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Agriculteur | S20 Payer mes dettes

14 | Me propulser au ciel – Le récit de Julien.

- « Maintenant, je vais te savourer, Julien Bonnet. »

Je crois que c’est exactement ce que j’attendais, qu’il se découvre, qu’il pousse son désir, que j’ai feint d’ignorer, jusqu’en pleine lumière pour que je puisse en disposer à ma guise.

Mais il ne m’en laisse pas le loisir, car il poursuit.

- « Quand je suis sorti de l’institut, tout à l’heure, il fallait impérativement que je baise, pour répondre à la nécessité vitale de me réparer après l’épreuve de mon coming out. Alors qui mieux que Julien Bonnet pour ça ? Lui dont je sais que mes fesses bourrues le font bander. Quelle meilleure queue que la sienne pour me farcir l’oignon à me faire suffoquer ? Pour briser l’aveuglement forcené du petit taureau, réduire son illusion de toute puissance et le ramener à l’écoute des autres comme de lui-même ? »

Il s’est progressivement aplati au ras de la table du dîner comme un félin qui se tapit, distendant ses muscles pour, ensuite, bondir dans un élan décuplé. Sa barbe balayant le plateau est fendue d’un fin sourire tandis que, sous le meuble, son pied reprend lentement l’escalade de l’intérieur de mon mollet, son cou-de-pied effleurant le galbe du muscle puis son pied se casse ajoutant l’estafilade grinçante de l’ongle de son hallux en redescendant.

- « Mais après l’urgence, maintenant que je me suis retrouvé, vient l’heure du banquet, Julien ! Je me sens un appétit d’ogre prêt pour un long moment de ripailles, jusqu’à l’excès. Nul effort ne m’est nécessaire pour me rassembler car cette faim-là m’est naturelle, spontanée. »

Il se tait et son sourire se referme, il suçote sa lèvre inférieure pensivement pendant qu’une lueur guillerette danse dans ses yeux.

Moi, je ne dis rien, j’attends, impassible mais, intérieurement, je relève par avance le défi des vertiges, à répondre à chacune de ses initiatives sans m’en laisser compter, prêt à rendre suffocation pour suffocation.

Écartant ses bras, coudes à l’équerre, il prend appui de ses poings fermés sur le bois fruitier de la table et, sans me quitter des yeux, redresse lentement ses jambes, repoussant vers l’arrière sa chaise qui cahote en tintant sur les tommettes de terre cuite. Je vois se creuser la ligne de sa colonne vertébrale dans son dos bientôt horizontal, jusqu’aux crêtes de son sacrum entre les deux globes de ses fesses, recouverts d’une bourre claire.

Il pousse maintenant sur ses bras et, relevant le torse, semble pointer vers moi le missile orgueilleux de sa bite ; à son extrémité, l’éclat d’une goutte translucide brille sur son méat. Il tend son bras vers moi, paume vers le haut, en guise d’invitation à le rejoindre.

Mon buste pivote légèrement et, m’aidant de la main gauche sur le plateau, du coude droit sur le dossier de ma chaise, je me redresse à la force de mes cuisses, très droit ; ses yeux fixent ma bite qui s’élève lentement, raide et verticale comme une hampe.

Je contourne la table et je m’approche de lui, sa main vient à mon épaule et, paire de joyeux priapes, nous marchons vers la chambre.

Mais arrivés à hauteur du canapé, voilà qu’il s’effondre, genou à terre et, à l’instant, ma queue se voit aspirée par le plus délicieux des pièges ; mes jambes en flageolent. Profitant de ma faiblesse passagère, il me bouscule et je bascule par dessus l’accoudoir, victime d’une offensive conjointe d’une bouche sangsue et de ses mains insaisissables qui me pressent, me palpent, m’explorent en tous sens, me retournent.

Sa bouche vorace délaisse brusquement ma bite qui, baveuse, vient claquer contre mon ventre, pour se ruer sur ma pastille dans une irruption, un envahissement dont on ne peut dénombrer les victimes.

Toutes consentantes, Ô combien !

J’ai cadenassé mes paupières et ouvert grand la bouche pour tenter d’oxygéner mes quelques rares neurones qui ne vibrent pas encore comme des lames de guimbarde.

Et ses mains ! Elles roulent mes couilles, soulèvent mes chairs, branlent ma bite poisseuse, frictionnent mes cuisses. Mais sa langue …

Sa langue se métamorphose sans cesse. Elle est la vague ample qui roule, le flot de rubans soyeux qui s’effiloche, le ver couvert de mucus qui gigote et s’infiltre, le courant indolent qui emporte, la tête de bélier qui force, la clé universelle de toutes les serrures …

Puis, d’un coup, les assaillants semblent s’évanouir.

