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Premier épisode | Épisode précédent

La danse de Cyrillo | 5


Cyrillo :

Avant de te haïr mon Romain, je te trouve très charmant, carrément sexy.

En l’absence de ta cire, tu as une putain de touffe, une couronne naturelle, Samson serait complexé, et j’adore !
Tu as bien récupéré de ta nuit à te faire tirer les nichons et bourrer à coup de matraque mon salop !
Une bouille souriante, reposée, tu respires la bonne humeur.

Je suis tout de suite heureux de te revoir mais, je ne dors pas bel ami…
L’agacement prend le dessus et au lieu de te faire la fête à coup de bisous, j’ai envie de ravager ta petite gueule de crâneur à coup de clés.
Je me recentre… « joue la fine »

— Comment ça ! Tu as déjà mangé ? Et où ça ?
— Ha ha, j’ai trouvé une bonne auberge.
— Tu as bouffé de l’herbe à chat sur le balcon de la voisine ? Ou alors ?
— Quoi ?
— Tu as de l’herbe là, au coin de la bouche !

Tu ramasses de l’index ce que je te désigne comme une preuve de ton crime, tu inspectes ton doigt et tu le suces avec gourmandise, en me regardant comme un petit garçon…

— Hummm, délicieuse cette petite sauce à l’oseille…
— OK j’ai compris… Tu me racontes ? Ou je dois faire la démonstration que je suis perspicace ?
— Ah oui tu l’es ? Il m’a semblé que tu n’avais pas envie de tout comprendre… Souvent en fait !

Je sens la colère monter mais je la rabats encore.
La colère me fait peur, je ne m’y mets jamais, je ne vais pas commencer avec lui, il renverse assez de choses comme ça.

— Tu viens de chez mon oncle ! Et à voir ta mine d’homme vidangé, plus tes compliments culinaires, je comprends que tu as fait la pute pour un pavé de poisson !

Et là tu t’étouffes et ris !

— OK… Je rajoute 100 balles, 2 macarons Ladurée, 1 paquet de Camel essentiel et tu files te vider le fion de ton infâme déjeuner d’famille et t’attends dans la chambre que je vienne te bourrer.
— Comme tu es mauvais joueur, rhoooo vilaine… Non je suis pas ta pute, en revanche j’ai été très bien accueilli par ton oncle, j’ai senti du respect et lui n’a pas besoin d’artifices pour exprimer son désir !
— T’es un gros un bâtard !

Je te pousse en arrière, passe et marche sur tes pieds, vais à la porte d’entrée, je sors de chez moi et te renferme encore à l’intérieur.
Tu tapes comme une brute dessus en gueulant « Ça va durer longtemps tes conneries, putain ouvre ! »
Tu fous un tel bordel… Je trépigne devant l’ascenseur quand mon putain d’oncle ouvre sa porte !

— Cyril, c’est quoi ce bazar de théâtre, toutes ces portes qui claquent c’est fâcheux !
— Alors toi !!!!!
— Viens mon chéri, entre, raconte-moi.
— Raconter quoi ??? C’est à moi de te dire comment tu t’y es pris pour te taper mon mec ?

Et là je m’arrête de respirer ! J’ai dit ça… mon… mec…
Voilà pourquoi je ne veux pas me mettre en colère, non mais quel con !
Et tonton qui bouge plus non plus, toi qui est devenu subitement silencieux, je voudrais disparaitre.

Ramer serait pire, je lance à mon oncle : « Libère ta pute et transvase-la dans ton cul ! »
J’ouvre la porte de l’ascenseur et me casse sous ses yeux plein de pitié.

J’ai déjà vu cette rue ce matin, le même soleil qui a juste bougé un peu, les mêmes terrasses bondées, la même agitation, mais si tout me paraissait joyeux, maintenant, tout m’agresse.
Je marche rapide, la tête baissée, je cogne des épaules, on me reprend sur mon inattention, et je gueule des assainîtes à je n’sais qui.

