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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Abandon total

Chapitre-4

J’avais quitté le maitre groggy. Les jambes ankylosées, les muscles tétanisés par la position contrainte. Mais aussi avec des marques aux poignets et aux chevilles. Sans oublier l’état de ma rondelle. Le feu brûlait encore dans mes entrailles. Je pouvais encore sentir la présence du maitre en moi. Rien qu’à l’évocation de ce souvenir, le désir montait et ma rondelle, même cuisante, souhaitait encore connaitre le bonheur de la dilatation.

Le maitre prit plusieurs fois de mes nouvelles. Il voulait s’assurer que la dernière leçon m’avait plu. Je le rassurais aussitôt et quelques jours plus tard, le maitre me convia pour une leçon supplémentaire.

Lorsque je me présentais chez lui, il portait une tenue en cuir qui lui allait divinement bien. Le pantalon moulait parfaitement ses cuisses puissantes, le gros ceinturon marquait avantageusement son torse et, surtout, attirait l’œil vers le gros paquet de son entrejambe.

Aussitôt la porte fermée, le maitre me planqua au mur et me roula une pelle. Sa langue fendit ma bouche et sa bouche m’aspira. Ses mains fortes retinrent mes bras au-dessus de ma tête. Alors il planta ses yeux dans les miens.

- Tu es à moi Balthazar.

- Oui maitre.

- Tu ne peux plus te passer de moi, pas vrai ?

- Oui maitre. Vous me manquez énormément quand je ne suis pas avec vous.

- C’est très gentil ça. Et tu penses à moi souvent ?

- Tout le temps maitre. De jour comme de nuit.

Il sourit à mes propos. Ce type m’envoutait. De tous ceux que j’avais connu, et la liste était longue, celui-ci avait un truc en plus. Une attirance à laquelle je ne pouvais résister. Il était là, devant moi, son torse collé au mien, ses mains retenant les miennes, et son odeur, sa présence m’enivraient. Il m’hypnotisait.

- Viens. C’est l’heure de ta leçon.

- Oui maitre.

- Tu es prêt ?

- Oui maitre

Je le suivis jusqu’à l’étage. Après le rituel de la douche et du lavement, le maitre me demanda de rester debout devant lui. Il installa lui-même la cage de chasteté. Elle retenait fermement ma queue et la contractait entre ses anneaux. Le maitre avait pris soin d’envelopper mes couilles dans un étireur

- Maintenant on sait tous les deux que tu peux jouir juste avec ton cul. Pas vrai ?

- Oui maitre.

- T’as plus besoin de ta queue, alors autant l’enfermer !

- Oui maitre.

Il contempla le spectacle puis sourit.

- Dis-moi, p’tit gars, t’as aimé que je t’attache ?

- Oui maitre. J’ai beaucoup aimé.

- Et ça t’a fait quoi ?

- Je me sentais vous appartenir, et j’ai pu me concentrer sur le plaisir. C’était comme si j’étais en apesanteur.

- Ça te dirait de recommencer ?

- Avec plaisir, maitre. Je suis là pour vous obéir. Et pour apprendre.

- Mets-toi à genou sur le tapis !

Il s’approcha de moi, et colla son entrejambe sur mon visage. Je sniffais le cuir qui se tendait sous la bosse qu’il maintenait.

- T’as vu l’effet que tu m’fais, p’tit bâtard ?!

- Oui maitre.

- Lèche mes bottes.

Je ne répondis pas, et m’abaissais pour obéir. J’hésitai. Qu’allais-je encore apprendre sur moi ? Qu’avait-il vu en moi que j’ignorais ?

- Allez, p’tit bâtard !

J’inspirais profondément et me penchais.

- M’oblige pas à te demander encore une fois ! Lèche mes bottes !

Alors que ma tête approchait des bottes, le maitre appuya sur ma tête.

