Quand les tubulures métalliques ont commencé à s'élever contre la façade de mon immeuble, j'ai eu, je dois le reconnaître, une réaction hostile. J'ai même franchement râlé contre cette décision de ravalement, prise par les co-propriétaires, alors que nombre de locataires comme moi pensaient que l'état de la façade ne nécessitait pas de pareils travaux à la belle saison... Mais j'ai totalement changé d'avis quand, une fois les échaffaudages montés, trois ouvriers sont arrivés sur le chantier... Trois jeunes mecs, un rouquin et deux Maghrébins. Trois types canons, bien mâles d'allure, avec de belles gueules. Le plus "âgé", le rouquin, devait avoir à tout casser 28, 29 ans. Les deux Beurs, l'un dans les 25, l'autre beaucoup plus jeune, tout juste 18... Pour des raisons différentes, j'ai toujours été attiré par ces deux types de physiques : le premier garçon roux que je me suis tapé, c'est lors d'un voyage en Irlande, avec des copains étudiants. C'était l'une de mes premières expériences homo. J'avais adoré le corps blanc de ce mec, à peine majeur comme moi, mais qui avait déjà beaucoup plus d'expérience dans ce domaine. Il m'avait sucé comme jamais je l'avais été, il m'avait donné des conseils pour que je donne du plaisir à mes futurs partenaires. Il avait voulu que je l'encule, car il était passif. Je ne l'avais jamais fait : j'avais adoré et je me souviens d'une nuit torride ! L'Irlandais, après chaque pause, voulait toujours recommencer et gémissait comme une gonzesse quand je lui enfonçais ma pine dans sa rondelle rose. Il voulait la sentir "bien au fond" et m'a supplié pour que je lui défonce le cul toute la nuit, alors que je n'en pouvais plus... Je suis revenu transformé par ce voyage et depuis je garde de cette expérience une forte attirance physique pour les jeunes mecs à la peau très blanche, et, surtout, pour ceux qui ont de belles fesses rebondies comme mon premier rouquin. Je m'imagine aussitôt en train de les pénétrer "profoundly", comme me le demandait Robbie, l'Irlandais, mon premier amant passif. J'avais été très fier de l'avoir pénétré, "more and more", et satisfait de ce premier rôle d'actif, moi qui à cet âge étais déjà plus attiré par les jouissances anales, que j'obtenais par de savants doigtages et l'introduction d'objets divers, lors de mes fréquentes séances masturbatoires... Cette préférence passive ne s'est que confirmée quand, l'été suivant, j'ai été quasiment violé par deux jeunes Arabes, rencontrés pendant des vacances à Cannes, et que j'avais ouvertement dragués une nuit. De là sans doute, et malgré le souvenir d'une douleur atroce, qui dura plusieurs jours et me priva de plage, mon attirance pour les jeunes Maghrébins, que je trouve mieux membrés que la moyenne des garçons, et qui ont tous une prédilection pour le défonçage des petits culs... Vous comprendrez pourquoi cette arrivée de ces trois ouvriers peintres m'a subitement et tout à fait convaincu de l'urgente nécessité de ravaler la façade de mon immeuble ! J'habite au quatrième étage, l'immeuble en fait cinq. Ils ont commencé par le dernier et j'ai eu beau essayer de les mater, les premiers jours, je ne pouvais les apercevoir que le matin, à leur arrivée, ou quand je sortais de chez moi et jetais un coup d'oeil sur le haut des échaffaudages.
