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HISTOIRE

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Les oreilles d'Armand

Mère Nature a été très gentille avec moi. Je suis un (très) beau mec, (très) bien balancé.
Grand et svelte, j'ai une belle musculature sèche et bien définie que j'entretiens avec soin.
Je suis monté comme un âne et mes grosses couilles pendantes sont toujours bien pleines.

J'entends d'ici vos clameurs jalouses. J'ai quand même le droit d'être (beaucoup) plus beau que vous !!
Que ceux que cela gène aillent faire branlette sur d'autres histoires... ce n'est pas ça qui manque chez Cyrillo.
Dehors les grosses jalouses... Allez, ouste !!! Je disais donc :

Mon oncle maternel est l'un des gros pontes d'une grande société aéronautique. Après mes études, il m'a catapulté d'un énorme coup de piston dans les hautes sphères de sa société.
Aujourd'hui, je suis pété de thune et je peux satisfaire la plupart de mes caprices sans grever mon budget. Cependant, je prends mon job à coeur et mes responsabilités sont pesantes.
J'ai donc souvent besoin de me défouler, et pour cela, j'ai ma méthode.

Je suis un fana du bondage. Sport qui consiste à saucissonner des mecs avec des cordes variées avant de les décorer ensuite (la plupart du temps) comme des sapins de Noël avec des accessoires joliment chromés.

Je me régale de trousser comme des volailles d'athlétiques boys que je puni ensuite de diverses manières pour m'avoir effrontément expédié des e-mails trop provocateurs

Ne les plaignez pas trop, car ils connaissent parfaitement bien les risques qu'ils courent en venant se jeter dans la gueule du grand méchant loup.

Ces petits polissons pleins de muscles, de testostérone et surtout de foutre reviennent très vite chez moi pour parfaire leur éducation. Cela me donne parfois énormément de travail et j'ai dû aménager un planning.

Ils apprécient beaucoup mes aménagements qui sont assez sophistiqués, il faut bien le reconnaître.
En effet, j'habite dans un grand loft à trois niveaux aménagé dans un ancien bâtiment industriel. Les tuyaux apparents et la hauteur de plafond me permettent des fantaisies dignes des acrobaties du Cirque du Soleil.

Mais, je suis très sélectif, je veux du muscle sec et dur. Grassouillet s'abstenir. J'ai beau être le grand méchant loup, très peu pour moi de voir Naf Naf se balancer au bout d'une ficelle.

C'est vrai quoi !? Vous prenez un petit gros, tout rond, vous le ligotez et vous obtenez un rôti de dindonneau.

Moi, je veux du filet sans graisse. Tout à la fois ferme et savoureux.

Lors d'un barbecue organisé par un couple de copains, j'observe, sur la pelouse, un groupe de pintades glougloutantes qui fait cercle autour de Raoul pour boire ses paroles.

Raoul est une sorte de King Kong avec, parait-il, la queue assortie.
On la dit monstrueuse

Boule à zéro, des bras gros comme mes cuisses, il se la joue Vin Diesel à plein volume.
Il est sans cesse adulé et escorté par toute une escouade de petites salopes, qui doivent certainement fantasmer sur le supplice du pal.

Grossier et très con tout à la fois, c'est ce genre d'individu odieux qui adore raconter leurs enculades dans le menu détail. En distribuant nom, pedigree, adresse et numéro de téléphone de leur victime à tout va.

Curieux, je m'approche.

Raoul est en train de barrir qu'il a réussi à piéger un mec bien foutu en lui proposant un plan bondage. Le plan était prévu sans sexe. C'est-à-dire soft.

Le pauvre type a eu confiance, mais après l'avoir solidement ligoté, Raoul se vante de lui avoir fait subir bien des petites misères avant de le violer à fond.

Il est très content de lui.

Il y a des règles à respecter dans le bondage et ce fumier de Raoul les a bafoué sans vergogne.
Et tandis que l'auditoire du colossal hâbleur mouille toute une collection de petites culottes dentelle, je m'éloigne, franchement écoeuré.

