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- " Oh putain les mecs, on s'en fait pas. Je vous entends couiner depuis le rez-de-chaussée ! "
Jérôme et moi étions à poil, lui assis sur le canapé, moi à califourchon et face à lui, empalé sur sa queue, la tête dans le dossier, mon cul montait et descendait le plus vite possible sur son chibre, ses mains écartaient mes fesses pour faciliter les va et vient. Ça faisait un bon moment qu'il me ramonait ainsi et c'est vrai que l'on gueulait notre plaisir sans pudeur ni discrétion.
Je me suis redressé d'un coup et j'ai stoppé tout mouvement, me demandant bien qui était entré, qui parlait et ce qui allait arriver, Jérôme ne parut pas du tout surpris, il dit :
- " Salut frérot, t'es enfin rentré, en t'attendant on s'amusait un peu ; viens voir ce que je nous ai ramené cette année. "
Il m'a saisi par les hanches afin que je me libère, nous nous sommes mis debout, Jérôme m'a mis une petite fessée et a dit :
- " Phil, je te présente Pierre, mon frère, depuis ce matin c'est chez lui que tu te fais baiser ".
Ils se rapprochèrent l'un de l'autre, se firent une accolade virile, se donnèrent des nouvelles de leur famille et de leurs parents. Je vivais un moment surréaliste : Jérôme, à poil, en sueur, la bite bandée à fond, mouillée jusqu'aux couilles, qui parlait à son frère de sa femme, hôtesse de l'air partie au Mexique pendant quelques jours, de ses enfants en weekend chez leurs grands-parents, ils avaient l'air de trouver la situation totalement normale. Ils riaient, se tapaient sur l'épaule, Pierre enleva son blouson et le posa tranquillement sur l'accoudoir d'un fauteuil tout en continuant la conversation. Les deux frères se ressemblaient beaucoup, on aurait presque pu les prendre pour des jumeaux, Pierre avait l'air un tout petit peu plus jeune et un peu moins baraqué que Jérôme, seule leur coupe de cheveux les différenciait, Pierre les avait coupés très courts alors que son frère les portait un peu plus long. Au bout d'un moment, Pierre me regarda et dit :
- " Voyons de plus près la recrue 2014. "
Il s'est approché de moi, m'a étudié comme du bétail de la tête aux pieds, m'a touché la poitrine, le ventre, a sifflé en sentant ma musculature, il m'a retourné pour me toucher les fesses dont il a apprécié la fermeté. De deux doigts, il a écarté mon trou et a dit :
- " Ouah, tu l'as bien ouvert frérot. T'es toujours aussi bon pour dénicher des bonnes salopes. Je suppose que t'es le premier à t'en être occupé. Bon boulot !"
Se penchant vers moi, il m'a dit à l'oreille :
- " Dans cet appart, ce qui est à mon frère est à moi. C'est lui l'ainé, il en profite en premier mais comme il est partageur, on va pouvoir s'amuser cette nuit lui, toi et moi ".
Joignant le geste à la parole, il m'introduisit son pouce dans le trou ce qui me fit pousser un petit cri à la fois de surprise et de plaisir.
- " Ouh mais c'est que t'es déjà bien chaud et humide. Remarque, vu ce que tu prenais quand je suis rentré, ce n'est pas surprenant. Bon les gars, il est 20h30, rhabillez-vous un peu, je vous propose un petit apéro histoire de faire un peu connaissance. On passera aux choses intimes un peu plus tard ".
Mes fringues étaient dispersées partout dans l'appartement, Jérôme m'ayant demandé lui faire un striptease avant de me demander de venir m'assoir sur sa queue. J'ai donc mis un peu de temps pour tout rassembler et, quand je me suis assis sur le canapé, un plein verre de whisky m'avait été versé. J'ai voulu dire que je ne pourrais jamais boire tout ça car je ne buvais jamais. Pierre m'a dit qu'il fallait que je profite d'être loin de chez mes parents pour me lâcher un peu, Jérôme a rajouté que j'avais deux choses à arroser : la finale de Roland Garros et, surtout, mon dépucelage. Je me suis laissé convaincre, j'ai approché le verre de mes lèvres, Jérôme me l'a pris des mains, m'a ordonné d'ouvrir la bouche et a versé la totalité, j'ai du tout avaler. Ça m'a brûlé la gorge, j'ai détesté le goût, j'avais l'estomac en feu. Je me suis reculé sur le canapé en faisant une grimace de dégoût, aussitôt, Pierre a rempli mon verre en disant qu'un dépucelage ça s'arrose comme il faut. J'ai bu ainsi quatre verres de whisky en à peine un quart d'heure, j'ai très vite été complètement bourré.
Tout tournait autour de moi, je les entendais rire, j'étais assis sur le canapé entre eux deux, je sentais leurs mains me peloter la poitrine, les cuisses, leurs langues léchaient mes joues, mon cou et mes oreilles. Ils me caressaient la bite à travers mon pantalon, je ne sais même pas si j'étais capable de bander. Au bout d'un moment, Pierre m'allongea, me retira mon tee-shirt tandis que Jérôme enlevait mes chaussures, mon jeans et mon boxer. Après ça, je ne suis plus capable de dire qui a fait quoi, je sais qu'une bite est entrée dans ma bouche, je l'ai sucée du mieux que j'ai pu, j'ai senti une langue me lubrifier la rondelle. Très vite des doigts m'ont pénétré et ont écarté mon trou comme jamais. Je ne pouvais même plus crier, je subissais mais j'ai dû éprouver du plaisir car j'en ai entendu un dire que ça me faisait mouiller et que ma queue était bien dure. Je me suis retrouvé à plat ventre avec une bite dans le cul qui me démontait tandis que l'autre s'activait dans ma bouche. Un moment après, j'étais debout contre un mur, me faisant baiser comme une pute, j'étais ensuite à quatre pattes, une bite dans la bouche en gorge profonde et une deuxième qui allait et venait en moi comme dans une chienne en chaleur. Les deux frères ont joui plusieurs fois en moi, dans mon cul et dans ma bouche, moi j'ai joui sur mon ventre. J'ai encore bu quelques verres d'alcool.
