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Grosse queue
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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Le chef de chantier -04

Quand, face à moi sur la terrasse, il a zippé sa combinaison, il m'est apparu, nu, sous le cuir.
Il a sorti son grand sexe raide et dans le creux de sa main, m'a offert ses couilles charnues.
C'était une vision d'un érotisme suffoquant.

Je me suis agenouillé devant lui et sans m'aider de mes mains, j'ai gobé les testicules qui reposaient dans sa main. J'en avais plein la bouche tant ils étaient gros. Je sentais sa queue sur mon front, tendue, joyeuse et forte. Une odeur de peau d'homme jeune et sain s'exhalait de sa combinaison, se mêlant à l'odeur du cuir. Abel dégagea ses épaules et ses bras de la combinaison qu'il laissa choir derrière lui. C'était un papillon sortant de sa chrysalide.

Nu jusqu'aux genoux que j'encerclais de mes bras, Abel n'avait plus que ses bottes de motard pour tous habits. Ma langue faisait rouler ses boules noyées de salive. Elles ne pouvaient s'échapper car mes dents, attentives, les capturaient pour les serrer doucement.
Entre mes bras, les longues cuisses dures vibraient. Abel posa une main légère sur ma tête tandis que je commençais lentement à mastiquer ses fruits pulpeux. De façon de plus en plus gourmande. Je voulais le jus probablement sucré de ces fruits du péché. Un vrai goinfre !
La voix du beau motard était rauque :

- Pitié Romain... tu vas me faire jouir... c'est trop tôt... pas maintenant !
S'il-te plaît ! Tout à l'heure, je te donnerais tout... promis !

- Mmrrrm.... ur.. ??!....ur... ???!
(Éssayez donc de parler avec la bouche pleine à ras bord !!)

- Oui, promis... pouce !

À contre coeur, j'ai abandonné mon festin et Abel a poussé un gros soupir en faisant une coque de ses deux mains sur des burnes qui l'avaient échappé belle. En riant, il m'a traité de grand pervers et je lui ai rétorqué qu'il devrait, à l'avenir, y réfléchir à deux fois avant de me provoquer comme la grande pute qu'il était. Tango, qui avait suivi notre petit jeu d'un oeil curieux, semblait partager mon avis.

Assis dans un fauteuil de jardin, Abel retira ses bottes et les balança négligemment sur sa combinaison qui gisait maintenant dans un coin de la terrasse. Il était Hermès le messager.
Nu, il me taquinait de son regard rieur. Un grillon crissait dans un bosquet et les lumières des cités du Golfe s'égrenaient en une courbe lasse.
Je lui ai prêté un jean et un T-shirt qu'il a enfilé comme siens car nous étions quasiment de la même taille. Des sandales de cuir m'ont confirmé la beauté de ses pieds au dessin nerveux.

- As-tu faim ? Lui ai-je demandé.

- J'ai une faim de loup !

Sur une grande table nappée de blanc, Clara avait élégamment disposé les plats et les couverts d'un repas froid. Un repas pour un bataillon. Avec un bon vin.

Qui était Clara ? Grande, sèche et le cheveu gris, Clara avait été la gouvernante de mes parents. Après la mort de ceux-ci, elle s'était installée chez moi. Elle logeait dans un confortable appartement aménagé dans les dépendances et veillait à la bonne marche de la maison. Elle était la seule personne qui m'ait donné un peu de tendresse durant mon enfance. Un brin autoritaire, mais d'une discrétion absolue, elle veillait jalousement à mon confort. Quand, plus jeune, je revenais bourré d'une virée dans les boites de nuit, elle me grondait comme un gamin avant de me faire boire, de force, un abominable rince-cochon.
Elle n'avait guère de sympathie pour Sylvie, et celle-ci, le lui rendait bien. Tango aimait beaucoup la cuisine de Clara.

Nous avons dîné avec appétit. Le repas était délicieux et la conversation d'Abel passionnante.
Ce chef de chantier, à mon sens, assez particulier, parlait couramment anglais et italien, il disposait d'une solide instruction et s'intéressait à la musique classique. Il lisait beaucoup.

La nuit s'avançait, accompagnée d'une fraîcheur délassante. Il me tardait d'entraîner Abel dans ma chambre.

- Bon, on y va ?... Tu me suis ? Ai-je grossièrement interrogé en me levant.