Une semaine plus tard, à une autre barbecue party, voila pas que rapplique le Raoul, soutenu par l'une de ses petites salopes... promue au rôle d'infirmière. Fracassé qu'il est le Raoul !

Des plaies, des bosses de partout, le nez cassé, un oeil au beurre noir. Il est concassé !!
C'est à croire qu'il s'est battu à mains nues avec un Panzer Tiger II de la Wehrmacht...

Il nous explique en zézayant (deux incisives supérieures cassées) qu'il a été sauvagement
agressé par ce fameux mec qu'il avait si astucieusement ligoté et si profondément baisé.

Il est indigné, le dinosaure. Un avis de recherche doit être lancé pour retrouver son agresseur ingrat !

Cependant les indices sont rares pour retrouver l'infâme revanchard, même pas un numéro de téléphone. La secourable outarde infirmière, qui a assisté a l'attentat, nous informe seulement que le mec qui a pulvérisé le gros Raoul, est grand et maigre et qu'il doit faire, facile, 30 kilos de moins que sa victime... et qu'il a de grandes oreilles décollées et qu'il s'appelle Armand.

Amusé et pas mécontent que ce gros de con de Raoul s'en soit pris plein la gueule, je passe vite à autre chose et les jours passent.

Lors d'un déjeuner chez un vieil ami, je lui fais compliment de la couleur fine et nuancée des murs de son appartement.
Je suis lassé du badigeon blanc de mon loft et je veux changer.

Mon ami me griffonne un numéro de téléphone sur un bout de papier en me disant qu'il est très satisfait de son peintre et qu'il me le recommande vivement.

De retour chez moi, je compose le numéro.

Une voix grave et agréablement modulée me répond. L'homme est aimable, concis, et nous fixons rendez-vous. Il viendra demain à 18 h 30, après sa journée de travail, il amènera des échantillons de couleur.

Le lendemain, à l'heure dite, j'ouvre la porte à un grand gaillard efflanqué qui nage dans une salopette blanche toute balafrée de peinture bleue.

Il doit avoir, comme moi, entre 25 et 30 ans. Il un visage osseux avec des lèvres sensuelles, un nez cassé et de grands yeux gris... et aussi de grandes oreilles décollées.

Il se présente : Armand Duchêne. Peintre décorateur.

C'est donc lui, l'homme qui a corrigé le Raoul ?!?!

Surpris, j'observe l'homme en me demandant comment cet échalas a bien pu faire pour écrabouiller le colossal vantard. Ce n'est pas possible.

C'est vrai qu'il a de grandes oreilles. Très grandes, les oreilles... très décollées... les oreilles.
Par avis de tempête, faut pas qu'il sorte. Face au vent, il s'envole le Armand ! Comme Jumbo l'éléphant !

Mais il dégouline de charisme cet Armand. Au bout de vingt minutes, quand il vous a enveloppé de sa voix chaude et de son regard tranquille, vous ne voyez plus ses oreilles.

Vous ne voyez plus que le visage émacié d'un mec intelligent, sensible et attentif aux autres. Pas très beau peut-être... mais il rayonne.

Tandis qu'il me tend le nuancier, j'observe ses mains : grandes, osseuses et musclées avec un long pouce incurvé. Belles mains.

Les avants bras découverts par les manches retroussées ne sont pas maigres. Des fuseaux de muscles saillent et jouent sous une peau fine et glabre, parcourue de grosses veines.

M'est avis que ces veines sont pleines de testostérone...

Ma parole, pour un peu, il puerai le sexe à plein nez ce mec avec ses grandes oreilles !!

Il est vraiment charmant. Sobre en paroles, il écoute, propose et explique.
Je l'engage, il repeindra le loft, du sol au plafond. Il me suggère de peindre les canalisations et les tuyauteries apparentes d'un ton différent des murs. Ça me plait, j'adopte l'idée.

Le jeune peintre examine d'un oeil très intéressé les piliers métalliques et la grande mezzanine à rambarde de fonte qui surplombe le premier niveau.

