Depuis longtemps je voulais entrer chez un vrai coiffeur pour hommes. Comme vous avez dû le constater vous-mêmes, il y en a de moins en moins. On ne trouve plus maintenant que des salons mixtes; et le plus souvent c'est une coiffeuse qui y coupe les cheveux aux hommes Or, les femmes n'ont jamais appris à faire les coupes de cheveux masculines, et, personnellement, je ressors toujours déçu de ces salons. Dans ma ville, depuis quelques années, les coiffeurs pour hommes ont quasiment disparu; en vérité, seuls les anciens salons ont fermé; mais il y en a de nouveaux, tenus par des coiffeurs arabes, experts en coupes afro ou bien rasées sur les côtés, comme les affectionnent les jeunes rebeux et autres lascars. Pour aller au boulot, je passe tous les jours devant un de ces salons, ouvert depuis un ou deux ans, et précisément tenu par un beau mec rebeu, la quarantaine, bien viril, dont la clientèle est presque exclusivement d'origine maghrébine. Je ne manque pas, à chacun de mes passages, de jeter un coup d'oeil à l'intérieur du salon, sur les clients qui attendent leur tour, mais aussi sur le coiffeur, dont le physique ne me laisse pas indifférent. Je me dis que je devrais un jour y entrer, que je ne peux pas y être moins bien coiffé que dans un salon mixte, et qu'en plus je pourrais, une fois à l'intérieur, me rincer l'oeil à loisir...
Samedi dernier, j'ai enfin osé entrer. Il était déjà plus de18 heures. C'était un peu tard, mais j'ai tenté le coup. Le coiffeur terminait une coupe et avait un client en attente. Il m'invita à m'asseoir : "Je termine avec monsieur, après c'est le tour de Nabil et puis je vous prends." Je m'installe à côté de celui dont je connais maintenant le prénom. Nabil est un beau mec, la vingtaine à peine, avec un jogging adidas noir, et des baskets vert fluo. Tout à fait le genre qui me fait fantasmer, bien viril et mignon à la fois. Il a allongé ses jambes, ce qui fait ressortir son paquet, bosse bien tentante, mais qu'il ne doit laisser toucher que par ses meufs. Très vite, c'est son tour. A peine, le précédent client sorti, le coiffeur baisse le rideau métallique du salon. "Je ne vous séquestre pas... n'ayez pas peur... c'est juste pour ne pas avoir à refuser d'autres clients... le samedi y'a des gens qui se pointent après 7 heures !... Vous sortirez par la porte de derrière."
Pendant toute la coupe de Nabil, je n'ai pas quitté des yeux la superbe tête du jeune rebeu. J'aurais voulu être à la place du coiffeur, raser avec adresse ses cheveux sur les côtés, sculpter le haut de son crâne pour y laisser une bonne épaisseur frisée, poser ma main sur son épaule pendant que le rasoir taille en pointe ses pattes sur les tempes. Je vois dans la glace devant lui sa belle gueule, ses lèvres épaisses, ses joues quasiment imberbes. Si ses traits n'étaient pas aussi masculins, il a encore une tête d'ado. Vraiment superbe le jeune rebeu. Pendant toute la coupe, coiffeur et client se sont parlé, tantôt en arabe, tantôt en français. Ils ont échangé sur le boulot, la famille : apparemment le coiffeur connaît bien Nabil, il est peut-être originaire du même coin de Tunisie. Le coiffeur l'a charrié sur les femmes, laissant entendre que Nabil était un chaud lapin... Pour m'associer à la conversation, le coiffeur s'est retourné et m'a interrogé : "Pas vrai, qu'à son âge, on peut faire l'amour plusieurs fois par jour ?... Et lui, je vous le garantis, il se prive pas...!!" Ne sachant pas comment répondre, j'ai commencé par sourire puis ai ajouté : "C'est sûr... à son âge... on a des ressources !" Nabil, satisfait, a souri de mon commentaire.
