Il y a longtemps que je voulais faire un tour à Cuba, cette île à l'histoire si mouvementée, et dont les habitants et leur musique ont toujours exercé sur moi une attirance irrépressible. Pour des raisons de travail, je n'ai pu programmer mon voyage qu'en été. Période qui présente deux inconvénients : les tarifs aériens sont plus élévés et l'été là-bas est de loin la saison la plus éprouvante.
Dès mon arrivée à La Havane j'ai d'ailleurs trouvé que la chaleur y était étouffante. L'humidité ambiante est si forte, qu'après avoir marché à peine quelques centaines de mètres, les vêtements collent à la peau. Même pour moi qui ne transpire quasiment jamais. Je compris très vite qu'il me fallait renoncer à sortir de mon petit hôtel en plein jour. Je dormais donc tard le matin, puis, après avoir déjeuné à l'hôtel, je faisais une longue sieste, allongé sur mon lit, dans une chambre heureusement climatisée. Je ne sortais donc qu'à la tombée du jour, parfaitement reposé, prêt à passer une nuit blanche. Et je peux dire que toutes les nuits de mon séjour ont été blanches ! Et elles ne furent pas de tout repos...
Premier soir, je quitte l'hôtel vers 19 heures et me dirige vers le "Malecon", comme on appelle ici ce long boulevard qui longe la vieille ville, face à la mer. C'est un endroit très animé, où les habitants aiment à se retrouver en fin de journée. On y croise aussi pas mal de touristes. Je mesurerai l'animation du Malecon, les jours suivants, en m'y promenant à une heure très avancée fe la nuit, ou en rentrant à mon hôtel au petit matin. L'animation, en fait, y dure toute la nuit. Très vite, dès le premier soir, je me rends compte qu'on y croise essentiellement des hommes, jeunes pour la plupart, ou des adolescents. Peu de femmes, ou toujours au bras de leur fiancé (?). Tous ces garçons sont assis sur le mur du bord de mer, ou se promènent par petits groupes de deux ou trois, quelques-uns seuls. Ils rient, chahutent, plaisantent entre eux, me sourient au passage. Ce sont de splendides jeunes hommes, à la peau très foncée, ou métis, en jeans moulants ou pantalons de toile, t-shirt collé à leur torse, laissant voir des bras musclés. Je n'ose pas trop regarder leur corps, mais tous me paraissent très virils et en tous points semblables à l'image que je me faisais, avant mon séjour, de la beauté des jeunes Cubains et en accord avec la réputation qui est la leur...
Je décide de m'asseoir sur le muret, à une dizaine de mètres de trois jeunes qu'au passage j'ai trouvés particulièrement beaux. Je fais semblant de n'être intéressé que par le spectacle de la rue, les vieilles voitures américaines qui passent à faible allure. Je tourne parfois mon regard vers la mer, et en profite pour jeter un coup d'oeil furtif au groupe des trois garçons qui a retenu mon attention il y a quelques minutes. Ils rigolent entre eux, semblent parler de moi, poussant même l'un d'entre eux à venir me parler. Du moins, c'est ce que je crois deviner. Mais aucun ne se décide ! Et alors que je tourne la tête dans la direction opposée, j'entends soudain près de moi une voix grave me saluer. Je parle espagnol, et réponds aussitôt à ses salutations. Sans doute rassuré, le garçon s'assoit à côté de moi. Il me tend sa main et se présente : "Je suis Raoul. Enchanté". Je reste un instant sans voix, tellement je suis ravi de cette entrée en matière et surtout impressionné par la beauté des traits du garçon. Je lui dis mon prénom et rajoute : "Je suis français". Il sourit. Quelle merveille ce gars ! Ses traits sont très masculins, Il doit avoir 23 ou 24 ans. Quand il m'a serré la main, j'ai senti une peau rugueuse, celle d'un travailleur manuel. Je n'aurais pas pensé qu'il me serait aussi facile d'approcher un jeune cubain. Il me montre ses deux copains restés assis plus loin, mais qui suivent avec intérêt la scène. Raoul me demande si ses amis peuvent venir près de nous. Je n'ai pas fini de répondre que déjà je me retrouve assis entre ces trois spécimens de jeunes mâles de l'île.