Comme on est fin juin, ils sont tous les trois légèrement vêtus. Le rouquin, et l'Arabe le plus âgé, sont en pantalons de toile assez amples, tâchés de peinture. Un tee-shirt blanc couvre leur torse que je devine plutôt musclé. Le plus jeune, lui, a une espèce de salopette blanche, comme en portaient les ouvriers autrefois, avec des bretelles sur les épaules. J'adore sa tenue : elle laisse voir le haut de son corps, sa peau lisse, sans le moindre poil, bronzée naturellement mais que l'exposition au soleil a rendu plus brune encore. Il n'est pas très musclé, plutôt un corps ferme, solide déjà, bien que très mince, ce qui accentue son allure. Il se rase sans doute les aisselles, car on ne voit pas le moindre poil sous ses bras... J'aime sa coiffure : les deux côtés du crâne rasés, le sommet touffu, cheveux bien noirs frisés. Ça lui donne un look un peu "caillera", juste ce qu'il faut pour le rendre encore plus sexy... Beau trio... Mais il ne faut pas trop que je rêve... Peu de chances que l'un d'entre eux (encore moins les trois...) ne s'intéresse à mon cul ! Au bout de la première semaine, ils ont attaqué mon étage. En fait, ils nettoyent la vieille façade avec une espèce de jet d'eau puissant, afin de décoller certaines plaques du crépis désormais trop fragiles. J'observe, mes fenêtres bien fermées, vitres éclaboussées de poussière mouillée et de plâtre, mon appartement volontairement plongé dans le noir. Je ne quitte pas des yeux les trois ouvriers en train de bosser, sans qu'eux puissent voir que je les mate dans l'obscurité. Le jeunot est souvent un peu en retrait et disparaît de ma vue de temps en temps. Mais quel superbe spectacle que celui des deux autres mâles, dont les maillots de corps mouillés se collent à leur poitrine, soulignant leur belle musculature. Si le rouquin a des pectoraux à peine dessinés, en revanche son collègue arabe a deux seins fermes, volumineux, avec des tétons qui pointent sous le tissu; résultat sûrement obtenu par un travail de musculation régulier en salle, à moins que l'exercice physique quotidien n'ait suffi à sculpter si harmonieusement son torse. A un moment donné, l'Arabe se trouvait juste en face de la fenêtre de ma chambre. Je le vois tendre les bras vers le haut et peux apercevoir un bout de son ventre : ses abdominaux bien gonflés par l'effort sont à un mètre à peine de moi. Je mate la ligne de poils qui descend sous son froc... vers son sexe. Il doit être bien monté, le bougre, à en juger par la bosse de son bas-ventre... J'aurais aimé que l'eau ait davantage arrosé cette partie de son anatomie : la forme et la taille de son organe au repos m'auraient permis de mieux fantasmer ... Mais déjà comme çà je suis super excité et sors ma bite : je bande comme un âne, je me branle tout près de lui, sans qu'il me voie... et ça m'excite encore plus... Que c'est bon de mater un beau mec, bien viril, en chair et en os, presque à portée de main... Je jute très vite : ce spectacle est pour moi irrésistible et vaut tous les films porno sur internet ! J'aimerais tellement que ce chantier me permette d'entrer en contact avec ces trois mecs et que je puisse me délecter de l'odeur forte de leurs organes, savourer le doux nectar de leurs couilles...
Ils vont rester une bonne semaine à mon étage. J'ai pu, tout hier, mater à loisir le jeune Beur, qui a bossé face à mon salon. Il est vraiment craquant. Sa salopette est trop grande pour lui, et j'aimerais bien pouvoir plonger mon regard entre son côté et le bas-ventre : le vêtement est large et on devrait pouvoir au moins voir s'il porte un slip. Mais pour y arriver il faudrait que je colle quasiment mon visage contre la vitre au risque de me faire voir. Une fois encore, je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber, caché dans le noir, en le regardant bosser. Un après-midi, j'entends qu'on frappe contre la vitre de ma chambre. Je vais voir : c'est le jeune. J'ouvre la fenêtre. "Pardon de vous déranger... j'ai très envie d'aller aux toilettes... je peux entrer chez vous.." "Bien sûr, entrez... c'est juste la porte à gauche." Je suis ravi de cette intrusion inattendue, de ce premier contact... J'entends le bruit du jet d'urine dans la cuvette WC. C'est un jet puissant : j'imagine qu'il a un bel engin, au méat bien ouvert, laissant passer une belle quantité de pisse à la fois. Quand il revient des toilettes, il s'excuse encore du dérangement... mais "il avait trop envie..." Je souris et lui dis que les besoins naturels "il faut toujours les satsfaire...." Il rit, je ne sais pas si mon allusion à d'autres besoins naturels a été claire pour lui, peu importe, l'essentiel c'est qu'il sente chez moi une bienveillance à son égard. J'ai la présence d'esprit d'ajouter : "Mais en travaillant comme çà toute la journée, par cette chaleur, vous ne mourez pas de soif ?". "C'est sympa... merci, mais on a une glacière avec de l'eau... allez... salut !" Je ne sais pas comment le retenir. J'ajoute vite avant qu'il ne franchisse la fenêtre et ne se retrouve sur l'échaffaudage : "Au fait... si vous avez envie d'une bière fraîche en fin de journée...ne vous gênez pas... dites-le aussi à vos collègues... ne vous gênez pas, j'insiste... ce sera avec plaisir..." "Merci, je leur en parle." Je suis aux anges : j'ai vu de près ce petit chef d'oeuvre de la nature : il est tout à fait à mon goût, jeune, mignon de gueule, au look un peu canaille. Si je ne m'étais pas contrôlé j'aurais plongé ma main dans sa salopette pour saisir son jeune dard, que je meurs maintenant de sucer et de câliner. Pourvu que ma proposition de boire une bière en fin de journée les tente ! Je vais aussitôt vérifier que j'ai bien des canettes au frais dans mon frigo... C'est bon !