Penché en avant, les mains au sol et le cul relevé, je tirai la langue et déposai de la salive. Puis je léchai le cuir épais. Je commençai par le bout de la botte puis remontai le long du mollet. Je fis pareil sur l’autre botte.

- T’as encore du mal à obéir parfois ! Mais ça va, tu t’es bien rattrapé ! Redresse-toi !

Je m’arrêtai aussi sec et me redressai. Je relevai la tête et plongeai mes yeux implorants dans le regard dur de mon maitre.

- Pardonnez-moi, maitre. Ça ne se reproduira plus.

- Baisse les yeux et mets tes mains derrière le dos.

Il passa derrière moi et attacha mes mains. Les liens étaient bien serrés.je les sentais qui tiraient sur la peau des poignets. J’avais vexé le maitre, et il voulait bien me le faire comprendre.

- Je vais te dresser, sale petit bâtard !

- …

- Tu vas apprendre à obéir ! C’est moi qui te le dis !

Et il me poussa en avant. J’avais le visage contre le tapis, les genoux à peine écartés et le cul bombé. C’est à ce moment-là que la première claque tomba. Elle siffla fort sur mon cul. Ma fesse me brûla, et de surprise et de douleur. Le maitre y était allé fort. La deuxième claqua sur mon autre fesse.

Instinctivement, je voulais me recroqueviller, mais le maitre ordonna de garder la position.

- Et tends bien ton cul ! tiens, celle-là tu l’as pas volée !

Une nouvelle claque frappa mon fessier offert.

- C’est qui le maitre ici ?

- Vous monsieur.

- Bien. Tu vas obéir maintenant ?

- Oui maitre.

Il me tournait autour. Il appuya une de ses bottes sur ma tête.

- Tu vas être un bon petit bâtard qui va bien obéir, n’est-ce pas ?!

- Oui maitre.

Je balbutiais, les larmes me montaient aux yeux. Je ne savais pas si j’aimais cette leçon. Je ne me sentais pas à ma place.

- Lèche !

Il m’offrit à nouveau sa botte. Je lapais du mieux que je pus. Je m’appliquais en espérant que cela cesse rapidement. Cette partie-là ne me plaisait pas. Mais j’étais venu apprendre, alors j’apprenais. Le maitre bougea un peu et tendit son autre botte. Il n’eut pas besoin de demander, que je m’affairais à lécher le cuir et tendre mon cul le plus haut possible. Et pendant que ma langue et ma bouche lustraient les bottes, je sentis une caresse sur mes fesses, puis le long de ma raie. Puis une légère tape, ferme, rapide. Un peu comme un pincement.

- Je vois que tu t’es décidé à être sage. C’est bien.

La cravache frappa encore. Machinalement, je me dandinais et mon cul reçut avec plaisir un autre coup un peu plus fort.

- Voilà qui est très encourageant. On dirait que tu finis par apprécier.

Je poursuivais mon office sur les bottes, les pointes, les côtés, je léchais et bavais dessus, alors que mon cul et ma raie chauffaient sous le claquement de la cravache.

- Si tu voyais ton cul. Il est tout rouge. Ça te plait ?

- Oui maitre.

- Oui, t’es un bon p’tit bâtard, hein. Montre-moi ta raie.

Je me cambrais et le maitre se déplaça pour observer. Je sentais ses yeux reluquer mon fion. Il passa une main sur mes fesses. Puis il frappa. Un coup franc et sec.

- Rien de tel qu’une petite correction pour rappeler qui commande.

- Oui maitre.

- Pousse un peu sur ta rondelle.

Du bout de la cravache, il caressa ma rosette.

- Très prometteur. Toute belle et toute rose. Prête à servir.

- Oui maitre.

- Oui quoi ?

- Faites…faites-lui tout ce qu’il vous plaira.

Le maitre souffla sur ma rondelle et poussa sa langue contre elle. Il m’offrit un moment délicieux où de sa bouche il détendit ma rondelle. Je m’offrais à lui une nouvelle fois.

