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Chapitre-6
Quelques jours ont passé depuis ma dernière soirée avec le maitre. Tout le temps du retour, il n’a cessé de me complimenter pour avoir su mettre à profit ses différentes leçons.
Après un repos bien mérité, et quelques soirées en solo, je suis retourné chez le maitre. Quand il m’a reçu, il portait son pantalon en cuir et était torse nu, des bracelets de force aux poignets et des rangers.
Je connaissais le rituel et passais par la salle de bain, sous la surveillance du maitre. Puis je revêtus mes atours. Harnais, jock, cage. Le maitre me sourit et m’attira à lui. Une bonne galoche, profonde et baveuse, une main sur mes fesses et les doigts qui s’immiscent dans la raie.
Puis il m’indiqua l’escalier qui menait aux combles. Sous les toits, la pièce était toujours prête à recevoir nos jeux. Un grand matelas au sol, des tapis, des liens et une boite avec tous les jouets nécessaires à la quête du plaisir.
- À genou !
Le maitre saisi ma tête qu’il plaqua contre son entrejambe. Il se frottait le sexe contre ma gueule. Je le sentais durcir à travers le cuir de son pantalon. Après quelques minutes de ce traitement, il exhiba sa verge puissante et l’enfonça dans ma bouche. J’étouffai sous la surprise mais il la poussa plus loin, et il me baisa la bouche sauvagement. Puis il me repoussa. Un filet de salive nous reliait encore de sa queue à mes lèvres.
- T’as bien kiffé l’autre soir, pas vrai ?
- Oui maitre.
- Tu t’es bien donné.
- Oui maitre.
- T’en veux encore, p’tit bâtard ?
- Oui maitre.
- Fous-toi à quatre pattes, sale petite ordure !
Je m’installais sur le matelas, les jambes écartées, le cul relevé et j’attendais patiemment que le maitre officie.
- Écarte bien ton cul que je vois ton trou !
- …
- Oh, mais, on dirait qu’il s’ouvre déjà… t’es vraiment qu’une petite raclure, hein !?
- Oui maitre.
Je restais dans cette position, les mains qui ouvraient mon cul et la gueule sur le matelas. Une claque ferme s’abattit sur mon cul. Le maitre crache sur ma raie. Je sentis la larme de salive glisser le long jusqu’à mes couilles. D’un doigt, le maitre joua avec le liquide qu’il étala contre mon trou.
- Ton œillet de bâtard est prêt à déguster ?
- Oui maitre.
Alors, le maitre posa son sexe contre mon trou qu’il pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Je voulus m’avancer pour réduire la pénétration, mais le maitre m’arrêta.
- Pas si vite. Je vais t’apprendre les bonnes manières ! Prends-ça, esclave !
Le maitre bourra mon cul, longuement. Patiemment et avec un savoir-faire parfait, il me baisa profondément. Sa verge glissait en moi, et mon trou ne résistait plus aux assauts puissants. Le membre ne cessait de s’agiter, il frappait fort. Il frappait loin. Il besognait mon fion de manière magistrale. Puis le maitre se retira. Me laissant haletant, le trou ouvert et chauffé à blanc.
- Voilà qui devrait te calmer un moment !
- Merci maitre.
- Reste comme ça. Écarte bien tes fesses.
- Voilà maitre.
- Dis donc, tu verrais ton cul. Un joli morceau à élever.
- Merci maitre. Allez-y, il est pour vous.
- Je sais qu’il est à moi. Je vais jouer avec.
- Oui maitre.
- Je vais commencer par ça. Qu’en dis-tu ?
Le maitre agita un chapelet anal devant moi. Quatre perles en silicone se balançaient sous mes yeux. Plus de trente centimètres de bonheur m’attendait. Je salivais d’avance et miaulais d’impatience.
- J’en serais ravi, maitre.
- J’en étais sûr. T’as vraiment le feu au cul, toi !
Le maitre présenta la première perle contre mon trou. La boule tournait autour de l’orifice sans pour autant franchir la membrane. Le maitre lubrifia ma raie, et poursuivit son jeu de séduction. Ma rondelle ne résista pas longtemps aux avances soutenues et s’ouvrit délicatement sur la perle qui disparut rapidement dans mes entrailles. Un soupir de gourmandise trahit mon impatience. La deuxième perle buta contre ma rondelle.
