Épisode précédent
Vas-y, baise moi, j'en peux plus, j'ai besoin de ta bite là, toute suite ". Mon cul était cambré et trois de ses doigts allaient et venaient en moi facilement depuis un bon moment dans mon trou chaud et humide.
Il faut dire que j'avais passé une bonne partie de l'après-midi avec un énorme plug dans le cul. Rentrés de la finale de Roland Garros, il m'avait plaqué dans l'escalier montant à l'appartement que son frère lui avait prêté, il avait descendu mon jean sur mes cuisses, s'était saisi du plug et m'avait sodomisé violemment pendant une dizaine de minutes. Au début, une de ses mains sur ma bouche m'empêchait de hurler puis, voyant que le plug coulissait parfaitement et que je me détendais, il a retiré sa main, m'a susurré à l'oreille des choses tantôt sensuelles, tantôt vulgaires faisant monter mon excitation. A un moment, j'ai senti une sorte de chaleur intérieure qui m'a envahi, des spasmes de plus en plus forts m'ont secoué, j'ai craché mon jus sur les marches sans m'être touché la bite et, en même temps, j'éprouvais un plaisir anal incroyable et nouveau. Jérôme a alors retiré le plug et m'a dit doucement : " Alors, ça fait du bien de jouir du cul ? Maintenant que tu sais ce que c'est, tu voudras retrouver chaque fois cette sensation intense et unique, c'est cela qui fera de toi une vraie salope ".
Nous sommes enfin entrés dans l'appartement, j'avais tellement transpiré que j'ai filé dans la salle de bains. En me lavant, j'ai touché mon trou que je ne reconnaissais pas tellement il était dilaté, je me suis même demandé s'il se refermerait un jour !
Il m'a chopé à la sortie de la douche, m'a jeté comme un sac sur le lit, il m'a embrassé, caressé, malaxé le cul. Il cracha une fois sur sa bite raide et une fois dans mon trou méga ouvert puis s'enfonça d'un coup jusqu'aux couilles. J'étais couché sur le ventre, la tête dans l'oreiller, le cul tendu pour accueillir mon amant, je n'attendais que ça. Lui était couché sur moi, une de ses mains me tenait la poitrine tandis que sa main droite me branlait, sa bouche était proche de mon oreille gauche, il m'embrassa dans le cou, me traita de salope et de vide couilles, je senti son souffle dans mes cheveux et j'entendis son râle de plaisir, ce qui me fit bander encore plus.
" Ramone moi, j'en ai besoin, je suis à toi, mon cul est à toi, encule moi comme une pute en chaleur. Dans les gradins, tout à l'heure, tu m'as promis que j'allais prendre cher, alors vas-y, tiens ta promesse ".
Il commença à me baiser avec une puissance et un rythme incroyables, sa bite sortait entièrement de mon cul et rentrait d'un coup au fond de moi à une vitesse phénoménale. Ses couilles et son ventre claquaient fortement sur mes fesses et, à chaque pénétration, je m'enfonçais dans le lit et je poussais un cri de plaisir en même temps que Jérôme, la violence de ses coups de bite faisait grincer le sommier de plus en plus fort, le lit bougeait au rythme de ses assauts, sa tête cognait contre le mur. Ce bruit, les grincements et nos cris résonnaient dans tout l'appartement, j'ai craint que le lit ne finisse par céder. Au bout de longues minutes, il est ressorti, m'a retourné sur le dos d'un coup, m'a relevé les jambes qu'il a calées sur ses épaules, s'est replanté en moi et a repris au même rythme. Ça faisait près d'une demi-heure qu'il me baisait quand il s'est planté au plus profond de moi pour y déverser, en 6 jets bouillants, tout le jus de ses couilles, en même temps que lui, j'ai éjaculé une bonne quantité de sperme sur mon ventre. Il a poussé un râle de bonheur, s'est écroulé sur moi, m'a embrassé puis m'a dit : " Putain, c'était trop bon, tu es fait pour te faire baiser, je vais m'occuper de toi le plus souvent possible. "
Quand je pense que le matin même, j'étais encore puceau, ne me posant pas trop de questions sur ma sexualité, je me contentais de me branler le plus souvent possible. Je lui fis part de ma réflexion, le remerciant pour le plaisir qu'il m'avait donné et pour tout ce qu'il m'avait appris sur le sexe depuis notre départ. Il m'a dit m'avoir longtemps observé et avoir compris que je suis fait pour donner du plaisir aux hommes mais, étant mineur jusqu'au mois dernier et en tant qu'ami de mes parents, il avait attendu patiemment son heure, il a souvent pensé à mon petit cul étroit à défoncer, c'est pour ça qu'il se montrait aussi sympa avec moi. Ces places pour la finale du tournoi de Roland Garros n'étaient qu'un prétexte pour être tous les deux et me baiser enfin.
