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HISTOIRE

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Puerto Vallarta

Un paradis latin

Quand on m’a parlé de Puerto Vallarta la première fois, je n’arrivais même pas à situer sur une carte cette station balnéaire mexicaine. On me précisa qu’elle se trouvait sur la Côte Pacifique, qu’elle s’était développée très rapidement et était devenue une destination à la mode, notamment après qu’y fut tourné le film La Nuit de l’iguane avec Richard Burton et Élizabeth Taylor. Je me mis sans plus attendre à rechercher davantage de renseignements. Partout on vantait la beauté de ses plages, la qualité de la température, l’authenticité du village mexicain d’origine, et, la variété des établissements gays qui s’y étaient implantés ces dernières années, faisant de ce petit port un haut lieu des vacances, synonyme de totale liberté sexuelle. Il n’en fallait pas plus pour que je fasse de ce Puerto Vallarta inconnu ma prochaine destination hivernale. Je cherchai aussitôt, sur internet, un hébergement face à l’Océan Pacifique. Des promotions inattendues me firent arrêter mon choix sur l’Hôtel « Buganvillas », un cinq étoiles parfaitement situé

À mon arrivée, épuisé par un long voyage et la longue attente à l’escale de Mexico, mais ravi d’avoir quitté le froid parisien pour la douceur de cette côte mexicaine, je fus très satisfait du luxueux confort de l’hôtel, et du charme des personnes rencontrées en peu de temps. Qu’il s’agisse du personnel hôtelier, tous de beaux et solides garçons mexicains, souriants, aux commentaires parfois à double sens vantant les mérites de la station, la vie nocturne intense qui faisait sa réputation. Ils insistaient sur l’ambiance amicale, décontractée, qui régnait dans tout l’hôtel, autour des piscines comme dans les bars et les deux night-clubs de l’établissement. Mais qu’il s’agisse aussi des clients du « Buganvillas », des familles et en grande majorité de séduisants Américains du Nord, ayant fui eux- aussi les frimas de leurs cités, pour prendre du bon temps au bord du Pacifique mexicain

Je ne mis que quelques minutes pour ranger mes affaires dans ma vaste chambre, avec balcon, au 8ème étage de l’hôtel. Je passai un slip de bain, genre speedo, vert fluo, pressé d’aller voir de plus près cette clientèle, si sympathique selon le personnel qui nous avait accueilli. Je me dirigeai vers les nombreuses piscines, aménagées sur la plage, face à l’océan. Je fus orienté vers une piscine en particulier, où, selon le garçon de plage qui me renseigna, « vous ne serez pas dérangé par les cris des enfants… c’est réservé aux clients adultes… que des hommes». Et en effet quand j’arrivai au bord du bassin je ne vis qu’une clientèle masculine ! Un employé, jeune et athlétique, me tendit un drap de bain et m’indiqua une chaise longue où je pourrai m’allonger pour profiter du soleil. Il me tendit aussi une carte de restaurant, me précisant que si je désirais déjeuner on m’apporterait sur place ma commande. Vraiment, en guise d’accueil, je ne pouvais m’attendre à mieux