Alors que je gémissais, le maitre s’arrêta.

- Oh, il faut pas grand-chose pour que ta rondelle se délie. Tu sens comme elle prend bien ?

Et là, il glissa deux doigts en moi. Il les fit tourner, et ma rondelle, enveloppée de salive, accueillit les visiteurs avec bonheur. Maintenant je me laissais aller et le maitre branlait mon trou délicatement.

Puis il s’écarta, libérant mon orifice de ses doigts. Je l’entendis se lever et venir devant moi. Il m’aida à me redresser sur les genoux. Son regard hypnotique fut plongé dans le mien. D’une main ferme, il tenait mon visage vers le sien.

- Dis-moi c’qu’tu veux, p’tit mec.

- Je veux vous appartenir, maitre.

- Je sais. Mais que veux-tu que je te fasse ?

- Prenez-moi entièrement, maitre.

- Bien sûr que je vais te prendre. Je vais exploiter ton fion. C’est bien c’qu’t’es venu chercher ?

- Oui maitre.

- Dis-le, p’tit bâtard. Dis que tu veux que je te remplisse le trou.

- Oui maitre. Étirez ma rondelle s’il vous plait.

- Évidemment, c’est ça que tu veux, hein ?

- Oui maitre.

- Une grosse dilatation de ton petit trou.

- Oui maitre.

- Mais tu sais que pour ça, tu dois obéir.

- Oui maitre.

Il se retourna et attrapa un objet que je n’identifiais pas immédiatement. Le maitre m’éclaira. Il s’agissait d’un bâillon écarteur de bouche.

- Tu vas ouvrir la bouche que je puisse l’insérer correctement et le fixer derrière. Parfait.

Les larges courroies en cuir passaient sur mes joues. Dans ma bouche le métal de l’anneau se réchauffa vite. Un son incompréhensible sortit de ma bouche. J’acceptais le jeu.

- Tire la langue pour voir.

J’essayais, mais avec l’anneau dans la bouche, j’avais du mal. Le maitre sourit et dégrafa son pantalon. Il présenta son sexe bandé devant moi. Il le passa devant ma bouche, sur mes lèvres et l’introduit dans ma bouche.

- Voilà qui est amusant. Une bouche toujours ouverte pour sucer ma queue !

- …

Le maitre se mit à genou devant moi. Il scrutait mon visage. Ses yeux détaillaient mes traits. Avec ses doigts, il suivit le contour de mon visage. Mes yeux, d’abord, puis les joues. Il fit le tour de mes lèvres. Il approcha et les lécha. Puis il glissa ses doigts dans ma bouche. Ils visitèrent ma cavité. Touchèrent ma langue, mes dents. L’intérieur de mes joues aussi. Puis il les enfonça. J’éprouvais des difficultés à déglutir. Le maitre savait ce qu’il faisait. Il me dominait. Il savait l’inconfort que je ressentais, mais aussi comment le rendre excitant. Il joua encore autour de ma bouche.

Ses doigts humides de salive glissèrent sur mon tour. Ils trouvèrent un téton qu’ils pincèrent jusqu’à le raidir. Puis ils trouvèrent le second. Des deux mains, le maitre titillait mes tétons. Il les pinçait, les étirait, parfois doucement, parfois fort. Je gémissais sous les caresses ardentes.

Le maitre chercha quelque chose dans sa poche. Il l’approcha de mon visage. La tige métallique parcourut mon visage et finit sa course sur ma bouche. Le maitre la fit descendre jusqu’à mon téton où il fixa la pince. Je tressaillis sous l’effet du pincement. Lorsque la deuxième pince rejoignit l’autre téton je soupirai d’extase.

- Oh oui, mon p’tit bâtard, tu m’appartiens. Je sais que ça te plait.

Il joua avec les pinces. Je soufflais mon contentement.