Quand est arrivé mon tour, Nabil, pourtant prêt, au lieu de quitter le salon, reste assis et se plonge dans la lecture d'un numéro de Auto/moto. Confortablement installé dans mon fauteuil, protégé par une blouse en nylon qui me couvre entièrement, je peux détailler les faits et gestes de mon coiffeur. Très vite je suis rassuré sur son professionnalisme : son coup de ciseaux est sûr, sa façon de se déplacer autour de moi dénote une grande expérience. Il a un beau visage, des lèvres pulpeuses lui aussi, ses doigts sont longs et épais, très soignés. Il porte une tunique courte, qui laisse voir tout le bas de son corps. Son jeans serre bien ses hanches, son cul, bien ferme, et surtout son énorme paquet, qui exerce sur moi une irrésistible attraction... On ne doit pas s'ennuyer à déballer sa marchandise... A un moment, il appuie son paquet sur ma main droite posée sur le bras du fauteuil. Juste un frôlement de quelques minutes, mais je peux sentir son sexe mou s'écraser sur le revers de ma main. Est-ce fortuit ? Ou bien s'agit-il d'un geste volontaire ? Passant de l'autre côté, la même chose se reproduit sur ma main gauche. Mais cette fois, son paquet est plus dur, c'est certain... Plus de doute, il me fait tâter sa queue pour m'exciter. Mais je ne bouge pas, ne retire pas ma main, ne fais aucun geste qui pourrait lui faire croire que ça me gêne. Sans doute encouragé par mon absence de réaction, le coiffeur appuie à nouveau son paquet sur ma main : j'en suis sûr, il bande, je sens nettement la raideur de sa tige... Nabil ne serait pas derrière moi, que j'aurais pris son paquet à pleine main et l'aurais caressé sans vergogne. Le coiffeur me paraît soudain très imprudent de m'exciter à deux mètres à peine de quelqu'un de ses connaissances et dont l'allure me fait supposer qu'il n'est guère branché par les mecs...
Tout en continuant sa coupe, mon nouveau Figaro continue son manège, frottant de plus en plus fort son paquet contre ma main. Le doute étant définitevement levé, et malgré la présence de Nabil, je commence à défaire un à un les boutons de sa braguette... Sa queue trop à l'étroit dans son jeans commence à apparaître dans la fente. Il porte un slip rouge... D'une main, il dégage sa bite, qui, comme un ressort me saute à la gueule. Il bande comme un âne. S'il fait çà c'est qu'il ne craint rien de Nabil... Peut-être même ont-ils fait l'amour ensemble et le jeune connaît les goûts sexuels du coiffeur... Je prends l'énorme chibre raide dans la bouche et commence une pipe endiablée. Les bruits de succion font lever les yeux de Nabil du magazine qu'il tient devant lui : "Putain, les mecs ! ne vous gênez pas !... c'est chaud ce soir au salon !" Rien de plus clair : Nabil n'est pas vraiment choqué par le spectacle... "Allez Nabil, sors ton zeb... le client suce comme un chef... donne-lui aussi le tien." Le jeune rebeu ne se le fait pas dire deux fois : debout devant moi, il baisse son jogging et son boxer en même temps et me tend un sexe encore mou mais de taille déjà exceptionnelle au repos ! Il s'est rasé le pubis : sa bite et ses couilles en sont mieux mises en valeur. Je laisse un peu la queue du coiffeur pour goûter celle de Nabil. Une bonne odeur de mâle vient immédiatement me chatouiller les narines. J'adore. Très vite sa bite gonfle dans ma bouche, au point que je dois me contenter de pomper son gland et le bout seulement. Elle est bonne : j'enduis de salive le reste de sa tige pour mieux l'avaler. Il gémit de plaisir. Le coiffeur, tout en se branlant, commente : "T'as vu comme il suce bien... Fais-toi aussi lécher les couilles : tu vas voir comme c'est le kif !" Nabil a de belles boules oblongues, à la peau cuivrée. Tout en les gobant l'une après l'autre, j'appuie sur son périnée. Cette pression sur cette partie située entre l'anus et les parties génitales a pour effet, je le sais, de faire bander les mecs plus fort. Je vois la tige de Nabil par en-dessous ; il a un chibre énorme, épais, d'une vingtaine de centimètres, au moins. La circoncision donne une nuance bicolore à sa bite et la rend encore plus attirante... Le jeune rebeu est de plus en plus excité. Il tire sur ma blouse, me l'enlève, glisse sa main droite dans ma ceinture, derrière, entre la chemise et le pantalon. Il arrive à toucher mes fesses. C'est mon cul qui l'intéresse : je défais ma ceinture pour lui faciliter les choses; ses doigts glissent le long de ma raie et s'arrêtent sur mon trou. Un doigt me titille... Sans arrêter de sucer sa bite, je me lève pour qu'il me doigte mieux. Son majeur me triture la chatte, ça m'excite autant que lui, je sens que je vais me retourner pour lui donner mon cul et qu'il me prenne comme une chienne. C'est là que le coiffeur intervient ; "Laisse Nabil, laisse-moi, s'il te plaît, c'est moi qui le nique..." Sans discuter, le jeune rebeu recule laissant la priorité à son aîné. Je m'appuie alors sur le bras du fauteuil et tends docilement mes fesses au coiffeur. Il a sorti une capote et du gel d'un tiroir. Bien équipé, il place la pointe de sa queue dans ma raie; il passe plusieurs fois son gland bien dur dans ma fente, s'arrêtant une seconde ou deux sur le trou, comme s'il hésite à me pénétrer. Mais je sais que c'est pour augmenter mon désir d'être pris... Il me pénètre doucement, doucement, aidé par le gel dont il m'a enduit le trou. Je sens sa grosse bite s'enfoncer lentement en moi et suis étonné de ne pas avoir plus mal. Les Rebeux, habituellement, sont plus brutaux quand ils enculent; mais mon coiffeur s'avère être plein d'expérience. Ses va et vient accompagnés d'une respiration très sonore me remplissent d'aise. J'aime être possédé de cette manière, sans violence, mais pleinement. Je sens bien sa queue dans mon cul et passant mes bras derrière mon baiseur, j'appuie sur ses fesses pour l'inviter à me prendre le plus profondément possible...