Le « garçon de piscine » m’a vraiment tapé dans l’œil. Il devait aller régulièrement au gymnase, le bougre, car son corps était magnifiquement sculpté. Son boxer, avec le logo de l’hôtel, semblait ne pas être à sa taille, tant ses fesses étaient moulées et son paquet écrasé par le tissu. Beau spécimen, vraiment. Et je ne pus m’empêcher de le regarder s’éloigner vers le tabouret très haut où, protégé par un parasol, il passait le plus clair de son temps. Autour de la piscine, il n’y avait en tout qu’une dizaine de clients, tous comme moi allongés sur leur transat. Mon premier coup d’œil ne s’arrêta sur aucun : ils me parurent peu attrayants physiquement, bedonnants pour la plupart, au teint rougeaud, au visage congestionné après une exposition au soleil sans doute trop brutale et trop prolongée pour des touristes du nord du continent. Ce n’était donc pas au bord de la piscine que j’allais trouver chaussure à mon pied… c’était clair ! Je fis signe au « garçon de piscine » et lui passai commande d’une salade composée et d’une bière très fraîche. En le voyant de si près, cela me confirma que c’était auprès des autochtones que je devais plutôt orienter mes recherches… La première journée, hélas, allait être un échec total. Après mon déjeuner au bord de la piscine, je remontai dans ma chambre, enfilai un pantalon et une chemise, redescendis au bord de la plage et entrepris de marcher le long de l’océan. On passait en fait d’une plage privée d’hôtel à la plage privée d’un autre hôtel. Au bout de ma prospection, heureusement, il y avait le « Malecon », la promenade de l’ancien village. Je trouvai l’endroit plutôt agréable. Je revins donc vers l’hôtel, en traversant le grand jardin avec ses piscines, je croisai un employé de l’hôtel, peut-être un serveur. Un très beau garçon, à la peau foncée, avec de grands yeux noirs magnifiques. Je lui parlai de mon tour le long de la plage, puis osai lui demander s’il pouvait m’accompagner... À ma grande surprise, sans en connaître la raison, il accepta de me suivre. Une fois dans la chambre, je lui dis que son charme me fascinait… et tendis la main vers sa poitrine. Il me sourit, ce qui le rendait encore plus craquant. Très poliment, il écarta mon bras, se refusant à aller plus loin. Il m’expliqua qu’il était au travail et qu’il ne m’avait suivi que parce qu’il pensait que j’avais « un problème technique »… Chou blanc ! Sentant la fatigue du voyage, je m’allongeai sur mon immense lit et m’endormis

Le jour suivant, reposé, j’étais dans un état d’excitation rare, surtout en croisant dans l’hôtel autant de clients mâles bien gaulés et d’employés, presque tous jeunes adultes, au sex-appeal irrésistible. Plutôt que de perdre mon temps au bord d’une piscine, auprès de vieux gays ventripotents, je sortis de l’hôtel et me dirigeai vers le village et son superbe Malecon. Par hasard, je me retrouvai dans le quartier gay de la station, où pullulaient les bars aux drapeaux arc-en- ciel et les boutiques avec tenues masculines coquines. Au passage, un établissement attira mon attention, le « Spartacus ». Avec un nom pareil, il ne pouvait qu’être intéressant… Assis à la terrasse d’un café, je cherchai, à l’aide de mon smartphone, à me renseigner à son sujet. J’appris ainsi qu’il s’agissait d’un sauna très recommandé, dont la clientèle était exclusivement masculine et homosexuelle

Après ma promenade de découverte des beautés et ressources de Puerto Vallarta, je rentrai à l’hôtel, me reposai, puis pris une douche, dînai dans l’un des restaurants de l’hôtel, me rinçant l’œil en matant les serveurs, tous plus mignons les uns que les autres, et me dirigeai ensuite vers le village. Je fis un tour du quartier gay ; beaucoup de bars étaient bondés et les clients, tous des hommes, parlaient haut, riaient, chauffés par la bière et les alcools forts qu’ils ingurgitaient sans modération. Je pris prudemment un schweppes à un bar dont le comptoir donnait directement sur la rue. Près de moi il y avait quelques couples mâles, très éméchés, avec qui j’aurais volontiers entamé la conversation. Mais mon anglais déplorable m’en dissuada. Je me décidai à aller plutôt tenter ma chance dans ce si attrayant Spartacus. J’étais assez nerveux. À l’entrée, il y avait un petit guichet où se trouvait un type, dont on ne voyait que les mains. Il encaissait et ouvrait la porte. Aussitôt on se trouvait en face d’un escalier, au sommet duquel une autre personne tendait une clé de casier ainsi qu’une serviette et un paréo, qu’il fallait porter à la ceinture. Les règles des lieux interdisant en effet de déambuler entièrement nu, mais toujours le paréo noué à la taille. Dommage. Je dois reconnaître que je suis assez tenté par l’exhibitionnisme… Ça m’excite à bloc ! Bref, je me mis à poil, rangeai mes affaires dans mon casier. Je ne manquai pas de jeter un œil sur quelques superbes garçons qui, hélas, avant de s’en aller, se changeaient devant moi. Ils avaient de superbes sexes que j’imaginai avec gourmandise dressés et durs. Ils ne paraissaient en rien gênés, et se rendant compte que je les regardais, me sourirent puis sortirent

