Épisode précédent
A peine installés dans l'hôtel, nous sortons tous, histoire de prendre la "température" de la ville. Je me retrouve donc, de bon matin, en plein Cuzco, avec les cinq jeunes Péruviens, rencontrés à la frontière entre Bolivie et Pérou, et avec qui je viens de voyager en bus jusqu'ici. Je m'en rappellerai de ce voyage, où j'ai passé le plus clair de mon temps à sucer, au fond du car, le "chef" du groupe, Chico, un garçon bien viril, et bien monté, qui m'a affirmé n'avoir jamais été sucé par un homme, mais qui a reconnu avoir apprécié mes talents de pompeur... D'ailleurs, sa proposition de choisir le même hôtel qu'eux cinq, et (cerise sur le gateau) de partager sa chambre avec moi... me laisse supposer que l'expérience lui a véritablement plu ! Je ne crois pas non plus que son choix de demander à son plus jeune copain, Oscar, de dormir dans la même chambre que nous deux soit innocent... Oscar, bien que le plus jeune du groupe, mais le plus grand en taille, est un superbe garçon bien viril... Il n'est pas impossible que Chico ait envie de faire une partie de jambes en l'air, à trois, avec un jeune mec à son goût... même si Chico m'a "confié" qu'il était hétéro à 100%... Les latinos sont souvent "à voile et à vapeur", et ils ont bien raison !
Donc, nous voilà tous les six sur la place centrale de Cuzco. Chico et ses potes jouent avec moi aux guides touristiques, me font découvrir les rues pavées, les murs et les anciens palais Incas, les constructions des "conquistadores" espagnols. L'après-midi nous montons à deux kilomètres au-dessus de la ville pour visiter l'impressionnante forteresse de Sacsayhuaman. D'énormes murs de plus de 6 mètres de haut, faits de pierres énormes pesant chacune plusieurs tonnes, emboîtées les unes dans les autres, et assemblées au millimètre près... Comment ne pas être époustouflé par de telles prouesses architecturales. Je me promène tout autour de la gigantesque construction. Mes nouveaux amis péruviens sont eux-aussi impressionnés par le génie de leurs ancêtres. Parfois, ils se marrent, entre eux... comme s'ils ne voulaient pas que je participe à leurs conversations... Je remarque que c'est Chico qui est le plus bavard, que les autres l'interrogent sans cesse, avant de pouffer de rire et de commenter entre eux ce que Chico vient de leur révéler... A coup sûr, mon compagnon de voyage en bus leur raconte les câlineries dont il a fait l'objet, de ma part, la nuit passée... Ils semblent tous excités par le récit de ma longue fellation et imaginent à l'avance le plaisir qui les attend cette prochaine nuit... D'ailleurs, certains, joueurs comme des ados, ne peuvent s'empêcher de se toucher enre eux les fesses... ou le paquet... ou bien de remettre en place une verge subitement à l'étroit dans leur jeans. Je fais semblant de ne pas comprendre de quel sujet ils parlent... et ne suis pas fâché qu'ils envisagent tous d'être eux-aussi, à leur tour, l'objet de mes délicates attentions. Même le jeune Oscar n'arrête pas de poser des questions à son aîné. Lui demande-t-il si le programme de la nuit prochaine , dans notre chambre, est un trio ? J'espère que oui ! Nous sommes revenus à Cuzco à la tombée de la nuit. Mes compagnons, qui maintenant me regardent, un léger sourire complice aux lèvres, me proposent d'aller dîner tous ensemble dans un restaurant bon marché, "où l'on mange très bien". J'accepte volontiers, trop content d'être tout près de ces jeunes mâles en pleine possession de leurs moyens. Bon repas. Mais après il est encore trop tôt pour rentrer à l'hôtel. Je les invite donc à aller boire un verre dans un bar sympathique. A eux de choisir, à moi de payer. Je les invite, j'insiste ! Ils parlent entre eux. Seuls trois semblent bien connaître la ville. Ils finissent par se mettre d'accord et nous prenons tous les six le chemin du bar en question. En fait c'est un bar karaoke, bondé quand on arrive. Nous avons le plus grand mal à nous asseoir les uns près des autres. Des touristes américains finissent par se pousser pour que nous puissions être tous les six ensemble. On se serre. Je me retrouve entre Chico et un autre garçon, Andrès, bien foutu, belle gueule, dont je sens la