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Amsterdam

Ce week-end à Amsterdam commence mal. Il pleut et la température ne doit pas dépasser 7 ou 8 degrés. Pas de veine; en choisissant de passer ce week-end d'avril à Amsterdam, je comptais passer du bon temps dans les bras d'un beau marin bien membré, et chaud comme ceux de la chanson de Brel !... Mais avec cette pluie, le projet semble tomber à l'eau, sans jeu de mots... Personne dans les nombreux jardins de la ville et peu de monde dans les rues, bien que nous soyons un samedi. Seulement quelques familles sorties pour des achats; quant aux mecs seuls, que je croise sur le trottoir, ils sont tous emmitouflés et "imperméabilisés" !... Sous les parapluies, c'est tout juste si j' entrevois leurs belles gueules. Pas moyen, a fortiori de mater, sous les épaisseurs de tissu, leurs petits culs ou leurs paquets... Après avoir visité pas mal de sex-shops, dont certaines exclusivement gay, mais où aucun client n'a attiré véritablement mon attention, je traîne maintenant désespérément dans la rue...

Une enseigne signale l'entrée d'un ciné porno. Je m'avance dans le large couloir donnant sur la rue. J'essaye de déchiffrer l'écriteau en flamand, placé au-dessus de la caisse. Je finis par comprendre qu'une salle projette un film hétéro et qu'une autre un film homo. Le billet est valable pour la journée et donne accès aux deux salles. Je me décide à entrer. Le caissier, un mec sans intérêt, m'indique que les salles sont à l'étage. Je prends l'escalier : le premier palier donne sur la salle hétéro. Je continue de monter. Un rideau épais et lourd, d'un velours sombre à la couleur indéfinie, donne sur la salle. J'écarte le rideau : la salle est petite, une trentaine de fauteuils, pas plus. Une odeur assez forte, mélange de désodorisant et d'effluves humains me saisit dès l'entrée. Ma vue s'adapte peu à peu à l'obscurité. Il n'y a que trois ou quatre spectateurs assis, assez éloignés les uns des autres. Je m'assois sur un fauteuil de la dernière rangée, près de l'entrée. Le film est en anglais, mais pour l'instant les images ne me paraissent pas particulièrement excitantes. Je scrute un peu mieux la salle; je m'aperçois que sur un côté de l'écran, un rideau comme celui de l'entrée, est régulièrement soulevé et des ombres passent entrant ou sortant de la salle contiguë. Je suis intrigué par ce va et vient incessant. Je veux savoir... je me lève et me glisse derrière le rideau. Je découvre une salle d'une trentaine de mètres carrés, dont l'unique éclairage est un rayon lumineux, de ces rayons qui rendent phosphorescents les vêtements blancs ou très clairs, comme dans certaines boîtes de nuit. Contre les parois de la salle, des banquettes. Et dans un coin, un mec assis en train de sucer deux bites : celles de mecs debout devant lui. Deux autres mecs, assis de chaque côté du suceur, se branlent en regardant le spectacle... En tournant la tête, je découvre qu'il y a une autre scène intéressante : un jeune mec, aux cheveux blonds assez longs, est en train d'enculer un autre mec du même âge, qui penché en avant, le pantalon tombé sur ses chevilles, s'appuie sur la banquette pour mieux recevoir la bite de son baiseur. Beau spectacle tout ça ! Pas mal cette salle, une espèce de dark-room, mais avec l'avantage d'être zébrée d'éclairs de lumière, ce qui permet aux acteurs comme aux voyeurs de se rincer l'oeil et de garder la pression !

Je reviens dans la salle de projection, je sais maintenant ce qui se passe dans ce coin si fréquenté ... Je pourrai toujours me joindre plus tard aux festivités... Je reviens sur mon fauteuil du dernier rang, position stratégique pour observer tout ce qui se passe dans la salle, et apprécier l'allure et l'âge approximatif des nouveaux clients qui entrent...
Sur l'écran, deux robustes blacks sont en train de s'ébattre sur un lit. Mais on se demande s'ils sont en train de faire l'amour ou s'il s'agit d'un match de lutte. On dirait des jumeaux tant ils se ressemblent. Ils sont quasiment nus ne portant chacun que le même petit slip rouge, plus excitant que pudique, tant leurs attributes masculins y semblent à l'étroit... Les slips rouges se détachent bien sur leurs peaux noires, saines, brillantes de sueur. Leurs épaules, leurs bras, leurs torses, leurs abdominaux, leurs bas-ventre, leurs cuisses, tous se mêlent, s'affrontent, se serrent, se frottent, dans un combat sans merci, érotique, viril, qui les rend irrésistibles, terriblement excitants à mes yeux... Je suis vraiment fasciné par ce que je vois sur l'écran, comme sûrement d'ailleurs tous les autres spectateurs, qui pendant quelques minutes ne bougent pas de leur fauteuil, et préfèrent le film au spectacle vivant et à l'action de la salle d'à côté...