Il avait réussi son coup puisque, depuis notre départ de Brive la Gaillarde à 5h 00 du matin, il s'était vidé les couilles 5 fois dans mon cul et dans ma bouche. J'étais rapidement devenu accro à sa bite, j'adorais maintenant me faire tirer et de recevoir son jus. Après mon dépucelage dans un chemin sur le trajet, il m'avait rebaisé dans les toilettes d'une petite aire d'autoroute, mon dos collé à la cloison, les bras autour de son cou, les jambes relevées enserrant sa taille, lui me pénétrant violemment à grand coups de bite, me soulevant et me fourrant sa langue dans la bouche ainsi que sa salive. Après avoir joui, il m'a reposé, m'a retourné face au mur, s'est agenouillé derrière moi et a recueilli, sur sa langue, son sperme. Il me l'a alors craché dans la bouche, un trip que j'ai adoré, son jus ayant un goût différent du mien, plus salé, plus âcre, mais si bon. Il a ensuite remonté mon pantalon, m'a caressé la queue jusqu'à ce que je jouisse le long de ma cuisse, ce qui a fait apparaître une auréole de sperme sur mon jean. Il a conclu en disant qu'il me préférait comme ça, souillé, puant le jus de mâle et dépravé car avant, selon lui, j'étais trop puceau et trop clean.
Son frère habite dans un immeuble récent à Meudon, un petit appartement au deuxième étage, nous y sommes arrivés vers 11h, la concierge était dans le hall :
" Bonjour Jérôme, à nouveau en vacances pour la finale ? Ça fait plaisir de vous revoir. "
" Bonjour Carine, c'est toujours un plaisir de venir, même si je repars épuisé à chaque fois ! Pierre a dû vous laisser les clés. "
Elle partit les chercher dans sa loge et, alors qu'elle revenait vers nous, Jérôme me mit la main au cul en titillant ma rondelle et me posa un baiser sur la joue. Je me sentais honteux et humilié mais excité.
" Vous avez de la chance pour le match de cet après-midi, la météo annonce du soleil mais pas trop chaud. Amusez-vous bien avec votre nouveau copain et pas trop de bruit cette nuit, je compte sur vous ".
Elle lui tendit le trousseau en faisant un clin d'oeil, j'aurais dû comprendre que je n'étais pas le premier qu'il ramenait mais, à ce moment-là, j'étais honteux et complètement sous le charme de ce mec ; en plus, une petite quantité de son sperme resté en moi venait de couler de mon trou et mouillait mon boxer et mon jean. Je ne voulais pas que la concierge aperçoive cette auréole et sente l'odeur, la tâche de jus séché sur ma cuisse suffisait largement, je me suis donc précipité dans l'escalier sans rien dire.
Arrivés dans l'appartement, il m'a ordonné de me dessaper, puis m'a baisé plaqué contre la porte, les voisins ne pouvant ignorer ce qui se passait dans cet appartement vu les cris de plaisirs que l'on poussait lui et moi et les bruits de la porte à chacun de ses coups de reins, il a éjaculé à nouveau dans ma chatte, j'ai joui sur la porte, il m'a demandé de lécher mon sperme, j'ai adoré.