Abel resta assis, jambes croisées, dos bien appuyé au dossier du fauteuil, sa grande main jouant avec un verre à pied posé sur l'accoudoir. Il me demanda poliment de me rasseoir, puis parla en détachant bien ses mots :

- Faut pas prendre de mauvaises habitudes avec moi, Romain. Je ne suis pas un mec soumis dont tu peux disposer à ta guise. L'autre nuit, je t'ai laissé prendre mon cul pour t'aider à franchir le pas... et ce n'est pourtant pas ma tasse de thé. Cette nuit-là, tu m'as pourtant bien baisé.
Tu es une brute, mais tu sais aussi être doux et efficace quand tu le veux bien.
Je reconnais que tu m'as tué.
Mais ce soir, je suis venu pour te rendre la pareille. Je vais te baiser à mon tour et je suis certain que tu vas aimer ça. Maintenant, on peut y aller, je te suis.

- Quoi ? Tu veux me baiser ?? Moi ??? Bafouillais-je.

- Ben oui, toi ! Qu'est-ce que tu crois ? Je ne vois personne d'autre que toi ici.

- Je...

Le plafond me tombait sur la tête. Moi !? Me faire enculer !!! C'était le Monde à l'envers !!!
Je voulais bien accorder mes viriles faveurs à un homme qui m'avait inexplicablement séduit, mais de là à me retourner comme une crêpe, il n'en était pas question. Foi de Romain !!
Les yeux étrécis, Abel, carré au fond de son fauteuil, m'observait comme un gros matou qui observe les cabrioles d'une petite souris paniquée.

- Pourquoi ? Qu'est-ce que tu as contre ? Ronronna-t-il.

- C'est mon cul qui est contre... je ne peux pas...

- Tu ne peux pas quoi ?

- Je ne peux pas... et je ne veux pas me faire enculer, bordel !!! Ai-je glapi.

- Va pourtant falloir, Romain. Tu sais bien qu'avec moi c'est donnant-donnant. Tu me baises, je te baise. Tu ne vas pas en mourir. Crois-moi. Conclut-il.

Abel, mon merveilleux Abel, eut alors pitié de moi. Considérant mon pathétique désarroi, il m'annonça d'un ton charitable, presque paternel :

- Écoute, ce soir, je vais être bon prince, je vais te laisser faire l'homme avec moi. Tu peux me faire ce que tu as envie de me faire. Mais la prochaine fois, je veux ton cul ou bien notre histoire s'arrêtera là. D'accord ?

Que pouvais-je répondre à ce coup de semonce ? Dites-le-moi vite, il y a urgence !!!
Écartelé par mon furieux désir de lui, par ma perverse curiosité, par ma peur d'être soudain transformé en une folle du cul et de celle de soumettre ma virilité de mâle (alpha, j'insiste !).
J'ai lâchement répondu :

- Oui, d'accord.

Quelle nuit ce fut ! J'ai déployé tout mon savoir et toutes mes forces, et Abel m'a répondu en gestes et mouvements provocateurs, dignes d'une star du " sexe underground ".
J'ai eu l'inoubliable impression de faire l'amour avec un tigre dont il ne fallait surtout pas que je lâche la queue sous peine de me faire bouffer tout cru. J'ai perforé, taraudé Abel qui rugissait à en faire vibrer les vitres. Seuls sa nuque et ses talons reposaient sur le tapis quand il m'a donné, pour l'ultime fois, son foutre à boire. Je me suis gavé.
Deux heures après ce tremblement de terre, magnitude de force 8 sur l'échelle de Richter !
Pantelants et ravagés, nous nous sommes endormis, enlacés.
Dans la chambre, plus rien n'était debout et peut-être y avait-il quelques lézardes sur les murs. Je fus très vertement tancé par Clara et privé de dessert.

Quand vint le jour, où je devais monter sur l'autel du sacrifice, je n'étais pas fier.
Abel, uniquement vêtu de son arrogante séduction, m'attendait, mollement étendu sur la putain de paillasse de son grenier. Je me suis déshabillé sous son regard prédateur.
Noir et velouté.

- Tu es vraiment un mec canon. M'attribua-t-il pour me donner du courage.

Avec un pâle sourire, je me suis couché auprès de lui. Les rais de soleil n'étaient pas venus à notre rendez-vous. Le temps était couvert et des rafales de vent couraient sur la toiture.
Cette lumière grise convenait à mon émotion. Mon partenaire m'enveloppa de son long bras musclé et me murmura des bêtises qui me firent pouffer de rire. Il essayait de me détendre.
Cependant je tremblais de peur en imaginant que si Abel m'infligeait seulement la moitié de ce que je lui avais fait subir... j'étais un homme mort !!
J'étais partagé entre la peur et le désir. Mais après ses caresses, quand j'ai senti son corps monter sur le mien, j'ai bandé comme un fou. Son poids, tout à la fois si lourd, si léger, si charnel et si vivant, alarmait mes muscles dorsaux, mais confirmait mon désir d'être à lui.