- Et tu sais quoi ? Je vais relier les pinces à ton bâillon. Regarde.

Le maitre me montrait deux chaines. D’abord, il en glissa une dans une des boucles de la courroie du bâillon, puis l’autre dans la suivante, et de là, il y attacha les deux pinces.

Le poids de la chaine alourdissait les pinces qui tiraient sur mes tétons. Un délicieux supplice. Le délice réside dans le léger pincement qui procure un agacement fugace. Le supplice lui tire sa force dans la durée. Plus je garde les pinces, plus le plaisir s’intensifie.

Le maitre caressa mon ventre et se colla à moi et m’attira un plus vers lui. Son torse appuya sur les pinces, et des deux mains, le maitre enveloppa mes fesses. Doigts dans la raie, le maitre se frotta. Les pinces tiraient leur délicate douleur alors que les doigts tâtaient ma rondelle.

Je soupirais et gémissais de plaisir.

- Oh délicieux Balthazar. Tu veux bien être mon esclave ?

Je grommelais la gueule ouverte une affirmation qui ravit mon maitre.

- Accepte tout ce que je demande et tout ce que je te fais. Ok ?

J’arrivais à lâcher un oui. Clair et sûr.

- Parfait. Regarde-moi.

Le maitre se leva et tira mon visage à lui. Il cracha sur ma gueule. Une coulée de salive pleura de ma joue sur mes lèvres. La fois suivante, il visa directement dans ma gueule.

Il lécha trois doigts qu’il enfila dans ma bouche béante.

- Allez, penche-toi en avant, tête au sol.

J’obéis. J’écartai les genoux et plongeai vers le tapis. Le maitre passa derrière moi. D’une main ferme, il claqua une de mes fesses, puis appuya une de ses bottes dans ma raie. Il frotta le bout de sa pompe contre ma rondelle.

- Mais on dirait qu’elle en veut ta rondelle, hein ?

- Oui

Il s’agenouilla et présenta la corolle de ses doigts contre mon trou.

- C’est ça que tu veux ? me demanda-t-il alors qu’il poussait la corolle contre ma rondelle.

- Ou alors ça ? Je sentis son poing fermé appuyer sur ma rondelle.

- Ooooh

- Patience, ça va venir.

Il retira le poing et caressa ma rondelle tendrement. Du gel coula généreusement. Les doigts très vite me fouillèrent. Ma rondelle s’extasiait et s’ouvrait devant les visiteurs habitués des lieux maintenant. Ils n’étaient pas trop de trois même quatre pour étirer mon petit trou. Puis le maitre se positionna sur les genoux.

- Allez, montre à ton maitre ce que tu as appris. Pousse.

Les doigts glissèrent en moi. Je sentis le tiraillement lorsque le pouce se lova dans la paume. Ma rondelle s’étala un peu plus. Puis le maitre avança encore, jusqu’à la base des doigts. À nouveau l’indescriptible se produisit. Mon trou s’écarta complètement pour engloutir la main. Je râlais de plaisir sous la pression tant attendue. Le gel suintait de mon trou. Le maitre fourrageait dans mon fion. Il me remplissait de sa puissante main. Je m’évaporais totalement dans cette nuée de plaisir. Puis le maitre retira sa main. Il cajola mon trou.

- Quel spectacle prodigieux.

- Merci

- Tu sais que j’aime voir ton trou s’ouvrir quand je m’engouffre dedans. Et maintenant, il essaie de fermer. C’est charmant.

Je soufflais. À chaque fois c’était pareil. J’appréhendais le moment où le maitre pousserait sa main, et à chaque fois, le maitre ouvrait mon trou avec une facilité déconcertante.

Le maitre se coucha sur moi. Il m’embrassa. Puis il détacha le bâillon et libéra mes mains. Alors il proposa une pause. Bien méritée, si vous voulez mon avis !

