Épisode précédent
J'en étais encore en pleine découverte des lieux, quand passant près d'un jeune black, très grand, appuyé contre la cloison d'un couloir, je l'entends me chuchoter : "No tienes ganas de hacer sexo conmigo ?" (= t'as pas envie de baiser avec moi ?). J'ai hésité quelques secondes : ce type jeune et viril pourrait, avec un physique pareil, niquer qui il veut dans ce sauna ! S'il me drague, c'est sûrement qu'il est "chapero" (= prostitué mâle), comme on dit en Espagne. Je m'arrête tout de même. Il me demande, toujours à voix basse : "Como te llamas, guapo ?" (Comment tu t'appelles, beau gosse ?). Plus de doute, s'il me flatte de cette façon... moi, qui pourrais être son père ! "Rafael. E ti ? De donde eres ?" (Raphaël. Et toi ? De quel pays es-tu ?). "Me llamo Yussuf. Soy del Mali. Conoces ?" (Je m'appelle Youssouf, je viens du Mali. Tu connais ?" Je lui réponds aussitôt : "Du Mali ? Mais alors tu parles français !" "Tu es français. Super ! Tu dois connaître le Mali, l'Afrique, en général ?" Son accent me plaît, comme son physique.
Il doit avoir la vingtaine, c'est un grand gaillard, au corps mince, très masculin, bras musclés comme il faut, pectoraux et abdos bien dessinés, longues jambes aux cuisses puissantes. Son visage est fin, et, comme son corps, totalement imberbe. On a tout de suite envie de caresser un corps aussi parfait. Après l'avoir bouffé des yeux, je réponds enfin à sa question : "Je ne connais pas le Mali, ni l'Afrique noire; mais je connais la réputation des hommes de cette région..." "Et c'est quoi cette réputation ?" "On dit que les noirs sont des amants extraordinaires ! Et, bien sûr..., qu'ils ont des organes exceptionnels... Question organe, j'ai pu m'en rendre compte dans les films de sexe !" "Ah, bon ? Tu regardes des films de sexe avec des noirs ? En matière d'organe qu'est-ce tu penses du mien ? Tu crois qu'il est à la hauteur de cette réputation ?" Youssouf, rigolard, ouvre la serviette nouée autour de sa taille. Il me présente un sexe, en semi-érection, déjà très gros, d'une longueur digne d'un étalon africain ! "Impressionnant ! Tu es un bel exemple prouvant que votre réputation n'est pas usurpée !" "Vas-y, Raphaël, touché-la, prends-la en main... amuse-toi avec... elle est à toi !" Je ne peux m'empêcher de saisir ce splendide boudin avec les deux mains.
Sa bite est chaude, grosse mais molle, mais on sent qu'elle se durcit déjà. Ses couilles sont lourdes. "Comment tu la trouves ? T'as pas envie de la sucer ?... J'ai encore rien fait aujourd'hui... j'ai super envie !" C'est clair, il est "chapero". D'autres mecs passent dans "notre" couloir, se rincent l'oeil en matant la bête noire en train de se réveiller. Youssouf ne referme pas sa serviette. Au contraire, il leur laisse bien voir son membre de plus en plus raide. Après tout, ce sont des clients potentiels. Il sait que le contact de la fine peau de sa verge m'électrise et que je vais succomber à ses avances. "Qu'est-ce tu aimes faire ? Te faire prendre ?.. Youssouf, il sait tout faire ! Et il adore faire l'amour : j'embrasse, je caresse, je te doigte le cul... Et si tu aimes, je te prends, je te la mets bien au fond . J'te jure... je te fais délirer si je te baise. Sérieux ! Youssouf est un vrai mâle africain, un mâle super chaud ! Mais, tranquille : je baise toujours avec une capote... Mes clients quand ils repartent, ils me disent tous merci... Sérieux ! Je sais les faire jouir... vraiment !" Je lui demande : "Mais tu éjacules ?" "Si tu veux... dans la bouche, dans ton cul, où tu préfères ! Mais c'est plus cher... le double... Tu comprends pourquoi... si je veux faire plusieurs clients. Tu es le premier de l'après-midi." Je le taquine : "Comment, je suis "le premier" ? Je n'ai pas encore dit oui !" "Allez !... lâche-toi... Réfléchis : faire l'amour avec un garçon noir de 22 ans !... Je suis sûr que tu en as toujours rêvé.". J'accepte.
