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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Abandon total

Chapitre-5

Le week-end dernier, le maître m’a convoqué. Lorsque j’arrivai chez lui, il ne me laissa pas le temps de sonner qu’il ouvrait déjà la porte. Lorsque je me retrouvai près de lui, le musc de son odeur m’enivra. Il me plaqua contre le mur et força ma bouche avec sa langue. Puis les yeux plantés dans les miens, il m’annonça qu’il avait une surprise pour moi. Il m’invita dans son salon où un paquet m’attendait. J’ouvris le sac et en sortis son contenu. Je ne dis mot en découvrant la surprise en question.

- Mets ça que je vois c’que ça donne.

J’obéis et commençai par retirer mes vêtements. Le maitre me regardait amusé, puis un large sourire fendit son visage lorsque je me présentai à lui.

- Voilà une tenue parfaite pour ce soir !

- Regarde-toi dans la glace, et dis-moi comment tu te trouves.

J’observais mon reflet lentement. Le maître avait déniché un ensemble cuir : jock et harnais. Les lanières en cuir noir enveloppaient délicatement mon corps. Le jock faisait ressortir mes petites fesses rebondies, alors même que le harnais s’enroulait autour de mes épaules et me donnait un air plus …mâle. Le maître se rapprocha de moi, puis il s’agenouilla et baissa le jock. Il saisit ma queue qu’il orna d’un anneau auquel il fixa deux autres lanières qui partaient du dos et revenaient vers l’avant. Puis il enferma ma verge dans sa cage et remonta le jock.

- Maintenant tu es parfait pour la soirée que je nous ai préparée. En voiture !

Après plusieurs minutes de trajet, le maître gara son véhicule dans la cour d’une maison isolée, bordée d’arbres et de haies. D’autres véhicules stationnaient déjà. Au fond de la cour à droite, une faible lueur guidait nos pas jusqu’à la porte. La porte s’ouvrit et le maitre me guida à travers le dédale de couloirs jusqu’à un vestiaire où il s’assura de sa tenue, puis il m’enjoignit à le suivre. L’éclairage était faible, je devinais des ombres dans les recoins sombres près desquels nous passions. Des portes percées d’une grille laissaient échapper des bruits de coït et de frottements. Enfin, nous arrivâmes au salon. Une grande pièce avec des tables, des tabourets et un bar fournit où se tenaient accoudés devant leurs bières plusieurs mecs. Habillés pour la circonstance, tous arboraient fièrement le cuir d’un pantalon et d’une veste, d’une chemise et de harnais. Un vrai défilé de mode. J’interrogeai du regard le maître qui ignora mon questionnement et m’offrit un verre.

- J’avais envie de te voir ici, et te faire découvrir le lieu. Charmant, non ?

- Oui, …

- On va bien s’amuser tu vas voir.

Alors il m’entraina dans un autre couloir qui desservait des cellules. Matelas, sling, cheval d’arçon ou croix de St andré. Il y en avait pour tous les goûts. Le maitre s’arrêta devant une grille. Je regardais et vis un siège avec des étriers.

- Je te verrai bien assis là-dedans.

- …

- Allez, va t’installer.

Docile, je poussais la grille, et vins m’assoir sur le siège. Je remontai mes jambes que je calais dans les étriers. Pour que la position soit confortable, je dus m’installer près du bord de l’assise. Quand je relevai mes jambes, mon cul s’offrait à tous les regards. Le maitre devina mon trouble.

- On va juste s’amuser un peu. On va leur montrer comment on s’amuse bien tous les deux, ok ?

J’acquiesçais. Puis le maitre attira à lui le tabouret qui restait dans un coin. Il le plaça devant moi et s’assit entre mes jambes. Je pouvais voir qu’il regardait avec avidité ma rondelle offerte.

- Le spectacle est très prometteur.

Ses yeux brillaient de malice. Il caressa mes jambes, et ses mains habiles remontèrent le long de mes jambes jusqu’à caresser l’intérieur de mes cuisses puis les doigts glissèrent dans ma raie après avoir effleuré mes bourses captives du jock. Les doigts frottèrent en cercle ma rondelle.

- Tout cela s’annonce très bien. Attends-moi là, je reviens.

Le maitre sortit de la cellule et verrouilla la grille derrière lui. J’appuyais ma tête contre le dossier et regardais autour de moi. Quelques ombres passaient, jetaient un œil à travers la grille puis passaient leur chemin. Je pouvais entendre des soupirs étouffés venir de derrière moi. Je ne savais pas d’où ils provenaient. Puis le bruit d’une grille qui s’ouvre me fit me redresser. Le maitre arriva derrière moi.