jambe gauche contre la mienne... Je suis du côté du mur, en bout de banquette, et ce contact chaud me ravit. En face de moi, il y a Chico et les deux autres garçons, ceux qui dormiront dans la même chambre qu'Andrès. Plus je les regarde et plus je trouve qu'ils ne sont pas mal du tout ! Surtout l'un, au crâne rasé, ce qui le rend plus viril. Il s'appelle Felipe. Belles lèvres pulpeuses, qu'on doit bouffer avec plaisir quand on lui roule une pelle... Je me vois déjà... Tout comme d'ailleurs avec son voisin, prénommé Jesus, et qui, au lit, ne doit pas être un saint !... Vraiment, tous ont un je-ne-sais-quoi qui les rend désirables. Même le jeunot, Oscar, relégué en bout de table, est un garçon attirant, dont je meurs d'envie de vérifier si, au lit, il mérite l'oscar du Meilleur Juteur du Pérou ! Nous buvons des bières, et mes compagnons essayent de reprendre les chansons, pour la plupart anglo-saxones, que massacrent les apprentis chanteurs. Aucun des cinq n'osera se lever et monter sur scène. Par contre, ils applaudissent à tout rompre et mettent une ambiance d'enfer. Je crois que la bière les chauffe pas mal. C'est Felipe qui le premier me parle du "pisco". Je demande ce que c'est : il m'explique que c'est un alcool typiquement péruvien et délicieux. Tous m'encouragent à l'essayer. J'en commande pour les six ! Je goûte le premier et trouve ça très bon, bien qu'assez fort ! "40 grados" me précise Felipe; et il ajoute "una bebida para hombres !" (= 40 degrés... une boisson d'hommes !"). Tous rigolent... Ils sont fiers de me convaincre qu'aucun d'entre eux n'est "una marica"...
Nous rentrons à l'hôtel, minuit passé. Tous, moi compris, sommes assez émêchés... mais (et je le vois à la façon qu'ils ont de se toucher furtivement le cul ou le paquet...) mes compagnons semblent particulièrement chauds... Dans la chambre, moins froide qu'à notre arrivée, Chico se met en slip et se couche, Oscar fait de même... Je peux voir combien son corps est bien proportionné, la bosse de son boxer proéminente... Beau spécimen... Vu sa taille, ses longs doigts, les muscles allongés de ses bras et de ses cuisses, il doit plutôt avoir une belle verge, pas très épaisse mais de bonne dimension... Je me trouve moi-même en slip, Chico me propose aussitôt de venir dormir dans son lit : il est assez grand pour deux... et on aura moins froid ! J'hésite... puis me décide à le rejoindre. Je plaisante : "Mais le pauvre Oscar, il va mourir de froid... comme ça, tout seul !" "T'en fais pas... quand il veut, il peut nous rejoindre..." Oscar ne dit rien mais se touche instinctivement la bite dans son boxer, comme pour me mettre en appétit. C'est lui, Oscar, qui éteint la lumière. Pas plus tôt dans le noir, Chico me dit à voix basse, mais suffisamment haut pour qu'Oscar entende : "Vas-y... suce-moi... comme dans le bus... je meurs d'envie !". Ça commence vite et ça dépasse toutes mes prévisions. La queue de Chico est déjà raide quand je pose ma main dessus. Il descend le drap et la couverture pour que je puisse mieux accéder à son sexe. Quel instrument magnifique ! Même dans l'obscurité, seulement en le palpant, je mesure sa taille, son épaissseur, la forme de ses couilles... Je lèche sa tige de haut en bas pour bien la lubrifier de salive et la prendre mieux en bouche. Je prends toute la bite, jusqu'au fond de la gorge, fais ressortir ce membre dur et chaud, pour l'avaler à nouveau, dans un va-et-vient régulier qui me remplit de bonheur ! Le bruit de succion est assez fort... Il doit aider Oscar à imaginer la scène... Mais le premier gémissement de Chico, emporté par la jouissance, va déclencher un commentaire salace d'Oscar : "Como te la esta mamando el puto ?" ( = Comment elle suce la tapette ?). Chico lui répond : "Divinamente... Que delicia !... Si quieres, acercate... te la va mamar a ti tambien !" (= Divinement... Quel délice !... Si tu veux, approche-toi, il va te sucer aussi...). Oscar rallume la chambre, s'approche de notre lit. Il a enlevé son boxer et tient dans la main droite sa longue queue, très raide, déjà décalottée... Il devait se branler en entendant nos ébats... Je quitte la bite de Chico... Oscar me tend la sienne, que j'avale