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Chapitre-7
Le maître venait de se connecter à une appli.
Il engagea la conversation et lorsqu'il fut sûr, il m'appela à ses côtés. Voici ce que je lus.
Le maître : il saura te satisfaire.
L'autre : Intéressant. J'aime quand c'est hot.
Le maître : Il sait se montrer docile.
L'autre : Je veux le fourrer jusqu'à la garde.
Le maître : C'est pas un problème.
L'autre : 22x6. Large et bien épaisse.
Le maître : Il va adorer.
L'autre : Je vais lui préparer le cul avec un gode.
Le maître : Tu verras comme il peut ouvrir son trou. Un délice.
L'autre : Ça m'excite grave. Hâte de le sentir autour de ma queue.
Le maître : Tu vas bien kiffer.
L'autre : Jus ?
Le maître : Langue, bouche, faciale. C'est toi qui décide.
L'autre : Tu donnes grave envie !
Le maître : Son cul se détend rien qu'à lire nos messages.
Le maître m'aida à me préparer puis nous partimes chez son nouvel ami.
La porte s'effaça sur un petit mec trapu, cheveux courts. Une bonne cinquantaine, dynamique et le regard vicieux.
Il nous fit entrer dans une pièce aux lumières tamisées, aussitôt il désigna un fauteuil pour le maître.
- Je vais mater mon esclave pendant que tu t'en occupes.
Le maître s'assit et ne bougea plus. L'autre posa sa main sur mon cul.
- Comment j'ai trop envie de me glisser là.
Il me déshabilla. Ses mains caressèrent mon corps. Je restais debout et laissais l'autre m'inspecter comme il le ferait d'un animal. Il m'ordonna de me tourner. Son regard lubrique me passait au crible.
- Écarte pour voir un peu.
Je glissai mes mains sur mes fesses et écartai les deux globes. L'autre passa ses doigts dans ma raie.
- Oh, comment ça donne envie de fendre cette rosette.
Je le sentis appuyer contre mon trou.
- T'es déjà bien souple, je vais pas avoir besoin de te préparer trop longtemps. Tu seras vite prêt.
- Oui monsieur.
Il poussa un doigt plein de salive en moi. Un doigt ferme. Inquisiteur. Un doigt qui alliait talent et savoir-faire.
- Mets toi à quatre pattes.
Je me laissai glisser sur le tapis, et m'installai en position. Mon maître était aux premières loges pour assister au spectacle.
L'autre se déshabilla. Il se tenait devant moi.
-Lève la tête. Je veux que tu vois ce que tu vas prendre.
Mes yeux se posèrent sur la queue énorme qu'il tenait à la main.
- T'as vu le gros morceau ?! Il est rien que pour toi.
-Oui monsieur.
- Tu vas le bouffer en entier. OK ?
- Oui monsieur.
- Parfait.
Il me regardait de ses yeux luisants et malicieux.
- Tire la langue... Ouais comme ça... Tu veux la goûter avant que je la mette dans ton cul ?
- Oui monsieur, s'il vous plaît.
- Allez, viens la chercher.
Je gobai le gland rose. La hampe glissa toute seule entre mes lèvres. Je suçais la friandise avec délectation. Je m'appliquais du mieux que je pus. Je voulais que le maître apprécie ma prestation.
- Dis donc, t'es doué.
- Merci monsieur.
Je branlais le monstre qui se tenait raide et droit dans ma main.
- Tu crois que tu pourrais faire un peu mieux ?
- Quoi, monsieur ?
- Mets la toute entière dans ta bouche.
J'ouvris grand et à mesure que j'avalais le gourdin, je pris une grosse inspiration,puis je poussai le gland.
- Ouais, vas-y, comme ça !
L'autre me tint la tête appuyée contre lui et m'obligea à garder sa queue un long moment dans la bouche. Puis il commença à me baiser la gueule. Il me pinça le nez, m'empêchant de respirer. Enfin, il retira sa verge puissante. Alors, je restai essoufflé.
- T'es un sacré toi. Sous tes airs de pas y toucher, tu m'as l'air d'être un bon bâtard.
- Oui monsieur.
L'autre rit alors qu'il caressait mes fesses.
Il cracha sur ses doigts et enduisit ma raie.
Il l'a flatta un moment puis il poussa un doigt.
- Ouais, tu te détends bien. T'as l'habitude, pas vrai ?
- Oui monsieur.
- Tiens, lèche mes doigts.
Je suçais les doigts qu'il me présentait. Puis il les posa contre ma rondelle. Il appuya légèrement, mon trou les goba. Il branla mon trou.
- Ouais, pousse bien, je veux que ton trou soit bien souple.
- Oui monsieur.
Et je poussais mon trou sur les doigts qui jouaient avec moi.
- J'ai un truc pour toi. Tu veux ?
- Oui monsieur.
- Dans ce cas, voilà pour ton cul.
Il déposa devant moi un de ces doubles godes, long de 50 cm avec un gland à chaque extrémité.
- Tu veux le sentir en toi ?
- Oui monsieur.
- Parfait. Tu l'auras voulu.
J'avais pu voir les formes généreuses du jouet, les beaux glands aux corolles parfaitement dessinées. J'en bavais d'envie. Très vite mon vœu fut exhaussé.
L'autre introduisit l'objet dans mon trou, la texture rigide du glande me surprit. L'autre caressait m'a rondelle à mesure qu'il y poussait le jouet.