Ils s'appellent Hernán et Felipe, et sont du même âge et tout aussi séduisants que Raoul. Tous les trois maçons... et célibataires ! Ils viennent le soir sur le Malecon, pour y faire des rencontres. Ils aiment bien parler avec les touristes, les aider à trouver des coins sympathiques... Hernán me demande sans détours si je cherche une fille ou un garçon. Je suis un peu surpris de sa manière un peu brutale, mais pas fâché après tout, car ça m'évite de "tourner autour du pot"... Je réponds que je les trouve tous les trois "très sympathiques", ce qui dissipe leurs derniers doutes. Felipe, comme rassuré, se remonte le paquet, un peu écrasé par son jeans; ce geste est une façon de me dire que le message est passé et qu'ils sont prêts à me donner satisfaction. Raoul reprend la conversation en me précisant qu'eux n'aiment que les filles, mais qu'ils n'ont rien contre les gays; ils en rencontrent de plus en plus souvent à La Havane. "Un soir, ajoute Hernán, on a rencontré un Allemand, il cherchait des garçons, on est allés avec lui, il nous a fait un petit cadeau, et on s'est bien amusés..." Felipe : "Mais attention : on est tous les trois actifs !... et bien dotés par la Nature !" "Si ça te dit, tu peux choisir l'un de nous trois, ou deux... ou même tous les trois ! On peut te garantir que tu ne seras pas déçu !" Je ne sais plus quoi dire. L'idée de faire l'amour avec trois gars, si virils, m'excite au plus haut point, je n'ai jamais fait ça, Une fois j'ai partagé un garçon avec un copain gay. Mais ce n'est pas pareil. Avec deux d'entre eux, ça doit être exceptionnel, les trois, plus encore. Je me demande si c'est bien prudent, et puis...où aller? Pour sûr, pas dans mon hôtel. Devant mon hésitation, Felipe me dit que si je veux, ils peuvent m'emmener découvrir un endroit très sympa, une discothèque-bar que fréquentent les gays... On s'y amuse bien. J'accepte aussitôt, pensant que la soirée ne faisait que commencer et qu'il me restait bien du temps pour passer aux choses concrètes. Je pars donc avec mes trois "gardes du corps", direction le bar "Las Vegas". Nous entrons, c'est très sombre, il y a des garçons partout, tous plus attirants les uns que les autres, des étrangers aussi, accrochés à leur conquête d'un soir, comme une huître à son rocher.
Je suis surpris de cette liberté. Hernán m'explique que c'est quasiment l'unique établissement de l'île aussi tolérant. Dehors, on a croisé des tas de jeunes qui voudraient bien entrer, mais n'ont sans doute pas assez de sous pour venir boire et en profiter pour draguer le touriste. Cherchant à m'exciter, Raoul prend ma main droite et la plaque sur son paquet, histoire que je me rende compte qu'il bande et que son engin est d'une taille peu commune. Felipe, me met sa langue dans le creux de l'oreille. Il est clair qu'ils veulent me chauffer au plus vite pour que j'accepte de coucher avec eux. "Tu nous offres une bière ?" "Bien sûr !" Je donne un billet à Raoul qui va chercher quatre bières. Ils me conduisent à une table, dans un coin encore plus sombre. Je me retrouve assis entre Felipe et Hernán, les deux plus mâles, qui sans attendre défont leurs ceintures, ouvrent leur braguette et sortent leur queue. Hernán bande déjà, celle de Felipe est encore molle mais atteint déjà une taille impressionnante. "Si tu veux sucer, te gênes pas, ici on peut : regarde à la table à côté..." En effet, un grand mec roux a plongé sa tête dans l'entrejambe du grand Cubain qui est avec lui. Je me contente pour l'instant de saisir les queues de mes voisins, une dans chaque main. Elles sont chaudes, d'un diamètre et d'une longueur rares chez nous. Je les sens durcir dans ma paume. Je les astique un peu, histoire d'accélérer l'excitation des deux garçons. Celle de Felipe est d'une taille sans