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Premier épisodeÉpisode précédent

Agriculteur | 8

5 | Trois questions

Le récit de Julien

En cette période estivale, tous les chevaux sont au pré, certains aux alentours des Chênaies pour la surveillance ou le travail et le mien consiste à vérifier quotidiennement s’ils vont bien ; ces colosses sont facilement victimes d’un incident qui tournera vite au drame.

Je repense à cette rencontre avec Cyrille, à ce pied de nez aux croquants, si tentant qu’il m’avait ôté toute prudence. En même temps, je ne crois pas vraiment à un piège tendu par ce garçon : d’abord il est majeur et je n’ai aucun ascendant sur lui. Et il serait probablement tout autant éclaboussé que moi par un scandale, mais...

Aux heures chaudes, je me réfugie dans ma maison fraîche derrière ses murs épais, je lis, j’écoute de la musique, allongé de tout mon long, nu sur mon canapé ; je l’ai choisi pour ce confort là, d’ailleurs. Et je m’assoupis …

Je sors soudain des limbes avec un de ces gourdins … J’ai encore en tête les images de nos dernières galipettes dans l’écurie. Tout comme la nuit précédente, d’ailleurs ! J’avais dû achever le travail d’un mouvement rageur du poignet avant de pouvoir retrouver le sommeil.

- « Toc, toc, toc ! »

Voilà ce qui a dû me tirer de ma sieste ! QUI peut bien frapper à ma porte à cette heure ? Lecourt serait entré sans plus s’embarrasser, alors qui ? J’enfile mon peignoir à la hâte et j’ouvre.

- « Bonjour Julien ! »

Je suis resté interdit quelques secondes, il les met à profit pour entrer, repousser la porte qui s’enclenche derrière lui. Il me regarde avec un fin sourire aux lèvres dont je ne saurais dire …

- « Quand tu as mis fin un peu brusquement à notre … agréable conversation, l’autre jour, je t’en ai un peu voulu, avant de réaliser que ce qui relève, et je le revendique, de mon unique et entière initiative pouvait, peut-être, te sembler … potentiellement porteur d’une menace. Alors comme je passais non loin de la ferme, je me suis détourné car je voulais m’en excuser auprès de toi, Julien, et t’assurer que jamais je n’ai eu de mauvaises intentions à ton égard. »

Je le vois, jeune homme si policé au discours lisse, corporellement encore tout embarrassé. Alors, j’adopte un air un peu paternel et, en souriant, le remercie, l’assure à mon tour que je n’ai jamais imaginé qu’il pourrait chercher à me mettre en difficulté ajoutant que, d’ailleurs, je ne vois pas comment il aurait pu … Et qu’après ce moment dont j’espère qu’il lui aura été aussi plaisant qu’à moi, chacun de nous va reprendre le cours de sa vie.

Une réponse si convenue qu’elle sonne comme un congé, un adieu presque et, déjà, je tends le bras vers la poignée.

Mais, au lieu du souple twist attendu en réponse à la sortie honorable que je lui ai proposée, tout son corps résiste, tendu vers moi. Il danse d’un pied sur l’autre, la raideur dans son dos semble protester qu’il a encore quelque chose à dire et il m’interrompt.

- « Ce ... C’est ... »

Il s’est soudain redressé.

- « Non ! Ça, c’est le prétexte que je me suis répété pour trouver le courage de venir frapper à ta porte. En fait, je voulais te remercier. J’ai eu beaucoup de chance que tu veuilles bien … »

Il a un petit rire qui le transforme.

- « Depuis, je ne cesse de faire des rêves si … réalistes qu’ils me réveillent en sursaut dans un état … qui me ferait rougir si ... Je me pense encore dans tes bras, prêt à poursuivre nos … discussions ! »

Non, à ce moment précis, je ne peux imaginer qu’il y ait la moindre duplicité en lui, son regard pétille de trop de joie. Et d’une autre chose, également, qui s’y fait jour, se révèle comme une reconnaissance, une gratitude puis installe une connivence que traduit sa soudaine aisance corporelle retrouvée. Il secoue sa tête, lui-même incrédule.