- Cette séance était bien. Sauf au début. T’as eu du mal à obéir.

- Oui. J’étais pas à l’aise avec le fait de lécher tes bottes.

- Mais après, tu l’as fait, non ?

- Oui. Je me suis dit, après tout, c’est qu’un jeu.

- Exactement. Les liens ça va. J’ai vu que ça te plaisait.

- Oui, et puis là, c’était tranquille. Les mains dans le dos, c’est rien.

- Le bâillon et les pinces aussi.

- Ouais, c’est carrément sympa. Franchement, j’ai bien kiffé.

- J’ai vu. Quand j’ai commencé à toucher ta rondelle en même temps que je jouais avec les pinces. J’ai senti le feu.

- Moi aussi.

- Ton cul s’est ouvert. C’était magique.

Je ris. Le maitre buvait tranquillement son verre d’eau et continua à détailler cette leçon. Il me sentait toujours inquiet quand il présentait sa main à mon trou.

- Tu sais que tu l'as déjà fait, tu sais ce que ça va te faire. Tu sais aussi que tu aimes bien ça.

- Oui, je sais. Mais c'est tellement intense. Je ne contrôle rien.

- J'ai bien vu. D'un coup, tu te laisses aller et boum, c'est l'explosion.

- Je n'arrive pas à décrire ce que je ressens à ce moment.

- Quand je rentre ?

- Oui. Quand ta main est en moi. Que ma rondelle est totalement dilatée, ça me rend dingue.

- Et moi j'adore quand tu te lâches.

Nous étions allongés sur le tapis. Je portais encore la cage de chasteté. Le maître avait retiré les pinces de mes tétons. Ses doigts allaient et venaient sur ma peau nue. Il n’oubliait pas de passer dans ma raie et de câliner ma rondelle. À un instant, je remarquais des anneaux suspendus à la poutre au-dessus de nous. J'interrogeai le maître.

- J’ai installé des poulies. Tu veux essayer ?

Je me mis debout et acceptai le nouveau jeu. Le maitre enroula une corde épaisse autour de mon torse. Il en fit plusieurs fois le tour. Puis il attacha mes poignets ensemble et par un astucieux savoir-faire, il enroula les cordes entre elles autour de mes épaules. Ainsi, je conservais les bras pliés en position de prière. Puis le maitre lia mes chevilles entre elles. Enfin, grâce aux poulies, il souleva mon corps au-dessus du tapis. Il tira de telle sorte que la corde autour de mes chevilles m’obligea à plier les jambes vers mon torse. La corde centrale, au niveau de mon torse se tendit, alors je basculai sur le dos, retenu en l’air par 3 points. Le maitre tira un peu plus sur la corde de mes chevilles, la fit passer derrière mes genoux, et l’enroula à son tour à mes poignets.

Suspendu ainsi, j’offrais un spectacle de soumission totale à mon maitre. Jambes relevées, mains liées, le cul offert à hauteur de mon maitre, je ne pouvais résister à l’excitation.

- Bien installé ?

- Oui maitre.

De sa cravache, il caressait mon corps sans défense. Il claqua mes flans. Puis ce furent mes cuisses et mes bras. Je couinai sous les coups.

- Si tu cries trop fort, je vais être obligé de te bâillonner, me prévint-il tout en me fouettant encore une fois les fesses.

Puis la cravache effleura mes bras et mes flans, puis elle claqua sur l’arrière des cuisses. Je me cambrai en même temps que je criai.

- Ah, je vais devoir agir avant que t’alertes les voisins !

Il fixa le bâillon dans lequel je pus mordre tout mon soul alors que la cravache et les pinces à tétons rallumaient le feu sur ma peau. Le maitre attacha la chaine aux pinces et la fixa un peu haut sur les cordes. De cette manière, elle exerçait une tension continue sur mes tétons qui pointaient.