Il fallait d’abord que je fasse un tour des lieux. Le Spartacus est vraiment un très bel établissement, de trois étages si je me souviens bien. Partout, à disposition des clients, des préservatifs et des berlingots de lubrifiant. Le premier local où j’entrai était un jacuzzi où barbotaient trois ou quatre clients, la cinquantaine, pas très attirants. Plus loin, je découvris une dark-room, puis un couloir labyrinthe, des douches, un sauna, une salle sado-maso avec plusieurs sièges-balançoires, une salle où étaient projetés des films porno, et enfin, en terrasse, une petite piscine. Après avoir fait le tour des installations, je revins vers le jacuzzi. J’enlevai mon paréo et me « mis à l’eau ». Les trois mecs présents me regardèrent quand je fus à poil et que j’avais les couilles à l’air. Ils ne parlaient pas, feignant de se relaxer les yeux fermés. Quelques minutes plus tard, alors que moi aussi, yeux fermés, tête appuyée contre la paroi, tentai de me décontracter, je sentis que l’un des trois, frôlant ma peau, commençait à caresser ma jambe. Très vite ce furent trois pieds qui caressaient ma cuisse

J’étais excité, mais j’aurais préféré quelque chose de différent, de plus osé

Je sortis du jacuzzi et entrai dans la dark-room. On entendait des murmures, des gémissements sourds de tous côtés. Mais, en toute logique, on n’y voyait goutte ! Je sentais des tas de mains qui soulevaient mon paréo cherchant mes attributs… J’écartai systématiquement toutes ces mains baladeuses. Je saisis à mon tour la cuisse d’un type totalement à poil. D’une voix grave il me demanda si je suçais. Je pris sa queue dans la main : elle était de bonne taille et bien dure. Avec l’autre main je caressai le corps de son propriétaire. Il était bien foutu, musclé. Je devinais que c’était un mec jeune, très viril. Je me baissai, pris en bouche sa queue et commençai à le pomper avec avidité. Sa bite sentait fort, une odeur de mâle propre. J’en pouvais plus ; j’essayai d’avaler le maximum de son membre, mais vu sa taille, je ne pouvais en prendre en bouche que les trois-quarts. De mon côté je bandais comme un bouc, excité comme rarement par ce sexe dur et long, qui dégageait un parfum enivrant. Je sentis contre ma joue le gland d’une autre bite qui attendait son tour. Je quittai quelques secondes la première pour goûter la seconde. Elle me parut délicieuse elle aussi, même si la première dégageait une odeur bien plus forte et étourdissante

Au bout d’un moment, je chuchotai aux deux mecs que moi aussi j’aurais bien aimé me faire sucer ; sans attendre ils se baissèrent et se mirent au boulot