À un moment, l'un des blacks, celui qui le premier a réussi à renverser son pote, glisse sa main sous le triangle de tissu rouge qui lui sert de slip et se débarrasse de cet accessoire inutile... Le vainqueur est complètement à poil, mais étant de dos il ne nous montre que ses fesses... Dignes d'une statue grecque : deux globes fermes, bourrés de muscle et creusés d'une énorme fossette qui les rend encore plus attirants. La fente qui les sépare est profonde mais ne semble pas prête à s'écarter... Dans la tentative de dominer encore plus son jumeau adversaire, le black vainqueur redresse son fessier... On peut entrevoir, mais quelques secondes seulement, la paire d'énormes boules dont il est doté. Il doit avoir, j'imagine, une tige en rapport... J'ai hâte qu'il se retourne ! Son partenaire, de face, semble n'avoir d'attention que pour ce que je meurs d'envie de voir : le splendide sexe de son jumeau ! Il ouvre la bouche comme pour inviter son vainqueur à lui tendre son morceau de chair. Nous, spectateurs, nous ne voyons toujours pas la bite et les couilles du vainqueur. Mais je suis excité comme si je l'avais sous mon nez : je bande comme un âne, et si je me laissais aller, je sortirais ma queue et me branlerais... Mais je veux rester le plus longtemps possible dans cet état de fièvre sexuelle actuel, pour me défouler plus tard. Je me contente de caresser ma queue à travers le pantalon et de m'imaginer soupesant dans le creux de ma main chacun de ces énormes testicules noirs, couverts de poils frisés, que l'on voit maintenant en gros plan sur l'écran ! Que ça doit être bon de les gober un par un, comme si on voulait les faire fondre sur la langue !... De si belles boules, rondes et gonflées, qui doivent contenir des torrents de sperme... Et cette bite qu'avale son pote, quel goût succulent elle doit avoir !... J'adore le parfum des mâles noirs... incomparable ! Il faut dire que je kiffe les blacks : ce sont des baiseurs vraiment professionnels, capables de tous les exploits physiques pour prendre leur pied, mais toujours soucieux du plaisir de leur partenaire. Je suis la scène sur l'écran, en bavant presque... Je bouge au rythme de la bande sonore. Je frotte mon cul sur le siège du fauteuil, comme s'il s'agissait du bas-ventre du bel étalon noir. J'imagine que sa queue va bientôt se faire un chemin entre mes fesses et me pénétrer sauvagement...

Mon manège n'a pas dû passer inaperçu, car quelqu'un vient de s'asseoir à côté de moi. Je le regarde, il me regarde et sourit en me faisant un clin d'oeil. Il n'a pas eu de mal à remarquer que le film m'avait mis dans un état d'excitation avancé... Il écarte les jambes jusqu'à toucher ma cuisse droite. Je tends la main vers son paquet ; il porte un jeans, la bosse de son entrejambe est énorme et dure. Il défait bouton après bouton, écarte les deux pans de sa braguette et me laisse faire... Ma main se glisse dans la fente... Surprise : il ne porte pas de slip et je touche tout de suite son chibre, à la peau douce, bien raide. J'arrive à sortir son pieu; il est super bien monté le mec, une tige d'au moins 17 ou 18 cm, et avec ça épaisse... Je regarde un peu mieux sa gueule ; des images plus claires du film éclairant son visage me permettent d'apprécier son âge : il doit avoir à peine la trentaine. Il a une belle gueule virile, le crâne rasé. Je suppose à son allure qu'il est plutôt actif... ou peut-être bi. Je prends à deux mains sa bite et la caresse comme un petit animal, un petit chat, de haut en bas... Il se laisse faire, passe un bras sur le dossier derrière moi. J'écarte encore plus les pans de sa braguette et fais sortir ses couilles : tout son instrument est maintenant dehors, un bel objet sans poils (il se rase). Je caresse ses boules. Il a une belle paire, lui aussi doit bien juter ! Je reprends sa tige et passe le bout de mes doigts de la base à la pointe, un gros gland que je décalotte doucement. L'excitation que mon voisin n'arrive pas à cacher est la preuve de mon savoir-faire.