- « Julien, c’était trop fort, trop bon, de le faire avec toi ! »

Et la question a jailli, spontanément :

- « Quel âge as-tu, Cyrille ? »

Il se redresse, petit coq soudain vexé qui tente de se grandir en se haussant du col.

- « Je suis majeur ... la preuve : je conduis. Mais pourquoi cette question ? Ou, plutôt, … Dis-moi, quel âge a le père Lecourt ? ... »

Il a relevé le menton en guise de défi et se tient à distance quelques secondes puis il hoche la tête.

- « Excuse-moi. Je ne cherche pas à me construire une position sociale ici, tu sais. Je n’y briguerai pas je ne sais quel mandat d’élu municipal ou départemental. Je n’écris pas non plus une romance. Dans quelques jours, je vais rejoindre la capitale et je me consacrerai exclusivement à mes études car je veux être dans les tous premiers reçus au concours où se décidera mon avenir. »

Puis son air arrogant se dissout totalement et sa prunelle retrouve un éclat doré.

- « Mais, avant cela, j’aurai BEAUCOUP appris sur moi, ici, avec toi, et je sais combien cette précieuse connaissance me sera utile à l’avenir. Cependant, quand, je rêve de nos ébats, et qu’au beau milieu je me réveille, je … comment dire ? C’est que mon scénario bute sur une question : comment fait-on ensuite, que ressent-on ? Et je ne sais que dire, je suis démuni. C’est cette ignorance là qui me tire du sommeil. Alors vers qui d’autre que toi me tourner pour trouver une réponse ? »

Je n’ai rien vu de sa manœuvre, juste pris conscience, soudain, que sa main a écarté ... Non ! Que MA BITE écartait les pans du peignoir et que sa main s’en est emparée pour la caresser souplement. Il se voit déjà tiré de cette situation délicate et a une petite moue badine.

- « Mais je ne savais pas comment te demander de poursuivre mon éducation. »

Non, ce n’est plus un grand adolescent prétendument influençable, son regard, comme son attitude, affiche clairement la détermination d’un adulte. A pas de loup, il s’est approché de moi à me toucher sans me quitter des yeux et les siens brillent de lubricité tandis que sa main poursuit ses caresses sur toute l’envergure de ma queue tendue.

Mon amour propre se sent soudain piqué d’être trahi par une si évidente faiblesse pour la chair, alors je bloque son poignet et profite de mon avantage de stature pour le toiser.

- « C’est donc le moment de t’en acquitter ! »

Il a souri, puis, abaissant modestement les yeux, s’est accroupi pour frotter son visage contre ma queue suintante avant de les relever vers moi. Un matou aux yeux de miel !

- « Si tu veux bien, Julien, je voudrais connaître encore le plaisir avec toi ! »

Je m’esclaffe!

Mais j’ai bien entendu. Ses mots ont changé, je crois qu’il a commencé à comprendre. Pourtant, je me rajuste et resserre sèchement la ceinture de mon peignoir sans me départir de mon air de barbon acariâtre qu’il a dérangé jusque dans sa tanière.

- « Range tes affaires sur cette chaise et rejoins-moi ! Je vais commencer par une petite vérification. »

Il a soigneusement plié ses vêtements, glissé ses tennis en parallèles sous le siège, comme un bon garçon bien éduqué, puis il s’est tourné vers moi. Bien sûr, il a l’air emprunté, tout nu, ne sachant ce que j’attends de lui mais il ne semble pas ébranlé ; il attend que je dise la règle pour prendre toute sa part au jeu, son regard est franc et j’y lis une pointe d’amusement anticipé. C’est cela : nous jouons et je suis le meneur de jeu.

Pour le moment !

