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Le jour suivant est " un jour sans " : un gars est malade, une lame casse sans rechange, une anomalie dans l'exécution des plans bloque la poursuite du chantier et, en bougonnant, François décrète : " assez perdu de temps, on rentre ".
À l'arrivée, il ne dit rien, mais indique la douche et se déshabille sans un mot puis se place la tête sous le jet, face au mur et réclame que je lui savonne le dos. Je m'acquitte de la tâche avec plus d'assurance, mais pas moins de trouble que la fois précédente. Mes mains courent sur la peau et dans les poils de ses épaules, son dos, ses reins. Ma queue se dresse comme une hampe de drapeau. Il écarte ses pieds et poursuit : " plus bas ! " Je savonne ses fesses poilues qu'il contracte, descend sur ses cuisses à deux mains, puis à genoux, ses mollets nerveux. Je reluque ses couilles qui ballotent et je SAIS qu'il bande dur. Quand je me relève, il en redemande et je recommence sur ses épaules. Il lance son bras en arrière et m'attrape pour me coller à lui, ma bite dure contre sa fesse. Il tend alors sa seconde main en arrière et guide la mienne sur ses fesses, dans sa raie, sur sa rosette. Il sépare mes doigts et s'en enfonce deux dans le fion en imprimant un léger mouvement. Je sens son anneau souple et doux qui vibre et se détend. Son autre main glisse sur mon cul et caresse ma raie, un doigt trouve mon oeillet et cherche à l'ouvrir, mais je suis si contracté autour de mon érection qu'il renonce et reste à me masser légèrement tandis que moi je le doigte avec application, en faisant jouer mes deux doigts tout au plaisir de la découverte de cette sensualité. François pousse un petit soupir et saisit ma queue. Il s'agenouille, me suce d'une bouche savante en mouillant abondamment. Puis une capote apparait, il en déchire l'étui et me capuchonne avec application, ses larges mains me pressant le manche avec virilité pour étaler la salive qu'il crache sur ma tige dressée. Il me colle dos au mur, se retourne sans lâcher ma bite, se plie en avant pour se caresser la raie de mon dard et d'un coup de rein, s'encule puis se fige. Je sens son cul se desserrer progressivement et il me libère pour empoigner ses fesses à deux mains, les écarter, bien campé sur ses cuisses et me dit " pousse doucement ". Je l'attrape timidement par les hanches et je pousse comme il me l'a demandé, je le sens qui s'ouvre pour m'accueillir en lui et j'affermis ma prise et augmente ma pression jusqu'à sentir mes poils pubiens se mêler à ses poils du cul. Je suis en lui. Il s'en assure d'une main puis caresse mes couilles, les masse et laisse glisser un doigt sur mon périnée vers mon fion qu'il caresse.
Mais il glisse vers l'avant et je tente de le retenir. Il recule alors brusquement pour s'empaler plus profond et recommence, ses fesses viennent claquer contre mes cuisses et je ne suis plus qu'une queue raide et tendue, gainée par sa douce chaleur. Ses mouvements le font gémir, mais il semble ne pas être satisfait et se dégage d'un coup, se retourne et me dit " allonge-toi " pour aussitôt s'accroupir sur moi et saisir ma queue et s'en caresser le fion avec un souffle court. Il me regarde subitement dans les yeux, sourit et demande : " tu as déjà... ou c'est la première fois ? " Comme je confirme que je suis puceau (plus pour longtemps, il me semble !) il arrache la capote, me suce avant de se remettre en place et de s'enfiler sur mon pieu par roulement de bassin, centimètre par centimètre en m'encourageant " là ; mets-la-moi, éclate-moi le cul, donne-moi ton pucelage et chauffe mon cul poilu " ses fesses écrasent mon pubis et il me fait cambrer pour tout prendre. Puis il commence un mouvement de ressort avec ses cuisses et me branle avec son cul par d'amples mouvements des hanches. Sa queue se redresse et il accélère, je me retiens, mais je n'en peux plus et je crache mon jus dans un soubresaut. Il s'est enfoncé sur moi et m'encourage " vide-toi, donne-moi bien tout " puis il décule et me prend en bouche tout en guidant ma main vers son cul. Tandis qu'il me nettoie la queue d'une bouche avide, mes doigts s'enfoncent en lui, dans ce doux conduit plein de mon foutre que je masse. Il se redresse, prend sa bite tendue à pleine main et en trois ou quatre mouvements de poignet, envoie vers le ciel trois rafales de jus blanchâtre alors que son cul écrase dans un étau mes doigts engagés dans son fondement. Il reste quelques secondes sans bouger, puis se relève, m'enjambe en me présentant ses fesses qu'il écarte pour me montrer son anneau rose, ourlé et débordant d'une crème qui coule dans ses poils. Il soulage en même temps sa vessie sur mes jambes puis se retourne, me tend la main pour m'aider à me relever. Il me prend fermement dans ses bras, me regarde avec un sourire et des yeux pétillants de malice. Il me dit " toi, je me prépare à te dépuceler depuis ce jour où on est allés nager tous les deux, j'attendais juste ta majorité " et sa main se plaque sur mes fesses et son doigt me pénètre sans prévenir provoquant un éclair blanc dans ma tête. François me roule une pelle qui sent le mâle. Son autre main saisit mon service trois pièces et il ajoute " tu as un bon outil encore faut-il maintenant que tu en apprennes le bon usage " Il sort pour regarder l'heure puis revient vers moi avec l'air du chasseur. " à nous deux "
Amical72
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