Pendant que l’un me pompait la queue, l’autre, écartant mes fesses, mettait sa langue dans mon trou et me bouffait le cul. J’étais aux anges, suçant de mon côté et me faisant sucer ! Je restai au moins un quart d’heure dans cet échange de bons procédés, puis, l’un des deux abandonnant la partie, je sortis à mon tour de la dark-room pour poursuivre mes découvertes. Je me dirigeais vers la salle de télévision où l’on projetait des films pornos. Elle était vide. Je montai sur la terrasse avec piscine. Il y avait, assis les pieds dans l’eau, trois garçons très mignons probablement tous des latinos. J’essayai d’entamer la conversation. Ils me répondirent gentiment, en souriant, mais insistèrent sur le fait qu’ils appartenaient à un groupe de cinq, tous mexicains... Je compris et renonçai à aller plus loin. Je redescendis, et passant devant la salle de télé, je vis, sur les gradins où s’assoient les spectateurs, un gars très grand, blond, la trentaine, au torse puissant et aux belles cuisses musclées. Je vins m’asseoir à proximité. Je pus me rendre compte qu’il avait les yeux bleus et un fin duvet roux, frisé, sur la poitrine

Il regardait l’écran et se caressait sous le paréo. J’aurais voulu être plus près, mais je me mis sagement à regarder le film. C’est lui qui s’approcha de moi, et, dans son américain incompréhensible, me parla. Je devinai qu’il voulait baiser, grâce à ses gestes et qu’il me montrait sa bite déjà dure ; elle devait mesurer dans les 16 cm. Je soulevai mon paréo pour qu’il voie la mienne et ses 20 cm. Ses yeux brillèrent. Il s’approcha encore de moi et saisit des deux mains mon membre. Je bandais moi aussi. Il soupesa mes couilles et me regarda dans les yeux, faisant une moue de satisfaction. La chaleur de ses mains me chauffait à mort et ma queue semblait être sur le point d’exploser. Je m’étendis sur les gradins offrant franchement mon entrejambe à la convoitise du Ricain. Le mec se pencha et prit dans sa bouche mon gland qu’il dévora comme un affamé. Puis léchant le tronc de ma bite, descendit jusqu’à mes couilles qu’il prit l’une après l’autre dans sa bouche, les baignant abondamment de salive. Sa langue poursuivit son parcours vers mon périnée. Le Ricain, curieux, souleva mon bassin, sa langue arrivant jusqu’à mon anus. Il s’employa alors à me lécher la rondelle, tentant par de petits coups de langue de pénétrer mon orifice, qui résista barricadé par mon sphincter. Il était comme fou le mec ! Il me laissa toucher sa queue et ses couilles qui, vu la taille du bonhomme, auraient pu être de taille supérieure, mais je les tripotai avec grand plaisir tout de même

Le Ricain était surexcité et gémissait de plaisir. Délaissant un instant mon cul, mes testicules et ma queue, il se releva et vint me rouler une pelle. Tout en m’embrassant, il me marmonnait des choses en américain que je ne pigeais pas

De mon côté, je le caressais partout. C’était un beau mâle avec un corps musclé, des abdos bien formés, des bras et des cuisses de sportif. Je me régalais à explorer son corps, à pincer ses tétons, à mordre ses lèvres. Je sentais qu’il était au bord de l’infarctus. Il chercha à nouveau à me sucer la bite, à me lécher les couilles. Puis s’arrêtant il me montra son cul et me supplia de l’enculer. Je n’allais pas laisser passer pareille occasion. Je descendis les gradins, pris dans une corbeille un préservatif et du lubrifiant. Le mec gémissait déjà de bonheur. À genoux sur un gradin, il me tendit ses fesses. Quel cul superbe, tout blanc, dépilé