Il caressa mes épaules et mon torse, pinça un téton, puis se rassit tout sourire.

- Voyons voir où tu en es de tes leçons.

D’un doigt ferme le maitre malaxa ma rondelle. Il appuyait légèrement pour détendre la membrane qui céda facilement sous la caresse. Puis je le vis verser une généreuse quantité de gel sur sa main qui tartina ma raie du liquide. Les doigts reprirent leur danse autour de mon œillet qui se détendait. Trois doigts massaient ma rondelle et je me laissais aller contre cette douce chaleur apaisante. Puis un doigt poussa la porte de ma caverne. Quelques va-et-vient solitaires suffirent pour inviter un deuxième doigt en moi. Le maitre ouvrait délicatement ma rondelle. Les doigts entraient et sortaient jusqu’au moment où le maitre poussa un troisième doigt.

- Allez, tout en douceur, laisse-toi aller, et laisse-moi entrer.

Mon trou obéit, et le maitre glissait facilement ses doigts en moi. Alors le maitre présenta la corole de ses cinq doigts et appuya sur ma rondelle.

Celle-ci commençait à s’ouvrir généreusement. Les caresses avaient raison de moi, une fois encore. Je m’enfonçais dans cette douce volupté et mon corps, affamé, réclamait sa ration.

C’est à ce moment que je sentis quelque chose pousser contre mon œillet. Un gode de beau calibre s’engouffra dans mon trou et m’offrit mes premiers soupirs. Le maitre joua un moment avec l’engin, et après l’avoir fait longuement coulisser en moi, il jugea bon de le retirer et de jouer avec mon trou jusqu’à le laisser parfaitement ouvert.

- Tu as bien appris ta leçon, mon p’tit bâtard.

- Merci maitre.

- Tu as mérité une récompense.

- Merci maitre.

- Voilà pour toi.

Alors, il posa contre mon orifice ouvert, un membre plus imposant. Doucement, il le poussa en moi. Mon cul s’élargissait pour absorber le mastodonte. Après plusieurs inspirations, et le temps de m’habituer, le maitre joua de l’objet. Le gode fit quelques pas timides, puis, lorsque ma rondelle fut domptée, le gode me pénétra de plus en plus profondément, et glissa en moi sur toute sa longueur. Je me cramponnais au siège tant je me délectais de ce jeu.

Je ne prêtais plus attention aux allers et venues dans les couloirs. Je me concentrais sur le cuir du siège, l’odeur du cuir qui m’excitait et le regard du maitre qui ne cessait de briller.

Puis les doigts reprirent leur course. Trois d’un coup. Ils fouillaient ma caverne. Tiraient sur mon œillet et quand un quatrième doigt le franchit, je me sentais tout à mon aise.

Le maitre travailla mon cul encore un moment.

- Tu as vu ?

- …

- Nous avons des spectateurs…

- …

- Je vais leur montrer comment on ouvre un petit trou. Tu veux bien ?

- Oui maitre.

- Je vais l’ouvrir bien à fond.

- Oui maitre

- Comme tu aimes.

Le maitre positionna ses doigts tendus contre mon trou. Il les poussait et les retirait. Petit à petit, la couronne de ma rondelle s’étala. Je la sentais s’agrandir à mesure que les doigts s’avançaient un peu plus loin en moi. Je soupirais de bien-être.

Puis ma rondelle se retint contre la jointure des doigts.

- Tout doucement. Tu vas prendre le temps de me laisser entrer.

Le maitre me rassurait. Il m’accompagnait dans cette ascension de plaisir. À chaque étape, il savait se montrer doux et ferme. Toujours à l’écoute.

Sa main appuyait contre ma rondelle. Elle tournait à peine. De sa main libre, le maitre flattait mon œillet. L’envie de le sentir me remplir montait en moi. Cette folle envie me grisait. Je voulais lui appartenir, et montrer aux voyeurs l’absolu contrôle que le maitre avait sur moi.

- Allez. C’est quand tu veux. Tu sais que tu peux le faire.

Je soufflais et poussais contre la main. Les doigts tendus se figèrent en moi. Puis soudain, ma rondelle s’ouvrit. Mon trou aspira la main et se referma sur le poignet du maitre.

- Très bien. C’est très bien mon p’tit bâtard.

Puis le maitre bougea sa main en moi. De légers mouvements qui me firent chavirer. Cela m’apparut grandiose.

- Ma main est toute entière en toi. Tu la sens ?

- Oui maitre.

- Je vais la retirer doucement.

À ce moment-là, mon trou s’étira de l’intérieur. Le maitre resta un instant dans cette position. Puis il repoussa sa main en moi. Je respirais fort, cette sensation d’être rempli me faisait déborder de plaisir. Puis le maitre regarda par-dessus moi. Lorsque son regard revint à moi, il m’interrogea.