Leur retour coordonné, mon trou du cul enfoncé par un doigt boutoir, ma bite dévorée par une bouche cannibale, m’arrache un cri que prolonge une plainte misérable, je suis pris en étau, cerné de face et de revers, éreinté par tant de jouissance que j’en ai des fourmillements dans les jambes, des étincelles derrière les paupières, des roulements de timbales dans la poitrine.

Puis, à nouveau, plus rien ! Une gélatine de fraîcheur vide me recouvre, je frissonne. J’ouvre les yeux pour découvrir sa jolie bite cambrée qui oscille devant mes yeux et …

Mais sa main m’empoigne, me redresse ; son bras me soutient pour quelques pas, jusqu’au rétrécissement du chambranle qui nous colle l’un à l’autre, son bassin pressé contre le mien, nos deux barres rougies, dressées, parallèles et, au milieu du bâillon de sa barbe, sa langue m’envahit pour se nouer à la mienne dans une valse tournoyante, éperdue qui me laisse sans souffle alors qu’il m’entraîne dans la pénombre et m’envoie m’affaler sur le matelas.

Je rebondis quand il saute à mes côtés et j’entrevois le bref éclat de sa bite luisante. Ma main s’en saisit, je l’embouche, l’aspire sauvagement.

Las ! Ses deux pognes m’ont ouvert les cuisses en ciseau et sa large et lourde langue s’est abattue sur ma bite, écrasée sur le frein, comme pour en exprimer le moindre suc, éteindre le battement sourd qui la fait vibrante.

Puis elle se fait légère, courant en sautillant sur ma hampe ; ses lèvres gobent mes couilles, l’une puis l’autre, sa bouche les roule et, sa main enroulant alors mon rein d’un coup, sa langue revient envahir ma corolle en lourde division blindée vibrante, tonitruante, imposante, indiscrète. Nul espoir de s’y soustraire et, dans un geignement de dépit, j’en délaisse son sucre d’orge suintant qui me barre le visage d’un trait gluant et chaud.

Tout s’arrête alors et il rit doucement, est-ce en réponse à mes geignements d’enfant pleurnichant de se voir brutalement sevré ?

Ses doigts relèvent délicatement ma queue tendue à me faire mal et, taquin, il la léchouille, la bisouille, la suçote et, insensiblement, la gaine, la cajole dans des flots de soieries voluptueuses, l’avale jusqu’à la glotte, jusqu’au réflexe de déglutition, le haut le cœur qui me contraint merveilleusement contre son palais.

C’est alors que son pouce repoussant les portes de mon intimité fait son entrée triomphale et me sidère. Je m’en étouffe, ébloui, halluciné, hagard. Je me retrouve âme errante dans les limbes.

Il a bondi, accroupi sur ses genoux à mes côtés, son buste pivotant vers le chevet et, docilement, je m’attends à ce qu’il achève de disposer de moi en jouet dont il a usé de si époustouflante façon que je lui suis absolument disponible, acquis, dévoué.

Sa main s’empare de ma bite demi-flasque, il rit, l’agite. Sa bouche souveraine vient lui redonner toute sa vigueur en quelques allers-retours que son poignet confirme.

Déchirant alors l’étui d’un sec coup de dent, il me capote prestement et m’enjambe. Dressé à califourchon, s’aidant de ses mains dans ses reins, en contrôlant sa ventilation, profonde, sonore, il s’embroche religieusement sur mon épieu dressé comme sur un mat votif qu’il dévore et enferme dans l’étui étroit mais délicieux de ses entrailles.

J’en suspends mon souffle, comme si le moindre écart, ma plus petite intervention forcément intempestive risquait mettre fin à cet instant magique auquel il me semble que je ne dois d’être associé qu’à une commodité, une proximité, un hasard tout au plus, comme si entre deux éclairs de volupté éblouissante se ranimait mon incrédulité atavique, ce sentiment d’éternelle illégitimité, pourquoi moi ? Pourquoi cette chance ?

Ainsi que ma gratitude. Infinie.

Je regarde cet homme puissant se caresser sur ma bite jusqu’à l’extase, me dispensant en retour des frissons telluriques qui résonnent tantôt sombres comme des tambours tantôt clairs comme des trompettes. Mon étonnement d’en être l’instrument, pimenté par une vague crainte d’avoir , « peut-être », « en partie » ..., usurpé ce rôle ajoute à mon émerveillement et à ma fierté de le tenir sans trop démériter.

C’est alors qu’il bascule sur moi et vient me souffler.

- « Putain Julien, ce que je préfère avec toi, c’est tout le bien que tu me fais avec ta queue. »

Mais c’est pour aussitôt réclamer.