Mon corps brûlait entièrement, le maitre jouait le chaud et le froid. Tantôt doux, tantôt brute, il amenait progressivement mon désir à température. Lorsqu’il sentit que tout mon corps n’était plus que désir, il caressa ma rondelle, et sans plus de préparation, il introduisit deux doigts dans ma caverne, très vite rejoints par un troisième.

- Ton trou n’a même pas eu le temps de se refermer, s’amusa le maitre. Il est encore tout graisseux de ma dernière visite.

Les doigts agiles malaxaient l’entrée de ma grotte. Savamment, ils l’étiraient. Ils assouplissaient la membrane détendue de ma rondelle. Derrière mon bâillon, je ronronnais de joie. Suspendu aux désirs de mon maitre, je vivais le merveilleux tourment de l’étirement anal. Le maitre changea de technique et m’offrit trois doigts de chaque main.

Je râlais de ce bonheur de me faire transpercer de la sorte. Ma rondelle, qui déjà avait subi une première déformation, se relâchait et recueillait avec joie les inquisiteurs. Le maitre accéléra ses mouvements. Suivant son inspiration, il jouait d’une main ou de l’autre, il poussait les doigts ensemble ou séparément. Mon œillet ainsi travaillé et forcé se détendait et s’étalait de plus en plus. Je sentais mon cul chauffer et s’ouvrir, attendant patiemment l’ultime rendez-vous.

Le maitre dut sentir que le moment arrivait. Il présenta les doigts d’une main, puis je les sentis progresser doucement dans mon conduit. Lorsque la paume cogna contre ma rondelle, celle-ci ne s’offusqua pas de la largeur et au contraire s’élargit encore plus avant de se refermer sur le poignet déjà conquis. Le maitre se retira, et recommença plusieurs fois son entrée triomphale. Mon trou suintait le gel et la luxure, et je m’en fichais. Je me faisais remplir le cul et ma rondelle maîtrisait son énorme adversaire.

- Tu sens comment le passage est bien fait ?

- …

- Ouais, tout en douceur, comme ça. Le maitre tournait la main. Je la sentais bouger en moi. Elle embrassait la paroi de ma caverne.

Je soupirais de délectation. J’aurais voulu pouvoir moi aussi caresser le poignet contre ma rondelle comme le faisait le maitre. Passer mes doigts tout autour de mon œillet éclaté et serrer le poignet qui maintenait une main ferme en moi.

La main glissait. Elle pourfendait mes entrailles, m’arrachant des gémissements rauques sous le bâillon. Elle se retirait pour mieux s’enfoncer, avant de ressortir totalement pour mieux me renflouer ensuite. Puis je devinais le changement de main. Gauche. Droite. Tourner dans un sens, puis l’autre. Sortie, entrée, sortie, échauffement de ma rondelle, suprême dilatation. Je me gavais de ce plaisir extrême.

- Oh mon p’tit bâtard. Tu prends ton pied, hein ?

- …

- Ouais, ça te plait.

Le maitre se délectait du plaisir qu’il m’infligeait. Son regard sur moi, malicieux et pervers, intensifiait le plaisir que je prenais.

- T’en veux plus, petit bâtard ?

- …

- Je prends ça pour un oui. Voyons de quoi tu es capable.

Bien que je fus complètement dilaté, ma rondelle reçut une pression à laquelle elle ne put résister. Et dans un cri rauque que je ne pus contrôler, étouffé par le bâillon, le maitre plongea son poing en moi. Le maitre poursuivit ses assauts, son poing besogna mon cul que je pouvais sentir s’ouvrir comme jamais il ne l’avait été. Tous mes sens étaient en alerte. Le feu du plaisir brûla en moi et plusieurs cris de bonheur eurent raison de moi.

Je retombais épuisé, soutenu par les liens que le maitre prit le temps de desserrer. Cette leçon m’avait permis de me découvrir tel que j’étais.

Balthazar

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