J'attends avec une certaine appréhension la fin de leur journée. D'habitude, ils quittent le chantier vers 16 heures, car ils ne font qu'une pause d'une heure pour déjeuner. A 16 heures trente, je m'aperçois qu'ils sont partis : ils ne sont pas venus. Je suis un peu déçu. Le lendemain, profitant que le jeune se trouve seul au niveau de mon salon (il range du matériel, ses collègues étant à l'étage du dessous, un peu plus loin), j'ouvre ma fenêtre, salue le petit Beur et engage la conversation : "Ah vous avez déjà fini cet étage ?..." "Oh non... c'est seulement nettoyé... on doit encore peindre... on en a pour un bon mois en tout; on n'a pas encore fini !" J'enchaîne : "Au fait, vous n'êtes pas venus boire la bière hier soir..." "C'est qu'on vient nous chercher à la fin du boulot, en camionnette, pour nous ramener chez nous...On peut pas faire attendre... Mais peut-être vendredi, en fin de journée, moi je peux... je reste en ville d'habitude... je vais voir des potes... et je rentre chez moi plus tard... Le problème c'est que je ne sais pas où me changer... habillé comme çà, je suis dégueulasse... je peux pas sortir..." Je saute surl'occasion : "Pas de problème... vous venez vous changer chez moi... vous pouvez même vous doucher si vous voulez..." "C'est vrai ? Vous êtes super cool... putain... vous c'est la classe !... Merci, alors... je taperai à la vitre... à vendredi." Je n'en reviens pas ! Ce beau mec va venir se doucher chez moi ! Il faut que je trouve un moyen pour me le faire, je meurs d'envie de le pomper... il est trop bandant ce Beur ! A plusieurs reprises, les jours suivants, en sortant de chez moi, j'ai regardé l'échaffaudage pour voir si mes trois ouvriers étaient bien là. A chaque fois, je les ai salués chaleureusement, même félicités d'arriver à travailler par une chaleur pareille. Et à chaque fois, le jeune a répondu à mon salut par un pouce levé en l'air, comme s'il me complimentait de quelque chose, mais, c'est clair, c'était avant tout un geste de sympathie. Il est vraiment trop beau ce mec : je craque ! Comment vais-je résister, ne pas lui sauter dessus... quand il va venir se laver chez moi ! Tout le vendredi après-midi j'ai préparé mon appart. La salle de bain bien briquée, avec serviettes propres, shampooing, gel douche, eau de cologne. La chambre rangée, capotes et gel dans le tiroir de la table de chevet... Bière au frais, chips et fruits secs... J'ai même mis des plats cuisinés et des frites au congélateur, au cas où il resterait chez moi... pour la nuit... Non... je rêve ! Quand, vendredi, j'ai enfin entendu qu'on tapait contre ma vitre, j'ai couru ouvrir. "Ah, c'est vous ?... vous avez fini ?..." Quel faux-cul je suis ! Qui ça pourrait être d'autre voulant entrer par la fenêtre... "Au fait, vous vous appelez comment ? Moi, c'est Emmanuel." "Je m'appelle Skander." "Skander ? c'est beau... Mais c'est un prénom arabe ? j'ai jamais entendu..." "Oui, c'est tunisien... mes parents sont de là-bas... moi je suis né en France." "Bon alors, Skander... viens par ici que je te montre la salle de bain... tu as des serviettes, du gel douche, du shampooing... fais comme chez toi..." "Merci, c'est super sympa... j'avais pris une serviette chez moi..." "Mais c'est pas la peine... sers-toi des miennes." Il a apporté un sac de sport, où il doit avoir ses affaires propres. Sans m'en rendre compte je l'ai tutoyé; il n'a pas paru surpris... le tutoiement est fréquent chez les Arabes, en plus il y a une légère différence d'âge entre nous qui rend ce rapport naturel. Pendant toute la durée de sa douche, je vais écouter religieusement l'eau couler, les différents bruits que le jeune Beur fait en se lavant. Je