ai commandée, il me demande si je suis touriste. Pourquoi cette question, puisque la réponse était évidente... ? Pour lui être agréable, je lui dis que "j'adore Tarragona", que "les gens y sont sympathiques"... Il me sourit, et ajoute "Mon ami(e) et moi, nous adorons les touristes !". "Merci !", c'est tout ce que je trouve à lui répondre... Mon "ami" ou mon "amie" ? Je m'interroge, d'autant plus qu'il n'a pas jugé bon de parler aux autres clients... Il est vrai que je suis le seul à être seul ! Si je lui plais, c'est plus facile que d'aborder le trio de jeunes mecs français, qui boivent bière sur bière, à quelques mètres de moi.
Pour en avoir le coeur net, je décide d'entrer dans le bar et de demander où se trouvent les toilettes. "En bas" me répond "l'ami" (car c'est bien UN ami !), qui, derrière le bar prépare les commandes. Très beau mec, pas efféminé, mais moins "macho" que son compagnon le serveur. Je descends aux toilettes : un urinoir, une cabine, un lavabo. Je pisse dans l'urinoir : je m'aperçois que je bande un peu. L'idée que ces deux gars vivent en couple m'a chauffé, surtout après plusieurs jours d'abstinence. Je ne me branle pas, mais me malaxe la queue en pensant au serveur... Merde...quelqu'un est en train de descendre l'escalier, je rentre ma bite précipitamment... Surprise : c'est le serveur ! Est-ce que son copain lui a dit que j'étais en bas ? Grands sourires réciproques. Et pendant que je me lave les mains, en prenant mon temps... le serveur sort sa bite et, ostensiblement se place en biais de façon à me permettre de ne rien rater du spectacle. Il a une énorme queue, très épaisse mais courte, en semi érection. Et, après avoir rapidement soulagé sa vessie, se tourne carrément vers moi, serrant sa bite entre ses doigts, pour m'en montrer l'étonnant volume... Je suis comme hypnotisé par ce membre hors du commun... Je ne bouge plus. Le serveur s'approche de moi et me roule une pelle endiablée. J'en perds le souffle. Et dans un français approximatif me dit qu'il faut absolument que j'attende la fermeture du bar, qu'il a envie qu'on s'amuse à trois, avec son compagnon, le gars du bar. Il est pressé, me demande de monter avec lui. Il me présente à son ami : "Un ami français. Je l'ai invité pour qu'il vienne chez nous ce soir. Lui, c'est Luis, moi je m'appelle Marcos. Et toi ?" "Moi, c'est Rafael." "Excuse-nous, Rafael, on a beaucoup de travail. Mais va t'asseoir dehors. Ce soir on va essayer de fermer assez tôt, et après on t'emmène à la maison..."
"Assez tôt", qu'il avait dit Marcos. A minuit, le bar était encore plein de clients. Beaucoup de garçons gays y sont passés, sans doute le bar est-il un point de rencontre avant d'aller en boîte ?... Pourtant, à ma connaissance, il n'y a pas de boîte gay à Tarragona. Mais, je ne m'ennuie pas, les minets sont mignons, les "bears", malgré leurs tatouages, ne me semblent pas inintéressants; certains même m'ont lancé des regards enflammés, qui, en d'autres occasions, auraient suffi à me décider de les suivre... Marcos a été charmant toute la soirée : il m'a offert plusieurs bières et de petits "hors d'oeuvre", les célèbres "tapas", préparés par Luis, absolument délicieux. J'étais heureux d'avoir trouvé par hasard cet endroit, d'avoir en perspective une soirée de sexe avec un couple de mon âge, tout à fait à mon goût...
Je me trouve dans un état irrationnel que je n'ai jamais connu auparavant, comme si j'étais le troisième membre de cette union, en toute confiance, comme s'ils m'avaient hypnotisé, au point d'être pris dans leurs filets, séduit à la fois par la beauté de Luis (avec lequel je suis allé bavarder pendant de longs moments au bar), et la virilité de Marcos, dont la possession d'un organe hors du commun, explique sans doute beaucoup de choses... Et pourtant je ne les connais pas vraiment ! Comment expliquer cette attraction, au bout de quelques minutes seulement... Je ne vois pas l'heure qu'ils ferment leur bar. Je maudis tous ces nouveaux clients qui viennent s'asseoir à la terrasse et éloignent le moment, où tous les trois pourrons enfin donner libre cours à nos envies de sexe... Je suis tellement excité, que prenant Marcos par la main je l'entraîne aux toilettes et, baissant son jeans, avale sa queue, devenue en quelques secondes dure comme la pierre. Je le pompe comme un affamé et réussis en quelques minutes à le faire juter une deuxième fois dans ma bouche... "J'espère que ton cul avale les bites aussi bien que ta gorge... car sache que cette nuit, mon petit Rafael, je vais te défoncer le cul, comme jamais on te l'a fait !" En remontant des toilettes, on a droit à une remarque acerbe de la part de Luis : Dites donc, les petits, il faudrait pas croire que je compte pour du beurre... Moi aussi j'en peux plus !" "T'inquiète pas ma puce ! On a toute la nuit... et tu sais bien que deux culs à la fois, ça ne me fait pas peur !" Je reste quelques instants avec Luis, pour éviter qu'il me prenne en grippe... Il en profite pour me dire, à voix basse, profitant que Marcos est sorti en terrasse : "Tous les deux, Marcos et moi, on est actifs ! Moi aussi, j'adore les petits culs serrés... Cette nuit tu vas déguster..."