Il a voulu prendre une douche pour se rafraîchir, pendant ce temps j'ai appelé mes parents pour les rassurer, j'ai dû abréger la conversation car il m'a appelé pour le sucer. Il bandait à nouveau comme un taureau, ça m'a excité, je l'ai rejoint tout habillé sous la douche, je l'ai sucé comme si ma vie en dépendait, il a fini par jouir dans ma bouche puis est sorti de la douche, je suis resté là, trempé, il m'a demandé de me finir tout en me doigtant, je l'ai fait en le regardant droit dans les yeux, il m'a demandé d'ouvrir la bouche et a craché quelques mollards dedans, je me suis branlé et j'ai joui sur mon tee-shirt déjà trempé. J'étais devenu une vraie fiotte et ça m'a plu.
Il était midi, on a mangé rapidement avant de partir à Roland Garros. Avant de quitter l'appartement, il a ouvert le tiroir d'une commode dans la chambre de son frère, il en en sorti un plug de 20/6 et m'a demandé de me le mettre dans le cul. Je l'ai fait devant lui sans discuter, j'ai vu que ça le faisait bander, il m'a mis une fessée qui m'a fait gémir de plaisir et de douleur, Il m'a dit que j'allais adorer ça. Il a sorti d'un placard un jean bleu très serré et m'a ordonné de l'enfiler, sans sous-vêtements, il m'a donné un tee-shirt blanc trop court qui me moulait le torse avec un gros coeur rose sur le devant, j'ai pu admirer une vraie salope dans la glace de l'entrée. Habituellement, j'aurais refusé de sortir comme ça mais là, loin de chez moi et de toute connaissance, je n'avais plus aucune inhibition. On est partis au tournoi, j'avais du mal à me tenir assis dans la voiture, j'appréhendais de devoir rester assis plusieurs heures sur un siège dur avec un truc pareil dans le cul. Jérôme avait nos places, quand nous sommes arrivés, il les a présenté en disant qu'il venait avec sa meuf, le mec qui vérifiait les billets m'a regardé en souriant et en disant : " bienvenue, j'espère que vous passerez un bon moment ", puis il m'a fait un clin d'oeil, j'avais un peu honte d'être humilié et exhibé comme ça. Jérôme m'a foutu une fessée pour me faire avancer, j'ai émis un petit cri, il a dit : " c'est à cause du plug, elle ne peut plus s'en passer ", le mec a eu un sourire vicieux et a répondu : " Toutes les mêmes ! ". Nous avons rejoints nos places, je me suis retourné, le mec me matait le cul et caressait son paquet, il a relevé les yeux et, voyant que je le regardais en lui souriant, a passé sa langue sur ses lèvres, j'étais terriblement excité.
Même avec un plug énorme qui me déchirait le cul et les fringues de pute que je portais, le match de deux heures qui opposa Djokovitch à Nadal m'a transporté de bonheur. La ferveur des 14 000 spectateurs du court Philippe Chartier qui vibraient au gré des points marqués par l'un ou par l'autre, qui applaudissaient à la fin des échanges après avoir retenu son souffle comme si personne ne voulait déranger ces deux géants, qui s'extasiaient à chaque geste technique parfaitement maîtrisé dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Au bout de 4 sets, Nadal imposait sa supériorité et célébrait sa victoire. J'exultais, debout en hurlant comme le fan que je suis de cet immense joueur. Jérôme était dans le même état que moi, il se pencha vers moi, me mit la main au cul, appuya sur le plug et me dit à l'oreille : " Il va falloir fêter ça, tu vas prendre cher ce soir ma salope ". Je crois que j'ai mouillé et que j'ai bandé direct dans mon jean trop serré, j'ai demandé à Jérôme de me ramener le plus vite possible à l'appartement pour qu'il puisse profiter le plus longtemps possible de la salope qu'il venait de faire de moi.
Phil
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