Plus tard, dans la nuit, Pierre est allé chercher une valise qui renfermait une petite dizaine de godes, je me les suis tous pris dans le cul pendant des heures, certains avaient une pompe, se gonflaient et écartaient mon trou jusqu'à la limite du déchirement, d'autres vibraient avec une forte intensité ou bien étaient d'une taille incroyable, du 30 cm par 8 cm. Je me suis même fait bourrer avec des boules de geishas, les trois dernières ont eu du mal à entrer tellement elles étaient grosses et mon cul était explosé et archi plein, ils les retirèrent une par une, lentement, laissant mon trou se dilater à chaque passage, ils tirèrent d'un coup sec pour les trois dernières, les plus petites ; à leur passage, mon cul a fait un bruit de ventouse, ça m'a fait expulser du liquide anal et du jus, Jérôme m'a demandé de tout lécher sur le sol. Pendant combien de temps cela a duré, je n'en sais rien, je sais juste que j'ai vraiment aimé servir d'objet sexuel et de vide-couilles à ces deux mâles actifs, dominateurs et endurants pendant toute la nuit.
Au bout d'un moment, J'ai entendu Pierre dire à son frère :
- " Je pense qu'il est prêt, on va pouvoir le déchirer celui-ci aussi mon frérot ".
Jérôme s'est assis sur le canapé, Pierre m'a aidé à m'empaler sur la queue de son frère en lui tournant le dos. Jérôme a commencé à me baiser, devant moi Pierre se branlait en nous regardant et en souriant. Au bout de quelques minutes, il se pencha vers moi et me dit :
- " Comme on dit chez nous, quand il y en a pour un, il y en a pour deux ! ".
Il m'a relevé les jambes, Jérôme les a maintenues fermement avec ses mains, j'ai senti le gland de Pierre forcer l'entrée de mon trou déjà bien rempli par la bite de son frère. Je me suis dit que ça ne rentrerai jamais, c'est rentré mais quelle douleur ! Je crois que j'ai hurlé comme jamais. Un boxer qui trainait là est entré dans ma bouche pour étouffer mes cris. Pierre rentra toute sa queue, jusqu'aux couilles et là, les va et vient commencèrent, d'abord les deux en rythme puis en décalé, quand l'un rentrait, l'autre sortait. Ça m'a semblé durer longtemps, les deux frères poussaient des râles de plaisir, j'ai fini par les rejoindre car la douleur n'existait presque plus, j'ai même fini par avoir un orgasme anal qui m'a semblé ne jamais vouloir s'arrêter. Ils l'ont senti, m'ont traité de salope, de jouisseuse, de sale pute, de chienne, de dépravé, d'avaleur de bites, de cave à jus... Plus ils m'insultaient et me baisaient, plus j'éprouvais du plaisir. Un peu après, je les ai entendus dire qu'ils allaient venir, ils ont éjaculé tous les deux en même temps au fond de mes entrailles. Pierre s'est effondré sur moi, vidé. Derrière, Jérôme respirait rapidement et disait :
" Putain quel pied, j'ai tellement joui que je crois que je me suis arraché les couilles ! "
Pierre s'est retiré le premier, Jérôme l'a suivi, ils ont éclaté de rire, se sont fait un tchek et ont dit, en choeur :
"Jeu, set et match ! ".
Jérôme a pris son portable, a photographié mon trou et me l'a montré. J'ai vu une fente d'environ 7 ou 8 cm de long, ouverte de plus d'un 1 cm de large, de ce trou béant coulait un mélange de sperme et de liquide anal transparent. Je n'en ai pas cru mes yeux.
Jérôme a dit : " Pas mal, cette chatte fait partie du top 3 de ma collection. Mon petit Phil, il va falloir que je l'entretienne quotidiennement. J'ai bien l'impression que, cet été, tu vas décrocher un job d'été au club de tennis. T'inquiète pas, tu seras bien payé, en liquide et le prélèvement se fera directement à la source ! ".
Pierre a rajouté : " Bonne nouvelle, je pense rendre visite aux parents pour le 14 juillet et, cette année, j'ai trois semaines de congés en août, j'ai toujours aimé profiter des charmes de la Corrèze ".
On s'est tous les trois couchés dans le lit, j'ai regardé l'heure, il était 5h 07. J'ai pensé que, 24 heures plus tôt, je montais dans la voiture de mon prof de tennis pour partir assister à la finale de Roland Garros, je n'étais alors un jeune garçon innocent et puceau pensant que rien ne pouvait me faire plus plaisir que d'assister à ce match. Il me semblait que c'était il y a une éternité. Dans trois heures environ nous devions repartir mais ce n'est plus le même Phil qui rentrerait à la maison familiale...
Merci les gars pour vos nombreux messages. Si vous le voulez, je peux vous raconter l'après Roland Garros !
Phil
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