Le maitre tira sur le cordon, et je sentis la première perle rebrousser chemin. Puis le maitre la laissa filer à nouveau. Il tenait le chapelet suspendu au-dessus de mon trou, puis il tira à nouveau sur le cordon. Mes soupirs lui indiquèrent la marche à suivre. Puis la deuxième perle franchit ma rondelle. Quel délice !
Elle s’engouffra vaillamment en moi, suivant la première perle qui progressait dans mon fourreau. Déjà la troisième perle frappait à l’entrée, sans hésiter le maitre la glissa en moi. Je jubilais. Le maitre joua de son chapelet tel un orfèvre. Les trois boules glissaient en moi, elles remontaient mon conduit patiemment, puis le maitre les rappelait. Il les ressortit doucement, puis il les renfila. Je m’extasiai de plaisir.
- Je vois que ton cul aime.
- Oui maitre. C’est délicieux.
- Tu veux essayer son grand frère ?
Il me montra le second chapelet. Les boules étaient bien plus grosses, et à mesure que le maitre retira les perles de mon cul, je le priai de me donner le second chapelet.
Ma raie, bien lustrée, accueillit la première perle avec envie. Si le passage tracé avant facilitait la progression, je fus surpris par le calibre imposant. Je me raidis lorsque la boule perça ma rondelle. Puis elle glissa au rythme de mes gémissements.
- Ouais, c’est bien ça. Tu vas avaler la deuxième sans problème.
- Oooh
Le maitre poussa la deuxième boule. Le chapelet fila en moi. Le maitre l’attira à lui, exerçant une légère pression sur ma rondelle pour qu’elle rende la deuxième perle, et avant même qu’elle ne ressorte, il la laissa couler en moi. Le maitre joua encore du cordon, mes gémissements redoublaient. La troisième boule glissa dans mon fourreau. Je divaguais sur la marée de plaisir que le maitre me procurait.
Enfin, la quatrième boule pressa ma rondelle. Sans effort, le maitre la guida. Une part de moi voulait résister, mais une autre, bien plus vorace, ne demandait qu’à céder. J’abandonnais la partie, et la quatrième boule remplit mon trou.
- T’as les quatre en toi.
- Ah. Maitre
- Ouais, plus de 40 cm dans ton cul.
Il tirait sur le cordon, puis il laissait filer les perles en moi. La sensation des quatre boules qui parcouraient mon conduit m’électrisait. Le maitre savait comment me donner du plaisir. Doucement, il me parlait. Il décrivait ma rondelle, sa souplesse quand elle avalait ou recrachait les boules. Il flattait mes fesses, caressait mes couilles et revenait toujours vers ma rondelle qu’il honorait avec malice.
Puis, je recouvrais mes esprits, lorsque le chapelet quitta mon trou. Je me sentais étrangement bien. Détendu et échauffé par les jeux du maitre.
Après une pause, le maitre me refit prendre la position de la leçon. À quatre pattes, la raie offerte au bon vouloir du maitre. Je sentais ma rondelle prête à s’étaler.
Le maitre vérifia la dilatation. Deux doigts suffirent à son regard expert. Puis la vraie raison de ma présence ici commença. Le maitre plongea ses doigts en moi.
- Tu commences à avoir l’habitude, hein ?
- Oui maitre.
- C’est parfait. Tu apprends bien.
- Merci maitre.
Quatre doigts fouillaient mon trou. Le maitre les poussait aussi loin que possible. Ma rondelle s’étalait. Le maitre procéda comme il me l’avait appris. Lorsque la jointure des doigts fit halte contre ma rondelle, le maitre attendit sans forcer. Ma rondelle s’étira, alors que de sa main libre le maitre caressait la membrane tendue.
- Tu sens que j’y suis presque ?
- Oui
- Avale-moi. Donne-moi ton cul.
C’est alors, que la main glissa entièrement. J’étouffais un râle dans le matelas. Le maitre patienta. Puis lorsqu’il sut que je m’habituais, il bougea sa main d’avant en arrière.
- Magnifique ! C’est superbe.
Je gémissais et ronronnais de bonheur. Je me détendais. La main remplissait mon cul. Le maitre m’envahissait et il commençait à augmenter la cadence. Les mouvements circulaires s’intensifiaient. Je me dilatais et j’offrais mon cul à mon maitre. Il en profita pour pousser plus loin son excursion.
Je perdis la notion du temps. Seule l’intensité de la pénétration comptait. J’appartenais au maitre. Il avait fait de moi son esclave.
Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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