aussitôt. J'ai beau faire, essayer de l'avaler en entier, impossible, son gland frappe le fond de ma gorge, m'empêchant d'aller plus loin. Sa queue et ses couilles sentent fort... ça sent le jeune mâle ! Cette odeur me plaît... un parfum encore plus enivrant que celui que dégage de sexe de Chico. Celui-ci, depuis que je ne le pompe plus, s'occupe de mon cul. Il malaxe les globes de mes fesses, les mord, me gratifie de toutes sortes de commentaires cochons. Je traduis : "Ah elle aime la bite... la petite pute... elle est bonne hein... la queue de mon copain... t'as vu comme il est monté ! Ça, c'est de la bite !! Tous les Péruviens on a des bites comme ça... T'as aussi un beau cul, toi... tu dois aimer te faire prendre par le cul... Fais voir ton petit trou... T'es serré... pourtant y'a longtemps que tu dois plus être puceau du cul... Tu as dû en prendre des bites dans le cul... Mais tu sais..;même les culs serrés je sais les déchirer... Tu vas voir comme je vais te le démonter ton petit cul... Je vais te faire crier... tu vas me supplier d'arrêter, petite pute..." Et pendant que je suce la verge d'Oscar, toujours aussi dure et goûteuse, je sens que Chico est en train de cracher sur ma raie et d'étendre sa salive, la faisant bien pénétrer pour mieux faire glisser un doigt, puis deux, puis trois... Il écarte ses doigts afin de bien dilater mes sphincters... Je n'ai pas le temps de lui demander d'enfiler une capote, que je sens déjà sa queue me pénétrer... Sa bite entre peu à peu... J'aime ça, car il n'a pas une queue trop grosse et il l'enfonce progressivement... Que c'est bon !. Oscar regarde la leçon d'enculage que lui donne son aîné. C'est pas sûr qu'il ait déjà pris le cul d'un mec, peut-être même n'a-t-il jamais baisé la chatte d'une nana ! Il est jeune et a tout le temps de découvrir les plaisirs de la sodomie et de la baise ! Pour l'instant il se régale à me troncher la gueule, retirant et enfonçant sa verge dans ma bouche. C'est sûr, il découvre avec bonheur qu'une fellation c'est plus jouissif qu'une branlette, même devant un film porno. Le spectacle de son pote qui m'encule, ajouté à la chaleur de la bouche qui héberge sa queue, semblent le chauffer de plus en plus... Il s'adresse à son chef : "Estoy por venir !..." ( = "... je vais juter !") "Vas-y, lâche-toi !... balance-lui ta purée dans la bouche ! N'aie pas peur... Il aime le sperme... dans le bus, il a tout avalé !" Oscar ne se retient plus; je sens les jets successifs de foutre qui se répandent dans ma gorge. Je n'arrive pas à tout avaler. Du sperme coule de la commissure de mes lèvres : il a mis la dose, le jeune ! Ça doit faire un bon bout de temps qu'il n'a pas joui ! Ou alors, ses couilles, bien qu'assez petites à les voir comme ça, sont d'une capacité exceptionnelle. En éjaculant, Oscar a poussé un gémissement de bonheur. Il vient de connaître un vrai orgasme, dont il se souviendra longtemps. De voir Oscar jouir, va donner le la pour un deuxième orgasme, celui de Chico, déjà bien chauffé par ma fellation, mais que ma pénétration a amené au climax. Ce sont plusieurs râles qui vont accompagner l'expulsion de sa semence chaude dans mon cul. Il pousse en même temps sa bite entre mes fesses pour mieux m'empaler, pour mieux faire pénétrer son foutre au plus profond de moi. Là aussi la quantité de sperme est trop importante pour rester toute en moi, et je sens un liquide chaud couler le lond de mes cuisses... En retirant sa queue de mon fion, la coulée est encore plus importante. Vraiment ces Péruviens sont de sacrés juteurs ! Je me retrouve épuisé, allongé entre Chico et Oscar, dans un lit trop étroit pour trois, mais où nous nous trouvons dans une espèce de rêve délicieux après coït. C'est Chico qui parle le premier : il me félicite. Il demande à Oscar s'il a aimé se faire pomper; il a adoré, mais il aurait voulu m'enculer aussi. "Demande-lui s'il veut... Moi, j'ai tiré mon coup, mets-le dans ton lit et baise-le." Ils parlent entre eux, sans me demander mon avis, même si, bien évidemment, je suis d'accord ! Oscar et moi changeons de lit et commençons par des préliminaires, histoire de redonner du volume et de la raideur à son pipeau. Je constate avec