Je déchirai un coin du berlingot de lubrifiant et étalai son contenu dans la raie et le trou du Ricain. Puis j’enfilai une capote. Je m’aperçus que plusieurs mecs entre temps étaient entrés dans la salle télé. Trois d’entre eux, bite sortie, se branlaient en chœur devant le spectacle qu’on leur offrait le Ricain et moi! Alors que, passant mon gland dans la raie du Ricain, j’essayais de le préparer à l’imminente pénétration, un des trois « spectateurs » s’approcha, tenant sa bite raide dans la main ; il la porta au niveau de la bouche de mon partenaire. Le Ricain, sans hésiter, avala la moitié de la queue qu’on lui tendait, la suçant comme un agneau la mamelle de sa mère. Sa pipe était sonore et contribuait à exciter tous les présents. Ne m’y attendant absolument pas, je me rendis compte qu’un autre participant, se plaçant sur un gradin au-dessus de moi, me tendait sa queue pour que je l’avale aussi. J’ouvris la bouche et pris tout ce que je pouvais de cette belle bite bronzée. Je me rendis compte comme ça que je suçais probablement un Mexicain au membre de compétition. Sa queue sentait fort le mâle et ce parfum ne pouvait que m’exciter davantage. La coordination entre les quatre acteurs était parfaite : j’enfonçais et retirais ma queue du cul du Ricain, tout en suçant le mâle mexicain, pendant que la salope ricaine suçait dans le même rythme le quatrième partenaire. Personne ne regardait plus le film projeté sur le grand écran. Peu à peu la salle s’était même remplie d’autres spectateurs, attirés par la scène vivante que nous leur offrions

Des gémissements contribuaient à l’ambiance et même, par moments, on entendait des râles de jouissance déclenchés par les orgasmes des uns et des autres. Plusieurs mecs s’embrassaient goulûment. Quand j’eus lâché mon foutre dans le cul du Ricain, je me reculai pour voir mon sperme ressortir de sa rondelle et couler sur ses cuisses. J’étais fier de l’avoir ensemencé avec ma jute. Son anus ne resta que quelques instants ouvert, très vite un autre mec, bandant à mort, planta sa bite dans le cul du Ricain. On entendit qu’un petit cri de douleur, très vite l’orgie reprit pour le plus grand bonheur de l’assistance. Le public ayant encore augmenté, je compris que le Ricain allait recevoir au total une dose majuscule de foutre

Avec quelques-uns des mecs venus assister à nos ébats, j’échangeai quelques mots, leur confirmant que le cul du Ricain était délicieux et que j’avais joui comme rarement. Certains m’offrirent de les enculer à leur tour. Je les remerciai, expliquant qu’ayant déjà joui aussi dans la dark-room, je ne pouvais pas les satisfaire ce jour-là. Je me dirigeai vers les douches, puis vers les casiers pour me rhabiller. En arrivant je tombai sur un garçon super beau, de 27 ou 28 ans, qui rangeait ses affaires. Il me sourit, ce qui m’incita à en savoir un peu plus sur lui. Il s’appelait Kenneth, mais malgré ce prénom, était mexicain. Il venait d’arriver en vacances à Puerto Vallarta. Je lui donnai la carte de mon hôtel, le numéro de ma chambre et celui de mon portable, l’assurant que je serais ravi de le revoir. Le lendemain matin, à peine réveillé, Ken m’appela. On se donna rendez-vous devant une superette, proche de l’hôtel, facile à trouver. À l’heure convenue, je le vis arriver de loin. Il portait un tee-shirt blanc, qui collait à son torse, et un short très serré. Comme il avait retroussé les « jambes » de son short, on pouvait voir ses cuisses musclées et ses gros mollets. En me serrant fort la main, il souriait et je pus voir sa sublime dentition. Vraiment ce gars aurait pu séduire n’importe quelle fille ! Mais quelle chance qu’il aime les garçons ! On ne savait pas très bien quoi se dire. Je lui proposai de venir visiter ma chambre au « Buganvillas ». On entra dans l’hôtel, et sans aucun problème nous prîmes l’ascenseur pour monter à ma chambre. Ken la trouva superbe et, depuis le balcon, compta les piscines. « Il y en a quatre ! C’est incroyable… Moi, je ne suis pas dans un hôtel aussi luxueux ! » On s’assit tous les deux face à face dans le salon. Je le regardais avec envie

Son corps de latino était comme doré par le soleil. C’était spectaculaire… cette peau très lisse, totalement imberbe. Par endroits on devinait ses muscles à fleur de peau. Abdominaux, poitrine, cuisses, tout en lui attirait le regard et tout me paraissait parfait. Contrairement à notre rencontre au Spartacus, où Ken s’était montré discret, à la limite assez froid, il était maintenant enjoué et disert