Son regard gris s'attarde sur les suspects poulies et treuils à cliquets boulonnés de ci de là.
Il ne fait aucun commentaire, mais fait tourbillonner une roue de poulie d'un doigt expert.

Nous décidons de nous appeler par nos prénoms : Armand et Julien.

Il commencera les travaux chez moi dès qu'il aura terminé son actuel chantier, c'est-à-dire dans une semaine. Une solide poignée de main et il s'en va. Sympa ce mec.

La semaine passe et Armand débarque avec son matériel. Il passe presque deux jours à envelopper les meubles de film pvc, à poser des caches sur le vitrage et à scotcher des bâches sur les sols.

Quand il commence à peindre, je constate qu'il évolue avec souplesse et légèreté sur ses échafaudages et qu'il manipule les objets les plus lourds sans le moindre effort.

Il a décidé de stocker ses gros pots de peinture sur la mezzanine où il fait ses mélanges de couleur.
J'ai besoin ce matin là d'un complet veston qui est dans la petite armoire de la mezzanine.
Le meuble, enveloppé de film transparent n'est pas dans le bon sens.

Aucune importance, ne suis-je pas un grand costaud ?

Je te prends l'armoire à bras le corps et je te la retourne en oubliant qu'elle un pied cassé. Le meuble bascule sur la pile de pots de peinture... désastre, fracas et deux pots éclatent, projetant 30 litres de peinture blanche sur la rambarde de la mezzanine.

Le hasard faisant parfois bien les choses, Armand est juste en dessous, idéalement placé pour recevoir la cataracte blanche sur la tête. Pile !

Je dévale l'escalier en égrenant un chapelet de : " merde ! merde ! merde ! m... ". C'est la grosse cata !!

Enrobé dans un demi centimètre de peinture blanche, avec sa gigantesque salopette, mon peintre est devenu un bonhomme de neige. Il ne lui manque plus qu'une carotte à la place du nez pour que l'illusion soit parfaite.

Je me confonds en excuses. Il rigole en essayant d'y voir clair. À part lui, les dégâts sont limités, car il avait soigneusement recouvert sol et meubles de film pvc.

Heureusement, il s'agit d'une peinture acrylique fluide et diluable à l'eau. Je le conduis dans la salle de bain équipée d'une grande cabine de douche.

Il s'enferme tout habillé dans la cabine et ouvre à fond les jets multiples. Il entreprend alors de se débarrasser des vêtements qui adhèrent à sa peau.

La grande cabine de douche éclairée de spots est comme une vitrine avec ses portes de verre.

Nullement gêné par ma présence, le peintre, assis sur la banquette, arrache tout d'abord ses chaussures et ses chaussettes. Il de beaux pieds réguliers, fins et nerveux. Il s'extrait ensuite avec difficulté de sa combinaison engluée de peinture pour apparaître en jean et chemise.

Quand, enfin les derniers vêtements d'Armand tombent, accompagnés de son slip, et qu'il se redresse, entièrement nu, pour s'offrir aux jets d'eau, je comprends pourquoi Raoul n'a pas pu résister à son désir de le violer. Il est splendide et fascinant.

Très musclé avec de longs membres déliés, son corps dégage une impression de force animale extraordinaire. C'est un grand fauve.

Quand il est de profil, je vois sa taille plate et très mince s'évaser vers un ample thorax bardé de muscles saillants. Son ventre est blindé d'abdos sculpturaux.

Il a un long pénis massif et son scrotum rasé est alourdi de deux grosses boules appétissantes.

Je bade, bouche ouverte.

Enfin lavé, le peintre sort de la douche et me remercie en saisissant la serviette éponge que je lui tends.
Il s'éponge et frictionne sa chevelure blond cendré. Ses bras levés révèlent ses biceps ligneux et le tressage de ses muscles intercostaux.

Sur son pectoral droit, il y a encore une trace de peinture.