satisfaction qu'il embrasse bien, le jeunot, mettant sa langue tout entière dans ma bouche, aspirant la mienne pour que j'explore à mon tour sa cavité buccale. Je lui mordille les lèvres, il semble aimer... Je mets ma langue dans le creux de son oreille : alors ça, ça l'excite un max ! Je passerais la nuit entière à l'embrasser, à le caresser, à lui sucer les tétons, à lécher son ventre plat, à bouffer sa queue et ses testicules. Tout lui plaît. Tout le fait se tortiller comme un ver. J'aime ce genre de garçon, qui ne joue pas au macho, en se contentant de juter dans la bouche de son pompeur. C'est, direz-vous, ce qu'il a fait dans un premier temps. Mais maintenant que son pote Chico lui a donné le feu vert, il peut s'éclater en toute liberté, tout essayer, dans l'obscurité... Finalement, trop excité, il me dit à l'oreille qu'il veut me prendre... qu'il a envie de tester plusieurs positions... Je réponds, d'accord, mais plus tard... pour le moment, continue de m'embrasser... Au bout de quelques minutes, je suis étonné qu'Oscar ne revienne pas à la charge, exigeant de me prendre sans plus attendre ! Et c'est là que je constate que Chico nous a discrètement rejoints, dans le noir... Oscar n'a pas réagi. Et pendant que je roule des pelles endiablées à son jeune pote, lui, Chico, le prétendu "vrai mâle", est en train de le pomper !! Oscar, le coquin, par son silence a couvert son copain. D'être l'objet du désir de deux mecs à la fois semble même doper le jeunot... Il m'embrasse comme un affamé, me mord les joues, les oreilles... Ses mains parcourent mon corps en tous sens, comme s'il voulait s'assurer que je suis bien à lui... Chico, qui sait maintenant que j'ai découvert sa présence, sans retenue, suce son copain goulûment, bruyamment... Oscar gémit : il n'a sûrement jamais fait l'amour à trois... Et que ce soit son copain qui lui bouffe la queue et les couilles l'excite encore plus... Il arrête Chico : "Arrête une minute... j'ai trop envie de l'enculer... Allume la lumière." Chico se lève, tourne l'interrupteur. Je peux voir qu'il bande comme un âne: sucer la bite d'un pote, ça excite, c'est sûr, même les "actifs"... Oscar, pressé de goûter la sodomie, approche sa queue de mes fesses... Je le laisse faire... tenter des acrobaties, puis revenir à des positions plus classiques, sans doute vues sur internet, et dont il veut découvrir les exquises sensations qu'elles procurent aux deux partenaires. Pour un débutant, il se débrouille pas mal.. et je dois reconnaître que je prends un réel plaisir à sentir sa queue forcer ma rondelle... "Attends une minute, lui conseille Chico, je vais t'aider..." Et saisissant la verge raide d'Oscar, la place face à mon trou... Oscar n'a plus qu'à forcer le passage ! Je sens que par petits coups successifs il arrive à entrer entièrement sa verge en moi... J'adore... Il me prend bien, sans me faire souffrir... sans doute grâce à la longueur et à la finesse de son membre. Sous le regard et les conseils de son aîné ("Vas-y rentre-la bien au fond... comme ça... vas-y baise-le... encule-le bien... va plus vite... comme ça... oui...c'est bon, tu es un pro ! Vas-y, Oscar... casse-lui le cul à ce pédé... montre-lui comment on les traite les petits pédés dans son genre, nous les Péruviens !" Encouragé, Oscar m'empale avec une vigueur de jeune mâle. Je suis content qu'il prenne son pied et quand, après dix minutes de pilonnage intense, il me prévient qu'il va à nouveau éjaculer, je lui demande de m'arroser le visage avec son sperme. Bonne idée que la mienne, car je peux voir son membre gonflé da sang, expulser plusieurs jets de foutre blanc, sans doute moins que la première fois, mais, pour une deuxième éjaculation, la performance ferait bien des jaloux ! Je lui accorde, sans hésiter, l'Oscar du Meilleur Juteur Péruvien. Sans doute piqué au vif, Chico qui s'est branlé dès la première minute de mon enculage par Oscar, me lance aussi sa purée sur la gueule. Ça dégouline sur mes joues, mon nez, mon cou... Avec son gland, Chico étale sur ma gueule son sperme mêlé à celui de son jeune copain. Tous les deux se marrent. Moi aussi j'éclate de rire, puis je vais dans la salle de bain me laver le visage.