Sortant du frigo-bar deux bières Corona, je vins m’asseoir à son côté et commençai à caresser son visage, puis son torse à travers le tee-shirt. Ken, de son côté, me caressait la cuisse et me souriait. Il ne nous fallut que quelques secondes pour que nos bouches se rapprochent et que nous nous embrassions fougueusement

Ken sentait bon. Je sentais que je bandais de plus en plus. C’est lui qui commença à retirer son tee-shirt. Ce fut le signal de départ, et, une fois totalement nus tous les deux, on se dirigea vers la chambre. On s’allongea, enlacés, sur le lit. Son corps était parfait, un corps jeune, à la peau lisse, avec seulement une différence de couleur due au maillot de bain. Son ventre et ses fesses étaient moins foncés que le reste que ses parties intimes. Cette couleur dorée de sa peau, que n’ont que certains garçons latinos, me ravissait. Ses seuls poils étaient ceux de son pubis, parfaitement toilettés et formant un triangle noir et frisé. Sous cette toison, sa queue, encore molle, de 17 ou 18 cm environ, avec un gros gland à moitié recouvert par le prépuce. Dessous, ses testicules, très bruns, pendaient : c’étaient de grosses prunes ovales, sûrement emplies de jus

Je ne pus m’empêcher de m’écarter un peu pour apprécier l’ensemble : torse, abdos, bras, jambes, fesses… Ufff ! Tout me paraissait si parfait, si beau, si attirant

Ken tendit ses lèvres vers les miennes et on mêla nos langues avec passion

Il essaya d’avaler ma langue, en l’aspirant fortement. Je fis la même chose ; je trouvai le goût de sa salive délicieux. On s’embrassa un bon moment, puis Ken descendit vers ma poitrine, suça mes tétons, mit le bout de sa langue dans mon nombril. Il n’alla pas plus bas, mais de ses deux mains saisit ma verge et l’approcha de sa bouche. Je bandais dur ! Il commença alors à me sucer tout doucement, comme un bébé s’allaitant au sein de sa mère. Appuyant derrière sa tête j’imprimai le rythme de ses succions… Je poussais parfois ma bite pour qu’elle pénètre davantage sa bouche, arrêtant toutefois ma pression dès je voyais que Ken s’étouffait. Je ne voulais pas le faire souffrir, juste qu’il savoure ma queue, dans sa totalité, de haut en bas. Je m’aperçus que du précum s’échappait de la fente de mon gland

Je lui demandai alors de s’allonger. Je voulais prendre possession de son corps. Je commençai en léchant son cou, ses aisselles, puis descendis peu à peu jusqu’à sa bite et ses couilles. Je le retournai pour explorer son cul avec ma langue. Ken était de plus en plus excité et me dit qu’il adorait ce que je lui faisais! Il me confia que la veille, au Spartacus, il n’avait rien pu faire. Qu’il avait même dû se fâcher avec un vieux qui voulait à tout prix l’enculer. J’ai compris qu’il avait envie de se rattraper et lui proposai de faire un 69. Je fus surpris par l’enthousiasme de mon jeune amant. Aussi étonnant que cela paraissait, il m’avoua qu’il n’avait jamais fait un 69 de sa vie ! Cette première le rendit encore plus audacieux. Ken avalait ma queue, suçait mes couilles comme un forcené. Je crus que son excitation allait me faire éjaculer plus vite que je ne voulais ! De mon côté, je me donnais aussi au maximum pour que mon jeune partenaire garde le meilleur souvenir de son premier 69. Alors que je suçais ses couilles, Ken avait écarté ses cuisses et je pus même voir à un moment la raie de ses fesses, la rondelle aussi, appréciant par avance la pénétration qui suivrait et me semblait indispensable pour que le jeune Mexicain garde en mémoire pour toujours notre rencontre