pareille. Raoul, assis en face, se penche au-dessus de la table et m'interroge : "Alors ? Qu'est-ce t'en penses des outils de mes copains ? Hein, on est bien membrés, nous, les Cubains !!... Tu as trois mecs actifs avec toi, et rien que pour toi ! Des mecs bien "lechosos" (= juteux )". Je souris, bien convaincu que je suis chanceux d'être "tombé" dès le premier jour sur de pareils étalons. "Si tu nous donnes 60 dollars, on va faire l'amour tous les quatre... toute la nuit si tu veux... tu nous suces, tu nous branles, tu nous caresses... ce que tu veux, après on te prend, à tour de rôle, on te fait délirer, et on te remplit le cul de sperme, on te fait ce que tu aimes..." "Oui, mais on ferait ça où ?" "T'inquiètes, on connaît une maison, tu donnes 5 dollars au proprio, il nous loue une chambre, avec douche, on reste le temps qu'on veut..." "Si tu préfères, ajoute Felipe, tu choisis celui de nous trois qui te fait le plus envie, et tu vas avec lui...". "Seul, tu prends combien ?" "Si tu vas avec un seulement c'est 30 dollars. Si on y va tous, c'est 60, tu y gagnes : t'en as trois pour le prix de deux !!". Les trois éclatent de rire.
J'hésite encore, j'ai un peu peur. "Un autre soir, on ira tous les quatre. Mais ce soir, j'en choisis qu'un..." "Qui tu veux, alors ?". "Je vous trouve tous les trois très attirants... Mais si tu es d'accord, Felipe, on va tous les deux.." "Pas de problème ! Je vais te faire voir comment les Cubains font l'amour". Felipe est des trois celui qui a la plus grosse bite, un engin d'au moins 22 ou 23 centimètres, épais, non circoncis, avec une paire de grosses couilles noyées dans un fouillis de poils frsisés. C'est sûr, la taille de sa bite n'est pas l'assurance qu'il baise bien, mais je dois avouer que j'adore sucer les grosses queues, j'aime moins les prendre dans le cul, car je reste assez étroit et ne supporte pas certaines saillies trop brutales. Je me contenterai de le pomper et de le branler jusqu'au jus. Les deux autres sortent de Las Vegas avec nous; ils comptent retourner sur le Malecon, pour draguer un autre client sans doute. Avant de nous séparer, je les salue, en leur précisant que je serais ravi de les revoir un autre soir, et que je me déciderais peut-être de tester aussi leurs talents au pieu...
En suivant Felipe, on s'est enfoncés tous les deux dans la vieille ville, passant par de petites rues moins fréquentées que le quartier du bar Las Vegas, où touristes, prostituées femelles et prostitués mâles, en grand nombre, animent la rue. La maison dans laquelle nous nous arrêtons est plutôt délabrée. A l'entrée, un vieux mal rasé nous reçoit avec un large sourire. Felipe lui glisse discrètement le billet de 5 dollars qu'il m'avait préaablement demandé. Un escalier monumental conduit à l'étage, mais le vieux nous fait entrer dans une pièce du rez-de-chaussée, éclairée par une ampoule faiblarde. Il s'adresse à moi, me montre qu'il y a une salle de bain. Une douche, un lavabo, un WC. Le lit est grand et couvert d'un drap qui paraît propre. Il me dit que nous pouvons rester tout le temps qu'on veut. Felipe va pisser pis enlève son t-shirt, découvrant un superbe torse avec de beaux pectoraux. Tout en déboutonnant sa braguette, il me dit "Excuse-moi, je ne mets jamais de slip". Le jeans baissé, il en effet à poil. Sa queue en semi érection se plaçe contre sa cuisse droite. La vue de cet énorme sexe provoque en moi comme une décharge électrique. J'ai rarement éprouvé pareille attirance pour un partenaire mâle. Il faut dire que son corps est d'une exceptionnelle beauté : épaules et bras robustes, peau dorée, abdominaux bien dessinés, cuisses puissantes, et cette bite longue et épaisse, dont le gland émerge de son prépuce. Je ne sais pas par où je vais commencer à déguster ce corps.