Spontanément, je porte ma main vers la tache rebelle pour l'essuyer.

Je suis électrisé par le contact de sa peau, si ferme et si douce. Je retire vivement ma main en balbutiant un : " Excusez moi... ".

Je suis réellement gêné, désorienté. Je ne comprends pas.

Le grand peintre nu tourne vers moi un regard neutre et me dit :

- Il n'y a pas de mal à ça, Julien, faites. J'aime bien qu'on s'occupe de moi.

Encore davantage troublé, je reste un instant immobile à respirer l'odeur exquise de son corps mouillé. Puis ma main gauche, comme mue par une volonté propre, s'élève pour pincer son mamelon érigé.

Armand incline l'encolure en fermant les yeux, mais ne bronche pas.

Son sexe se dresse instantanément, glorieux et entrelacé de veines bleues.

Un instant d'éternité se passe avant que mon autre main n'empoigne la grande queue très dure et ne la masturbe doucement.

Je scrute son profil qui n'exprime rien, mais je l'entends murmurer :

- Plus fort.

Mes doigts se resserrent alors et ma main s'active dans un handjob énergique.

Trop vite, je vois les superbes abdos onduler et les larges pectoraux se strier en un orgasme silencieux.

Cinq impressionnants jets de foutre jaillissent et s'écrasent sur le dallage de la salle de bain avec un bruit spongieux à plus d'un mètre de nous. Armand rejette la tête en arrière, faisant saillir sa pomme d'adam.

Ma main s'attarde et s'adoucie, en laissant mourir son rythme, mais le garçon souffle :

- Ne t'arrête pas... continue...

Comme un gamin gâté qui ne s'étonne pas que le Père Noël puisse passer par deux fois ; je continue d'astiquer le pieu qui redevient dur et ma main gauche abandonne le téton pincé pour agripper les lourdes couilles qu'elle malaxe vigoureusement.

Armand se laisse aller en arrière pour s'adosser au mur carrelé.

Il croise les mains dans le dos comme si elles étaient attachées et bombe la poitrine pour que je puisse mieux mordre ses mamelons. Il a des aréoles de blond.

Il faut un bon moment avant qu'il ne jouisse de nouveau. L'orgasme doit être même un peu douloureux, car étouffe un long grondement entre ses dents tout en me regardant intensément dans les yeux.

C'est comme une offrande. Je bande comme un malade en respirant son souffle. Son regard vacille.

La récolte de foutre est bien moindre, mais pour moi, elle a bien plus de valeur que la première et je la bois.

Je reste appuyé à lui, émerveillé.

J'écoute son souffle ample jusqu'à ce qu'il me dise dans l'oreille :

- Je crois que nous pouvons nous tutoyer, maintenant ?!... Non ?

Je suis scotché une seconde, puis j'éclate de rire. Libéré d'une énorme tension. Armand me regarde avec un large sourire qui lui fend le visage.

Il a de jolies fossettes qui creusent ses joues pourtant déjà creuses. Ses yeux pétillent.

On dirait un petit voyou satisfait de lui. Il est trop, ce mec !!

- Tu caches bien ton jeu, toi. Dis-je en caressant son épaule scindée en trois faisceaux durs comme du bois.

- Pourquoi tu dis ça ?

- Parce qu'on n'imagine pas que tu sois aussi canon sous tes fringues beaucoup trop
larges. Pourquoi tu te fagottes comme ça ?

- je n'aime pas les vêtements ajustés et j'aime être à l'aise, surtout quand je travaille.
Pourrais-tu me prêter des fringues ?
Pour une fois, je n'ai pas de change avec moi.

- No problem, suis moi...

Nous allons dans le dressing-room pour vêtir notre bel homme nu. Nous sommes de même taille et pointure. C'est parfait.

Je me change aussi pour enfiler des frusques mieux adaptées à mon projet. En effet, j'ai la ferme intention d'aider le peintre à nettoyer le désastre dont je suis la cause. Il faut que je me rachète.

C'est normal, non ?