- Je crois que tu as un admirateur. Tu veux bien que je laisse entrer ?

- Oui maitre.

Il lui suffit d’un hochement de tête, et je sentis une nouvelle présence près de moi. Des mains épaisses se posèrent sur mes épaules. Elles étaient chaudes et fermes. L’homme caressa mes bras et mon torse, s’arrêta sur mes tétons.

Le maitre toujours affairé dans mon cul ne me quittait pas des yeux. L’autre fit le tour et s’agenouilla près du maitre. Visage rond, barbe fournie, il sourit lorsqu’il vit de près ce qui provoquait mes soupirs.

- Tu l’as bien ouvert, ce p’tit trou.

- Ouais. Tu veux en profiter ?

- Si tu me le proposes, je dis pas non.

Doucement, la main du maitre quitta mon trou. Je me sentais vide. Comme si on m’avait amputé.

J’observais le changement de position entre le maitre et l’invité. Le maitre s’installa à droite et observa l’invité prendre possession de ma raie. Il poussa deux doigts en moi. Deux doigts plus courts mais plus gros que ceux du maitre. Très doucement il les fit tourner dans mon conduit.

- Dis-donc, ton esclave est déjà bien ouvert.

- Oui, il progresse vite.

- Il est docile ?

- Très. Il obéit bien.

Un troisième doigt remplit mon trou. Des gémissements de plaisir sortaient de ma bouche.

- Tu peux continuer, tu sais.

- Tu crois ?

- Ouais. Tu peux ouvrir son cul.

- Dans ce cas. Voyons ce que ça fait.

L’invité offrit ses doigts à mon cul. Je les sentais bien plus gros que ceux du maitre. Pourtant ma rondelle enfla. Doucement, elle s’étira sur les doigts qui la fendaient. Le maitre m’avait déjà bien détendu, et je me sentais prêt à recommencer. Les doigts se tendirent, et très vite une forte pression poussa contre ma rondelle.

- Mais c’est qu’il est gourmand, dis donc.

- Ouais, il a un fort potentiel.

- Je vois ça. Il gobe mes doigts comme un bon esclave.

Je redoublais de gémissements, à mesure que ma rondelle se dilatait. Je sentais l’ouverture se faire. Ça prenait du temps. La main de l’invité était bien plus massive. La paume appuyait lourdement contre mon fourreau.

- Vas-y, détends-toi et laisse-moi entrer.

- Montre-lui de quoi tu es capable.

- Ça y est presque…

Mon cul me tiraillait. Ma rondelle s’élargissait encore et encore. Je sentais les doigts et la paume qui agrandissaient mon trou.

- Tu veux qu’il la mette toute entière ?

- Oui maitre.

Alors, mon trou s’ouvrit. Enfin, la main glissa en moi, élargissant sur son passage mon conduit. Un son rauque monta du fond de ma gorge. Mon cul palpitait autour de cette main, épaisse et massive. Le temps s’arrêta un instant. Mon trou suspendu à l’intense pénétration. Ma caverne s’habituait peu à peu. Je reprenais ma respiration progressivement. Puis l’invité bougea doucement en moi. La main ressortit de mon cul puis le pourfendit à nouveau. Je tombais en extase à chaque mouvement. Plus courte mais plus large, mon trou s’étalait de toute sa splendeur.

- Ça te plait ?

- Il adore ça.

Je me sentais rempli. Je jouissais de me faire posséder entièrement par deux maitres. Mon cul leur appartenait. Ils en profitèrent toute la soirée. Plusieurs fois, ils échangèrent leur place et me prirent à tour de rôle. Une main longue alternait avec une main large. Ma rondelle s’étirait et aspirait de plus en plus facilement les visiteurs. Le maitre et notre invité s’extasiaient de mes progrès.

- Oh ce que tu prends bien !

Le visiteur m’encourageait et n’en revenait pas.

- Son cul est fait pour ça !

Il me remplissait, et le plaisir me faisait quitter terre. Mon corps, mû par je ne sais quelle force, réclamait les étreintes fortes et puissantes. Je jouis à plusieurs reprises. Mon cul, gavé et exploité comme jamais, m’avait accordé une intensité encore plus extrême dans les vapeurs du ravissement charnel.

La soirée se prolongea tard dans la nuit. Le maitre nous offrit en spectacle plusieurs fois. Lorsque nous quittâmes les lieux, j’étais épuisé. Mais j’avais déjà hâte de retrouver le maître pour une prochaine leçon.

Vous avez aimé cette histoire, vous avez des suggestions, n’hésitez pas, écrivez-moi.

Balthazar

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