Profitant qu'il n'y a personne dans le bar et seulement quelques couples en terrasse, Luis range les tables et les chaises libres, donnant en quelque sorte le signal de départ aux derniers clients. J'aide mes deux hôtes à faire les ultimes rangements, et le bar fermé, partons à pied vers chez eux. Ils habitent un chouette appartement, au dernier étage d'un immeuble ancien. Splendide appart, bien décoré, une grande terrasse avec vue superbe sur la ville. Marcos se met tout de suite en cuisine pour nous faire un dîner "dont je dirai des nouvelles !" m'annonce-t-il. Luis dresse la table sur la terrasse. Ils me proposent d'aller prendre une douche pendant qu'ils préparent tout. J'y vais volontiers; pendant que l'eau coule je me touche le sexe, bandant instatanément comme un bouc, à la seule idée de la nuit qui nous attend. Je sors de la douche, une serviette éponge autour de la taille. "Attends !" me dit Luis; "Je vais te chercher un short." La cuisine de Marcos sent bon, mais il faut attendre encore quelques minutes. Luis en profite pour aller prendre sa douche. Quand il en sort, nous passons à table sur la terrasse. Un vrai "diner en amoureux", mais à trois, à la lumière d'une bougie "contre les moustiques". Les gambas sautés et les pâtes de Marcos sont délicieux. Je me sens bien avec mes deux nouveaux "amis", que je trouve de plus en plus sexy. Je propose de faire la vaisselle, pendant que Marcos va enfin pouvoir aller se doucher. Quand je les rejoins dans leur chambre : ils sont tous les deux, à poil, en train de s'embrasser tendrement. Je regarde la scène avec bonheur : leur corps sont beaux. Même Marcos, malgré son petit ventre, est un bel homme poilu, au sexe foncé, imposant. Luis, n'a pas un poil : il se rase, mais je crois qu'il n'a jamais été très poilu. Ils m'invitent à me glisser entre eux. J'obéis, quitte mon short, et nous commencçons à nous embrasser avec fougue, mêlant nos langues à deux, parfois à trois. Par moments, nous nous arrêtons de nous rouler des pelles, mais posons délicatement de petits baisers sur les joues, le nez, le cou des deux autres partenaires. En quelques secondes nous bandons tous les trois. Luis ne laisse aller en arrière en se détachant de nous deux; couché sur le dos, il s'offre totalement à mon regard. Il a une belle bite, droite, régulière, de 18 ou 19 centimètres de long. Un bel organe, même s'il n'est pas aussi épais que celui de Marcos, auquel j'ai déjà goûté deux fois. Je me penche sur le beau corps de Luis, musclé à fleur de peau, totalement bronzé, sans même la trace plus claire d'un maillot de bain. Quand trouve-t-il le temps de se faire bonzer ? Je ne résite pas, me penche sur lui, et le lèche en commençant par les tétons. Peu à peu je descends vers son nombril, puis vers sa bite. Je découvre de près qu'il a une belle paire de couilles, deux boules bien séparées, un peu pendantes. Je lèche tout, ne négligeant aucun recoin de sa peau. Il se trortille comme s'il appréciait tout particulièrement mes coups de langue... Pendant que je suçe la belle verge de Luis, je sens que Marcos a écarté les deux lobes de mes fesses, et avec la pointe de sa langue parcourt plusieurs fois, de haut en bas et de bas en haut, ma raie, s'arrêtant sur ma rondelle, sur laquelle il donne de petits coups... Quelle sublime sensation que celle de dévorer le corps et le sexe d'un beau mec, pendant qu'un autre mâle se régale à me faire entrevoir ce qui l'intéresse le plus en moi : me penétrer, non pas seulement avec sa langue, mais avec cet énorme dard foncé que j'ai eu déjà le bonheur de pomper. Marcos me travaille le cul avec ses doigts, au moins deux, peut-être trois... Il ne les enfonce pas trop, mais cherche avant tout, apparemment, à élargir l'entrée de mon fion. J'adore ce qu'il me fait... surtout que je déguste de mon côté le corps de Luis. De temps en temps je remonte jusqu'à sa bouche et nous nous roulons une pelle pleine de salive. Il embrasse comme j'aime : en mêlant nos langues, en les aspirant, en mouillant nos lèvres, nos mentons, comme si on voulait se dévorer mutuellement...
"Rafael... dresse un peu ton cul... voila, comme ça, en cambrant bien les fesses... N'aie pas peur, j'ai mis une capote... j'ai trop envie de ton cul..."
"Vas-y doucement, Marcos... Même si je ne suis plus vierge... vu la taille de ton engin, tu vas me faire crier..."