Nu, je m'allonge à côté de Felipe et enreprends de caresser mon magnifique partenaire. Du bout des doigts, j'éffleure son visage, ses lèvres, son cou, ses tétons, ses pectoraux, descendant toujours plus bas sans toucher cependant sa bite ni ses couilles. Je tâte ses cuisses, saisissant à pleine main ses muscles comme pour m'assurer de leur solidité. Même chose avec ses mollets, très fermes eux aussi. "Tu fais du sport, Felipe ?" "Oui je joue au foot... mais c'est le travail qui fait que je suis musclé." "Tu as un corps splendide... un corps très "macho" (= très mâle). Tu dois avoir du succès avec les filles ! non ?" " J'ai pas à me plaindre... Même les mecs ont envie de moi ! Toi, par exemple..." Je ris, il sourit. "Et la première fois que t'as fait l'amour, tu avais quel âge ?" "Tu veux dire avec une fille ?... J'avais 13 ans... Avec une voisine plus vieille que moi... Elle m'a sucé, puis je l'ai baisée... On l'a fait plusieurs fois, mais je la prenais toujours par derrière... tu sais, pour ne pas la mettre enceinte..." "Et tu préfères baiser avec des filles ou avec des mecs ?" "Les mecs sucent mieux, mais enculer une fille ou un mec c'est pareil..."
Je me penche vers son bas-ventre. Un parfum de mâle arrive à mes narines. Je continue mon exploration, prends dans ma bouche le bout de sa bite et décalotte avec mes lèvres son gland. Il est plus clair que le reste de sa queue. Je lèche ce savoureux bout de verge, le mouiillant bien de salive, puis avale tout ce que je peux Mes premiers câlins ont déjà provoqué l'érection totale de sa bite. Sa verge se dresse maintenant dans toute sa splendeur et ses dimensions. J'essaye d'avaler le maximum de cet énorme morceau de chair. Mais j'ai beau faire, je ne peux pas prendre tout en bouche. Felipe pousse pour introduire tout son chibre, mais très vite je suis obligé de recracher la totalité, de crainte de perdre la respiration. Je choisis alors de lécher ses couilles : deux énormes quetsches foncées, poilues, que je prends une par une dans ma bouche. Felipe gémit : il doit aimer ça. Encouragé par sa réaction, je gobe à nouveau chacun de ses testicules : ils sont délicieux. Je pense : des boules aussi grosses, elles doivent contenir une quantité impressionnante de sperme ! Là encore je suis effaré par la taille de ses attributs.
Quel mâle ce mec ! Je sens qu'il est de plus en plus chaud. Il n'arrête pas de me caresser le cul, passant un doigt dans ma raie, s'arrêtant sur ma rondelle, enfonçant un doigt, puis deux, pour dilater un peu plus mon trou. Il me tend ses doigts pour que je les suce et les mouille bien de salive, puis il les enfonce à nouveau dans mon cul, écartant le trou en vue d'une pénétration prochaine. "Tu sais, je ne veux pas éjaculer tout de suite... Si tu continues à me sucer comme ça, je vais finir par juter. Je préfèrerais te prendre..." "Moi aussi, je voudrais que tu me baises, mais avec la queue que tu as, tu vas me faire mal..." "On voit que tu n'as jamais baisé avec un Cubain ! Pas du tout... je te la mets doucement... doucement... tu ne vas rien sentir... et elle sera dedans sans que tu t'en rendes compte...." "Felipe, tu me promets... hein ? si je te dis d'arrêter, tu t'arrêtes... Tu sais, Felipe, je ne me suis jamais fait enculer par une bite aussi grosse..." J'ai accepté. "Attends, je vais te donner une capote, j'en ai dans mon pantalon." Felipe déchire avec ses dents l'emballage argenté du préservatif XXL que j'ai acheté avant mon départ. J'ai pris XXL car connaissant la réputation des mâles cubains... Il fait glisser la gaine en caoutchouc le long de sa verge raide, puis me demande de me mettre sur le bord du lit, le cul en l'air pour qu'il me prenne plus facilement.
