L'histoire qui suit est celle de la découverte de mon homosexualité il y a un an. Je m'appelle Phil, j'ai 19 ans, 1,75m pour 65 kg, châtain clair, cheveux bouclés mi long, yeux verts, pratiquant le tennis, le VTT et le footing, je suis assez fin bien que musclé par mes heures de sport, pas franchement timide et plutôt populaire.
Fils unique, issu d'une famille assez stricte et vivant dans une petite ville de 8 000 habitants environ, j'ai grandi loin des tracas des grandes agglomérations, avec toute une ribambelle de potes (garçons et filles), pas de crise d'adolescence, de rébellion ou autre problème. Dès le collège puis au lycée, je suis sorti uniquement avec des filles mais aucune relation n'a duré longtemps et, à 18 ans, j'étais toujours puceau. Uun pote m'ayant expliqué qu'à force de se branler on éprouve un plaisir incroyable. J'ai essayé, j'ai joui sans savoir ce que je faisais mais j'ai recommencé le plus souvent possible.
J'ai surpris mon prof de tennis, Jérôme, en train de sauter une nana dans les vestiaires, j'ai remarqué son corps sec, musclé avec quelques poils noirs sur le torse et un belle bite d'au moins 19 cm par 4 cm dont il savait très bien se servir et qui faisait hurler de plaisir sa partenaire, j'ai bandé immédiatement, je me suis branlé en les regardant, Au moment où il a éjaculé dans sa chatte, il m'a vu et m'a fait un clin d'oeil, j'ai moi-même éjaculé dans ma main et j'ai bu mon sperme, il m'a vu. Depuis, sachant que j'avais cours de tennis, je me branlais comme un fou à chaque fois et j'avalais ma semence. Mon prof, Jérôme, n'a jamais reparlé de cet épisode mais je suis devenu son " meilleur " élève.
L'an dernier, je l'ai invité pour mes 18 ans. Le jour de mon anniversaire, il m'offre une place pour la finale du tournoi de Roland Garros, je n'en revenais pas. Je lui ai sauté au cou et lui ai fait une bise pour le remercier, étant collé à lui pendant quelques secondes, j'aurais juré sentir sa queue grossir (et la mienne aussi !), nos regards se sont croisés, il y a eu quelques chose que je n'ai pas compris. Une fois seul dans ma chambre, je me suis branlé quatre fois d'affilée et j'ai bu mon sperme à chaque fois.
Une semaine après, nous partions en voiture pour assister à la finale tant attendue (j'ai joui tous les jours et plusieurs fois en attendant le départ!). Jérôme a un frère qui loue un appartement en banlieue, n'étant pas là, il nous le prête pour l'occasion. Jérôme me dit qu'il n'y a qu'une chambre et un lit. Je m'en fiche, juste le fait que je ne vais pas pouvoir me branler, je vais bien résister, l'enjeu en vaut la peine.
Le départ est prévu à 5h du matin (5 h de route), Jérôme passe me prendre, nous discutons de tout, surtout de tennis et des pronostics mais, au bout d'un moment, il me parle de sexualité.
- " As-tu déjà baisé une meuf ? "
- " Non mais je suis sorti avec beaucoup "
- " Oui, je t'ai vu avec pas mal de filles, dur, tu dois te branler souvent. "
- " C'est sûr, tous les jours. Je ne veux pas forcer mes copines mais j'ai vraiment envie. "
Là, il me met sa main sur la cuisse, remonte vers ma bite, me regarde et me dit :
- " Je me souviens de cette salope que baisais quand tu nous as surpris dans les vestiaires, je t'ai vu jouir et avaler ton sperme. J'ai compris que c'est moi qui t'ai excité, tu sais je suis bi et je crois que tu aimes les hommes, aucun hétéro n'avalerais son sperme. En plus, j'ai vu la façon dont tu me mates depuis ce jour-là, je vois bien que je t'excite. La preuve, dis-moi que tu n'as pas bandé quand je t'ai offert ton cadeau la semaine dernière ? ".
J'étais complètement scotché sur mon siège, sa main droite me massait la cuisse et remontait vers ma bite et me branlait à travers mon jean. Je bandais comme un âne, je devais bien admettre qu'il avait raison, j'avais eu envie d'être à la place de la salope dans ces vestiaires et de me faire démonter la chatte. Tout d'un coup je m'entendis lui dire :
- " Gare-toi où tu peux, j'ai envie d'être ta salope et te vider les couilles ".