Nabil est un peu en retrait, se malaxant la bite et les couilles pour ne pas laisser son organe se ramollir. Je me dis que quand le coiffeur aura lâché son jus, le jeune le remplacera et me fera encore plus jouir du cul ! Je le vois mettre une capote, l'enduire de gel... Il semble pressé de prendre son tour ! Moi aussi je meurs d'envie de sentir sa bite me pilonner. Mais à mon étonnement, sans que mon enculeur laisse sa place, Nabil se colle derrière lui et commence à le niquer ! Incroyable ! Et avec çà, aucune protestation du coiffeur. Ce n'est sans doute pas la première fois qu'il se fait mettre par le jeune rebeu. Dans cette nouvelle configuration, c'est Figaro qui va donner le rythme, s'empalant à reculons sur la queue de Nabil et enfonçant alternativement la sienne dans mon cul. On va jouer ainsi au petit train un bon quart d'heure, jusqu'à ce que le coiffeur, après un gémissement nous signalant son orgasme, s'effondre épuisé sur sur moi. Nabil n'a pas encore joui et va continuer à le pilonner une bonne dizaine de minutes. Je ne bouge pas. Bien sûr j'aurais préféré me faire prendre par le jeune, ou même assister à sa performance d'actif dans le cul du coiffeur. Un râle de vrai mâle annonce que le jeune est en train de lâcher son jus. Aucun des trois ne bouge, le coiffeur et moi une bonne et grosse bite bien enfoncée dans notre cul. Quand Nabil décide de déculer, suivi du coiffeur, je regarde les capotes qu'ils viennent de retirer de leur zob : à ma surprise, c'est celle du coiffeur qui contient le plus de jus : un sperme bien blanc, apparemment très épais. Le foutre de Nabil est plus transparent. Il a dû baiser une meuf dans la journée, ou bien il s'est branlé, ce qui explique une performance moins spectaculaire que celle à laquelle je m'attendais. Excité par tout ce qui vient de se passer, je m'approche du lavabo et me branle. Je ne vais pas tarder à lâcher ma semence, une série de belles giclées, sous les yeux intéressés des deux Arabes. Mon sperme coule le long des parois du lavabo. J'ai bien joui et suis satisfait d'avoir montré que j'en avais plein les couilles moi aussi.
Le coiffeur me tend une serviette propre pour que je me nettoie. Nabil, qui à l'évidence connaît bien la maison, va se servir lui même. Il se lave la queue sous le robinet, la savonne longuement avant de se rincer. Une fois séché, il remonte son boxer puis son jogging. Je contemple la superbe bosse sous laquelle se cache à nouveau ce sexe que j'aurais tant aimé recevoir entre les fesses. Le coiffeur semble subitement reprendre ses esprits : "Assieds-toi, il faut que je termine ta coupe..." Pendant que Figaro me donne les derniers coups de ciseaux, Nabil est allé prendre à la caisse une carte du salon et un stylo à bille. Il écrit quelque chose, puis me tend la carte : "Tiens, si t'as envie de me revoir, c'est mon portable..." Puis, il fait une bise sur la joue du coiffeur, me serre la main et sort par la porte de derrière. Je tiens précieusement la carte dans ma main, pas question que je la perde... il est trop bon ce jeune mec ! Le coiffeur m'encourage presque à le contacter : "Hein, t'as vu... il est super sympa Nabil ?... T'as vu quel beau garçon il est ! Et en plus super bien monté !" Le tutoiement nous est venu naturellement : "T'as raison, c'est un superbe jeune mâle... Mais, dis-moi, t'avais déjà baisé avec lui ?" "Bien sûr..., quand il vient se faire couper les cheveux, chaque fois, on fait l'amour... c'est sa façon de me payer..."
Vraiment cette première expérience chez un coiffeur arabe aura dépassé toutes mes attentes. C'est bien coiffé et le cul légèrement endolori que j'ai quitté le salon, par la porte de derrière, à neuf heures du soir passées... Par dessus le marché mon nouveau Figaro m'a fait cadeau de la coupe !
Rafael
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