À ce rythme-là, j’ai changé de quartier, et me voilà place de la Bastille.
Je suis creuvé, je m’assois sur un banc à côté d’une petite vieille. Elle me souris, je réponds mécaniquement, elle détourne la tête effrayée et prend appui sur sa canne pour s’en aller.
Une envolée de pigeon et me voici seul.

Nan mais qu’est ce que je fous ! J’ai donné ma clé à un inconnu, me suis fait baiser deux fois, j’enferme un mec chez moi, je coure les boutiques hors de prix pour un déjeuner genre amoureux, je tape une crise de jalousie, je le traite de « mon mec », je me sens encore trahi par mon oncle… Putain mais qu’est ce que je branle !
J’ai besoin de me mettre à l’abri, mais où ?

J’appelle mon oncle et lui demande sans politesse si tu es parti.
Il me dit oui mon chéri, je raccroche net et retourne chez moi.

J’ai vu mon oncle sur le balcon… Anne ma sœur Anne ne vois-tu rien venir…
Dégage tonton ! Surtout… n’ouvre pas ta porte… ou je serais bien tenté de coordonner ta sale gueule avec ta veste rougeâtre en t’étranglant.

Il est bien devant sa porte ce con, il me tend son appartement de la main. qJe préfère ne rien dire, et m’enferme dans le mien.
Foutez-moi la paix !

Dans le salon je m’apprête déposer mes clés et je vois la tienne. Enfin… L’autre mienne…
Ça me fait bien chier mais je ne peux m’empêcher de pleurer.
Ça monte comme un volcan, je sais que je vais douiller mais je n’empêche rien.
Je sais qu’ensuite je serais à plat, je pourrais m’endormir.
Alors je laisse couler mon chagrin, comme un gamin, il y a des plaintes, mais sans mots, juste des gémissements.
Tout s’embrouille dans ma tête, je ne sais même pas pourquoi je pleure.

Je me calme doucement tout morveux, je me mouche violemment dans mon t-shirt, j’ai les étoiles, un vertige. Je vais vers la chambre pour m’écrouler sur le lit.
Comme un chien qui fait son nid dans son panier, je me couvre tout habillé.
Putain ça sent ton odeur !

J’allume d’un bond la lampe de chevet et te cherche.
C’est en me retournant et baissant la tête que je vois ton cachemire.
J’ai envie d’exploser de joie, de lever les yeux au ciel, de crier Merci Merci, mais soudainement je m’observe.
J’éteins la lumière et tourne le dos à ton pull. Dormir…

J’ai l’air bien romantique au petit jour quand je me réveille avec les manches de ton pull autour du cou, et que tu me regardes en souriant.

T’es forcément passé par la fenêtre parce que j’avais mis le barillet.
Donc tonton > Fenêtre > Salon > Chambre > moi
Mais je m’en fous, je ne cherche pas à comprendre, t’es là, point.


Romain :

C’est pas vrai ça !!! Ce salaud de Cyrillo m’a enfermé une nouvelle fois !!!

C’est une manie chez toi !!! Je gueule et je tambourine la porte à grands coups de poing. Il y a du grabuge sur le palier. Entre Cyril et le tonton, c’est une envolée de boutique. J’arrête de frapper et j’écoute.
Tu hurles : « Raconter quoi ??? C’est à moi de te dire comment tu t’y es pris pour te taper mon mec ? »

Mon mec ? J’ai bien entendu… Tu a dit MON mec. Pas d’erreur.

Maintenant c’est le silence. J’attends cinq minutes puis j’entends deux tours dans la serrure et la porte s’ouvre.
Alexandre me regarde avec un petit air désolé. Je le trouve sympa comme ça.

- Cyril est parti. Je ne l’ai jamais vu comme ça… Il a l’air de tenir à toi. Dit-il.

- M’en fous ! Commence à me faire chier avec ses crises de Diva ! Je ne suis pas sa chose, non ???
Que je rouscaille.

- Tu ne seras jamais la chose de personne, Romain.
Me sourit le tonton penaud avant de repartir chez lui en laissant la clé sur la porte.