Il s'est garé dans un chemin un peu plus loin, il a ouvert la braguette de son jean en me fixant, sa bite était dure, il a placé sa main derrière ma tête et m'a forcé à descendre vers son chibre. Je me suis laissé faire, j'ai ouvert la bouche et ce premier gland est entré dans ma bouche. Le goût était un peu salé, agréable, j'ai salivé dessus et sa main m'a enfoncé jusqu'à la garde. J'ai cru étouffer, eu envie de vomir mais il m'a maintenu comme ça quelques secondes et je me suis habitué, je l'ai entendu pousser un râle de plaisir. En levant les yeux, je l'ai vu jeter la tête vers l'arrière et fermer les yeux. Il s'est repris, m'a fixé et m'a dit :
- " Je me doutais que tu es une sacrée salope mais je ne pensais pas que tu savais faire les gorges profondes, je kiffe grave, continue comme ça. ".
Ça m'a excité encore plus, j'ai entamé des va-et-vient. Dès que je me retrouvais sur son gland, ma langue en faisait le tour plusieurs fois, lui arrachant des râles de bonheur, je salivais tellement que ça coulait sur ses couilles ; du coup, je lâchais sa bite pour gober ses couilles. Elles me paraissaient pleines et très érogènes vu les cris de bonheur que Jérôme a poussé. Il me dit :
-" J'ai envie de te dépuceler là, maintenant, je sens que tu es prêt ".
Il me remit sur mon siège, se coucha sur moi, m'embrassa en enroulant sa langue avec la mienne, inondant ma bouche de sa langue et de sa salive, il bascula mon siège vers l'arrière. J'étais allongé, son corps d'homme en rut sur moi. D'un geste, que je ne pus contrôler, il me déshabilla et, en un éclair, me mis sur le dos. Là, commença un cunnilingus dont je ne soupçonnais pas l'existence ; sa langue entrait en moi, remontait dans ma raie, me lubrifiait et me faisait gémir de plaisir. Je ne peux dire combien de temps cela a duré mais mon anus s'est littéralement ouvert. Il me mit un puis deux doigts et commença à aller et venir en moi. Je n'en pouvais plus, je bandais comme jamais, je gémissais comme une femelle en chaleur, comme celle qui se faisait baiser par mon prof quelques années auparavant.
-" T'en veux, espèce de pute, de salope. Tu vas prendre cher, faudra pas te plaindre, sale allumeuse ".
Je l'ai senti se relever et se coucher sur moi, sa langue à sucé le lobe de mon oreille, sa bite, dure et grosse, glissait dans ma raie. Son gland s'est positionné à l'entrée de mon anus, ses mains pétrissaient mes seins comme si j'étais une femelle. D'un coup sa bite est entrée en moi. Je n'ai pas hurlé, même si la douleur fut insoutenable, il est resté comme ça un moment pour que je m'habitue. Mon souffle était cours, puis de plus en plus régulierement, il a commencé à aller et venir doucement. Je gémissais de douleur et de plaisir, ses coups de butoirs accéléraient de plus en plus, son souffle se faisait plus fort, sa langue me léchait la joue, il me malaxait les seins de plus en plus violemment, je criais comme cette femelle que je l'avais vu troncher ; enfin j'étais à sa place, c'est de ça dont je rêvais depuis sans que je me le sois avoué. Il s'en rendit compte :
" Sale pute, tu aimes ça la bite, c'est de ça dont tu rêves depuis toujours, c'est pour ça que tu te branles tous les soirs, t'es une passive, je vais te donner ce que tu veux ".
Une de ses mains vint branler ma bite tandis que l'autre caressait mes seins, au bout de longues minutes, j'ai joui dans sa main, il m'a fait boire mon sperme. Tandis que ses va-et-vient se poursuivaient et accéléraient, je l'ai soudain senti se bloquer au fond de moi, sa queue s'est durcie en moi et un liquide chaud s'est déversé dans mes entrailles pendant qu'il poussait un râle de bête pendant de longues secondes. J'étais dépucelé, fécondé et homosexuel, j'étais moi !
Nous nous rhabillèrent, poursuivirent le voyage et arrivèrent à Paris.
Si vous voulez connaître la suite du week-end, faite-moi part de vos remarques.
Phil
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