Il me prend par la main, choisit une cabine. "Une grande, c'est mieux !", me précise-t-il. Il vérifie que la banquette est propre, ferme la porte. Il pose sur la tablette des capotes et du gel en berlingot; il se fout à poil, défait ma serviette. Bien que me retrouvant à poil devant une véritable sculpture grecque, je n'ai pas honte. Youssouf, sans attendre, se plaque contre moi. Il me roule une pelle endiablée ! C'est un véritable ouragan ce mec ! Il m'a renversé sur la banquette. Sa langue fouille ma bouche, comme un mort de faim. Nos salives se mêlent, débordent de nos lèvres. Les mains de Youssouf, deux énormes battoirs, ont saisi mes fesses, les triturent, les malaxent. Il me plaque bien contre son corps. Je sens sa verge dure et raide collée à mon bas-ventre. Il bouge son bassin pour que je m'excite davantage. Je n'ai pas le temps de prendre la moindre initiative : c'est lui, le jeune mâle noir, qui me serre, m'embrasse, me palpe le cul, me caresse les cheveux, me bouffe le visage et le cou, glisse sa langue dans le creux de mes oreilles. C'est comme si j'étais en chiffon, ou une poupée gonflable. Je suis sa chose. Et j'ai la sensation qu'il ne joue aucun rôle, qu'il a vraiment envie de moi, qu'il veut assouvir son désir, calmer un violent appétit de sexe. Je me laisse faire, conscient de vivre un moment inoubliable, heureux de connaître enfin ce que c'est que de baiser avec un black !
Il s'arrête enfin quelques secondes, s'allonge sur le dos, cuisses écartées, bite et couilles offertes. Je saisis sa verge, soupèse ses testicules, bien découplés et pendants. Maintenant qu'il bande à mort, je peux me rendre compte de la taille de sa verge : plus de 20 cm sûrement. Ses couilles sont ovales, grosses, brillantes. Il se rase, donc aucun duvet frisé sur son bas-ventre ou sur ses boules. Je décalotte son membre; le gland qui apparaît est beaucoup plus clair, avec une fente d'au moins un centimètre : ça doit être super de voir gicler son sperme par ce long orifice ! Je commence à masturber sa queue, puis me la mets en bouche. Pas toute entière, je n'y arriverait pas ! Elle a un goût délicieux, que le parfum particulier des hommes africains rend encore plus savoureux. "Suce-moi bien... J'adore... lèche-moi les couilles aussi !..." Sa bite est super dure. C'est comme çà que je les aime ! Quand je prends chaque couille dans ma bouche, pour bien l'enduire de salive, et la sucer comme un énorme pruneau, Youssouf a un brusque mouvement de recul, on dirait que ça lui fait mal... Puis il m'encourage à poursuivre, il veut même que ma langue s'égare sur son périnée et atteigne sa rondelle. "Lèche-moi le cul... mets la langue... voilà, comme çà... hummmm... continue, c'est trop bon !..."
Je m'arrête et l'interroge : "Tu aimes te faire enculer ?" "Jamais ! j'ai jamais fait... Je suis actif... je prends mecs, femmes, pédés ! J'aime tout, à condition que ce soit moi qui nique ! Mais, au fait, tu voulais pas que je te défonce le cul ?" " Tu sais Youssouf, j'en meurs d'envie... mais tu m'as dit que c'est le double, trop cher pour moi ! Une autre fois, peut-être, car j'imagine que si on se fait baiser par toi, on doit s'en souvenir longtemps !" J'ai repris ma fellation et mes caresses. Youssouf se laisse faire; il bande toujours, mais je sens qu'il ne participe plus. Il se contente de me caresser les cheveux. Il me demande tout à coup : "Tu veux pas que je te branle ?" C'est clair, il veut conclure ! Me faire masturber par un jeune noir, c'est pas tous les jours que ça m'arrive... Je lui tends ma bite, qui n'a pas dégonflé depuis la première minute. Sa grosse main noire saisit ma tige. Tout en m'astiquant lentement, il me complimente : "Toi aussi, t'as une belle queue. C'est vrai; pour un blanc, tu es bien monté." Je suis flatté mais ne dis rien, car le contact de sa main sur mon sexe m'excite au plus haut point. Tout en me branlant, il me triture les tétons. Ce traitement a chez moi un effet immédiat : je gémis et lâche ma purée qui va s'étaler sur la banquette... Youssouf continue de m'astiquer pour que je me vide jusqu'à la dernière goutte. Il se dresse, nettoie la banquette avec du papier hygiénique, puis il prend sa serviette, s'en entoure la taille. Avant de sortir, il vient me donner plusieurs petits bisous sur les lèvres, avant de me dire " T'as aimé ? Moi aussi... Merci ! Je vais me doucher et je t'attends là-haut, dans les vestiaires."
J'aurais voulu que ça continue toute l'après-midi. Me reposer une demi-heure avec lui, au bar, avant de reprendre nos ébats. J'aurais aimé m'empaler sur son beau dard dur et bien droit, le sentir me limer en douceur, comme, paraît-il, savent le faire les blacks, entendre son râle de mec en train de jouir, recevoir sa semence blanche sur la gueule, m'en enduire le visage tout entier. Puis recommencer !
Rafael
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