"On voit que tu ne me connais pas... Demande à Luis... je te prends comme je sais faire : tu vas l'avoir au fond sans même t'en rendre compte !"
Je sens qu'il est en train de me lubrifier le cul avec du gel. Je suis un peu plus rassuré, je reste crispé quand même. Marcos commence par enfoncer sa queue doucement, tout doucement... Et même si je sens cet énorme morceau de chair glisser en moi et me remplir peu à peu le rectum tout entier, je suis étonné de ne pas souffrir. Juste une petite brûlure. Marcos s'arrête... Tranquillisé, je reprends ma pipe, donnant un plaisir immense à Luis qui gémit... C'est là que Marcos reprend lui aussi : il fait coulisser sa queue, la sortant presque de mon cul, avant de la remettre bien au fond. J'ai mal... et demande une nouvelle fois à Marcos d'aller doucement. Il ne semble pas apitoyé par mes suppliques et accèlère même le rythme de ses allers et venues. Marcos a soulevé mon ventre, en me prenant par les hanches; sa bite coulisse mieux dans cette position, mais elle m'empêche de continuer à lécher et pomper Luis. C'est lui, alors, qui s'intéresse à mon corps. Saisissant ma bite, bien raide, qui pend sous moi, depuis que pour satisfaire Marcos je me retouve à quatre pattes, Luis se met à me branler, ou plutôt à me "traire" la queue, comme s'il tenait en main le pis d'une vache. Luis s'est glissé sous moi, comme un mécanicien sous une voiture. Il me branle, s'arrête parfois pour me lécher le gland ou les couilles. Je suis super chaud : deux mecs qui s'emploient à me donner du plaisir, j'ai rarement connu ça. Et quand je sens l'explosion de Marcos dans mon cul, je ne peux pas me retenir et j'éjacule sur la gueule de Luis. C'est fou ce que j'ai juté ! Luis en a partout, et, avec sa langue, essaye d'avaler le maximum de ma liqueur mâle. Marcos retire délicatement sa queue de mon cul et s'effondre sur le lit, en sueur, épuisé. Il enlève alors sa capote et me la tend. Je la vide sur ma poitrine et Luis se précipite pour lécher le foutre de son compagnon. Puis, sans me laisser le temps de souffler, Luis se place derrière moi et me plante sa queue entre les fesses, me pénétrant d'emblée, sans la moindre difficulté, mon trou étant resté largement ouvert après le passage du braquemart de son copain. Il m'encule à un rythme incroyable, entrant et sortant sans problème. Je m'aperçois soudain qu'il n'a pas mis de capote. Je lui en fais la remarque : "T'en fais pas, j'ai fais un test, y'a pas longtemps... je te montrerai les résultats". J'aime sa façon de me prendre... je ne sens rien de douloureux, qu'un massage profond de mon postérieur, grâce à sa longue verge. Il est vrai que Luis passant après Marcos je suis encore tout à fait ouvert, même pour des sodomies profondes... Il va m'enculer une bonne dizaine de minutes... De mon côté, ayant déjà juté, je ne sens pas mon foutre prêt à gicler en de nouvelles salves... Je ne suis pas capable de leurs performances... D'ailleurs, la chaleur du sperme de Luis dans mon rectum m'informe que mon partenaire vient lui aussi d'atteindre l'orgasme. Luis ne bouge plus : il reste en moi, la bite bien plantée dans mon cul... C'est un moment que j'adore... Luis aussi, apparemment, car il me couvre de baisers sur la nuque et me dit, en espagnol, des mots très doux, dont je devine le sens.
Je suis crevé. Ces deux mecs m'ont baisé comme des dieux. En plus, Luis, en me masturbant, m'a fait juter comme jamais. C'est Marcos qui se lève et, me prenant par la main, m'entraîne vers la salle de bain. Il fait couler la douche et nous y entrons tous les deux, ensemble. Je le savonne partout, m'attardant sur sa bite, ses couilles, ses fesses... Il se laisse faire. Je le doigte même, enfonçant jusqu'à deux doigts à la fois, sans qu'il proteste. Il bande, moi aussi, bien sûr. "Dis Rafael, tu as envie de nous baiser, Luis et moi ?" "Vous seriez d'accord ?" "Bien sûr, on aime tout, nous... Mais pas ce soir, on a travaillé tous les deux et on est crevés... Demain matin, si tu veux, au réveil..." Je lui fais un baiser sur les lèvres, en guise de réponse. Quand Marcos sort de la douche, j'appelle Luis, pour le savonner lui aussi. Je m'éclate à caresser son corps avec la mousse du shampoing et du savon. Je lui demande si, lui aussi, il me donnera son cul, demain matin. Sa réponse affirmative lui vaudra, aussi, un baiser de remerciements.
C'est eux qui ont insisté pour que je me couche entre eux. Je me suis endormi comme un bébé, embrassé et caressé par deux superbes mâles espagnols, deux vrais mecs.... qui viennent, en plus, de me promettre d'autres beaux moments de jouissance.
Rafael
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