Ma main dans son dos le pousse à approcher du canapé sur le côté et, alors que ses genoux touchent l’accoudoir, je continue d’exercer ma pression dans son dos pour qu’il bascule en avant, cassé en deux, amortissant de ses avant-bras sa chute sur l’assise, et le cul pointé, raie largement ouverte. D’une main, je maintiens ses épaules en place sur le coussin, de l’autre, je dresse un inventaire tactile : ses petites fesses pointues, la vallée béante et l’anus apparent, souple sous le doigt, les poils rêches de son périnée, son scrotum ridé d’un rose violacé, la fine pilosité de ses cuisses … Je le caresse ...

- « Humm, comment va ce petit trou du cul ? »

Il rit, tourne à demi la tête, le joue pressée sur le tissu.

- « Tu parles de mon anus, là ? Il s’est naturellement remis des exercices pourtant extrêmes que tu lui as proposés et je le crois prêt à les reprendre. »

J’ai lentement écarté mes deux mains jointes pour ouvrir encore cette fente, l’aplanir et découvrir son cercle froncé … Et j’ai subitement plongé tête première pour le dévorer, longtemps, en le détrempant furieusement. Puis mon index est venu le tester et j’ai repris mes lècheries avec application. Lui se tortille, tend son dos, s’offre et soupire. Puis mon pouce, cette fois, presse et le sésame l’ouvre. Je rassemble ma salive que je laisse filer sur la cible et, ainsi lubrifié, je la perce. Il se cabre, suffoque. Ce sacré pouce ! Il sait toujours exactement où toucher !

Ses deux mains en appui sur le coussin, il soulève ses épaules et rugit.

- « Ta bite, Julien, je veux ta bite ! »

Miracle! Le gel est déjà dans ma main et je le pointe prestement. Moi aussi, j’ai le feu.

- « Oui, c’est de ça que j’ai rêvé, de ta queue qui me fourre, ah ... »

Le reste s’est perdu.

Il a les genoux sur l’accoudoir et laisse aller son cul vers moi, bien embroché sur mon rostre tendu et sa nuque vient se casser à mon épaule. Je caresse son torse arqué et pince ses tétons au passage, le temps pour lui de reprendre souffle.

- « Ah, c’est chaud, c’est dur, ça me remplit et je voudrais que tu me baises des heures durant ... »

Je ris !

- « Alors savoure ! Parce que, chez l’homme, un coït dure en moyenne cinq minutes ! »

Mais ce que je ne dis pas, c’est qu’un quadra comme moi a plus d’un tour dans son sac pour faire reluire un cul sans expérience, que je sais alterner bite et doigts pour varier ses plaisirs, le surprendre, le faire grimper aux rideaux pour ensuite le précipiter dans un abîme de vertiges.

Et c’est ça que je mijote, je veux l’agonir de frissons, ce jeune blanc bec, qu’il demande grâce, haletant et tremblant, en tentant de se soustraire à mes caresses insupportables de volupté et le voir lancer ses panaches au ciel comme une délivrance, puis lui faire goûter sa propre sève à l’ombre de ma queue toujours brandie, comme un avertissement : ce n’est pas fini !

Il retrouve ses esprits et tâte pour évaluer ma vigueur en secouant la tête, réclame une pause pour, aussitôt, me mignoter le téton, innocemment, ses doigts dans mes fourrures, l’œil goguenard. Alors je l’entraîne dans la salle d’eau pour une toilette de chat, qui n’est qu’un prétexte à de très rapides câlineries, dont la brusque interruption le laisse frustré, avant de l’allonger sur mon lit, dans la pénombre, puis de nous recouvrir du drap.

Puisqu’il est l’heure de la sieste, qu’il a sifflé la mi-temps.

Allongé sur le dos, la tête reposant dans le creux de mes deux paumes empilées, les yeux clos, je le laisse venir. Il tente de se blottir, ne sait où poser sa joue. Sous le drap, il avance sa main, sa jambe aussi vient à mon contact … Son bras en travers de mon torse a glissé vers le bas et heurte mon gland brûlant et baveux. Il le remonte précipitamment comme s’il avait été brûlé puis glousse et le bras glisse à nouveau … Je gronde.