Il a déjà enfilé un jean alors que je suis encore en slip.

Il promène un regard nonchalant sur mon anatomie puis décroche l'une de mes cravates pour ensuite s'approcher de moi, le visage fermé.

Il me saisit par les bras et me fait pivoter pour me lier les mains dans le dos. Il est d'une force incroyable, mais de toute manière, je ne résiste pas.

Après tout, il ne fait que me rendre la politesse. Mais pourquoi m'attacher les mains, puisque je ne résiste pas ?

Il fait voltiger mon slip et empoigne ma salope de queue, toute raide, qui n'attendait que ça.

Il s'accroupit devant moi et sa bouche engloutit mes testicules pour les mastiquer. Sa poigne de costaud me branle sévère.

Il n'y va pas de main morte le Armand, mais j'aime ça et je lui crache vite dans la gueule une grosse dose de foutre qu'il gobe d'un trait.

Il se relève et me roule un patin autoritaire. Sa langue, dure et mobile, oblige la mienne à goûter mon propre sperme. Ses dents sont très lisses. Je suis scié.

Il me plante son regard gris bleu dans les yeux et me dit :

- À ce qu'on raconte, tu serais très doué pour ligoter les mecs... surtout dans des positions difficiles... c'est vrai ça ?

- C'est vrai... modestie mise à part... pourquoi tu me demande ça ?... tu serais candidat pour que je te ligote ?

- Ouais, j'adorerais ça... surtout si tu est bien méchant.

- Avec toi, ce ne sera pas difficile d'être méchant et j'ai déjà quelques petites idées pour te ficeler bien hard. M'entends-je lui répondre d'une voix rauque.

- Tant mieux ! Alors, dans ce cas, je suis à ton entière disposition quand tu voudras et où tu voudras... en dehors de mes heures de travail, bien entendu.
Ceci dit, maintenant, il faut que je me remette au boulot.

Sur ce, il me fait de nouveau pivoter avec autant d'aisance que si j'étais une poupée et libère mes poignets. La cravate est foutue, mais je m'en fous.

Au moins avec ce mec, les choses sont rondement menées, pas de temps perdu en longs et vains discours.
Il sait qu'il veut.

Toute la matinée, nous épongeons, lavons, essuyons, raclons cette putain de peinture.
Armand apprécie mon aide. Pour me faire pardonner ma connerie, je bosse dur.

En silence, nos regards coulissent l'un vers l'autre. Sournois, complices et gourmands.

Il est resté torse nu et je me gave les yeux. Ce mec est une planche de myologie.

Le lendemain matin, Armand revient affublé d'une salopette encore plus grande que la précédente.
C'est moche, c'est quasi clownesque. Ou est passé ce superbe corps ? Je suis vraiment déçu.

Sous mon regard dépité, il prépare sa peinture en sifflotant (comme un peintre), puis, sans prévenir, il se fout à poil en ne gardant que son petit slip et ses vieilles baskets pour enfiler une cotte à bretelles blanche beaucoup plus seyante.

Presque ajustée, elle laisse apparaître le haut de son torse nu et révèle l'extraordinaire étroitesse de ses hanches. C'est super sexy. Je salive. Que dis-je, je bave.

Avec un sourire malicieux, il me dit :

- Il faut toujours faire plaisir à sa clientèle.

Je crois bien que j'ai affaire à un allumeur de première bourre, et ça me plait beaucoup.

Il travaille vite et bien. C'est un vrai pro qui aime son métier. Mais, attention, avec lui il ne faut pas mélanger boulot et gaudriole. Boulot d'abord !

Nos heures de travail coïncident à une heure près, mais je m'arrange pour me libérer plus tôt pour pouvoir faire un brin de causette avec lui et surtout pour me remplir les yeux.

Il est vraiment trop sexy dans sa cotte à bretelles qui me laisse admirer ses épaules striées et ses longs bras musclés.

Mon loft est très grand. Avec toute la tuyauterie et les coins et les recoins, Armand en aura pour un mois de travail. Cela me laisse le temps de fourbir mes projets.