Sur l'écran les deux jumeaux noirs continuent leurs ébats. La bite du vainqueur entre et sort de la bouche de son compagnon avec une régularité de métronome. Ce qui me surprend, c'est que le pompeur arrive à avaler toute la queue de son jumeau. Il faut avoir une gorge particulièrement profonde ou un entraînement de pro pour arriver à bouffer dans sa totalité pareil morceau de chair !! J'aimerais tellement avoir cette capacité lors des fellations dont je fais profiter mes partenaires de sexe. Le contact de la queue de mon voisin et le spectacle à l'écran me mettent dans un état de plus en plus intenable. Je sors ma bite et me branle de la main gauche, pendant que de la droite je masturebe mon voisin. Je sens une goutte de précum qui sort de son méat ; je l'étale sur tout son gland. La peau de sa bite coulisse mieux. Je joue avec son gland, l'enferme sous le prépuce, je sens qu'il force pour se libérer, je l'écrase entre mon pouce et mon index, le serre violemment. Mon voisin lâche un petit gémissement de douleur, mais me laisse faire... Je prends sa tige à pleine main et lui fais subir les mêmes "supplices"; je serre entre mes doigts sa queue raide, la tords dans tous les sens. Pas de résistance, mon voisin se laisse faire, à peine tente-til de retirer son sexe de ma tenaille quand la douleur doit être trop insoutenable. Il ne proteste pas, se contentant de gémir de temps en temps. Ça lui plaît, c'est clair... Je reprends son gland que j'oblige à rentrer sous son prépuce. J'ai du mal, et je dois interrompre ma branlette, pour faire pression avec mes deux mains sur son beau coquillage de chair rose, récalcitrant... Mon voisin, appréciant sûrement mes jeux sur son sexe, redresse son fessier pour que je triture encore plus à mon aise son gros chibre. J'en profite pour baisser à mi-cuisses son jeans et bien dégager l'ensemble de son appareil génital. Je l'ai là, à quelques centimètres de mon visage : je peux en apprécier la beauté et la taille. C'est un superbe trois pièces de mec du Nord, à la peau claire, aux poils sans doute blonds avant rasage. Ce serait beau de le voir à côté de celui des blacks qui continuent à s'ébattre sur l'écran et dont je ne me préoccupe plus depuis quelques minutes. Je malaxe la bite de mon Batave, en tous sens, serrant même ses couilles, sans toutefois trop les écraser... Je ne veux pas le torturer, même si apparemment les jeux sado-maso ne le rebutent pas trop. Moi, je suis pas fan... Je relâche un peu la pression sur son gland... Le prépuce s'ouvre à nouveau et laisse s'échapper le beau coquillage rose... Je plonge dessus et le prends en bouche... Un vrai délice, qui sent le mâle... Je me régale à le lécher, à glisser le bout de ma langue dans le fente de son méat... Le Batave frissonne de plaisir ; je suis content de moi et vais pendant une bonne dizaine de minutes lui donner une leçon de fellation dont il se souviendra longtemps, je crois.

Des bruits de succion venant de l'écran m'incitent à me redresser. Les deux blacks sont en train de se sucer dans un 69 endiablé. Le deuxième n'a même pas enlevé totalement son petit slip rouge; il s'est contenté de le baisser un peu. Ces garçons sont aussi beaux l'un que l'autre ! Deux forces de la nature, deux véritables sculptures, deux étalons mâles aux lignes parfaites et aux sexes d'exception. Ils se bouffent le sexe, avalant tige et couilles avec avidité, comme des affamés de baise... Puis subitement l'un, le "perdant" du match du début, lâche la queue de son pote, enlève totalement son slip, se met à quatre pattes et tend son cul à son "vainqueur". Celui-ci entreprend aussitôt une reconnaissance approfondie du terrain... Sa langue fouille dans la raie profonde de son partenaire, son nez disparaît même entre les fesses. Puis il écarte les deux globes pour mieux faire apparaître la rondelle tant désirée... C'est un superbe oeillet noir, bien fermé, qui ne semble pas avoir été exploré très souvent. La langue parvient à l'ouvrir un peu, et à s'enfoncer... avant de laisser la place à un doigt, le majeur, de l'explorateur. Le doigt pénétre facilement... totalement... Le black à quatre pattes remue son popotin comme si cette incursion dans son rectum le remplissait de bonheur. Un deuxième doigt s'enfonce... tourne avec le premier pour mieux dilater l'orifice du passif. Les deux doigts cessent de bouger. Sans les retirer, le black dominateur se place à genoux derrière son partenaire et retirant sa main la remplace aussitôt par son énorme chibre, raide comme une trique. Il n'a pas enculé son pote progressivement mais enfoncé son pieu d'un coup, brutalement. Le cri de douleur du passif réveille les spectateurs, sans doute en train de se masturber en s'imaginant à sa place... Mais, comme si la souffrance était jouissive, le black passif redresse son cul ; on dirait qu'il veut que la bite de son pote le pénètre davantage encore, qu'elle remonte son intestin plus avant. C'est beau de voir ça; et mon voisin, que je continue de masturber, n'en perd pas une miette lui non plus ! La vision de ce qui se passe à l'écran, ajouté au contact de la queue chaude et dure de mon voisin, m'enflamme littéralement Les deux noirs sont en train de baiser comme des bêtes, lâchant cris et gémissements, pendant que mon voisin bande comme un bouc en rut...