Il suspend ses manœuvres.

Puis il recommence. Insidieusement. Irrépressiblement.

D’une détente, j’ai encerclé le poignet dont les doigts tripotent ma queue.

- « Tss ! Tu demandes avant ! »

- « S’il te plaît ... »

Ma main a enserré sa nuque et rapproché ses lèvres des miennes et c’est lui qui prend l’offensive, sa langue qui cherche la mienne, sa bouche qui m’aspire et moi qui l’envahit. Nos langues roulent, se nouent, dénouent, s’enroulent, … et soudain ma main l’écarte.

- « Lèche maintenant ! »

Sa tête glisse dans mon cou, trace un chemin humide de la pointe de la langue, et il descend encore, furette dans ma savane, trouve mon mamelon, l’embrasse, le tête, s’essaie à le mordiller, … Ma main le ramène à mes lèvres. Les siennes les épousent avec une application gourmande mais retenue qui permet à sa langue de déployer sa souplesse soyeuse. Humm ! Le galopin commence à pouvoir m’émouvoir, je le sens.

Ma main le décolle et le plonge dans le creux de mon aisselle. Il s’empresse de la déguster, lapant goulûment et je l’attire à moi pour le galocher. Puis j’enfouis son visage dans le creux de mon aine, là où la peau est si fine. Ma main protège ma bite de sa gourmandise mais sa langue explore spontanément en-dessous et enrobe maintenant mes couilles, puis, ses mains venant à son aide, plus bas encore, dans la forêt de mon périnée … Elle s’étire, insiste, impuissante à percer la broussaille et à atteindre l’inaccessible.

Alors j’enroule mon rein et, retenant ma cuisse d’un bras, je presse sa tête pour qu’il touche, enfin, à mon sphincter que ma bandaison forcenée a hermétiquement clos et que sa langue timide mais appliquée décontracte, déploie, détaille. Et l’instant m’est plus qu’agréable, je ne déteste pas me faire bouffer le fion ! Avant que je ne le ramène pour le baiser des goûts mêlés.

Veut-il davantage ? Il se jette à mes pieds, les embrasse, suçote mon gros orteil. Ma main vient le cueillir par la nuque, il s’empare de mes doigts, les suçant à leur tour mais je le mène à ma queue et il l’engloutit !

Je déguste sa pipe, encore un peu laborieuse que quelques indications de la main suffisent à corriger et je manifeste mon plaisir par quelques soupirs éloquents. Allongé sur le dos, je ramène son cul à moi, tandis qu’il s’affaire, soulève sa cuisse pour le hisser à califourchon, ses jambes repliées encadrant mon torse. Soulevant alors mes épaules, je viens lécher son petit trou, bien ourlé depuis ma précédente offensive. Mes mains s’emparent de lui et le disposent, offert à mes lècheries ... qui le repoussent vers le bas. Il prend ma queue en fond de gorge. Je sens ses hoquets et de petits réflexes de renvoi, sa salive m’inonde et son anus palpite. Il est à point !

Je le renverse, saute du lit, attrape sa cheville pour l’attirer sur le bord, le disposer en grenouille. Un jet de lubrifiant, un double doigté et je le pointe, puis, entre mes deux mains efficaces, résolument, je l’enfile. Sans afféteries.

Respire !

Ma main droite enveloppe son menton et lui offre deux doigts qu’il prend en bouche et mâchouille ; mon bras gauche enroule sa taille et s’assure qu’il garde bien ma queue solidement plantée en lui. Je le soulève du lit, le retourne ; en deux glissements, nous atteignons l’armoire en bois fruitier, toujours solidement encastrés.

- « Porte de gauche, tourne la clé, ouvre ! »

A intérieur, il se découvre en pied dans le grand miroir.