Ken accepta sans discuter ma proposition et je mis un zèle particulier à lubrifier son anus, le pénétrant d’un doigt, puis de deux, pour mieux préparer son rectum et dilater ses sphincters. Il me sembla, vu la fermeté de ses muscles anaux et le faible diamètre de sa rondelle, que le jeune Mexicain n’avait pas été souvent pénétré. Je l’interrogeai à ce propos et il me confirma qu’habituellement c’est lui qui enculait ses partenaires et qu’il se considérait actif. Je pensai que je devais donc aller doucement, ne le posséder que graduellement, avec des pauses destinées à ce que ma queue prenne sa place peu à peu, sans le faire souffrir. Mais à peine avais-je forcé la porte du paradis, Ken gémit très fort me suppliant d’arrêter. Je m’arrêtai en effet, sans retirer toutefois mon gland, qui lui avait déjà trouvé sa place… Quelques secondes de pause suffirent à ce que Ken accepte d’aller plus loin. Sans doute grâce à la parfaite lubrification de son rectum, je repris la pénétration et pus sentir enfin mes couilles toucher ses fesses

Le garçon gémissait. Je compris que la douleur était devenue supportable et que Ken en réalité ronronnait de bonheur. Peu à peu mes va et vient relancèrent ses plaintes ; mais je ne n’en tins pas compte, pilonnant son cul de plus en plus fort. Je demandai plusieurs fois à Ken s’il aimait, et il avoua que ma queue le faisait jouir du cul, comme jamais il ne l’aurait imaginé. Encouragé par sa remarque, j’accélérai mes coups de reins. On entendait mes couilles taper sur ses fesses et Ken qui gémissait au même rythme. Je l’enculais depuis une bonne dizaine de minutes quand je sentis que j’allai éjaculer. J’en avertis Ken. Il arrêta de gémir et un moment plus tard me dit : « Siento algo caliente dentro de mi… Te veniste ? = Je sens quelque chose de chaud dans mon intérieur… Tu as joui ? » - « Oui, mon amour… tu le sens… j’ai éjaculé… Ne bouge pas…. C’est un moment merveilleux ! Je t’aime, tu sais, Ken. » Je ne sais pas s’il a compris, mais il ne bougea plus pendant plusieurs minutes. Quand je retirai ma queue molle de son cul, plusieurs coulées de sperme sortirent de son cul. J’étais fier d’avoir possédé ce superbe garçon. Et apparemment Ken était heureux de m’avoir offert son cul

On se reposa, allongés côte à côte sur le lit

Beaucoup plus tard, reposés, nous reprîmes nos ébats. Je proposai à Ken de le prendre cette fois en position missionnaire. Je garde encore en mémoire l’image de nos deux corps s’interpénétrant. Le jeune Mexicain, les pieds posés sur mes épaules, et moi l’enculant de face, tandis qu’il se branlait comme un forcené. Il n’avait pas éjaculé de la journée. Aussi quand il se lâcha ce furent de puissantes giclées qui se répandirent sur nos deux corps. Ken n’arrivait plus à respirer tant l’excitation était à son comble. Moi j’étais au bout de mes forces : deux orgasmes dans la même journée ! Tous les deux on se mit à lécher nos spermes, savourant ce jus merveilleux dont les corps mâles nous gratifient

Après un repos silencieux, Ken me proposa d’aller nous doucher ensemble. Le plaisir de savonner son magnifique corps fut un autre grand moment. Quand nous retournâmes nous allonger sur le lit, on resta silencieux longtemps. Puis Ken me proposa de passer le reste de nos vacances ensemble. Il changea d’hôtel et vint partager ma chambre. Quelle chance vraiment j’ai eue de rencontrer ce garçon ! Sans lui je n’aurais certainement pas pu garder de Puerto Vallarta cet incroyable souvenir

Rafael

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