Quand je reviens dans la chambre, mes deux compagnons sont allongés, assez épuisés tout de même par leurs performances. Chico me dit qu'il veut dormir, mais que si je veux... je peux aller dans l'autre chambre, celle des trois autres, à qui il a promis de ne pas les oublier... J'hésite un instant... je suis moi-même assez crevé; mais je finis par aller frapper à la porte des trois autres...Je n'ai pas besoin de frapper longtemps... La porte s'ouvre, et Felipe apparaît, en slip. Les deux autres sont couchés sur leur lit, en slip aussi. Ils me reprochent d'être resté trop longtemps avec leurs copains. Avant même que je donne une explication, je me retrouve allongé sur un lit, à poil, et les trois jeunes Péruviens, debout, la queue en main, raide et dure, tendue vers ma bouche... Je vais conscienciusement et délicieusement sucer, à tour de rôle, chaque bite. Elles se révèleront, toutes, tout aussi savoureuses. Mais je préfère celle de Jesus : bien que la plus courte (16 ou 17 cm tout de même !), elle est de loin la plus épaisse et la plus odorante!... Très vite, il s'est placé derrière moi et a cherché à me pénétrer; Heureusement que les sexes de Chico et d'Oscar m'ont déjà dilaté le fion, car sinon celui de Jesus m'aurait torturé ! Là, maintenant, je la sens bien en moi : elle remplit tout mon cul. Si elle entre et sort avec facilité, c'est bien sûr grâce aux enculages successifs que je viens d'endurer, mais surtout au talent et à l'agilité de baiseur de Jesus. C'est un vrai dieu, ce Jesus !! Je lui demande si c'est la première fois qu'il baise un mec. "Tu rigoles, à Lima, quand je suis en manque, je vais dans une boîte gay, je me laisse draguer et je vais ensuite baiser toute la nuit ! J'adore les jeunes mecs qui ont de petits culs, c'est ceux que je préfère...". Felipe et Andrès ne perdent pas une miette du spectacle et s'astiquent la queue. Je sors ma langue pour leur faire comprendre que je les sucerais volontiers. Les deux queues vont alors se succèder sans interruption dans ma bouche. Quel bonheur de me faire prendre par le cul et, en même temps, de pomper alternativement deux bites raides tendues vers moi !
Pendant plus de deux heures, je vais ainsi me faire pénétrer par les trois jeunes mecs, les suçant à tour de rôle, recevant des litres de foutre dans le cul et dans la gueule. Quand Felipe et Andrès, rassasiés décident d'aller dormir dans leur lit, Jesus me retient, me fait m'allonger devant lui et me prend une nouvelle fois. Mais, une fois sa bite totalement enfoncée dans mon cul, il me dit, à l'oreille, de ne plus bouger, de m'endormir comme ça, empalé sur sa queue... Je vais réussir à m'endormir, dans un bonheur infini, pris par ce jeune étalon péruvien, qui, lui aussi trouvera le sommeil, son sexe pénétrant toujours mon cul. Quand je me réveillerai, le lendemain matin, la bite de Jesus se trouve toujours entre mes fesses. Certes, elle a perdu de son volume, elle n'est plus désormais qu'un bâton de chair mou... Jesus se réveille, retire lentement sa bite... Je sens sa grosse tige molle glisser dans le canal de mon cul. Ça me brûle un peu... Mais ce n'est rien quand je pense au plaisir que cet instrument m'a donné... Je devrais dire "ces instruments", car tous, même celui inexpérimenté d'Oscar, m'a fait vivre une nuit inoubliable. Inutile de dire que je vais regretter le départ de mes cinq compagnons de voyage, obligés de rentrer à Lima. Moi je vais continuer mon voyage vers le Machu Pichu. Tous m'ont dit qu'ils avaient apprécié mes talents et que, si ça me disait, ils me consacreraient avec plaisir toute une autre nuit, lors de mon passage, qui sera hélas trop bref, à Lima, avant de reprendre mon avion de retour.
(fin)
Rafael
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