l'imagine savonnant ses cheveux, son torse mince, ses beaux bras, son ventre plat , son sexe... peut-être bande-t-il en se malaxant la tige et les couilles ?... Il doit voir un beau membre foncé, circoncis, avec une nette différence de couleur entre le gland, le haut de la bite et le reste de sa verge. Je ne pense pas qu'il soit poilu, vu le reste du corps resté nu quand il travaille... De toute façon, les jeunes aujourd'hui se rasent tous le pubis, les couilles et même les fesses et la raie. J'adore, c'est super quand on leur bouffe le cul et les boules : plus de poil avalé, seulement une peau lisse, douce, comme celle d'un bébé... je bande comme un dingue en imaginant tout çà... La voix de Skander me sort de mon rêve : "Emmanuel... excuse-moi..." "Oui Skander... tu as un problème ?" Il a passé sa tête dans l'entrebaillement de la porte : "C'est que je m'aperçois que j'ai oublié de prendre un slip propre... tu peux pas m'en prêter un... je te le rendrai lavé...". "J'arrive !" Je fonce dans ma chambre, ouvre le tiroir où je range mes slips et boxers. Lequel choisir ? Je prends un slip taille basse, rouge... "Tiens Skander... en voilà un... j'espère qu'il va t'aller... qu'il n'est pas trop petit... je veux dire qu'il ne va trop te serrer... qu'il soit trop juste... devant...". En le prenant, sans sortir de la salle de bain, il rigole et répond : "Comment çà... devant ?... Tu crois que je tourne dans des films porno...! Je suis normal, moi..." "Non, mais tu sais... vous les Beurs, vous avez la réputation d'être plutôt gâtés par la nature de ce côté-là..." T'as raison, c'est vrai... moi, j'ai pas à me plaindre... je suis dans la bonne moyenne... j'ai vu d'autres mecs dans les vestiaires, des Français des Arabes... même des Blacks ! A part certains Blacks, les Arabes, nous, c'est pas la honte.. j'te jure !... surtout les Tunisiens ... on a en général de beaux zebs ! C'est pour ça que les meufs elles veulent toutes nous sucer..." Et il éclate de rire. "Ah bon, tu as beaucoup de succès toi ? "Arrête ! Je me fais draguer sans arrêt... Au lycée déjà toutes les meufs voulaient me bouffer le zeb !... maintenant c'est même les femmes mariées qui me draguent" Je fais l'andouille : "Ah bon ? Que les femmes ?" "Les mecs, c'est pire... dans la rue, il me mate carrément le paquet...j'te jure ! Si je voulais, je pourrais même me faire du fric... mais je préfère niquer des meufs de mon âge... ou un peu plus jeunes... Une bonne chatte chaude, pour moi, c'est le kif total !" J'insiste : "Mais tu as déjà baisé un mec ?" Pendant que je lui pose cette question, il est sorti de la salle de bain,. Je vois enfin tout son corps : il est bien bâti, un corps lisse, ferme, aux muscles à fleur de peau... Je peux verifier ce que je supposais ; pas un poil ne dépasse du petit slip rouge que je lui ai prêté ! Il est superbe ! Mon regard est rivé sur sa bosse. Il s'en rend compte sûrement... "Pourquoi tu me poses toutes ces questions. Mais t'es gay, ma parole ?" J'hésite une seconde, puis: "Oui... j'aime bien les garçons... Surtout les mecs dans ton genre... jeunes, beaux gosses... virils..." Il sourit : "Tu me trouves beau ?..." "Plus que beau, Skander ! Je suis sincère, je ne veux pas te flatter... tu es magnifique! Très sexy... Mais tu le sais bien... je ne suis certainement pas le premier à te le dire... Je lui montre la bosse de mon paquet : "Tu vois l'effet que tu me fais : je bande comme un âne... tellement tu m'excites ! Je peux ?..." J'aiavancé ma main vers la bosse de son slip, sans encore osertoucher, même pas frôler le tissu... Il fait un pas vers moi : "Vas-y... régale-toi... Touche-la... montre-moi ce que tu sais faire..."