Je retourne dans le salon récupérer mon blouson et je pose la clé sur la table basse.
Je sors de l’appartement en claquant la porte derrière moi.
Je dévale l’escalier en grommelant.
Un Cyrillo et un tonton dans la même journée, c’est beaucoup trop.
Le triangle dramatique, très peu pour moi. Il me faut de l’air.

Je récupère ma bagnole dans le parking souterrain. J’habite dans la petite couronne.
C’est moins rupin que chez Cyril, mais c’est cosy.
Faut que je fasse un brin de ménage parce que c’est le bordel ici. Ça va m’occuper. Faut pas que je me prenne la tête.

Vire et tourne. Rien à faire, tu reste planté dans mon crâne… et dans mon cœur, il faut bien que je me l’avoue. Ça fait chier !

Ma décision est prise, j’irai lui rendre visite cette nuit. Mais cette fois-ci je le ferai à ma manière.
Où sont passés mes chaussons de grimpe ? Ah, les voilà, avec mon petit sac de magnésie. C’est OK.

Il est deux heures du mat et il n’y a pas un rat dans les rues. Je souris en contemplant la façade de l’immeuble. C’est à croire que les architectes du XIXe siècle pensaient à moi en construisant leurs pâtisseries. Il y a des prises de partout. Sculptures, saillies, corniches, que sais-je encore…

Je suis en bonne forme et la poudre de magnésie sèche bien mes doigts. Je me la joue les Spiderman en escaladant la façade. Le plus gros effort c’est le rétablissement pour accéder au balcon continu qui repose sur des encorbellements tarabiscotés, mais j’ai de bons bras et de solides dorsaux.

Me voilà debout devant tes fenêtres.

Chance pour moi, tu as laissé la porte-fenêtre de ta chambre entrebâillée. C’est le silence. Tu dois être encore à la disco en train de danser au milieu de tes caniches en mal de queues. Je me marre intérieurement en rentrant dans ta chambre. Je me débarrasse de mes chaussures et de mon blouson que j’avais accrochés à ma ceinture. Je me déchausse parce que les chaussons commencent à me serrer les pieds.

La lumière des lampadaires est bien suffisante pour que je puisse admirer le spectacle.
Mon Cyrillo roupille tout habillé avec mon pull autour du cou.
Ça doit être ton doudou.

Debout au pied de ton lit, je te regarde dormir.
Par moment, tu fronces les sourcils en articulant des mots silencieux.
Ce n’est pas un sommeil paisible. Je serais bien content de savoir si c’est à cause de moi que tu t’agites autant.
Soudain tu ouvres les yeux et tu me fixes, le visage inerte. Je te souris.

- Il te faut une peluche pour dormir ? Je vais t’offrir un gros nounours.
Que je me moque en gloussant.

Je contourne le lit et me penche sur toi.
Tu ne bronches pas, mais tes yeux suivent le moindre de mes gestes. Je suis assez satisfait de moi, je ne peux m’empêcher de te taquiner le bout du nez d’un doigt moqueur.
Je te trouve tout mignon et craquant.

- D’où sors-tu ? Me demandes-tu avec un petit rauque dans la voix.

- Je sors de la nuit.
Que je réponds d’une manière que je trouve très romantique. Cabot que je suis.

Tu as un petit rire et tu me saisis à bras-le-corps pour me serrer contre toi. Tout chaud et tout câlin. Je fonds et je m’affaisse sur toi.

Alors tout doucement, nous nous épluchons mutuellement.
Nous dénudons le corps de l’autre en gestes maladroits. Je veux te toucher, te caresser, te manger. Tes yeux s’agrandissent quand tu découvres mes épaules, ma poitrine, mon ventre. Tu sembles me découvrir et moi je me sens tout neuf sous ton regard.

Il ne s’agit pas de baise ou d’enculage.
Il s’agit d’amour et d’émotion. Il s’agit d’un moment de vie que nous ne connaitrons probablement plus jamais.
Il s’agit de nous deux.