- Oh si tu voyais comme c'est beau. Ton trou l'accueille super facile.
- Merci monsieur.
Puis l'autre fit glisser le gode. Je sentais mon trou s'ouvrir et le gode s'engouffrer de plus en plus loin en moi.
Je soupirais de bonheur. Et l'autre appréciait le spectacle.
- Tu sais que tu as un sacré morceau en toi ?
- oooh, je n'étais que murmure, hapé par le désir.
- Si si, j't'jure. Je vais l'enlever et le remettre, tu va voir.
Soudain, mon cul se sentit bien vide et ma rondelle délaissée.
- On y retourne, en douceur... Tu sens comme il part loin ?
- Oui monsieur.
- Ça fait du bien ?
- Oui monsieur.
- Je voudrais pousser encore un peu. Tu peux ?
- Oui monsieur.
L'autre jouait avec mon trou. Le gode souple et long filait en moi. Il allait et venait tel un serpent. L'autre s'amusait de me savoir à sa merci. Ses doigts cernaient ma rondelle et la baguaient alors que le serpent s'enfouissait encore plus loin.
Je n'étais plus que soupires et gémissements.
- Tu es à point, n'est-ce pas ?
- Oui monsieur.
- Tu veux une vraie queue dans ton cul ?
- Oui monsieur.
- Une grosse et bonne queue, pas vrai ?
- Oui monsieur.
Délicatement, l'autre me libéra de l'emprise du gode. Il le déposa devant moi et me montra fièrement la limite atteinte. Un bon 3/4 de la bête...
- Maintenant, on va voir si ton cul peut encaisser ça.
L'autre se tenait derrière moi, son gland buta contre ma rondelle. Instinctivement, je poussai pour lui ouvrir le chemin. Le gland, large et épais, élargit ma rondelle. Le souffle me manquait. Bien que l'autre eut préparé mon cul, sa queue était bien plus volumineuse que le gode.
- Allez, laisse moi entrer. Tu peux le faire.
- Oui monsieur.
- Ouais, comme ça. Tu sens que ton trou s'agrandit.
- Oui monsieur.
L'énorme engin m'écartelait le fion. J'avais l'impression d'un trop plein en moi. Puis, lentement, je m'habituais. L'autre bougea doucement, de légères ondulations. Le plaisir m'envahit.
- C'est bon, une bonne queue dans le cul ?
- Oui monsieur.
- Tu sais que je vais te ramoner sévère ?!
- Oui monsieur.
Les coups de rein se firent plus amples. Le géant me besognait et ma rondelle accueillait avec bonheur ce visiteur.
- Je veux que tu sentes bien toute la longueur de ma queue.
- Oui monsieur.
Plus l'autre me baisait, plus sa queue s'enfonçait en moi. Quand soudain, l'autre se coucha sur moi. Alors il murmura à mon oreille.
- Je suis tout entier dans ton cul.
- Oui monsieur.
Il soufflait sur mon visage. Il donna de légers coups de balancement.
- Ce cul... Ouah, il prend bien !
Tout à coup, l'autre se retira, puis renfouit son engin entièrement. Plusieurs fois de suite, il joua ainsi.
- T'aimes ça, un bonne bite qui rentre d'un coup dans ton cul.
- Oui monsieur.
L'autre me baisa en profondeur. Mon cul encaissait bien l'énorme manche. Mais lorsque l'autre se plantait intégralement en moi, que son pubis cognait contre ma raie ouverte, alors je pouvais retenir mes couinements.
- Elle est bonne la grosse queue de daron ?
- Oui monsieur.
- Elle te fait couiner.
- Oui monsieur.
- Creuse les reins, monte bien ton cul... Voilà, comme ça.
La hampe me pourfendit sauvagement. L'autre me ramona un bon moment. Parfois rapide, parfois profondément, mais toujours avec dextérité. Je gardais la même position sur le tapis, quand lui bougea. Il pénétra mon œillet sur le côté, et tenta une pénétration à revers. Celle-ci m'arracha des couinements.
- Oh monsieur, non, s'il vous plaît... Ah !
- C'est ça d'avoir les yeux plus gros que le ventre.
L'autre ralentit la cadence. Cette position me désarmait.
- Tu vois, tu t'habitues.
- Oui monsieur.
- Tu veux toujours que j'arrête ?
- Oh non monsieur. Continuez.
- Avec plaisir. Je vais bien gavé ton cul.
À mesure qu'il me parlait, il poussait sa verge puissante en moi, et il finit par la glisser toute entière en moi.
- Oh, ç'aurait été dommage d' arrêter, non ?
- Oui monsieur.
Après quelques va et vient, profonds et délicats, l'autre libéra mon trou meurtri et bien ouvert.
Il se planta devant moi.
- Regarde moi.
Je levais les yeux alors même que je n'étais plus certain de savoir où j'étais. Il se tenait là, son sexe toujours raide qu'il pointait vers moi.
- Allez, viens chercher ta récompense.
Il accompagna mon mouvement pour me redresser et fourra sa queue dans ma bouche.
Il prit ma tête entre ses mains et ondula devant moi.
Puis il bascula ma tête en arrière.
- Ouvre !
J'eus à peine le temps de me préparer que le premier jet s'abattit sur ma langue. Très vite, le jus coula dans et autour de ma bouche.
L'autre me regarda amusé alors que son jus glissait sur moi.
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Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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