A partir de ce moment-là, je vais littéralement me déchaîner. Je baisse son slip, sors sa bite qui, en à peine quelques secondes, grossit et se raidit comme un ressort. Sa queue sent le propre, le gel douche. Bien sûr, je préfère le parfum fort des organes mâles après une journée de labeur. La bite de Skander, avant sa douche, devait avoir cette odeur si enivrante. Mais, même propre, son sexe est divinement goûteux. Sa verge, raide doit bien faire 19 ou 20 cm. Elle est plutôt épaisse, sans être démesurée : tant mieux, c'est plus facile à avaler par la bouche et par le cul... La circoncision a été réussie, mettant bien en valeur son gland sans l'avoir abîmé. Sa peau fine est criblée de minuscules points noirs : les poils qu'il doit régulièrement raser. C'est un beau zeb de jeune Beur, comme je les aime. Et je vais le prouver à son propriétaire. A genoux devant lui, je commence à lécher, mordiller, avaler, pomper son beau morceau de chair. Skander essaye de l'enfoncer tout entier quand je le prends en bouche... Je le laisse faire : s'il aime, c'est l'essentiel, même si j'ai du mal à garder longtemps ce gros sexe en moi. Il a aussi deux belles boules, des couilles rondes, sans poils, brillantes, un peu pendantes. Je les lui lèche : il aime; il les soulève pour que ma langue aille titiller son scrotum. J'aime les garçons qui savent prendre du plaisir comme lui. Je tiens ses fesses solidement : une dans chaque main. Elles sont fermes, avec un creux, un genre de grande fossette, qui les rend encore plus appétissantes. J'arrive à glisser un doigt dans sa raie; je parviens même à toucher sa rondelle. C'est divin... Je tente d'enfoncer le doigt... de la pénétrer. Skander réagit aussitôt et retire brutalement cette main indiscrète. "Touche pas çà... Suce-moi plutôt la bite ! Je vois que tu es super doué et que tu kiffes les zebs d'Arabes !" Je n'insiste pas, pas la peine de le contrarier, je dois au contraire lui donner un max de plaisir pour que ça dure le plus longtemps possible... Je vais donc m'appliquer, lui bouffer la queue en l'enduisant bien de salive pour que ma fellation lui donne des frissons. Je le masturbe tout en le suçant : mais les bites circoncises ne coulissent pas aussi bien que les autres. J'essaye de le branler de toutes les manières que je connais. Il comprend que je cherche à m'appliquer, à lui donne du plaisir... Il m'explique qu'il aime bien quand la main qui le branle, au lieu d'aller de bas en haut, tourne autour de sa tige : ça lui donne plus de sensations. Je fais ce qu'il me demande : j'aime bien : je sens, sous la peau de sa verge, son membre très dur... comme de la pierre... Ça marche : il bande au maximum; je comprends que j'ai réussi à obtenir ce qu'il voulait. D'ailleurs il commence à râler de bonheur; c'est une manière de m'encourager à poursuivre. J'en perds le souffle tant je pompe avec force sa belle bite, tout en imprimant ce mouvement rotatif autour de sa verge qui excite tant le jeune Beur. Au bout de cinq minutes, ses râles se transforment en petits cris de jouissance. Ce sont les cris annonciateurs, je l'ai compris, d'un tout prochain orgasme. Il s'arrête de couiner et je sens aussitôt un liquide chaud se répandre dans ma bouche. Il est en train d'éjaculer, le coquin ! Il ne m'a rien dit, mais je suis aux anges ! Bien entendu , il n'est pas question de retirer sa queue de ma bouche. J'avale tout. Pas question de gaspiller un centilitre de ce délicieux foutre de jeune mec. Ma langue est noyée dans la semence épaisse de Skander. Que c'est bon ! Je remue ma langue dans ce merveilleux liquide mâle que j'avale peu à peu... Putain... que de jute il m'a donnée !... Il avait les couilles bien pleines... C'est lui qui va décider du moment de retirer son chibre de ma bouche. Il la sort peu à peu : je regarde sa belle queue brune : elle est gluante et toujours aussi grosse. Je la nettoie de tous côtés avec délices. Il me regarde faire... puis me demande : "Alors, elle est bonne ma queue ? Et mon sperme : il t'a plu ?" "Un délice !... Et toi, Skander, t'as aimé ? " "Putain, mec, tu pompes super bien... on voit que tu as de l'expérience ! J'ai super bien joui !" Il recule : "Attends, je vais passer encore un coup sous la douche..." "Attends-moi, Skander, je vais avec toi... j'adore savonner un corps de mec !" Notre douche commune va durer une bonne dizaine de minutes. A plusieurs reprises, il a frotté son gland dans ma raie, m'a donné plusieurs coups de bite contre les fesses, simulant une pénétration... Mais, jamais, hélas, il a essayé de forcer le passage... Je l'ai pourtant encouragé à se lâcher, à me prendre comme sa meuf, à me défoncer le cul... Sans résultat : il a toujours repoussé mes avances, prétextant qu'il fallait qu'il garde des forces pour la soirée... Il avait rendez-vous avec une fille à qui il avait promis une nuit de sexe ! Il m'a assuré qu'avec moi ce serait pour une autre fois, qu'il me baiserait, promis, qu'il me prendrait dans toutes les positions... Et même plus tard, une fois le chantier fini... on continuerait à se voir... Maintenant qu'on se connaissait, promis, il me "donnerait mon biberon... à boire... quand je voudrai".
(à suivre...)
Rafael
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