Je palpitais comme une antilope qui sent les mâchoires du lion se refermer sur son cou.
Abel avait enfilé un préservatif de grand luxe lubrifié d'exquise façon et m'avait tartiné l'anus comme un pro. Pour le moment cela ne se passait pas trop mal et j'aimais sentir la dureté de son grand sexe coulisser entre mes fesses.
Mais... ce n'est pas possible de faire rentrer un autocar dans un trou de souris !!!
Pourtant il me pénétra lentement et profondément. J'avais mâââl.
Pourtant, que j'ai aimé l'entendre me murmurer des mots que je croyais réservés aux femmes. Il me disait qu'il m'aimait ?!?!?

C'est à l'instant où j'ai abdiqué, renoncé, accepté, que cela est devenu formidable. Je n'étais plus rien, mais j'étais tout. Je me liquéfiais.
Fidèle à mon orgueil, je ne voulais cependant pas lui révéler mon nouveau et insolite plaisir. Mais ce salaud connaissait bien son affaire. Il m'a canardé la prostate de telle façon que j'ai vite dû onduler sous son étreinte comme une tigresse que saille son mâle et les feulements étranglés qu'il m'a fait émettre confirmèrent que la comparaison était excellente.
Il me besogna ainsi le cul durant une éternité. Du moins, je le crois encore.

Prévenant, Abel, me faisait renifler du poppers qui me faisait glisser sur des nuages et ramollissait mes pauvres sphincters écartelés... mais qui me donnait parfois la nausée...
Sur mes trapèzes, de fermes morsures achevèrent de m'anéantir. Les longs souffles d'Abel sur ma joue m'apprirent qu'il jouissait et ses profonds coups de boutoir maintenant plus rapides m'obligèrent alors à inonder de sperme son matelas crasseux.
Il devait en avoir vu de toutes les couleurs ce pauvre matelas !

À plat ventre sur la toile rêche, terrassé, fracassé, submergé de découvertes et de doutes, je n'osais plus relever la tête. Une vraie pucelle déflorée !
Abel avait pourtant été clément avec moi.
Il aurait pu me rendre la monnaie de ma pièce et me mettre à mal.
Costaud et monté comme il était, cela aurait été facile pour lui. Avec mon pauvre petit cul de novice, il avait été inflexible, mais respectueux. C'était ma première leçon d'amour masculin.
La main de mon vainqueur se posa sur ma nuque. Grande, chaude, si douce malgré les cals.
Il enveloppa mon orgueil de mâle bafoué de sa voix profonde :

- Merci Romain, tu m'as fait un beau cadeau. Tu es un bon coup tu sais.
Tu n'es pas mort ? Ça va ?

- Gnumm...

Ce qui était merveilleux avec Abel, c'est qu'il était inutile de faire de longs discours.
Une simple intonation, inflexion de la voix suffisait à faire passer le message.
Un simple regard, une ombre de sourire ou de grimace, un mot ou un geste suffisaient amplement pour provoquer une étreinte brûlante ou... une bataille de chiffonniers.
Dans les deux cas, l'issue était la plupart du temps la même : une bonne baise.

Les jours suivants celui de ma défloraison, je rasais les murs.
J'avais la dérangeante impression que tout un chacun pouvait lire sur mon front, gravé en lettres de feu : " Je me suis fait enculer... très profond. Comme une reine ! ".
C'était un peu gênant.
Ma petite consolation était que je ne m'étais pas fait raboter la prostate par n'importe qui.
C'était quand même par l'un des plus beaux spécimens de l'humanité qui soit. Ah, mais !
Nu comme un ver, j'interrogeais scrupuleusement mon grand miroir car je n'aurais pas été surpris de voir mes hanches s'élargir et pousser de gros nibards sur mon torse.
Au regard de ce qu'Abel m'avait collé dans le cul, j'étais certain de me retrouver transformé en bimbo. Quand je vous parle de bimbo, je vous parle de celle qui fait exploser son corsage et fait craquer les coutures de sa jupe. De celle qui déborde de partout. Tant qu'à faire.
Les vieilles croyances ont la peau dure : Te fais pas enfiler mon gars sinon tu risques de te retrouver avec des bas résille et un sac à main.

Mais non. Le gentil miroir me renvoyait toujours le narcissique reflet d'un jeune homme svelte et musclé, fièrement cambré dans la splendeur de sa jeunesse. Ce beau jeune homme ne tortillait pas du cul, ne poussait pas des cris de pintade et ne se maquillait pas encore... Ouf !
Sauvé ! Cette magistrale sodomie ne m'avait donc pas métamorphosé en folle démente.
On pourrait donc remettre ça sans danger... avec modération, bien entendu.

Romain

alain.romain@orange.fr

Suite de l'histoire

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