Premier épisode
Chapitre-2 | Fred-le-Matheux
J’ai signé pour un job pour la suite de l’été, à partir du 20 juillet, chez un pâtissier-glacier dans un autre village où je suis logé chez ma tante, veuve, dépressive, perpétuellement shootée aux cachetons mais sympa au demeurant... Je bosse tous les jours de 7 heures à 15 heures, après quoi j'ai quartier libre.
Je ne suis pas seul chez elle, et ça n'est pas une très bonne surprise. Elle héberge le fils d'une de ses amies, un certain Fred, qui n'a rien pour me plaire. Il passe le plus clair de son temps dans sa chambre à réviser pour son concours d'entrée en école d’ingénieur. C'est l'objet de son séjour. Il a 23 ans, mais n'est pas du tout « cool », porte des fringues nulles, des fringues de vieux. En fait c'est un fils de vieux. Il a une coupe de cheveux naze. Il écoute du Jean-Jacques Goldman. Il a la peau blanche. Des boutons sur le visage. L'air d'un gros puceau.
Mais nos chambres sont au même étage, de part de d'autre d'un même couloir, et je ne peux pas complètement l'ignorer. Nous échangeons quelques mots et mon regard sur lui change peu à peu. Au fond il n'est pas du tout con. Et même vraiment gentil. Et puis je me rends compte qu'au-delà de son absence de bronzage, et son air un peu nerd, il est quand même passablement gaulé. Grand, cuisses athlétiques, torse développé. A la piscine, un généreux paquet ballotte dans son maillot.
Le mois d'août est très chaud. J'ai toujours le cul en feu. Un après-midi je me glisse dans sa piaule quand il a le dos tourné, en apercevant au pied de son lit un slip oublié. J'y plonge le nez. Ça sent le mâle. La pisse. Le gland. Le foutre. Il a dû s'essuyer dedans après s'être branlé. Je lèche le tissu. Me voilà pris au piège. Obsédé. J'ai envie de ce mec pas beau. Par la serrure de la salle de bain je l'espionne alors qu'il sort de la douche. Je découvre avec stupeur que sa pine lui descend presque à mi-cuisse.
Chaque après-midi, je m'impose dans sa piaule alors qu'il révise. Mes questions le déconcentrent. Je l'agace et l'amuse à la fois. Il me fout dehors en riant. Je fais mine de me battre avec lui, j'en profite pour le peloter. Un jour, je lui mets la main au paquet. Il en reste baba. Il me regarde avec sévérité : qu'est-ce que tu fais ? Je lui dis en riant que j'aimerais bien le sucer. Il refuse catégoriquement. Puis le lendemain revient vers moi. Me demande si vraiment je parlais sérieusement. Je reformule ma demande et sans lui laisser le temps me mets à lui palper la queue à travers son caleçon. Elle bande en un clin d'œil. Je me penche dessus. Il me laisse enfin sucer sa longue pine blanche, épaisse, surmontée d'un gros gland rose. Je la lui bouffe et je lui lèche les couilles. Jamais on ne lui a fait ça. Il jute sans crier gare. Il en fout partout. Je lèche son foutre et ça le scandalise. Mais ça recommence le lendemain. Il ose bientôt poser sa main sur ma tê
te, s'aventure à me donner vicieusement la tétée. Je lui pétris les fesses. Je lui caresse les cuisses, le ventre. Je lui pince les tétons. Il finit par me dire des trucs salaces. Et puis un soir, alors qu'il est à poil sur sa chaise, cuisses écartées, moi entre elles occupé à le pomper, je me fous moi aussi à poil, et avec mes doigts, m'enduis le cul de salive. Je m'ouvre ainsi manuellement et quand je me sens prêt, je viens au-dessus de lui m'empaler sur son gros zgeg, en lui tournant le dos. Il en a le souffle coupé. Je monte et descends sur sa queue en poussant sur mes cuisses. Mon cul l'enserre comme un fourreau et ne tarde pas à lui arracher un énorme éjaculat qui me repeint les intérieurs. Fred est complètement sonné. Sa pine ancrée au fond de moi, toujours bandée raide. Après quelques secondes il me soulève de la chaise, me pousse à plat ventre sur le bureau et sans déculer se remet à me besogner, cette fois longtemps, en alternant petits coups prof
onds et longs mouvements de lime. Il barbote à l'aise dans mon cul graissé par son sperme. J'ai la queue coincée sous le bord de la table. Je jouis du cul comme jamais en lâchant ma purée sur la moquette, tandis que Fred me remet sa dose.
Après cette première baise, nous remettons le couvert tous les jours. Fred et moi ne tombons pas amoureux. Juste accros à nos plans cul. Lui adore me fourrer le boule, moi être ramoné par son furieux zob à deux coups.
Nous nous retrouvons d’ailleurs en septembre dans la même ville universitaire. Il feint de tomber sur moi par hasard mais je ne vois pas bien ce qu'il serait venu faire au restau U de la fac de sciences humaines, alors qu'il a intégré son école à l'autre bout du campus.
On ne s'affiche pas l'un avec l'autre. On appartient à des mondes différents, a priori totalement hermétiques. On se rejoint discrètement dans sa piaule ou la mienne, un après-midi par semaine. On arrive chaque fois avec les couilles super pleines. Il me gave la bouche et le cul de son jus inépuisable. Et toujours cette affolante capacité à ne pas débander et à enchaîner deux coups l'un après l'autre. La seconde enculade me rend toujours complète-ment femelle.
Cette relation secrète mais suivie me permet paradoxalement de me concentrer sur mon année de Licence et de la réussir brillamment. Comblé sexuellement par un amant un peu plus âgé et très vigoureux, je ne suis pas vraiment tenté par les jeunots qui m'entourent.
Cependant nos parties de cul épanouissent Fred qui prend de l'assurance, accorde plus de soin à son apparence et finit par révéler au monde son côté sexy. En mai, il m'annonce qu'il a rencontré une fille et qu'il adore lui fourrer la chatte. A partir de là nos relations s'espacent. Je serai témoin à son mariage, des années plus tard. Je vous raconterai peut-être.
Carolin
ncarolin@myyahoo.com
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