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Chapitre 7
Tandis que ma main caresse ses fesses poilues, Toni me demande " est-ce que vous êtes davantage satisfait de mon service cette fois, M'sieur ? " Comme je ris, il insiste " vous me gardez encore un peu... pour un autre essai, M'sieur ! " et il saisit ma queue à pleine main pour la presser doucement. Il me jette un coup d'oeil furtif et, devant mon air goguenard, glisse son visage sur mon torse pour aller titiller ma queue avec sa langue. Après la première cartouche, j'adore faire réveiller mes ardeurs par une bonne pipe, mais je décide de stopper son élan : " que veux-tu faire, Toni ? as-tu demandé l'autorisation ? " Il relève les yeux vers moi, la langue sortie et l'oeil canaille... mais rien n'y fait : " Tu n'as rien demandé Toni "
Ma main qui continue de parcourir son postérieur et glisse dans sa raie où mon majeur masse son oeillet : " en revanche, moi, j'ai bien aimé visiter ton cul Toni, et je referais bien une chevauchée... si tu en as envie, bien sûr ! " et d'une pression, je lui fiche le doigt pour le masser doucement provoquant un soupir d'aise ; " Alors, Toni ? "
Toni garde les yeux fermés et murmure " oui, occupe-toi de mon cul, M'sieur, bouffe-le aussi et donne-moi ta queue à sucer " Il rouvre les yeux et les miens plongent dans son regard brun en attente de plaisir, et il ajoute du bout des lèvres " s'il te plait, M'sieur "
J'en bande instantanément.
Toni ramasse mon paquet dans sa main et entoure la base de ma queue avec ses doigts, il serre juste ce qu'il faut pour la faire dresser au maximum de la turgescence et observe le lustre que l'afflux de sang donne au gland. Il souffle de l'air frais en filet et respire ma queue en la parcourant de la base vers le gland et retour puis l'agace à petits coups de langue dardés. Il glisse sa langue autour du paquet, dans le pli de l'aine, à l'intérieur des cuisses, remonte le long de la hampe en laissant une trace humide et aspire mon gland dans une succion qui l'enveloppe dans un fourreau ferme et velouté. Je me laisse aller à ces sensations, toute ma conscience semble centrée sur cette tige dure et tendue et le contact des mains de Toni sur ma peau, mes poils fait naitre des ondes qui, toutes, convergent vers cette barre, ce pivot qu'il lèche, lape, suçote tour à tour puis avale en gorge profonde. Toni teste la raideur en abaissant le manche d'un doigt qui, lorsqu'il le lâche, vient heurter mes abdos contractés avec un bruit mat. Toni rit doucement, fier de l'effet obtenu et, après une dernière succion baveuse, déroule le préservatif et empoigne le manche comme celui d'un outil.
Il monte alors à califourchon et, avec ce pieu, caresse sa raie, son oeillet... et je sens que je m'enfonce sans effort dans un fourreau souple et élastique qui me gaine comme une seconde peau. Toni se concentre sur son plaisir en s'empalant doucement puis en redressant sur ses cuisses pour contrôler la pénétration et s'attarder sur les points sensibles jusqu'à être assis sur mon axe. Il se couche alors sur moi et son torse vient caresser le mien et nous nous accordons quelques secondes d'immobilité, suspendus dans cet emboitement étroit.
Puis Toni redresse ses épaules pose ses deux mains en appui sur mon torse, bras tendus, se cambre, recule au maximum et commence de lents mouvements : il ondule du bassin, joue du ressort de ses belles cuisses, contracte ou relâche son cul. Il se concentre sur la recherche de son plaisir, yeux fermés, et cultive le moindre frisson. Mes deux mains parcourent ses flancs, son torse poilu, ses tétons dressés et je suis, au rythme de sa respiration irrégulière, les effets produits par ma queue qui me semble insensible à force d'être durcie en lui. Toni aspire l'air goulument puis le relâche en filet retenu, bloque parfois son souffle et s'immobilise, il entrouvre les lèvres et un léger gémissement s'en échappe, sa queue enfle et se redresse, il est parcouru de frissons qui secouent ses épaules et font fléchir sa nuque, des spasmes courent dans son cul et essorent ma queue, il engage un rythme régulier qui s'accélère et tape du cul contre mes cuisses. Soudain, il ouvre grand les yeux, raidit la prise de ses mains sur moi pour s'enfoncer au plus profond, serre ma tige en lui comme un forcené, expire brutalement, pousse un râle et asperge mon torse de jets brefs et puissants qui le laissent suffocant, pantelant... et il s'effondre sur moi. Je suis resté en lui, je n'ai pas joui, je le prends dans mes bras.
Toni recouvre doucement ses esprits et me sourit, il contracte son cul en petites saccades avec un regard complice. Je l'embrasse, me dégage et l'observe quelques secondes, allongé sur le ventre, remuer son cul avec son regard brun caressant qui va de mes yeux à mon levier toujours capoté : " viens " dit-il. Je m'allonge sur lui qui relève ses cuisses sous lui pour m'offrir sa croupe velue, la raie bien fendue et l'oeillet palpitant où se réfugie instantanément mon gland. Je pilonne son fion à tout petits coups courts, juste du bout du gland dans le plaisir de résister à son aspiration née de son impatience. Puis je le larde à grands coups souples et amples de toute ma bite. Il chante ! Sa plainte est modulée et sonore en chant de gorge et il serre mon membre souplement. Je lui écarte les globes et me régale de son cul profond, souple, chaud, humide, gourmand. Je le lime comme un métronome et il halète d'une voix rauque. Je le plante d'un coup à fond en l'attirant à moi brutalement en poussant à mon tour un grognement sourd et je le remplis de mon foutre en jets qui me transpercent les reins et il me semble qu'il me serre pour tout recueillir. Il se dégage avec précaution, me décapote et entreprend de me nettoyer avec gourmandise et application. Sa langue est comme un gant humide qui enveloppe mon membre qui retombe progressivement. Il se redresse pour me poser un rapide baiser sur les lèvres, mais je le rattrape d'une main pour échanger un baiser profond et tendre.
Mais Toni ne le prolonge pas, il ouvre ses yeux qui pétillent de malice et sourit. Je lui réponds : " humm, Toni, ce gout sur ta langue, mais c'est du foutre ! " Il rit et sa main me chope les boules qu'elle soupèse " oui, le vôtre M'sieur, et j'espère que cette fois j'ai su vous faire plaisir, M'sieur " Et comme je souris d'aise et que je l'embrasse, il ajoute " pour moi en fait, c'est une première fois " Je ne retiens pas un éclat incrédule et il poursuit " Jusque-là, le début m'a toujours fait mal avant de trouver le plaisir et là, j'étais prêt. Dès la première fois où tu m'as pénétré, j'ai kiffé tout de suite M'sieur. " Et sans attendre de réponse, il se relève, part à la douche en chantonnant et esquissant quelques pas d'une de ces danses qui chahutent du bassin. Je le regarde ou plutôt je regarde ce joli cul de jeune homme avec satisfaction, gourmandise et je dois le dire aussi, avec quelques intentions.
Amical72
amical072@gmail.com
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