Résigné à souffrir, je prends place, dans la position qu'il m'a indiquée. Felipe se penche et crache sur ma rondelle, puis il étale sa salive, la faisant bien pénétrer dans mon trou. Le contact de ses doigts m'électrise. Par réflexe je serre les fesses. "Non, décontracte-toi... je ne vais pas te faire mal... au contraire, tu vas jouir du cul comme jamais..." Je sens sa queue pousser ma rondelle et s'introduire doucement. Felipe s'arrête, permettant à mon cul de se relâcher et faciliter ainsi la pénétration. La sensation d'avoir un très gros calibre dans le cul est de plus en plus forte, mais pas vraiment douloureuse. Felipe est maintenant couché sur moi, sur mes fesses. Son corps chaud touche le mien. Il continue à pousser, faisant entrer en moi les derniers centimètres de sa verge. "Tu as mal ?" "Un peu, mais ça fait rien : c'est trop bon de sentir ta bite dans mon cul..." "Tu vois... t'avais peur... elle est toute rentrée... Relâche-toi, pour que tu la sentes bien... " Et Felipe commence alors à me ramoner le cul, entrant et sortant sa bite, faisant claquer ses couilles contre mes fesses."En vérité, ça me fait mal, même si c'est bon de se sentir possédé par un beau mâle. Je me mets à gémir de plaisir et de douleur à la fois. Felipe, comme excité par mes gémissements redouble la force de ses coups de reins. Il s'arrête parfois et, en faisant des cercles avec son bassin, me fait bien sentir qu'il me possède, que je suis sa femelle, que sa bite traverse mon rectum au plus profond. "Te gusta, putita ? (= ça te plaît, petite pute ?) Has entendido lo que es un verdadero macho cubano ? (= Tu as compris ce que c'est un vrai mâle cubain ?)". Felipe me ramone le cul comme ça pendant bien cinq ou six minutes.
Il est déchaîné. Puis il s'arrête, pousse à fond sa queue et se met à râler. Je sens quelque chose de chaud dans mon rectum. J'ai compris : il est en train d'éjaculer... Puis il sort sa queue, me la montre : la capote est pleine de sperme. "Quieres tragar mi lechita ? (= tu veux avaler mon sperme ?). Hay putos que son locos por tragarla (= il y a des pédés que ça rend dingues de l'avaler)" "Tu veux que je reste encore avec toi pour te baiser une deuxième fois, ou je me douche ?" "Non, je crois que je vais me doucher aussi. Regarde j'ai déjà joui moi aussi." Et je lui montre la tache de jute qui a mouillé le drap sous moi." "T'as joui toi aussi ? T'as aimé, alors ?" "Aimé, adoré ! tu veux dire. J'avais peur quand j'ai vu le calibre de ta queue, mais tu baises comme un dieu, Felipe ! Tes copains sont aussi doués que toi ?" "Tous les Cubains nous baisons comme des dieux. Mes potes ont une queue un peu moins grosse que la mienne, mais ils ils niquent bien et jutent des litres de sperme eux aussi..." Il se met à rire. "Si tu veux, samedi soir, après demain, comme ça on peut rester toute la nuit, on fait ça tous les trois, tu nous suces, on te baise et on te jute sur la gueule et sur le corps. Un bain de sperme, c'est très bon pour la peau !!" Et il éclate de rire. "Sérieux ? On ferait ça où ? Tu crois que le vieux, il nous laissera entrer tous les quatre ensemble ?" "On connaît un autre endroit, c'est plus cher, le type demande 20 dollars pour la chambre, mais c'est mieux qu'ici et on peut dormir sur place... Enfin, dormir, toi non parce qu'on va te baiser et te démonter le cul toute la nuit !"
Et j'ai relevé le défi. J'ai donné rendez-vous aux trois jeunes mâles, pour une nuit de folie, le samedi, une nuit que je raconterai une autre fois.
Rafael
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