Ce n'est que le surlendemain que j'ose aborder le sujet Raoul. Pas surpris que je sois au courant de sa mésaventure, Armand m'explique tranquillement :

- je me suis fait piéger comme un enfant de choeur par ce gros fumier et c'est bien fait pour ma pomme. J'aurais dû me méfier.

- Tu ne pouvais pas le savoir. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

- Après m'avoir ligoté comme il le voulait, il m'a défoncé le cul comme une bête sauvage. Je n'ai rien pu faire. Il est monté normalement, mais il utilise des gaines extenseurs de sexe avec toutes sortes de protubérances pour bien te démolir le cul. Il m'a fait gueuler fort, l'ordure.
Il m'a ensuite tabassé pour le plaisir et j'ai encore morflé. Ce qu'il ne savait pas, c'est que je pratique le kick-boxing et que quand j'ai la rage, ça fait du dégât.

- J'ai constaté ça sur sa gueule... tu l'as soigné, c'est sûr. Alors, comme ça, tu pratiques le kick-boxing ? Que je m'étonne.

- Affirmatif, depuis l'âge de dix ans. J'ai remporté plusieurs championnats. Il parait que je ne suis pas mauvais puisque mon coach veut que je passe professionnel.
Mais cela ne m'intéresse pas.

- Pourquoi cela ne t'intéresse pas ?

- Parce que j'aime mon job de peintre et que je gagne bien vie et que je ne peux pas consacrer suffisamment de temps à l'entraînement. J'ai aussi mes bonnes sensations en amateur. Sérieux, tu peux me croire.

- En tout cas, tu as bien fait parce que ce salaud méritait bien sa raclée. Tu as rendu service à ceux qui risquaient de passer derrière toi. Maintenant, il réfléchira à deux fois avant de jouer les violeurs. Je te le garanti.

- Ouais, je sais, mais je n'aurais pas dû parce que je suis B.F.2e degré. Mais ce fumier se vantait partout de m'avoir troué le cul comme à une chienne. Fallait que je le remette de niveau, vite fait, bien fait. Au fait, comment va-t'il ce gros tas de merde ?

- Oh, rassure-toi, il va très bien. Il a une patate à la place du nez et son dentiste s'est trompé de taille en remplaçant ses deux incisives. Alors, maintenant il a un sourire de castor. Il est croquignolet, le Raoul. Que je glousse.

Armand hausse les épaules, mais ne se réjouit pas en apprenant les infortunes de son tourmenteur. Décidément, ce garçon est un type bien. J'apprécie.

Armand vit en concubinage avec une nana qui est folle dingue de lui et qui lui téléphone toutes les vingt minutes. Alors, il désactive son portable quand il arrive sur son chantier.

La pieuvre ne renonce pourtant pas et l'attend parfois le soir près de sa fourgonnette. Elle est jolie, fine avec de longs cheveux noirs. Le jeune peintre n'en parle pas souvent.

Un soir, alors qu'il s'attarde à boire un verre avec moi, je porte la main à son entre jambes pour saisir son gros paquet. Il bloque mon poignet d'une poigne de fer et fait : " Tss, tss, tss ".

Puis il me dit en me regardant droit dans les yeux :

- Quand tu m'auras ligoté, tu pourras me faire tout ce que tu voudras.
Mais ne me touche pas quand je suis libre parce que je ne maîtrise pas toujours mes réflexes de combattant. C'est plus fort que moi.
L'autre jour dans la salle bain, j'avais croisé mes mains dans le dos pour ne pas te frapper.
J'ai été violé quand j'étais gosse et depuis je vis dans un conflit. Tu comprends ça ?

Confus et troublé, je veux m'excuser, mais il pose son index sur mes lèvres en disant :

Chut... demain prépare tes cordes, j'ai quartier libre tout le weekend, Sophie est partie chez ses parents.

Romain

alain.romain@orange.fr

Suite de l'histoire

TOP AUTEUR 2020 ROMAIN

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