Nos étreintes sont celles des anacondas.
Je veux te faire rentrer en moi, tu veux me faire rentrer en toi. Nous voulons tous les deux ne faire qu’UN. Le jour se lève quand épuisés de tendresse nous nous endormons étroitement enlacés.

Le ding dong de la sonnerie nous réveille en sursaut.
Il est 10 heures. Monseigneur s’étire en baillant tandis que je me noue mon pull-doudou autour des reins pour aller voir qui ose venir nous faire chier à une heure aussi matinale.

Il y a deux balèzes devant la porte.
Un blond et un brun. Le blond a une tête de con, mais celle du brun est passable. Attifés style "Harley-Davidson-Ringard", ce n’est pas mon genre.

- Salut mec, on vient causer à Cyrillo. M’informe le brun, les mains dans les poches.

Du fond de l’appart’, tu me cries de laisser entrer tes copains.
Je m’exécute et les deux cadors passent devant moi en me léchant du regard. Ils doivent me prendre pour un esquimau à la fraise !

Toujours à poil dans le pieu, tu reçois tes courtisans comme une Marquise du XVIIIe siècle, recevant ses fans dans sa ruelle. Cette façon de faire ne me plait guère.

- Salut Cyrillo. Je vois que tu ne perds pas la main et que tu te tapes de la belle bidoche. Sacré toi !
Tonitrue le blond à tête de con.

- Ouais, on peut dire ça comme ça...
Soupires-tu en t’allumant une clope.

Qu’est-ce qui vous amène, les mecs ?
- On vient voir si t’es pas mort. Hier soir, on t’a attendu pour le gang bang de la semaine. C’était chaud, mais Ernest, il n’arrêtait pas de te réclamer. Faut dire qu’il n’y a que toi qui sais remplir à bloc son trou de chienne, mec.
Brame l’infâme en coulissant vers moi un regard d’alligator.

Trop c’est trop. Les mâchoires bloquées, je me rhabille tandis que tu devises tranquillement avec tes deux gros balourds.
Je suis le roi des cons… que dis-je ??? Je suis l’empereur des cons !!!

Je t’entends crier « Romain !!! » quand je claque ta porte d’entrée. J’ai le cœur ficelé quand je redévale l’escalier. Faudra que je prenne un abonnement… sûr.

Merde ! J’ai oublié mes chaussons de grimpe et mon sac de magnésie. Je m’en fous parce que ce n’est pas demain la veille que j’escaladerai de nouveau ton immeuble pour te rejoindre, Cyrillo. Je ne veux plus entendre parler de toi.
Pour toi, je ne suis qu’un trophée. Alors accroche ma tête au-dessus de ta cheminée et va te faire foutre !!!

J’ai mal et bizarrement je pense à Alexandre.
J’aimerais en ce moment entendre sa voix et sentir ses mains sur moi.
J’ai besoin d’être respecté, j’ai besoin d’être aimé dans le respect.

J’arpente les rues le front bas et à un pékin qui me demande l’heure, je suggère d’aller se faire bricoler un cadran solaire.
Faut pas venir me faire chier les mecs !!! Adieu Cyrillo !!!

Adieu Cyrillo ???
Alors comme ça, Romain, tu te tires et tu laisses TON mec maître du terrain ?
Ça va pas la tête !!! Je veux que tu m’expliques.
Je veux savoir pourquoi tu as dit : « Ouais, on peut dire ça comme ça. ».
Ça m’a fait trop mal d’entendre ça.

Demi-tour.
Je suis devant ta porte, mais je ne sonne pas.
Je cogne dessus manière GIGN.
Si tes deux gros cons sont encore là, je leur rentre dans le lard.
Ils me casseront peut-être la gueule, mais ils vont y laisser des dents, parole de Romain !

La porte s’ouvre et là, je suis bien emmerdé.
Le visage défait et les yeux rouges, tu t’avances et tu me prends dans tes bras.


Suite de l'histoire


Cyrillo & Romain

cyrillo@cyrillo.biz | alain.romain@orange.fr

TOP AUTEUR 2020 ROMAIN

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