Bouche bée, les yeux exagérément ouverts, il se contemple, cassé en deux et, le surplombant, mon torse assombri de mes broussailles et mes deux grandes paluches qui le maintiennent par les hanches. L’image du centaure.

Ma main droite a glissé à son épaule pour le cambrer et l’engager profondément sur mon vit planté. J’amorce les premiers balancements.

- « Regarde-toi et branle-toi, si tu veux ! »

D’une main, il se tient au montant, de l’autre, il astique frénétiquement sa queue tandis que je le ramone sans ménagement, claquant du ventre contre ses petites fesses blanches. Il garde les yeux grands ouverts fixés sur notre reflet, les referme pour aspirer l’air en rythme, comme un nageur.

Il ne subit pas, j’en suis certain!

Je sens bien, à ses contractions volontaires pourtant encore brouillonnes, qu’il déguste maintenant mes coups de reins, ma tige brûlante qui le larde, le fourrage.

- « Là, tu voulais que je t’encule ? Et tu as l’air d’aimer ça, non ? »

Qui ne dit rien consent. Je dois avouer qu’à partir de ce moment précis, je lâche la bride à tous mes instincts : j’aime me voir le secouer, le retenant de mes deux mains à ses hanches pour le tringler virilement et l’exagération qu’il met à son balancement en réponse. Ses yeux maintenant mi-clos, m’indiquent qu’il est dans le même transport.

D’ailleurs, il a crié ! Son petit cul s’est refermé d’un coup et il a giclé sur le miroir. Il flageole alors que je lui assène les derniers coups de bite, le soulevant sur le dernier planté avant de le gratifier de toute ma semence dans un éblouissement. Je le secoue des quelques répliques qui suivent et le laisse glisser au sol. D’une main autoritaire, je lui fais lécher sommairement ses traces sur le miroir et la goutte qui perle à mon méat.

Puis je l’abandonne à son sort, effondré, quand je remonte m’allonger sur mon lit.

Lessivé.

Quand je perçois un peu de mouvement dans la ruelle, je me hausse sur un coude, tapote le matelas à mon côté et m’essaie à une voix de crooner.

- « Viens près de moi ! »

Et, tandis qu’il se hisse sur ma couche, mes mains le happent, le cajolent, mes bras l’entourent et, protecteurs, l’enroulent contre moi. Je le berce doucement.

- « L’entends-tu ? Ta seconde leçon te pose plusieurs questions, Cyrille : est-ce que tu aimes vraiment le corps des hommes, tout leur corps, avec ses odeurs ? Est-ce que tu supportes de te voir te faire enculer et combien tu y prends du plaisir ? Enfin, est-ce que tu sauras affronter ce grand vide, cet abandon par celui qui t’a désiré et, maintenant qu’il a joui en toi, se détourne et t’ignore ? Neuf fois sur dix, il sera parti avant que tu aies retrouvé tes esprits.

Or toi seul pourra répondre à ces questions. »

Mais il a secoué la tête en signe de dénégation et je commence à me reprocher ma rudesse quand il me souffle à l’oreille.

- « La DEUXIÈME leçon, Julien, si tu veux bien. J’ai encore quelques jours de vacances devant moi et je compte bien poursuivre ma formation AU-DELÀ de deux leçons, si tu permets. »

* deuxième / seconde : Ces deux mots ont exactement le même sens : qui vient immédiatement après le premier ! Cependant, on distingue une nuance qui peut être de taille selon le sujet abordé. Deuxième s'emploie lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux ; alors que second s'emploie lorsqu'il n'y a pas de troisième.

Alors, que pensez-vous du « retour » de Julien ? Avez-vous du plaisir à le retrouver, à partager ses doutes comme ses enthousiasmes ? Toutes vos remarques, vos regrets comme vos suggestions, vos encouragements sont les bienvenus…

Amical72

amical072@gmail.com

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