- « Bourre-moi le cul maintenant, comme tu sais faire. »

Il a roulé sur le côté et s’est mis en position de prière, les épaules dans le matelas, les genoux rassemblés sous lui pour soulever son cul somptueux, la pleine Lune en offrande. Je me rétablis à genoux et je le contemple, la plante fripée de ses pieds en canard, son cul charnu et bourru, la ligne de son dos, ses larges épaules, ses bras repliés et ses mains croisées sur quoi repose son front. Il est ainsi paré à résister à mes assauts les plus vigoureux. Je promène ma main sur lui, bien à plat, en souplesse pour épouser les reliefs, les yeux fermés pour en appréhender le grain de peau, le glabre et le poilu, le dur de l’os et l’élastique de la chair, un corps d’homme vivant, gourmand, tonique.

Sa simple demande m’a rendu mon esprit de décision, ma maîtrise.

- « Pas comme ça ! »

Je saute du lit. De chaque côté de son bassin, mes deux mains empoignent le haut ses cuisses qui s’ouvrent quand je l’attire à moi jusqu’à placer ses fesses en surplomb, son buste s’étire, ses bras sont à la traîne. D’une main, je redresse sa bite flaccide que j’engloutis avidement ; de l’autre, le pouce vient discrètement garder toute sa disponibilité à son anneau. Je le suce, je le lèche, je le pompe énergiquement avec tout mon savoir-faire et quand je me redresse, mes doigts font ripper sa belle tige raide qui claque sur son ventre. Démonstration.

Aussitôt, il contracte ses abdos, referme ses épaules pour s’en emparer et l’astiquer tandis qu’il relève ses jambes en les écartant et, rabattant du plat de la main ma queue en éperon, j’avance le bassin pour la nicher. Nos yeux se connectent et mes deux mains, doigts ouverts en U viennent à ses creux poplités soutenir son V instable tandis que je bascule mon poids vers l’avant, envahissant lentement son conduit resserré tandis que son poignet s’active frénétiquement.

Je le tiens fermement empalé sur ma queue, tandis que la tête rejetée vers l’arrière, paupières mi-closes, il se branle virilement d’une main en pétrissant ses couilles de l’autre. Et je comprends ce que les aficionados éprouvent dans les gradins, ce vertige, ce tourbillon, ces cris.

Quand il casse sa nuque, les masséters durcis, saillants sous sa barbe, que sa main se desserre autour de sa tige rougie et ralentit le rythme des à-coups, que ses yeux reviennent dans les miens, remplis de détermination farouche, j’amorce de coulisser en lui, souplement, langoureusement, m’offrant le luxe d’une lenteur calculée tant mon hégémonie masculine est sans conteste possible.

Je le fais reluire et il vibre, râle, geint, résiste autant qu’il peut ; il n’en peut mais, secoué de frissons, soulevé par des contractions irrépressibles, achevant sa branlette forcenée, dents serrées, mugissant en explosant, s’aspergeant d’apostrophes laiteuses quand j’affermis mes prises pour lui administrer quelques coups de reins secs et définitifs avant de m’écrouler à mon tour, tétanisé, secoué de sursauts sporadiques, de sauts de carpe sortie de l’eau qui le font rire.

Il m’a pris dans ses bras, nous a remontés sur le lit en se collant, se frottant à moi pour nous baptiser équitablement de son foutre, me couvrant le visage de bécots, de léchouilles agrémentés de quelques noms d’oiseaux, de soupirs satisfaits, de commentaires sur mes prétendues « performances », de promesses et de projets.

- « Tant que ta queue saura me propulser au ciel de la sorte, j’en reste un fidèle abonné, ma bite préférant se planter dans des culs plus juvéniles ! Pourquoi ne pas les partager d’ailleurs, comme Joris, te souviens-tu de lui ? Jouer tous les deux avec un gentil garçon ouvert et gourmand … Putain, Julien, la vie est trop brève, profitons-en ensemble, qu’en dis-tu ? »

Je suis alors traversé par une bouffée de plénitude comme si notre étreinte avait été si totale qu’elle avait – provisoirement- éloigné de nous la brutalité du monde. Nous nous frottons l’un à l’autre, nous nettoyant mutuellement comme des chats, sans parvenir à nous décoller l’un de l’autre, les bras de Jérôme me ramenant sans cesse à lui sans que je m’en défende vraiment. Nous nous sommes coulés sous la couette pour nous blottir dans le douillet et le sommeil nous a gagné.

Tels quels.

Amical72

amical072@gmail.com

Filmé en 2004, à Leipzig pour son 70ème anniversaire, le pianiste français Jacques Loussier nous interprète à sa manière, joyeuse et dynamisante « Bach and more »

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