Les deux blacks changent de position, ils se sont mis sur le côté. Nous faisant face maintenant, on voit bien la bite du passif : énorme, longue, épaisse, au diamètre régulier de la base à la pointe. Lui non plus n'est pas circoncis et son gland, plus clair que la tige, apparaît à moitié dans la fente de son prépuce. Il doit, comme son "jumeau" avoir une bite de 22 ou 23 centimètres ! Et quelles couilles lui aussi !! Je donnerais cher pour me faire casser le cul par un démonte-pneu comme le sien ! Pour l'instant c'est lui qui se fait démonter le cul : l'actif a passé ses bras de chaque côté de sa poitrine et le serrant comme s'il craignait qu'il s'échappe, l'encule avec fouge, parfois même brutalement, comme s'il voulait le transpercer de part en part avec sa queue !

Le passif lâche soudain un gémissement long et plaintif, un "ahhhhhhhhhhh...." continu. Que c'est bandant ! Et, sans pourtant avoir touché sa queue depuis le début de sa pénétration, celle-ci expulse plusieurs jets d'un liquide blanc et épais qui va s'étaler sur son bas ventre et son torse. C'est l'enculé qui, jouissant du cul, a éjaculé le premier. Un beau sperme de qualité qui doit être délicieux à prendre en bouche... L'orgasme de son partenaire passif déclenche immédiatement une réaction similaire chez le black actif. Il sort sa queue du cul de son pote, se branle à toute vitesse et arrose le visage de sa "femelle" de sa crème blanche. Lui aussi avait les couilles pleines ! Le passif recueille du bout de ses doigts le foutre qui s'est étalé sur son visage et, avec soin, se lèche doigt après doigt pour ne rien gaspiller de la semence offerte par son partenaire.

Mon voisin, comme moi, ne tient plus, et tous les deux, en choeur et côte à côte, nous nous branlons comme des dingues. Il va juter le premier, recueillant son sperme dans un Kleenex. Je n'ai pas encore réussi à atteindre le climax qui me permettra de me vider. C'est pourquoi je me masturbe de plus en plus frénétiquement; ma bite me fait mal tellement je bande... Mon voisin se baisse et la prend dans sa bouche. Il n'en avale que le bout, ce qui me permets de continuer à me l'astiquer pendant qu'il me suce. La chaleur de sa bouche et mon excitation à son comble vont avoir enfin l'effet recherché : je lance plusieurs jets au fond de sa gorge; mon voisin ne proteste pas, au contraire... il me bouffe le poireau comme s'il n'avait plus mangé depuis une semaine... Je me vide bien les couilles et suis ravi d'avoir déchargé dans une bouche aussi accueillante...  Après s'être essuyé les lèvres, mon voisin se lève, me fait un baiser et disparaît. Je vois qu'il soulève le rideau et quitte la salle. Le film des deux blacks est terminé, mais la salle ne se rallume pas vraimen : seules deux ampoules se sont allumées sur le côté. Je ne quitte pas mon fauteuil et même si mon excitation a totalement disparu, je me dis que je vais attendre quelques minutes. Peut-être un autre film va être projeté : il n'est que 5 heures de l'après-midi. Et puis, j'ai envie de faire un tour tout à l'heure dans la petite salle "dark-room"... Je niquerais volontiers un des petits jeunes qui baisaient ensemble quand je suis entré... Un petit cul tout blanc d'un Néerlandais ça me plairait bien... Je sens que rien que d'y penser ma bite reprend du volume... Finalement, ce week-end à Amsterdam aura été plutôt réussi

Rafael

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